La goutte de trop...
Coucou ^^' Me revoilà pour une fiction qui s'annonce plutôt courte et sombre. Je l'ai imaginé ce week-end mais, comme les cours reprennent je n'aurais pas souvent l'occasion de publier et peut-être même d'écrire. Je vous garantie au moins un chapitre par semaine, ce qui est déjà pas mal à mon sens...Soit le Lundi, Mercredi, Jeudi(c'est mon sûr ^^') ou le Vendredi...Ou week-end, bien sûr ! Je vous remercie pour toutes les reviews que vous avez pu laisser sur mes fictions et que je n'ai peut-être pas vues...Brefouille, découvrons ce nouvel univers qui, je l'espère, vous fera trembler MOUAHAHA (Je plaisante, ca fait pas peur XD^^')
…
Vous voilà Ciel. Depuis le moment que j'attendais cela. Vous voilà, allongé sur le sol frais, le torse nu, la peau pâle. Vous êtes magnifique. Depuis le temps que je vous observe, que je couche avec vous sans que vous le sachiez. L'extase est en moi, vous êtes enfin là. Vous dormez, enfin, vous somnolez, est-ce dû aux nombreuses drogues que je vous aient injecté ?
Sachez seulement une chose, j'étais obligé, je vous désirais tellement que j'étais obligé. Vous êtes vraiment magnifique, je sais, je me répète...Mais vous savez, ignorer quelqu'un, c'est la meilleure manière de vous attirer son courroux...Vous m'avez énervé, avec votre vie parfaite et bien organisée. Vos amis, votre femme et vos deux beaux enfants. Voilà. Vous m'énervez et pourtant, je vous aime.
Toutes ces nuits où je vous prenais violemment, dans votre lit, à côté de votre femme que j'avais drogué. Vous ne bougiez pas, ne jouissiez pas, mais je voyais dans votre air d'homme parfait que vous adoriez lorsque je vous violais
Bon sang, si vous saviez, oh que oui, lorsque je me déversais en vous et que je me faisais un plaisir de vous nettoyer. Je restais aussi, quelque fois, allongé entre votre femme et vous même. Nos bouches proches, très proches.
Revenons en à notre sujet, vous êtes là, chez moi, allongé par terre. Par terre, je me rends compte que pour un être comme vous, le sol ne correspond guère. Je porte votre poids plume jusqu'à mon lit. Là, vos bras retombent négligemment vers le bas...Vous avez l'air si innocent, mais c'est votre faute.
Tous les jours, lorsque, après avoir salué habituellement tout vos amis, vous passiez devant moi, sans un regard, sans rien. Même pas un petit « bonjour ! » rien que ca ! NON ! RIEN ! VOUS ÊTES POURRI CIEL, LE SAVEZ VOUS ?!
Pourtant, je faisais tout pour que vous me remarquiez, puis, voilà, il y a eut la goutte qui a fait déborder le vase. Cette goutte, c'était d'avoir fièrement et publiquement annoncé que votre femme était de nouveau enceinte. Elle attendait encore un enfant...Pourquoi avez vous fait cela ? Moi qui vous aime tant...
Donc voilà Ciel, je vous aime mais je vous déteste...N'est-ce pas aussi ironique d'un diable priant Dieu ?
Mais voilà, maintenant que la chose est faite je n'ai plus le choix. Vous allez devenir mon objet, ma poupée. Cette magnifique poupée sera à moi, à personne d'autres. Je m'en servirais souvent, je caresserais sa peau porcelaine. Elle est un luxe cette poupée. Un luxe que seul les privilégiés peuvent s'attribuer. Moi, pendant trop longtemps, je n'ai pas pu acheter cette poupée, j'ai dû la regarder derrière la vitrine...Ca m'a dégoûté ! Mais vous voilà, mon petit Ciel.
Vous êtes sur mon lit. Ma langue passe sur mes lèvres, ce soir aussi, je vous dévorerais...Laissez-vous aller, tout ira bien ! Car sachez une chose, petit Ciel...
J'ai attendu bien assez longtemps, et maintenant...
Je suis affamé !
