Je vous écris en direct d Allemagne mes cheris *se cache derrière un mur, pas taper…* Oui je sais j ai du retard, en plus j ai supprimé le deuxièmes chapitre (pour le réécrire aussi), mais j ai réécris le premier et le troisième est en cour! Et il est mieux comme ca, j espère… Pour le bien de mon histoire. Comme j écris sur un ordinateur allemand certaines touches étant inexistantes ne crier pas sur centaines faute d orthographe que je déplore… Pour les autres, le français n es pas mon fort mais j ai fais de gros effort. Je vous souhaite a tous une bonne lecture ou redécouverte pour certain !

Chapitre 1 : il faut bien un debut a une histoire

Mais dans quelle merde je me suis mise ?! I que moi pour avoir autant d ennuis en si peu de temps ou ils se sont passé le mot !

Attraper la ! beugla un des abrutis qui me cour après.

C'est étrange, mais je trouve que j'entends cette phrase trop souvent en se moment. Je me retourne dans ma course effrénée et lui lance un « va crevez » bien sonore. Non mais il me prenne pour qui ces dégradés du slip ! Je suis entrain de courir à travers les rues de Mokaji, poursuivit par une ordre de fou allié au quelle je tire la langue joyeusement. Très fière de moi, j'observe le spectacle de mes poursuivants encore plus énerver par mon acte. Je ferais mieux de regarder la route ou je vais me prendre un poteau… J'aime pas les poteaux ! Sa sert à rien et s'en prendre un dans la tête sa fait vachement mal. Tiens, le fleuriste. Ho la belle bleu, ho la belle rouge. Un bruit de cavalcade me tira de ma contemplation botanique. Je pousse un long soupir, ils sont collant de vraies sangsues.

Vous êtes cernée ! Rendez-vous sans résistance.

Heu, salut les gars ! dis-je avec un sourire crispé sur le visage. Je suis désoler, mais j'ai un rendez-vous avec personne, sa urge et il va m'attendre. Donc si vous voulez me contactée téléphoné à mon secrétaire !

Il n'y a que moi ou j'ai encore dit une connerie ?

Et là, un coup de feu retentit et une balle me passa au dessus de la tête. J'ai du dire une connerie…Une rangée de tireur me tenait enjoue. Apparemment ils sont tombés sur le répondeur. Bon bah quand il faut y aller, faut y aller.

Attention, je fonce dans le tas ! Je dégaine un de mes poignards, j'arrive pas à croire que je vais devoir salir ma lame avec le sang de tels idiots. Je jure que je fais la peau aux autres connards de pirate quand j'en n'es fini avec ces marines après avoir cassé la gueule à Pas-Bo.

La veille

Début de soirée, dans le bar du Au bon saké, les lumières filtrent à travers les fenêtres. On aperçoit les silhouettes des serveuses s'activant comme des abeilles dans cette énorme ruche rempli d'assoiffés. Un tapage sans nom règne en maître. Du fin fond des ruelles un distingue les éclats de voie qui émanent du bar. L'ambiance est là et les pirates avec.

C'est dans le milieu de l'après midi que la première flotte de Barbe-Blanche avait débarqué sur les quais du village de Mokaji sur l'île d'Iro-moto* dans le nouveau monde. Les hommes fatigués après de longues journées de navigation avaient envahi l'unique bar du village.

Dans la salle, juste devant le comptoir s'étendaient de nombreuses tables rondes où se tenaient les pirates de Barbe Blanche. Les serveuses, plusieurs jeunes filles habillées d'une jupe plissées noires et d'un chemisier blanc couraient entre les tables pour s'occuper des demandes. La chef des serveuses, Hitomi commandait ces troupes d'une main de fer et organisait la répartition des tables et des tâches.

Serveuse, saké !

Et la nouvelle ! Prend en charge la table 10. Ordonna Hitomi et l'une de ces serveuses.

J'arrive, maugréai-je avec mauvaise humeur.

J'attrape le saké derrière le comptoir et avec quatre bouteilles coincés entre chacun de mes doigts me dirige vers la table 10. Je déteste les pirates ! Ils se croient tout permit et ont les mains trop baladeuses. Vous me direz, je déteste tout le monde, marine, pirate et même les honnêtes gens. Ma tête est ainsi faite, la seule personne qui comptait pour moi a disparue de ma vie depuis longtemps maintenant… Je slalom dans ce dédalle de table et d'homme enchevêtrés qui sont déjà ivres alors que la nuit n'est pas encore suffisamment avancée pour se le permettre. Le parcoure du combattant se réduisant à enjambés les pirates et les habitués du bar pour distribué l'alcool aux personnes tenant encore debout. Et il fallait en plus que je fasse gaffe ou je mettais les pieds ! Tu parle d'un boulot de merde. C'est l'une de mes pires idées (après mon saut de l'ange du haut d'une falaise, drôle d histoire, je vous la raconterai peut être un jour). La table de pirate que je venais de rejoindre était plus bruyante qu'un troupeau d'éléphant dansant la macarena. Vision d'horreur. Et en plus il m'on déjà siphonnés mes bouteilles à peine arrivé ! Je prends un peu de temps pour observe scientifiquement ces énergumènes de la société. Cinq hommes se partageaient la table, tous compris entre vingt et trente ans. Ils semblaient peu armés et franchement même des limaces amorphes me ferraient plus d'effets qu'eux. Je me demande quel serai leur potentiel intellectuel lorsqu'il auront dessoulés… non, c est tout simplement impossible a mesurer pour la bonne raison qu'il n en on pas. Une sensation bizarre remonte le long de ma cuise, un frisson de d'égout ? Non, il en faut plus pour m'écœuré. Je me souviens de la fois où j'ai crue vomir mes tripes à cause de ce satané pirate roux et d'un de ces jeux stupides sortant de son imagination tordu. C été encore a l époque ou tout le monde il est beau et gentil. La mièvrerie enfantine...

On m'attrape la cuise sous ma jupe…

Chlink ! c'est le bruit des bouteilles vident que j'écrase sur la tronche du pirate se trouvant à ma droite. Putain de bordel de merde de mes couilles que je n ais pas ! Recommence encore une fois et je m'assure que tu ne connaitras jamais de descendance et que tu mourras dans les pires tourments ! Le prévint, gentiment, avec mon plus beau sourire, celui du psychopathe sadique. Je vis le pirate baptisé tronche de verre par mes soins passé du rouge alcoolique au blanc pale des fantômes. Quand je vous disais qu'ils sont les mains trop baladeuses et que se sont des lâches ! Ca, je l'avais peut-être pas dit…

Dans mon élan de fureur je ne remarque pas de suite le silence irréel qui vient de s'abattre dans la taverne et continue à gueuler toute seule. Ca fait du bien de se défouler et de se passer les nerfs sur un sale pirate après la journée de merde que j'ai eu! Je reprends mon souffle et m'apprête à reprendre ma verbalisation, la salle est vide ou quoi ? Y a plus un bruit. Inquiète par le silence je lève mon regard que j'avais dardé sur tronche de verre. Touts les yeux sont braqués sur moi.

Quoi ? J'ai une tache sur le visage ? demandais-je bêtement, … très bêtement. J'ai dit une connerie ?

Toutes les personnes présente dans la salle sont figés comme frappé par le sors de Méduse. Les serveuses me regardent avec une lueur d'effroi dans les yeux et pour certaines de l'admiration. Le barman et gérant du bar me fixe l'air horrifié. Et les pirates encore suffisamment conscient ne semble pas comprendre cet atmosphère. Pour les premières, je sais que je suis belle, mais ce n'est pas une raisons pour me dévisager ! Le second, je ne le connais que depuis quelques heures et il m'énerve avec sa tête de manchot qui a mangé un truc pas frais. Quand aux pirates, ils pourraient être aussi beau que des canards j'en ai rien à foutre !

Profitant du silence, je laisse mes yeux parcourir la salle plus attentivement. Je remarque une table à l'écart des autres qui est occupée par trois hommes. Un gars avec une tête d'ananas, un mec d'environ vingt ans avec des cheveux jaunâtre coupé en bol (lui, il ressemble à une pêche) assit à gauche du fruit exotique. Il manque une orange ! J'ai rien dit, elle y est. Un homme de la trentaine roux était tourné vers ma pêche. Maintenant, j'ai envie d'une salade de fruit… Les trois pirates devaient être les seules encore capable d'aligné plusieurs phrases sans bafouillé. Eux au moins ils ne sont pas ivres !

Téha, je viens de t'engagé et tu me causse déjà des problèmes ! cri mon patron dans tout le bâtiment. Tu es virée !

Putain, il a du coffre le vieux ! Je suis sur qu'on là entendu jusqu'à Est blue. Tien mon cher patron à arrêté de beuglé comme une vache… Merde me dite pas que j'ai pensée tout haut. Le gérant ressemble à une cocote minute sous pression, donc si. Putain je suis dans la merde !

Le pirate à la coupe en ananas se lève et se tourne vers le tavernier.

Je vous pris de ne pas viré cette jeune personne, c'est la faute de mon nakama. Dit-il au gérant avec un sourire désoler. D'ailleurs il sera punit pour son comportement. Les yeux de l homme ananas brillaient dans cette dernière phrase.

Le visage du gérant furieux se métamorphosa, il n'avait pas envie de cherché des noises avec Marco le Phénix commandant de la première flotte de Barbe Blanche et le second du plus puissant pirate de toutes les mers.

L'homme près de moi blêmit. Apparemment les punitions de son capitaine ne sont pas cool. Je voudrai pas être à sa place (si j'avais su à se moment là, la suite des évènements).Tu me diras l'ananas n'a pas la tête d'un enfant de cœur… Mais d'un fruit ! Je m'égare. Mais pour qui il se prend le fruit exotique ! J'ais pas besoin d'aide et encore moins de celle d'un pirate. Je me précipite vers la table de ma salade de fruit, furieuse. Je tire une chaise et la vire de mon chemin, frappe mes mains contre la table qui n'avait rien demandé et m écrie :

Pirate, je n'avais pas besoin de toi ! Pourquoi tu t'es mêlé de cette histoire, merde ! Je lui crache à la figure avec hargne.

A voir la tronche de ces nakamas on doit pas piquer une crise contre lui souvent.

Ces un de mes hommes qui à causé ta réact…

Et quoi ? Tu vas le vengé ? Me tuer ? Ou alors déclenché une bagarre et détruire le bar ? Ou tuer ton sous-fifre ? fis-je Ne te mêle pas de mes histoires, pirates ! Je me tout ma haine envers la société dans le dernier mots.

Non, mais c'est mon nakama et il est sous ma responsabilité alors j'assume pour lui son comportement. Me répondit Le Phénix calmement, limite blasé. Je ne voudrais pas que ce début de bagarre finisse en carnage et que tu te fasses renvoyé. Je fulmine, son ton las m'énerve.

Marco observe la jeune fille devant lui. Elle est plutôt grande et a les cheveux remonté en un chignon bas dont quelques mèches s'échappent. Ces yeux de la couleur des sous-bois en plein été semblent vouloir le tué avec seulement la volonté de leur propriétaire. Elle n'a pas l'air commode et a un vocabulaire très fleurie qui casse avec son physique avantageux. D'après le patron elle s'appelle Téha. Marco regarde la jeune fille essayé de se calmé sans succès. Elle est étrange et dégage une puissance semblable à du Haki pensa-t-il. Mais qui est cette fille ? Il garda son habituelle nonchalance face à elle, après tout, il été encore le seule ici a avoir tout sa tête. Il ne voudrait surtout pas payé pour la énième fois les dommages collatéraux engendrer par les bagarres de ses frères adores si la bombe qu'été la jeune fille en face de lui explose. Elle fini par craqué et partit précipitamment du bar sans même adresser un regard à son patron ni a personne d autres.

J'ai envie de bousiller sa tête d ananas a ce pirate qui ne me regarde quasiment pas et semble se foutre de ma gueule assit décontracté sur sa chaise. C'est moi il vient de sourire ? Il me rend hors de moi, calme toi ma vielle ! Rah, et merde, je suis calme et vais commettre aucun crime. J'essaye de persuadé qui en disant cela ? Je vais le tué ! Au final non, je crois que j'ai fait suffisamment fait de connerie pour aujourd'hui. Ca attendra demain. Je me lève et quitte la taverne sans un regard pour personne. J'entends dans la rue les discussions reprendre dans le bar après mon départ.

J'émerge difficilement de mon sommeil. Un bruit de fond me tire de mon état comateux. Qui ose me réveiller avant dix heures ? Je passe un regard vide sur les murs de la petit chambre, je suis où déjà ? Ha oui je m'en souviens. J'ai louée une petite chambre dans une auberge pour la duré de mon séjour ici, séjour a duré indéterminé. Je sors du lit et entre dans la salle de bain. J'en ressors fraiche et dispo après quelques minutes et attaque mon petit déjeuner. Aujourd'hui je n irai pas travailler, et merde au gens si je perd mon boulot. Mais il est pas envisageable que j aille au bar avec le risque plus qu'évident de revoir l ananas et tout sa clique de pirates. J'entends venant de dehors les éclats de voies perçu pendant mon sommeil. Les clameurs de rue sont bruyant dans se village, et en plus il m'on réveiller. J'ouvre la fenêtre et passe la tête dehors. Je distingue en haut de la rue un petit regroupement de personnes. Des artistes de rue ? Chouette, je me demande quel genre de spectacle ils font. Ils ont même des armes… Ils sont des armes !

Montre-toi sale pute ! Je sais que tu es là salope ! Hurle le gorille qui semble être le chef du groupe.

Cette voie me dit quelque chose marmonnai-je dans ma barbe inexistante.

Je vais te faire payer pour l'humiliation que tu ma fait subir ! continu le gorille. Si tu ne te montre pas je vais raser Mokaji et y mettre le feu pour te faire sortir de ton trou pétase !

J'attrape mon équipement de tout les jours (mes bébés pour les intimes) et sort en trombe de l auberge. Une fois dans la rue, je me dirige droit sur les artistes. Je suis impatiente de voir leur spectacle, c est si dur de se divertir avec tous les conflits qui éclatent un peu partout. Le géant est dans une colère noir et continu à hurler tout son saoul.

Dit, si vous pouvez hurler moins fort se serai sympa pour les gens qui dorment encore. Les abordais-je avec le sourire.

Ha te voilà, je te tien enfin petit connasse ! Me hurle dessus la bête

Heu… On se connait ? Vous n'êtes pas une troupe d'artiste de passage dans la ville ?

UN gros silence se fait dans la troupe des artistes de rue. J'ai dit une connerie ?

T'es conne ou tu le fais exprès ? me demande le singe hurleur.

Je t'interdis de m'insulter le macaque!

Je suis le chef des brigands du village voisin, on me surnomme Le-Bo. Me répondit-il en bombant le torse. L ego masculin n as t il donc pas de limite ?

Le-Bo, Le-Bo, Le-Bo, Le-Bo, … non je ne vois pas qui tu es. T'as dit que tu venais d'où ?

Du village voisin, Byosagu. Crie le leader, les yeux révulsé de rage.

… Je m'en souviens. T'es Pas-Bo. Je t'avais pas foutu une raclé ? T'es revenus en redemander ?

J'aurais du me la bouclé. Pourquoi à chaque fois que je l'ouvre j'ai des emmerdes, telle est la question. Là, je suis cerné par des brigands pas vraiment content et armés jusqu'aux dents. Rime ! Dans des situations comme celle là, une personne normale devrait être au minimum inquiète, moi je trouve le moyen de penser des débilités. Au final, le rouquin à raison, je suis irrécupérable. Dans un mouvement commun ils se jettent tous sur moi. Et en accord seulement avec eux même veulent me découper de part en part.

Tous en cœur ! Plaisantais-je. Je commence une esquive et balance un coup de pied dans la tête du premier venu.

Commence alors un combat au corps à corps pour moi et les bandits armés de sabre. J'adore la baston, sa décompresse et sa détend ! Sourire aux lèvres, je donne une leçon de combat aux hommes devant moi. Ce sont des mauviettes qui ne savent pas se battre... Dommage, je ne vais même pas sortir mes lames pour eux, je les utiliser contre de meilleurs adversaires. Je cherche Pas-Bo et le repère à l'écart. Il observe ces hommes se faire massacré par une fille. Il écume de rage. Franchement, je l'aime pas. Ces cheveux noir gras, ça barbe broussailleuse et ces yeux enfoncé dans leurs orbites, ça bouche tordu par la haine le rende encore plus laid que casimodo. J'ai fini de rafistolé ces hommes à ma façon, il faudrait peut-être les emmenés voir un médecin ? Non, c'est inutile. Ne donnons pas plus de travail au service médical de l'île.

Viens te battre froussard ! Tu a peur de te prendre un raclé par une femme ? A non je me trompe, c'est toi la femme. Femmelette, t'es une femmelette Pas-Bo !

Je t'ai déjà dit de ne pas m'appelé comme ça salope !

Je sais, mais j'ai oublié. Dis-je avec un grand sourire.

Je vais te tué !

J'ai une impression de déjà vue. Tu ne me là pas dit hier ? Pourtant je suis vivante… Je crois que ma dernière réflexion vient de brisé son immobilité. Je pense qu'il faudrait que j'apprenne à me taire pour mon propre bien. Casimodo version revue et corrigé s'arme de son sabre et s'élance droit sur moi comme un taureau enragé.

Marco s'était levé tôt comme à son habitude et buvait tranquillement son café quand il vit ces frères descendre des chambres. Comme à chaque fois qu'ils venaient à terre, ces nakama avaient pour la plus parts une sacrée gueule de bois. Marco sourire légèrement, amusé par les têtes de ces frères en mauvaises états. Des bruits retentir dans la rue attirant l'attention de l'équipage du Phénix ou finissant de réveiller les derniers encore dans les rouages du sommeil mélangé a l alcool.

Fouillé moi toutes les maisons les gars si il le faut, mais je veux mettre la main sur elle.

Marco, inquiet et toujours au prêt a agir cru d'abord à une attaque de la marine, mais se rendit tout de suite compte en scrutent la rue par la fenêtre qu'ils s'agissaient de voyous des bas fond. Les hommes, une trentaine environ étaient armée pour tout un régiment et leur chef ressemblait à un homme des cavernes. Mais que se passe-t-il et qui cherche-t-il, pensa à voie haute notre phénix. Les pirates de Barbe Blanche ayant pris connaissance des évènements en même temps que leur capitaine ne surent pas quoi à répondre a cette question.

Montre-toi sale pute ! Je sais que tu es là salope ! Hurle le leader.

Marco et ces frères virent alors la jeune fille d'hier soir arriver dans rue. Par rapport à la veille, elle s'était métamorphosée. A la place de la courte jupe noire elle portait un pantalon de cuir souple prêt du corps. Sa chemise était remplacée par un corset et ces cheveux maintenus dans une natte séré. De hautes bottes montant jusqu'aux genoux ornaient ces pieds. Elle portait à gauche de ça ceinture un poignard au garde noir où des serpents avec des yeux rubis s'enlaçaient et au fourreau plus sombre que la nuit. Fixé à sa cuise droite et son avant bras gauche se trouvaient deux poignards jumeaux à la lame plus courte et au manche de cuir. A son attirail s'ajoutait des couteaux à lancé pendus autour de sa taille et le long de son autre cuisse. Sa démarche droit et son air fier impose le respect. La fluidité avec laquelle elle se déplace montre un corps rompu au combat. Cette fille est dangereuse pensa Marco et totalement transformé. Je n'avais rien remarqué hier, tu cache bien son jeu Téha... Cette île est plus intéressante qu'il n'y parait au premier abord.

Je crois que nous allons restés un peu plus long temps que prévu les gars.

La première flotte de Barbe Blanche assistât à la discussion animé qui se déroulait dehors avec intérêt. La jeune femme combattait au corps à corps en souriant et ne laissait aucune chance à ces adversaires en surnombre. Une fois tous à terre, elle insulta publiquement le chef des bandits qui s'était mis l'écart dès le début de la bataille. Au moment où Le-Bo fonçait sur Téha, des acclamations retentir.

Ici la Marine, nous savons que des hommes de Barbe Blanche dont Marco dit le Phénix se trouvent sur cette île. Pirates, rendez-vous !

Cet orbe stoppa tout le monde. Le buffle qui fonçait sur moi s'arrêta dans son élan et en perdit l'équilibre, s'écrasant comme une merde à mes pieds. Je rigole, morte de rire, mes côtes me fond mal et j'en pleure. J'ai jamais vue quelqu'un tombé ainsi ! Seule dans mon délire mon attention est attirée par un mouvement suspect à ma gauche. Je porte par réflexe ma main à mon poignard. Je vois les pirates d'hier courir à travers la rue et se dirigés vers le port. La Marine leur bloque le passage et d'autres soldats arrivent derrière eux. Ils sont pris en tenaille dans la grande rue.

Mais toute action entraine des conséquences, Le-Bos dans sa chute avait entrainer une corde retenant des tonneaux contre une maison. Je n ai rien fais pour empêcher les tonneaux stockés de fonce droit contre les Marines, une réaction en chaine suivie le chemin des tonneaux. Comme des quilles, les Marines derrières les pirates s écroulent, éjecté du milieu de la rue. Pas bien solides comme soldats, j ai déjà vue plus résistant. Les pirates s'engouffrent dans la masse humaine de soldats devant eux et se dirigent vers leur navire, a renfort de coup sur les représentants de la justice absolue. Mon ananas se retourne vers moi et me scrute. Je ne me soucis pas de lui, je me soucis jamais de personne. Les soldats de la Marines me regardent, je les regarde, nous nous regardons… coupant cet échange, l'un d'eux cri :

Elle est avec les pirates, arrêtez là pour coopération avec l'ennemie. Attraper la !

Voilà une des raison qui fait que je n aime pas la Marines… Mais il recrute que des handicapés du bulbe ?! Non, je ne suis pas avec les pirates et puis quoi encore ! Ces cretins qui ne me laissent pas en placer une et faire part de mon indignation commencent à se rassembler autour de moi. Pourquoi tout le monde en a après moi en se moment, sa devient lassant. Je vais devoirs mettre ma fierté de coté, entre deux serments, mon choix est fait. Pardon papa…

Et là, je prends la fuite… Je sais, c'est nul mais j'ais promis, et une promesse c est sacré! Je cour poursuivit par des soldats. Je trouve que trop de gens en veule à ma vie depuis hier, entre Pas-Bo et la Marines je suis servie !

Je cour depuis dix minute et je suis passée devant tout les boutiques de Mokaji, j'ai faillit me prendre une balle voir même plus et j'ai salit mon poignard avec le sang de ces vermines… Vous savait se qu'il me manque, une autre entité en voulant à ma vie. Et avec le karma de merde que j'ai pour l instant, d'autres problèmes vont me tombée dessus. Je le sens. Une ombre noir me survole alors que les Marines me rattrapent. Je saute un obstacle sur mon parcours, et … reste en l'air ?! Haaaa, que se passe-t-il ? Je vole ! Je regarde mes bras et ais peur d'y voir des plumes ou bien même pire, des ailes de chauve-souris. Seul deux pattes bleue pourvue de serres dorées me tenant par les avant bras marque un changement sur moi. Je lève la tête et constate la présence d'un gigantesque oiseau de flamme bleue et or. Un poids sur ma jambe me fait sursauter, je remis à plus tard les questions sur le poulet rôti géant qui me sert de moyen de transport et fixe le Marine collé à ma botte. J'essaye de le faire lâché mais il est tenace.

Mais tu vas tomber, oui ? Je lui écrase sauvagement la main et il lâche enfin prise. Je le vois tombé sur une personne dans la rue. Personne qui me dit quelque chose. Se serait pas Pas-Bo par hasard ? Je crois que si…

Point positif, je me suis vengée des Maine et de Pas-Bo avec cette chute. Constatais-je. Points négatifs, je suis kidnappé par un poulet, auquel je ne connais pas les intentions à mon égard. C'est prouvé, j'ai une vie de merde... A qui la faute ? Monde ingrat, je te hais !

*Couleur d'origine

Alors ? *grand yeux de chiot tout mignon* un review et qui sais vous aurais peut être le 2 plus vite…

Non, sa fait juste toujours plaisir un review ! Je suis ouvert a tout commentaire, dans la limite du raisonnable.