Voili voila! Ceci est ma première fan fiction. C'est en lisant la phrase: "Morte sans être autorisé à mourir, vivante mais pour ainsi dire morte" présente dans le tome 3 que j'ai vraiment eu envie d'écrire cette histoire. Et j'adorerais beaucoup avoir tous vos avis, vos critiques pour m'améliorer par la suite. En espérant que mon histoire va vous plaire. Je vous laisse maintenant avec un tout petit prologue qui j'espère vous plaira:
Disclam': Les personnages d'Hunger Games ne m'appartiennent pas, mais appartiennent à Suzanne Collins sans qui cet univers n'existerait pas!
Une sorte de monstre broyé par les flammes, recroquevillé sur un canapé à attendre de mourir, voila ce que je suis, et ce que je suis devenue. Après tous ce que j'ai traversée, tout ce que j'ai subi, je ne suis plus capable de vivre. J'aurais dû mourir depuis longtemps, comme le président Snow l'avait voulu, comme il l'avait prévu. Tant de mort auraient été épargnés. Ma sœur serait là, à rire, comme avant. Seulement, elle n'est plus là, à cause de moi. Je devrais essayer de revivre, pour eux, pour que leur mort ne soit pas veine. Mais j'en suis tout bonnement incapable. Je suis morte, sans être autorisé à mourir. Vivante mais pour ainsi dire morte. Alors j'attends, je reste là, sans bouger pendant des mois, des années, des siècles, c'est-à-dire une éternité. Ou peut-être juste quelques jours. Je n'ai plus la notion du temps depuis bien longtemps. Depuis que je ne dors plus, pour éviter les mutations génétiques, les tributs que j'ai tués, et les gens morts par ma faute, pour ne plus avoir de cauchemar. Mais comme ils ne peuvent plus s'insinuer dans mon sommeil, ils viennent maintenant me hanter quand je suis réveillé. Les mutations viennent me mordre, avec leurs crocs acérés, viennent me vider de mon sang. Les tributs, eux me regardent mourir sans rien faire. Alors je crie à en perdre la voix, je crie juste, pour que ça s'arrête, je ne fais rien d'autre, je ne me débats pas, je n'en ai pas la force. Dans ces moments-là, Sae Bouiboui qui est venue s'occuper de moi comme je n'en suis même pas capable, me prend par les épaules et me secoue comme une vulgaire poupée jusqu'à ce que j'arrête de crier. Et à chaque fois tout disparaît, aussi mystérieusement que de la manière dont c'est apparus. Je ne sais même plus si c'est la réalité ou bien des hallucinations, je ne fais plus la différence. Je suis tout simplement devenu folle.