Fiction : Se venger de la brute !
Chapitre 1 :
Suite de ''Espèce de brute !" si vous n'avez plus trop de souvenir de cette fiction , je vous conseille d'aller la relire car certains éléments vont refaire surface !
''Se venger de la brute'' ne sera pas trop longue, mais Ciel pourra enfin se venger. Yaoi Ciel dominant !
...
Liberté ! C'est la première chose que j'ai ressenti lorsque je suis sorti de cet hôpital psychiatrique. Pendant dix ans, je suis resté dans celui-ci alors que tous pensait que je mentais. C'est finalement en faisant semblant d'avoir menti qu'ils ont cru que j'étais guéri...
Mais dans ma tête tout était encore frais : Sebastian Michaelis qui tient un sex shop m'a enlevé, séquestré, violé...Bref, il m'a volé ma vie et mon innocence.
Et croyez moi !
Je vais me venger !
…
Revivre. Ca fait du bien. Bon, certes, j'ai encore un psy qui me suis de très près mais au moins, je suis libre ! Je ne suis pas retourné chez mes parents. J'ai cherché un boulot, loué un appartement...et je l'ai cherché !
Je ne sais pas très bien ce que je ferais lorsque je serais devant lui. La seule chose que je sais...c'est que ça ne sera pas joli !
…
C'est donc un soir de pluie que je suis retourné à la boutique. Rien n'avait changé. Je tremblais. Il n'y avait personne à la caisse alors j'ai sonné. Des pas approchaient, je serrais mon couteau très fort. Les pas approchaient et...C'est un vieil homme qui est apparu. Il m'a regardé. M'a mâté plutôt ! Puis s'est exclamé :
« Salut mec, qu'est-ce qu'il te faut ? »
Je l'ai reconnu. C'était un des clients habitués et privilégiés qui m'avait dragué, fait des propositions. Il ne semblait pas m'avoir reconnu. Je n'avais pas changé, il n'y avait que ma taille.
« Je cherche Sebastian Michaelis ! »
Il a levé un sourcil interrogateur tout en remarquant le léger tremblement de ma voix. Cette annonce a semblé le surprendre, mais il m'a finalement informé :
« Seb a déménagé. Il a une jolie petite famille maintenant ! »
J'enrageai. Cet enculé avait la belle vie.
« Où habite t-il ? »
Le nouveau patron m'a regardé, à hésité puis m'a dit qu'il ne résidait plus à Londres mais à Manchester.
Je l'ai remercié et me suis retourné. Seulement, le vieux pervers m'a hélé, semblant vouloir en savoir plus à mon sujet.
« Qui es-tu ? »
Je ne savais pas trop quoi lui répondre. Alors, j'ai dit la vérité, d'une façon qui sonnait un peu dramatique à mes oreilles :
« Je suis son premier amour, son amant. Seulement, aujourd'hui je suis son pire cauchemar ! »
...
