Il était 18h, la journée avait été ennuyeuse à mourir. Quelques clients c'étaient présentés mais aucun d'eux n'avait attirer mon attention, il n'y avait que des maris cocus, des affaires de vols ou encore de petits trafics de drogue. Je soupirai, les criminels n'avaient plus aucune imagination. Je jetai un regard sur l'ordinateur portable de John, mon colocataire, il n'y avait aucun nouveaux message sur le blog donc toujours pas d'affaires à se mettre sous la dent. Je détestais la routine, mon esprit brillant la révulser, John lui semblait heureux dans son petit train train de la vie quotidienne,
je me moquais souvent de lui, de sa normalité, mais au fond peut être était il plus heureux que moi ! Bah je devais vraiment m'ennuyer pour avoir ce genre de pensés ! J'étais un homme d'action, passionné par mon métier ! Étais-je malheureux ? Je ne sais pas, je pense que je n'étais pas fait pour le bonheur, la légèreté, les oiseaux qui chantent . Mais une petite affaire ne serait pas de trop pour ma santé mentale !
Le téléphone sonna, c'était Lestrade. Je me retins de pousser un crie de joie ! Une affaire !
L: J'ai besoin de vous, Holmes ! Un meurtre assez mystérieux, sa devrait vous plaire.
SH : Envoyez moi l'adresse par SMS, j'arrive.
Je décrocha et me tourna vers John, qui buvait tranquillement du café dans la cuisine.
SH : John, on a une affaire !
J: De quoi s'agit-il ?
SH : Meurtre, ''assez mystérieux'' d'après Lestrade ! Tu m'accompagnes ?
J: Je viens.
Je souris, John m'accompagnais toujours, sauf quand il avait un rencard. C'était un ami fidèle. Nous nous étions sauvé la vie mutuellement a plusieurs reprises. Je devais avouer qu'avoir quelqu'un comme lui a mes côté me changé l'existence. Il m'occupait. Mais il ne pouvait pas me comprendre tout à fait, certaines parties de ma vie étaient des zones d'ombres pour lui. Mais pouvais je espérer de lui qu'il me comprenne quand parfois moi-même ne me comprenait pas ? Mon esprit restait cet endroit désert et froid, que j'avais essayer de conserver loin de toute émotions …
Nous prîmes un taxi, direction l'adresse indiqué sur le texto de Lestrade : 22, Coventry road. Je conaissais Londres par cœur, il était donc facile pour moi d'affirmer que cette adresse correspondait à un hôtel : le Queen's palace.
Je fis ma petite démonstration de plan vivant de Londres à John, qui en resta bouche bée.
Arrivés sur place, nous fûmes ''aceuillis'' par le sergent Sally Donovan,
Sally : Oh non pas vous …
SH :Désolé mais ici ce n'est pas vous le chef.
Sally : C'est sure que si un jour je le devient des choses vont changer ici...
Elle nous laissa passer à contrecœur. Je montai les marches 4 par 4. Trop heureux d'avoir enfin une enquête . Lestrade se trouvait devant une des chambre de l'hôtel, certainement vidé a la découverte du corps. On lisait sur son visage que ce qui se cachait derrière cette porte le préoccupait. Intéressant.
SH : Vous nous laisser passer Lestrade.
L: Oui mais je vous accompagne, je vous préviens en 10 ans de carrière je n''ai jamais vu ça.
Trés intéressant.
Nous pénétrâmes dans la chambre de l'hôtel, spacieuse et moderne. Le Queen's Palace était un hôtel de luxe fréquentait essentiellement par de riches entrepreneurs en voyages d'affaires a Londres. Sur le grand lit était étendu un corps inerte.
C'était une femme, très jeune et très peu habillé avec de longs cheveux blonds. Certainement une cow-girl. En m'approchant d'avantage je remarqua que la victime n'avait plus de yeux !
Mon collègue et ami me précéda et murmura perplexe :
J : On lui a arracher les yeux …
L: Je vous l'avez dit c'est l'œuvre d'un fou !
SH : Cela doit avoir une signification pour le tueur, y a t'il eu viol ou relation sexuel ?
L: Non, a part la balle quelle a reçu en plein cœur et l'arrachement des yeux, elle n'a subi aucun autre mauvais traitement.
J: C'est déjà bien suffisant...
SH :Il lui a arracher les yeux ?! Avec les mains ?!
Je n'eus pas de réponse à ma question, à cause de la sonnerie de mon téléphone qui se mit en route. Je regardai discrètement qui pouvait bien m'appeler, lorsque je vis le numéro afficher je blêmis. C'était celui d'une femme. De la Femme : Iréne Adler.
Je bafouilla une excuse pour quitter la pièce sous les regards interrogateurs de John. Pourquoi diable m'appelait-elle ? C'était horriblement dangereux pour elle et gênant pour moi. Je ne savais pas quoi penser de cette belle et énigmatique femme, et c'était bien la première fois que je n'avais pas d'avis sur quelque chose. Mais elle elle était différente, c'était une criminelle international qui occupait ses journée a couché et a volé des informations aux grands de ce monde.
Jusqu'au jour ou elle se frotta à moi ou plutôt à mon frère qui me demanda mon aide : Iréne avait en sa disposition des documents compromettants sur un membre de la famille Royal. Mon boulot était de récupérer ses documents avant qu'elle fasse chanter le pays. J'avais rempli ma mission les documents étaient maintenant en sûretés pourtant j'avais perdu une bataille personnelle. Oui ,Iréne Adler est la femme. Ou plutôt LA Femme. Celle qui aura réussi a percer l'armure en titane dont je m'étais revêtu. La seule qui aura réussie a se faire une place dans mon cœur et a me faire ressentir des ''émotions''. C'est pour ça que j'ai perdu et qu'elle gagnera toujours.
Je décrocha, et attendis qu'elle prenne la parole.
Iréne : Sherlock on a un problème...
