Ceci est la première fanfiction que je poste ici donc il y a des chances pour que je galère dans les premiers temps pour réussir à mettre mes chapitres. En plus, du fait de ma vie privée, je n'ai pas beaucoup de temps donc je publierais sans doute une seule fois par moi, peut-être deux, à voir. Voilà voilà !
Remarque : Les personnages (mis à part quelques uns) et l'univers ne m'appartiennent par mais sont à J.K. Rowling. Seule l'histoire est à moi.
Bonne lecture à vous ! J'espère que ça vous plaira.
Prologue
Il l'observait. Il se rendait compte qu'elle était réfléchie, contrairement à la plupart des Gryffondors. Cependant, elle n'en était pas moins rusée, ce qui était prouvé par le nombre incalculable de fois où elle avait déjoué les plaisanteries les mieux préparées des Maraudeurs.
Elle l'agaçait. Prodigieusement. En plus, il n'avait découvert son identité que par hasard. Ça l'agaçait encore plus. Et pourtant, tandis qu'il l'observait pour surveiller sa « vengeance pour humiliation, retour aux origines », il ne ressentait pas le plaisir d'anticipation habituel.
Et lorsque les bombabouses tombèrent sur elle, tachant son uniforme, il dû se forcer à lui faire un sourire moqueur. Le regard qu'elle lui lança lui laissa un arrière-goût amer dans la bouche.
Il n'avait plus qu'une chose à faire : attendre que le cercle infernal dans lequel il s'était volontairement embarqué recommence. Encore et encore.
Il l'observait tandis qu'elle riait avec ses amis. A peine l'avait-il vue, ce jour-là, qu'il savait que son cœur ne pourrait être à une autre.
Et elle ne le voyait même pas comme un potentiel ami. Alors un petit ami… même pas la peine d'y penser.
La rousse lui chuchota une phrase et elle se retourna, un sourire aux lèvres, vers lui. Son sourire se figea. Disparu. Ses yeux étincelèrent de colère. Même de la table des Gryffondors, il pouvait les voir… Quel honte, déclencher cette haine et la faire transparaître dans de si magnifiques yeux… Décidément, il avait tout raté dans sa vie…
Il détourna les yeux le premier, espérant que ce geste changerait peut-être quelque chose au cyclone qui allait bientôt s'abattre sur lui et ses amis, en réponse à leur propre bêtise. Comme toujours.
