Titre: Je te protégerai

Auteur: Just-for-Yaoi, ba moi quoi...

Bêta: Mousoukyu

Disclaimer: Les perso sont pas à moi mais un jour ils le seront!

Note: Au départ cette fiction devait être un os écris a parti d'un truc écrit une nuit d'insomnie. Et puis je me suis dis que ça pourrait être pas mal d'essayer de faire un truc avec plusieurs chapitres.

Note 2: Merci à Mousoukyu d'avoir trouvé le titre! Moi j'avais aucune idée!

Bonne lecture!


_ Ne me laisse pas... Je t'en supplie... Zoro...

A ce dernier mot Sanji, qui, jusqu'à présent, chuchotait dans le cou du bretteur, fondit en larmes. Il le tenait dans ses bras fins tentant vainement de retenir le sang qui coulait abondement des innombrables plaies de Zoro. Ce dernier, utilisant ses dernières forces, enleva une main ensanglantée vers la joue de Sanji et posa délicatement ses doigts sur la joue du love-cook, du sang s'étalant contre sa peau avec lenteur. Celui-ci releva alors la tête pour plonger ses yeux bleus humides et impuissants dans ceux émeraudes de Zoro.

_ Arrête de pleurer..., l'homme aux cheveux vert crachat du sang mais passa outre, J'ai perdu un combat et j'en perdrai d'autre ! Le bretteur vomissait bien trop de sang, Alors arrête de pleu...rer...

Doucement, Zoro sombra dans l'inconscience sous le regard affolé de l'autre.

Quelques heurs plus tôt...

P.O.V Sanji

Ce matin là, le soleil n'était pas encore levé quand je me réveilla sentant qu'on caressé tendrement mes cheveux blonds. J'ouvris un œil, puis deux, pour les plonger directement dans ceux émeraudes de mon nakama.

_ Bien dormi? Me demanda doucement Zoro

Pour toute réponse, je quémanda mon baiser matinal. Il rit doucement, m'embrassant avec tendresse. Puis il passa sa langue sur mes lèvres me demandant l'accès. Nos langues, quelque peu timides au début, entamèrent une danse sensuelle. A contre cœur et haletants, nous nous séparâmes, encore reliés par un mince filet de bave. Nous pausâmes nos fronts l'un contre l'autre et quand j'eus repris mon souffle, je tenta de me relever mais une douleur vive dans le bas du dos m'en empêcha.

_ Putain ! Ça fait un mal de chien !

_ Tu devrais avoir l'habitude depuis le temps !

_ Ouais mais on peux pas dire que tu sois très doux non plus !

_ Mais tu es tellement appétissant !

Zoro fondit sur mes lèvres, se les appropriant de nouveau. Il mordilla et suçota ma lèvre inférieure mais je le repoussa gentiment (non, non ! Pas a coup de pied ,je vous jure, je l'ai fait gentiment !)

_ Marimo, arrête je dois aller préparer le petit déj' !

Réitérant ma précédente tentative de me relever, celle-ci échoua de nouveau mais cette fois-ci se fut la tête d'algue qui m'en empêcha.

_ Reste encore un peux ! Fit-il d'un ton boudeur avant de m'emprisonner dans ses puissant bras.

Je tenta tout de même de me dégager, même si je savais que s'était peine perdue.

_ Putain ! Bretteur de mes deux, tu vas me lâcher, merde !

_ Non.

Je n'en croyais pas mes yeux, Zoro boudait ! Le mec le plus beau et le plus balaise de ce monde pitoyable boudait ! Mais d'un autre coté, il était tellement adorable, et ce malgré ses 21 ans, avec cette bouille enfantine. C'est d'ailleurs ce qui me fit craquer.

_ Zoro ?

_ hm ?

Je l'embrassa chastement.

_ Tu sais que tu es trop mignon quand tu boudes ?

Il rougit, le rendant encore plus mignon.

_ Je boude pas !

_ C'est ça j'te croit... mais tu sais..., je vint chuchoter à son oreille, je n'arrive pas tenir debout ce matin et... j'aurai sûrement besoin de quelqu'un d'assez fort pour me soutenir...

Je mordillais le lobe de son oreille puis mes lèvres descendirent dans son cou pour y laisser quelques suçons, tendis qu'il me portait dans ses bras comme une princesse. Il nous mena dans la salle de bain où il me pausa sur mes deux pieds. Juste avent que je ne tombe au sol, il me soutint par la taille,collant tendrement son torse à mon dos et nous entrâmes dans la douche. Quand elle fut finit,non sans des petites caresses, loin de là ! Nous nous habillâmes et Zoro me reprit dans ses bras comme une princesse. Cette fois, il nous mena dans la cuisine du navire. Il me reposa à terre, son torse collé à mon dos pour me soutenir un peu. J'entrepris donc de préparer le petit déjeuner tandis Zoro ne me gèna nullement : il anticipait tous mes mouvements.

Le soleil commençait à se lever et Luffy n'allait pas tarder à entrer dans la cuisine en hurlant qu'il mourrait de faim. Ce que dût remarquer Zoro car il me lâcha brusquement pour aller s'asseoir à table, une bouteille de saké à la main. Je dût prestement me rattraper au plan de travail pour ne pas tomber et je m'y agrippa fortement faisant même blanchir mes jointures.

_ Putain ! Préviens la prochaine ...

_ SANJI ! J 'AI FAIM !

_ ...fois...

_ Sanji ? Ça va ? Tu me fais pas taire à coup de pied ? (il est maso ou quoi ?!)

Je serais des dents pour ne pas hurler de douleur.

_ Ouais, ouais !

_ T'en mieux.. ! PARCE QUE J'AI FAIM !

_ TA GUEULE !

Et Zoro l'assomma de la paume de l'un de ses sabres, puis Ussop entra dans la cuisine racontant des histoires abracadabrantes au petit reine de l'équipage. Brook passa la porte en poussant un yohoho joyeux. Franky, lui, arriva en faisant une danse assez étrange... Robin entra dans la pièce, ses lunettes sur le nez, un livre entre les mains et , relevant la tête de son bouquin, fit un :

_ Bonjours !

Quand je l'aperçu, je me dirigea vers elle, me trémoussant, les yeux en cœurs. (tien il a plus mal...)

- Ma Robin D'amour tu es toujours aussi élégante !

Quand l'archéologue vint pour se poser sur sa chaise, je lui tira.

_ Merci cook-kun.

A se moment là, Nami fracassa la porte d'entré visiblement de mauvaise humeur.

_ Yohoho ! Tu as l'air énervé, Nami !

Pour toute réponse, il reçu un coup de point sur le crâne. Elle était de très mauvaise humeur. Je m'approcha d'elle en faisant mon manège habituelle, mais la rousse m'ignora totalement et tira elle même sa chaise. Nami était de très très mauvaise humeur. Elle profitait toujours du faites que je sois un vrai gentleman ! Je savais que Zoro ricanait, intérieurement bien sûr extérieurement, il était toujours aussi neutre, car je venais de me prendre un énorme vent de la part de ma ''Nami chérie''. Mais en temps qu'adorateur des femmes je persistais quand même ! Si bien que je fini le reste du petit dej' avec des énormes bosses sur le sommé du crâne.

_ Sanji, ferme la deux minutes ! Je sais me servir toute seule !

_ Mais, Nami chérie...

La rousse me fit le regard -situfermespastagueuledesuite tuvasleregretter-, je me tue et je vint m'asseoir à coter de Zoro. Sous la table, nos doigts vinrent s'entre-lasser faisant apparaître sur nos visages des sourires.

- Bon appétit, tout le monde !

Luffy, comme à son habitude, fût le premier à manger dans les assiettes des autres et à subir le courroux de la navigatrice. Chopper courait en rond et hurlait qu'il fallait un médecin avant que la rousse ne lui fasse retrouvait la mémoire à grand coup de point. Le mangeur de barbe à papa amena notre capitaine dans sa petite infirmerie. Après le petit déjeuner tout le monde était retourné à ses occupations. Luffy, Brook et Chopper péchaient tranquillement, Robin lisait un livre sur la mythologie, Nami toujours de mauvaise humeur, travaillait sur ses cartes, Franky bricolait un truc ''GENIAL !'' selon ses dires, Ussop trafiquait de nouvelles biles et Marimo faisait ses échauffements quotidien. Tout en bavant sur ce dernier, je m'affairais à laver la vaisselle. Mis a part les éclats de rire de notre capitaine, rien ne troublait cette paisible matinée de juin jusqu'à que le cantonnier se mette à hurler :

_ UNE ILE ! UNE ILE !

Si j'avais su se qui allait se passer, je l'aurais égorgé vif.

Fin P.O.V Sanji