Le journal de Jessica Laurier
Salut! C'est la première histoire que j'écris sur FanFiction, et j'espère que cette histoire va être une réussite! Donc comme je l'ai mentionné, cette histoire m'a été inspirée par les livres d'Aurélie Laflamme (mais je ne copie pas India, et c'est elle la meilleure à écrire des livres du genre d'Aurélie Laflamme, bien sûre, et c'est elle mon idole!). Donc l'histoire va être racontée de cette façon. Dans chaque chapitre, ça va raconter environ une semaine de la vie de Jessica (sauf le premier chapitre, qui va seulement raconter une journée de la vie de Jessica, car le premier chapitre est constitué d'avantages de descriptions des personnages, donc le premier chapitre est moins drôle que les autres chapitres). Et dans chaque semaine il y aura des jours. Parfois, dans différents chapitre, vous allez voir deux genres de guillemets, " et », mais ça signifie la même chose. Vous allez mieux comprendre quand vous allez lire l'histoire. Donc tous ceux qui sont des fans d'Aurélie Laflamme, lisez cette histoire, commentez (review) et notez favoris! Et désolé pour les quelques erreurs, s'il y en a.
Mercredi 26 décembre 2012
Je me réveille le matin du 26 décembre 2012. Je regarde à l'extérieur par la fenêtre de ma chambre. Dehors, je vois des enfants qui jouent joyeusement dans la neige fraichement tombée, pendant que d'autres gens emmitouflés dans leurs vêtements chauds promènent leur chien. Quelle belle journée! Je me présente, Jessica Laurier. J'ai 13 ans et ma fête est le 8 août, donc j'adore l'été! J'habite au Saguenay, dans la province du Québec dans le Canada (en Amérique du Nord). J'adore les sports, surtout le soccer. Je suis autant artistique que musicale. J'aime aussi lire, surtout les livres de suspense, mais pourtant je ne suis pas un génie à l'école. J'adore ma famille et mes amis. À l'école, je suis un peu populaire, mais je souhaiterai être une des filles les plus populaires. Je fais de mon mieux. Et, la cerise sur le gâteau… je suis la reine des gaffes. S'il y a un verre d'eau près de moi, il vaudrait mieux l'éloigner avant que je le renverse. Je suis drôle et bouffante, donc je peux faire des blagues même pendant des moments tristes/traumatisants. Par contre, je ne suis pas très bonne à réconforter les gens. J'ai une meilleure amie, son nom est Karen. Elle est TRÈS timide. Elle aime lire et, comparé à moi, elle est très bonne à l'école. Mais elle haït les sports. Elle aime aussi écrire. Karen adore la musique, et elle joue la trompette. Elle a un style de vêtements très particulier. Elle est toujours à la mode, et elle porte toujours du linge de couleur « flashy ». Des chandails, des jupes, des pantalons, et pleins d'autres genres de vêtements. Elle est aussi très créative (comme moi). Ma meilleure amie est une fille discrète et généreuse. Elle est perfectionniste, c'est-à-dire tout doit être parfait avec elle (un de ses défauts que je n'aime pas particulièrement, mais je dois vivre avec). Elle a des yeux verts et des longs cheveux lisses blonds. Elle est mince et très grande. Revenons à moi.
Je suis aussi très compétitive, surtout dans les sports. Je viens juste d'apprendre récemment que je suis très compétitive, quand Karen m'a dit au cours d'éducation physique de la semaine passée que j'étais un peu violente (ex : pousser, mais pas fort) et compétitive au cours. J'ai rétorqué : « C'est pas vrai! Je ne suis pas compétitive! » et là pendant qu'on jouait au ballon-panier, j'ai réalisé que je poussait un peu les gens. Donc à la fin, je lui ai avoué qu'elle avait raison (j'haïs avouer mes erreurs, c'est comme si tu perdais une bataille). Donc parfois je peux être un peu brutale. J'ai une grande bouche, donc parfois je dis (et fais) des choses sans y penser. Mais je suis gentille et j'aime aider les autres (comment peut-on être brutale et gentille en même temps? Demande ça à ma personnalité). Je n'aime pas être le centre d'attention (c'est à ce moment que je fais le plus de gaffe et que je m'humilie, stupide cerveau). Moi, mon style de mode, c'est les vêtements de sports. Je porte presque toujours des t-shirts et des pantalons de jogging. Il y a seulement moi et une autre fille à l'école qui a ce style de vêtements (je vais vous parler d'elle plus tard). J'ai des cheveux bouclés bruns qui me vont vers le milieu de mon dos et des yeux pétillants qui sont de la même couleur que mes cheveux. Je suis de taille moyenne, et je suis un peu mince. Maintenant, retournons à ce matin du 26 décembre.
Je regardais dehors en pensant : « J'aime plus l'été. La plage, la nature, l'eau, le soleil. Mais je dois vivre avec le fait qu'il y a quatre saisons et non une (malheureusement). C'est tannant que quand tu va dehors pendant l'hiver, tes pieds deviennent trempés. Argh! ». Il est 10h00 (je fais souvent la grasse matinée. Je ne comprends toujours pas pourquoi on doit être à l'école à 8h30. C'est beaucoup trop tôt! Et à quoi ça sert d'être une personne qui fait la grasse matinée si tu peux seulement le faire deux fois par semaine? L'école te prive d'être toi-même!), donc je descends en bas pour prendre mon déjeuner. Rendue au premier étage, je vois mon frère, Jean, assis à la table de la cuisine en train d'attendre pour son déjeuner. Il est mon vrai frère et nous avons les mêmes parents (parfois mes amis me demandent si Jean est mon vrai frère, car j'ai une belle-mère, je vais vous parler d'elle plus tard) Jean a 7 ans et il est détestable. Il me copie tout le temps et il me met toujours dans le trouble. Lui est bon à l'école, donc mes parents me comparent toujours à Jean quand c'est à propos de l'école. Mais par contre il n'est pas du tout athlétique, donc mes parents le comparent à moi quand c'est à propos des sports. Jean a des cheveux châtains courts et des yeux bruns foncés. Il me regarde et me tire la langue, ce que je lui fais en retour. Je vois ensuite mon père qui prépare le déjeuner, des crêpes aux fruits. Mon père s'appelle Blake Johnson. Celui-ci est très strict à propos de l'école (je crois que c'est pour ça que j'ai de mauvaises notes, à cause que j'ai trop de pression). Il a 40 ans. Il adore les sports, surtout le baseball. Il travaille comme dentiste. Il fait un bon salaire, donc une fois à chaque deux années il apporte notre famille (Jean, ma belle-mère et moi) en voyage quelque part dans le monde. Mon père est parfois drôle, mais la plupart du temps sérieux. Il est calme et gentil. Il aime aussi aller à la plage et cuisiner. Il mesure environ 1 mètre et 75cm et il est costaud. Il a des courts cheveux noirs qui forment une courbe au dessus de son front. Il a les yeux gris. J'aperçois ensuite ma belle-mère Catherine.
Quand mes parents se sont séparés, mon père a commencé à fréquenter Catherine, car ils sortaient ensembles avant que mon père commence à voir ma mère (pas que mon père trichait sur Catherine, c'est juste qu'ils ont cassé avant que mon père commence à voir ma mère). Catherine mesure environ 1 mètre et 25 cm. Elle a des yeux bleus (perçant) et des cheveux bruns qui lui vont jusqu'aux épaules. Elle est mince. Elle est très sévère, mais parfois elle donne à moi et mon frère des petites surprises. Donc quand nous (moi ou mon frère) faisons quelque chose qui déplait à Catherine, celle-ci nous critique et nous chicane, et ça l'arrive soooouuuuvent. C'est aussi une maniaque de la propreté. Il faut que tout soit bien rangé, propre et que ça ne pue pas, sinon elle pique une crise. Par exemple, quand je reviens de mes pratiques et que mes pieds ne sentent pas bons (ben là, c'est normal qu'après que tes pieds suent et restent dans pendant une heure et trente minutes de temps dans la même paire de souliers, les pieds ET les souliers ne sentent pas très bons), elle dit : « Ça sent des p'tits pieds! », et là je pense : « Comme si toi tu n'as jamais pué des pieds! ». Une fois, quand je revenais d'une de mes pratiques de soccer, je suis allée dans ma chambre chercher des vêtements propres, car j'allais prendre ma douche. Quand je suis revenue dans ma chambre, ça sentait le « spray net » tu ne peux pas savoir à quel point. Ça m'a carrément insulté! Aussi, tu ne peux pas avoir de privation avec elle. Par exemple, quand tu es sur le bol de toilette et que tu as oublié de barrer la porte, elle entre sans cogner et sans s'excuser. Tellement impolie! Voici un autre exemple des choses qu'elle fait qui m'exaspère (et ne font pas de sens).
Une certaine journée, quelques semaines passées, je portais une paire de pantalons coupe-vent sport de marque « Adidas ». Je les ai porté pendant l'hiver car se sont mes pantalons préférés. Le tissu des pantalons coupe-vent n'est pas très épais et chaud, donc j'ai décidé de porter une paire de jeans sous les pantalons coupe-vent, pour que j'aie plus chaud. Quand je suis revenue de l'école en portant mes deux paires de pantalons, Catherine m'a vu et a dit : « Ils sont beaux tes pantalons! (elle ne les avait jamais vu, car c'était la première fois que je portais mon pantalon coupe-vent, et c'est ma mère qui me l'avait acheté) Portes-tu quelque chose dessous? ». Après que j'aie répondu: « Une paire de jeans », ma belle-mère a dit : « Bonne idée! De cette façon tu n'as pas froid. ». Ensuite j'ai répondu « oui » et je suis partie dans ma chambre. Quelques jours après, j'ai remis les mêmes pantalons coupe-vent avec une paire de jeans sous ceux-ci (sous les pantalons coupe-vent). Quand je suis rentrée dans la maison (je revenais de l'école, et Catherine ne me voie pas le matin, car elle est déjà partie au travail quand je me réveille), Catherine s'est exclamée : « Pourquoi portes-tu des pantalons coupe-vent, il fait très froid dehors! ». J'ai répondu : « Je n'avais pas froid, j'ai une paire de pantalons sous mon pantalon coupe-vent ». Ensuite, elle a répondu : « Tu portes une paire de pantalons sous tes pantalons coupe-vent?! C'est l'hiver, tu ne portes pas des pantalons coupe-vent sur un autre pantalon! CE N'EST PAS NORMAL! (c'est exactement ce qu'elle avait dit) ». Ensuite j'ai répondu, honteuse : « D'accord… », et je me suis enfermée dans ma chambre. La dernière phrase qu'elle m'a dit m'avait piqué au vif, et j'aurai voulu lui répondre : « Oh yeah? Ben peut-être que j'aime ça faire des choses pas normales et laisse moi faire ce que je veux! ». Mais à chaque fois, qu'elle m'apostrophe, je ne peux pas répondre par une réplique assassine, car une fois j'ai fais ça et elle à commencé à pleurer. Je n'aime pas blesser les gens, donc à chaque fois qu'elle me critique/chicane, je réponds par "oui" ou "okay". Mais crois-moi, à chaque fois que Catherine m'apostrophe, je pense à une réplique assassine. Donc quand j'étais dans ma chambre, j'ai pensé : « Je comprends pas. Pourquoi l'autre jour ça ne l'a dérangeait pas et qu'aujourd'hui ça lui a fait piquer une crise? Ça ne fait pas de sens! ». Donc j'ai tiré comme conclusion que les parents sont (parfois) incompréhensibles, et qu'il faut penser à des répliques meurtrières et non les dires, car sinon tu vas blesser (peut-être même faire pleurer, comme moi j'ai fais) tes parents.
Catherine travaille comme serveuse au restaurant de pizza de la ville. Bon, maintenant retournons au matin du 26 décembre.
Mon père me voit et me dit :
-Bonjour! As-tu bien dormi?
Je réponds :
-Si par bien dormi tu veux dire avoir crevé de froids toute la nuit et avoir fait deux cauchemars, alors oui, j'ai bien dormi.
Il me répond :
-Bien alors! Pourrais-tu aller au magasin acheter du lait? Il n'en reste plus pour faire les crêpes.
Je rétorque :
-Pourquoi moi? Après tout c'est toi l'adulte et c'est toi qui veux du lait. J'ai seulement deux travails : m'amuser et réussir à l'école. Aucun de ces travails n'est d'aller acheter du lait au magasin.
Mon père riposte :
-C'est vrai que c'est moi l'adulte, et cet adulte t'ordonne d'aller chercher du lait au magasin. De toute façon, tu réussis seulement la moitié de tes « travails » (ce n'est pas en m'insultant que je vais m'améliorer à l'école). Tiens, voici cinq dollars.
Je marmonne : « mui, mui, mui! » et je prends le billet de cinq dollars que mon père me tend. Je m'habille, je mets des souliers et un manteau, je sors de la maison et je commence à marcher vers le magasin (qui est à environ deux rues de chez nous).
En route vers le magasin, je pense à ma conversation avec mon père. Parfois, j'ai l'impression que les parents se prennent pour des Dieux. Ils croient qu'ils ont toujours raison. Quand les parents argumentent sur quelque chose avec leurs enfants, ils ne nous laissent pas la chance de nous expliquer et de donner notre opinion. Comme s'ils s'en foutaient de ce que nous nous pensons. Soudain, pendant que je marchais, j'aperçois le gars pour qui j'ai le béguin. Il se dirige vers moi. J'essais de paraitre naturelle (mais c'est un peu compliqué, car je ne suis pas nécessairement la personne qui a le plus de facilité à paraitre naturelle). Arrivé devant moi, il me dit :
-Allo.
Je réponds maladroitement :
-Hum, euh… s-, salut… (et car je ne trouve rien d'autre à dire, je continue la conservation en disant rapidement…) J'aime ton manteau.
Il rit et réponds :
-C'est le manteau de mon père! Le mien est au lavage. (nounoune, nounoune!) Ben, on se verra à l'école. Bye!
Je réponds faiblement :
-Bye…
Et il tourne les talons.
De retour chez moi (avec le lait), je pense : « C'était les deux meilleures minutes de ma vie! Mais maintenant il doit me trouver nounoune pour avoir cru que c'était son manteau et non celui de quelqu'un d'autre. J'agis toujours comme une nouille en présence de ce garçon! ». Le gars en personne se nomme Drake Leblanc. C'est le gars le plus populaire de l'école. C'est un sportif et son sport préféré est le ballon-panier. Il est gentil et amical. Drake est grand et costaud, il est aussi très bronzé et il a des courts cheveux blonds cendrés. Il a des yeux bleus et un sourire majestueux! Il n'a pas de copine (pourquoi? Ça c'est un mystère), mais je ne suis pas assez courageuse pour lui demander un rendez-vous. J'espère qu'un jour je vais réussir à lui demander de sortir avec moi (même si, je sais, c'est habituellement le gars qui demande à sortir avec la fille).
