Titre : Petit meurtre en cuisine

Auteur : Lou 999

Disclamer : Tous les personnages sf exception appartiennent à autrui

Nb : Le titre appartient à une pièce de théâtre bien sympathique

Couple : 1x2, 3x3, 5xSally, 13xLady 1 et ZeckxNoin

Histoire : Ah, que faire quand la Reine du Royaume de Sank vous convit à un repas en souvenir de la grande guerre des colonies et qu'en plus, elle vous offre une semaine de vacances dans un endroit paradisiaque ? C'est ce que se demande Heero, qui poussé par Duo, y va. Mais voilà qu'un crime horrible arrive et que tout le monde s'accuse… Mais en attendant, le tueur rode toujours…

Résumé : Nada pour le moment

Lou : Voilà ma nouvelle fic, je l'ais commencé depuis lgtps mais il me manquait vraiment l'intrigue !! Maintenant que j'ai trouvé l'inspiration, je vous la met !!! Je voudrais remercier une précieuse amie qui m'a donné la superbe idée du commencement du chapitre ! Merci à toi jeune fille Puisses-u ne pas m'en vouloir de copier sur ton idée pour le commencement.

Chapitre 1 : L'arrivée

Une violente tempête faisait rage dehors, arrachant les branches des arbres couchés qui tentaient de résister au nombreux assauts du temps. Le vent hurlait furieusement dehors, bien décider à faire entendre pleinement sa voix rugissante et la pluie n'avait de cesse de frapper inlassablement contre les carreaux de l'hôtel, brisant le calme des couloirs. Il n'y avait presque personne dans la battisse, on aurait dit une auberge fantôme, mais rien de plus normal vu qu'il était 7 heures du matin. Malgré tout, aussi soudainement qu'un éclaire arrive, un cri effroyable perça le fracas turbulent de l'ouragan qui ravageait l'île. Si le hurlement ne réveilla personne, encore trop étouffé par le grondement du vent, il attira néanmoins les employés qui commençaient à rejoindre leur poste. Tous habillés de bordeaux, les salariés se massèrent en un groupe bien compact aux portes de ce qui semblait ou devait être la cuisine. Très vite, un brouhaha de murmure s'éleva et seul l'intervention du directeur de l'hôtel mit fin au bruit montant des discussions.

Dirlo Unmei : Aller, poussez-vous, mais laissez moi passer bon sang !

Avec grand mal, il joua des coudes pour se frayer un chemin jusqu'à la destination du cri. Il se retrouva donc dans une salle de grande taille au ton blanc et revêtue presque entièrement de carrelage. Une étrange odeur monta à ses narines, lui soulevant le cœur.

Dirlo Unmei : Qu'est-ce qui se passe ici ?

A sa droite, un type de grande stature tentait de calmer une jeune fille qui paraissait bien frêle dans ses bras. Il devait sans doute s'agir d'une serveuse, mais Unmei n'y prêta pas plus attention et il reporta son attention sur le reste de la salle, il fut saisit d'effrois en découvrant le spectacle, conséquence du cri. Tout une partie de la pièce, plus précisément du sol était recouvert de sang. Impossible de se trompé, il avait déjà commencer à devenir marron par certain endroit. Des cheveux blonds se mélangeaient au liquide poisseux, ajoutant un côté encore plus glauque à au décor de terreur qui se tenait sous les yeux du directeur. Il aperçut vaguement un bout de tissus rougit par le sang ainsi qu'un pendentif qu'il identifia mais se garda bien d'y toucher.

Dirlo Unmei : mon…Mon Dieu… C'est… Horrible…

Il se retourna pour chasser un haut le corps puis recula, s'éloignant de cette scène d'épouvante la main sur la bouche et le nez. Les jambes flageolantes, il du poser un main sur un des meuble afin de ne pas s'écraser par terre alors que sa peau devenait aussi blanche que celle d'un fantôme. Il aurait presque pu se fondre dans les murs tellement il était pâle.

Dirlo Unmei : Qui… Qui a découvert… ça ?

Il avait encore du mal à parler normalement et c'est avec une certaine difficulté qu'il déglutit une bonne fois pour toute. L'homme aux épaules carrées qui tenait la jeune fille leva les yeux. Lui aussi était blanc comme un linge mais sa tenue de cuisinier lui donnait un air encore plus fantomatique.

Cuisinier : C'est Yumi, Mr…

La dite Yumi n'était autre que le femme réfugiée dans ses bras qui avait caché sa tête dans le tablier du cuisinier. Son corps était violemment secouer et ses petits poings s'accrochaient désespérément au vêtements de l'homme.

Dirlo Unmei : Occupez-vous d'elle… Qu'elle se calme. Tout le monde sort d'ici et surtout ne toucher à rien. Raya, va chercher Melle Peacecraft.

La femme qu'il avait interpellé était elle aussi arrivée à entrer dans la cuisine mais se tenait en retrait, un air horrifier sur le visage. Elle hocha la tête, trop contente de pouvoir quitter ce lieu effrayant et sortit de la pièce rapidement alors que la mini foule s'éloignait très légèrement. Dehors, la tempête battait son plein, menaçant de briser les vitres ou d'emporter des tuiles du toit.

Dirlo Unmei : Retournez tous dans vos quartiers ! Et restez-y.

Sur ordre de leur supérieur, la vingtaine d'employés se dissipa finalement, le laissant seul à contempler le désastre. Finalement, au bout d'un moment, trop long à son got, Raya revint, dépitée et inquiète.

Raya : Je ne trouve Melle Peacecraft nulle part, Mr. Même Melle Dorothy ignore où elle se trouve. Mr… Se pourrait-il que…

Dirlo Unmei : Je ne sais pas… Malheureusement, je… Oh mon Dieu, le pendentif… J'espérais que tu la ramènerais… Je… Il faut prévenir son frère tout de suite… Elle est peut être encore en vie, il n'y avait pas de corps…

Toujours aussi pâle, le directeur semblait totalement perdu. Il se dirigea néanmoins d'un pas, même si hésitant, vers les ascenseurs.

Dirlo Unmei : Je crois que Mme Chang est médecin… Aller la chercher, elle nous dira quoi faire… Moi je vais… Pré… Prévenir Mr Peacecraft.

Quelques jours avant (flash back) :

« Bonsoir et bienvenus à l'hôtel Millénium. Que puis-je faire pour vous ?

La réceptionniste, un femme d'à peine une trentaine d'années aux cheveux brun fit un sourire aux 2 jeune hommes qui se trouvaient devant son comptoir.

« Il doit y avoir une chambre réservé au nom de Yui.

Celui qui avait parlé était le plus grand des 2 et avait l'air de très bonne humeur car il rendit son sourire à la femme. Il avait étrangement les yeux améthystes et ses cheveux châtains étaient emprisonnés dans une très longue tresse. Son corps tout en longueur et en muscle supportait de larges épaules carrées. La réceptionniste détacha son regard du garçon et chercha l'information sur son ordinateur.

« En effet. Une chambre VIP à lit double avec terrasse et vu sur la mer. Puis-je avoir une pièce d'identité s'il vous plais. »

« Hee-chan ? »

Heero : Mouais…

Le 2nd jeune homme, un tout petit peu plus petit fouilla dans sa poche et tira son portefeuille pour sortir sa carte d'identité. Il semblait moins robuste que son compagnon pourtant son T-shirt laissait deviner la courbure de ses muscles. Ses cheveux châtains en bataille lui conféraient un air rebelle rehaussé par ses yeux cobalts. Il tendit le papier demandé à l'employé qui, après vérification lui fit un sourire et lui rendit carte et clé de chambre.

« Soyez le bienvenus Mr Yui. Votre chambre, la 207 se trouve au 4ème étage.

Heero prenant la clé : Merci.

Duo : Dites-moi, jolie demoiselle, savez-vous si Trowa Barton, un jeune brun mystérieux et Quatre Raberba Winner, un joli blondinet à la peau pâle, sont arrivés ?

La réceptionniste sentit le rouge lui monter aux joues et hocha affirmativement la tête.

« Ils sont arrivés hier dans la soirée. Désiez-vous que je les prévienne de votre présence ? »

Duo : Oh non, on finira bien par les voir. Et un certain Wufei chang, un p'tit chinois au regard aussi noir que la nuit ?

« Non. Il y a bien une réservation à ce nom je crois mais personne n'a prit la clé pour le moment. »

Duo : Mouaip, connaissant Wuffy, il va arrivé à la dernière minute.

« Bien, je vous appelle un groom… »

Duo : Merci beaucoup.

Alors qu'elle s'éloignait d'eux, Duo se glissa derrière le japonais et l'entoura de ses bras puissant et bronzés.

Duo : Cesses de faire la tête. On est ici alors autant en profiter maintenant.

Heero : Je n'aime pas cette idée.

Duo : Mon chéri, il fallait venir. Certes c'est Réléna qui nous invite mais c'est pas la mort.

Heero : Désolé. Mais la connaissant, ça va très mal tourné.

Duo : Ca fait 5 ans qu'on ne s'est pas vu, elle a peut être changée.

Heero : J'en doute fort.

La réceptionniste qui revenait leur jeta un regard surprit au vu de leur posture mais ne se départit par pour autant de son sourire chaleureux. Derrière elle, un garçon vêtu de bordeaux, comme elle, arrivait.

Groom : Puis-je prendre vos bagages ?

Duo : Euh, oui, bien sûr.

Le natté lâcha son compagnon et montra du menton leur bagages. Aussitôt le groom se chargea de les prendre et de les déposer sur une espèce de chariot.

« Bon séjour »

Duo : Merci.

Suivant l'employé charger de leur valise, les 2 ex pilotes se dirigèrent vers les ascenseurs.

Heero : Cette idée de réunir tout le monde est totalement absurde !

Duo : Mais moi je trouve ça génial. Ca va nous permettre de revoir les autres.

Heero : On n'a vu Quatre et Trowa il y a 5 mois…

Duo : 5 mois c'est longs ! Et puis, Wuffy, je n'ais pas pu l'embêter depuis des lustres ?

Heero : Désolé, c'est à cause de mon travail. Je ne peux pas m'absenter longtemps.

Duo : Ce n'est pas grave. Ce n'est pas tout le jour qu'on peut être informaticien pour le compte de le ministère des télécommunications coloniale !

Heero : Mais à cause de ça, j'ai des horaire difficiles. Toi, tu as un temps partiel…

Duo : C'est justement parce que ton salaire me le permet. Et moi, je suis simple prof d'anglais ! En parlant de temps et d'argent… Je me demandais s'il ne serait pas temps qu'on élève un bambin…

Heero s'étranglant : Pardon ???

Au moment ou l'ex pilote du Wing se retournait surprit vers son amant, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent sur un couple un peu spécial. Un homme au corps élancé avec de grands yeux bleus et de longs cheveux blonds souriait à une jolie jeune femme aux cheveux courts et violet. Quand il les vit, Heero grimaça légèrement.

Heero murmurant : Ca commence bien…

... A suivre...

Lou : Voilà, alors ce premier chapitre vus a-t-il plus ? Normalement, je devais faire une sorte de cluedo mais j'ai quelque peu changer l'histoire Bisous