Well, this is my new sto... Bonjour/bonsoir à toi, ô magnifique lecteur qui a cliqué sur le titre de ma fic. Bienvenu(e) sur mes Pensée. Humm, je ne sais pas trop quoi dire, juste que ça vous plaira et que rien ne m'appartient. Je sais que je devrai continuer mes autres fics au lieu de me lancer dans de nouvelles choses. Mais j'avais genre trop d'idées en tête et je me devais de les noter et voilà. J'espère que ça vous plaira !
Bon aucun personnage ne m'appartient ni même l'idée d'Hetalia. Voilà bonne lecture~
On voyais de Gilbert un homme fort, un grand militaire, un fier guerrier. Il était la personne la plus awesome de la Terre. Et même sans plus rien à représenter, il vivait encore, car il se suffisait à lui-même. Il n'aimait que lui et personne d'autre, quoiqu'un peu son frère aussi, car personne ne méritait d'être aimé par lui. Ça, c'était ce qu'on voyait de lui.
On se souvenait que le prussien avait était créé pour se battre, pour combattre, faire plier les autres, mettre le monde à genoux, être craint de tous, vivre pour toujours dans la mémoire des autres, que les humains prononcent son prénom et le nom de son pays avec effroi. Il avait été créé pour être reconnu. Parce qu'il était la Prusse il se devait d'être comme ça, pour que le vieux Fritz s'intéresse à lui.
Mais ce que tous oubliaient, c'était de reconnaître Gilbert. Ils savaient qu'il existait, quand ils le voyaient ils le saluaient. Il avait aussi été une nation. Tous le reconnaissaient. Tous l'avaient craint, sinon sa destruction n'aurai jamais été ordonné. Il aurai pu les faire plier, parce qu'il était Prusse.
Toutes les nations, surtout son frère, savaient que Gilbert passait sa vie à faire des bêtises. Toutes les nations, son frère le premier, laissaient passer. Après tout, le pauvre Gilbert s'ennuyait, il n'avais plus de pays, plus rien à faire, il s'occupait comme il pouvait. Mais tout ce qu'il voulait : c'était être reconnu, par le vieux Fritz d'abord, mais le vieux était un humain, il était mort depuis longtemps, trop faible pour survivre aux siècles; par ses pairs ensuite. Il ne voulait pas de leur pitié. Il n'avait pas besoin de leur pitié. IL ETAIT UN TEUTON ! IL DEVRAIT ÊTRE CRAINT, PAS PRIS EN PITIÉ !
Tous connaissaient le blog du prussien. Tous y allaient, n'étant plus un pays la Prusse s'était liée à tous les pays, grâce à lui les pays avaient un endroit pour se retrouver et discuter. Mais personne ne parlait de lui. Personne ne s'intéresser à lui, sauf lui. Qu'il pouvait les haïr de l'ignorer, lui le grand, le plus grand, la Prusse.
Oui, Gilbert était connu. Oui, Gilbert était reconnu. Oui, Gilbert était fort. Oui, avec ses actes il resterait dans les mémoires. Mais non, personne ne comprenait ses raisons. Non personne ne cherchait à le comprendre. Heureusement il s'avait, lui, pour lui, par lui.
