Coucou ! Me voilà dans le fandom, que j'aime beaucoup maintenant ! 8D

Voilà un Aokuro ! Alooooors, je n'ai pas grand chose à dire en fait ._. Mis à part que c'est un couple que j'apprécie particulièrement, non, en fait je l'aime autant que les autres couples, donc ouais ça ne sert à rien ce que je vous raconte XD

Dans cet OS il y a des phrases en italiques, disons que c'est la conscience d'Aomine, vous savez le petit diablotin sur vos épaules, comme dans les animés ? *rires* Enfin vous comprendrez en lisant... J'espère juste que ce n'est pas trop bizarre...

C'est tout mou comme de la guimauve, donc vive le fluff, noilà. :)

Comme je n'avais pas d'idée de titre je me suis pas foulée (désolé).

Trève de blablatage, et bonne lecture ! ;D

(je m'excuse pour les fautes que j'ai pu laisser !)

EDIT : En fait, cet OS devait être le premier d'un recueil, cependant, après avoir réfléchit j'ai décidé de faire de lui un OS à part entière ; non pas un texte constituant un recueil.

Je pense que c'est mieux ainsi, et je posterais les quelques OS que je pourrais écrire de manière totalement indépendante. J'ai laissé tomber l'idée du recueil, donc.


Disclamair : Rien ne m'appartient (heureusement d'ailleurs, sinon le manga serait parti en couilles depuis un moment déjà XD)

Rating : K+ parce que yaoi 8D


Soleil

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Il faisait beau en ce début de printemps les bourgeons commençaient à éclorent, bientôt les cerisiers seraient en fleurs. Les pétales roses dansant comme pour annoncer le renouveau. Le soleil quand à lui, pointait timidement le bout de son nez depuis le fin de de l'hiver.

Au collège de Teiko, les membres de l'équipe de basket avaient aujourd'hui décidé de s'entraîner dehors – on ne discute pas les ordres de Momoi Satsuki. Enfin de tout façon c'était pas comme si c'était désagréable au contraire Kuroko trouvait les rayons du soleil réconfortants.

Il tourna le visage vers le ciel et ferma les yeux. Il resta ainsi quelques secondes ; il avait l'impression de perdre pied, de se laisser entraîner dans une douce rêverie. Ses cheveux étaient doucement chatouillés par le vent qui s'infiltrait en lui – comme pour balayer ses doutes. Le bleuté ouvrit les yeux à nouveau, quand le chaleur du soleil ne lui caressait plus le visage.

Il vit au dessus de lui son compagnon à la peu basanée, le regardant avec un air énigmatique pendu sur le visage ; pourquoi il avait coupé le moment de chaleur de Kuroko ?

« Oh Testu, qu'ce que tu fous ? »

Et c'était juste pour ça qu'il le dérangeait ? Non mais, il prenait juste le soleil – il lui avait tellement manqué, pourquoi ne pas en profiter un peu ?

« Le soleil est doux Aomine-kun, tu devrais en profiter toi aussi. »

Oui, Aomine aussi devrait en profiter aussi, ça lui ferait du bien après tout, qui n'aime pas le soleil ? Kuroko fit un signe de main à sa lumière lui intimant de se décaler un peu, histoire de ne plus avoir l'ombre sur lui.

« C'est chiant »

Sur ces paroles il se tourna, et il pris le ballon des mains de Kuroko. Tiens, il avait encore le ballon en sa possession ? Le petit bleuté rejeta sa tête en arrière, ses lèvres s'étirèrent quand il sentit de nouveau le douceur du soleil contre sa peau. Il soupira d'aise.

« Kurokocchi ! S'exclama son camarade blond, tu es plein milieu de terrain ! Attention ! »

Et voilà, Kuroko venait de se prendre un ballon dans la tête.

« Ça fait mal, Kise-kun ! »

Il frotta sa tête douloureuse, et se retourna vers ses camarades.

« Tu devrais te concentrer sur l'entraînement, le sermonna Akashi, l'auscultant du regard »

Mirodima regardait ses ongles, Kise faisait voler les mèches lui voilant le front, Murasakibara mangeait une énième sucrerie et Aomine ne semblait pas le moins du monde être intéressé par l'entraînement, et c'était lui qu'on grondait ?

Il ne répondit rien à son capitaine par peur de représailles, mais il n'en pensait pas moins : vivement la fin de l'entraînement. Il pourrait prendre le soleil à sa guise sans être interrompu. Allez encore quelques minutes de concentration et il serait tranquille. Momoi siffla dans le sifflet aujourd'hui le son aiguë lui paraissait plus désagréable qu'en temps normal.

On lui fit la passe, et il la renvoya à sa lumière qui alla mettre un joli panier. Et les minutes s'enchaînèrent ainsi, toujours les mêmes passes, toujours les mêmes mots, toujours la même chose. Les entraînements c'était un peu comme une chanson qu'on passe en boucle et au bout d'un moment on fini par en être lassé. Pourtant, malgré ça, Kuroko prenait toujours le basket au sérieux, très à cœur aussi – surtout en fait. Il aimait le basket, il ne fallait pas le nier.

Il se tourna soudainement pour rattraper le ballon, la lumière du soleil l'aveugla momentanément. Il plaça sa main de sorte à faire de l'ombre, quand une douleur lui vrilla le cerveau.

Il se sentit partir.

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Quand il ouvrit les yeux, il avait l'impression de flotter sur un nuage. Il regarda autour de lui, il était à l'infirmerie, à en juger par la petite pièce.

Il posa sa main sur son front, il n'avait pas de fièvre, pourtant il avait mal à la tête.

« Hé Tetsu. »

Oh il y avait Aomine ? Tiens, il ne l'avait pas remarqué.

« Aomine-kun, que s'est-il passé ? Demanda le bleu, toujours à moitié dans les vapes.

- Tu t'es évanoui, et on sait pas pourquoi... »

Il observa sa lumière quelques secondes, et il se redressa sur son lit. Il regarda par la petite fenêtre il faisait toujours jour, tant mieux. Il n'avait pas renoncé à ses rayons de soleil.

« Je pense que c'est la lumière du soleil que m'a aveuglé, et après je me suis évanoui. Annonça Kuroko son air neutre comme à son habitude.

- S'pas possible, si ? »

Il ne lui répondit pas, parce qu'il ne savait même pas si ce qu'il disait était vrai – ouais, de toute évidence, il avait encore la tête dans le pâté. Il souleva la couette et posa ses pieds au sol. Mh, intéressant. Il n'avait plus qu'une seule chaussette. Il lança lors un regard interrogateur à Aomine.

« Ta chaussette c'est barrée quand j't'ai enlevé les chaussures. »

Kuroko rigola doucement – c'était bien Aomine ça, aucune douceur, vraiment. Qu'importe, il se leva, et se dirigea vers la porte fenêtre. Dehors, il faisait encore beau, et de toute évidence le soleil n'était pas près de se coucher. Combien de temps était-il resté inconscient ? Pas longtemps sans doute.

La porte fenêtre émit un grincement peu engageant quand le joueur fantôme de Teiko l'ouvrit.

« Oï Tetsu, tu fous quoi ?

- Bah je vais dehors. »

Non, mais il n'était pas aveugle quand même ; le basané soupira. Kuroko devait se reposer, sinon il risquerait de tomber dans les pommes à nouveau. C'était chiant, et Aomine n'avait aucunement envie de devoir le porter à nouveau pour l'allonger.

Il le rejoignit sur le balcon – le petit bleu avait les yeux fermés, le visage tourné vers le soleil. Alors c'était ça, il n'avait pas renoncé à l'idée du bain de soleil. Aomine ne put s'empêcher d'étirer un sourire.

Kuroko capta son regard, et en invitation silencieuse pour l'inviter à le rejoindre, il se laissa glisser le long du mur, et il posa ses fesses sur le sol chaud. Les dalles et le mur avaient vachement chauffés, c'était agréable cette chaleur qui traversait les habits de Kuroko – qui était toujours en tenu de sport d'ailleurs – et il s'en imprégna. Son équipier le regarda quelques secondes, et puis, il se laissa glisser à ses cotés. Aomine tira sur le col de son t-shirt et jeta sa tête en arrière – il se mettait à l'aise en somme.

Tetsuya sourit, un joli sourire qu'il adressa à son coéquipier, qui du coin de l'œil de l'avait capté. Non mais vraiment, qu'est-ce que Kuroko avait à lui sourire ainsi ?

« Merci Aomine-kun. »

Alors comme ça il le remerciait d'avoir pris soin de lui ? Enfin non, il n'avait pas pris soin de lui il l'avait juste ramené à l'infirmerie, et veillé sur lui jusqu'à son réveil. Putain, il avait été vraiment gentil sur ce coup là. En fait, il doutait même que les autres membres de la génération des miracles en auraient fait autant. Pas Murasakiba, ni Midorima. Kise peut-être ouais. Sans doute, parce qu'il n'avait cessé de lui répété « Aominecchi, prends soin de Kurokocchi, et puis, il est mignon quand il dort » lui avait-il glissé en un clin d'oeil. Et Akashi avait acquiescé - une vrai mère poule celui-là.

« De rien, répondit-il finalement, je me serais fais tuer par les autres d't'façon.»

Kuroko glissa encore plus le long du mur, et il appuya sa tête sur la cuisse d'Aomine. Elle était confortable en plus – juste ferme à point. C'était un beau morceau de viande que voilà, et le petit bleu l'aurait bien tâté, ou mordu, au choix. Il se retint, son coéquipier était totalement pétrifié. Ou pas. Il sentait les muscles rouler sous sa tête, Aomine essayait probablement de le faire se relever.

Le joueur fantôme bascula sur le dos, et il croisa les yeux de sa lumière.

« Tetsu, 'tain tu fous quoi ? »

Le dit « Tetsu » sourait.

« La cuisse d'Aomine-kun est confortable »

Bon sang, Kuroko était trop mignon. Mais vraiment, et Aomine ce demandait ce qu'il lui prenait de penser un truc pareil. Tu penses ça parce que c'est la vérité. Il avait autant envie de lui dire de se lever que de le laisser ainsi.

Le basané regarda son compagnon, et il avait vu sur lui les yeux de Kuroko le dévisageait. Il le regardait, et comme si c'était possible Aomine avait l'impression de flancher, de se laisser emporter dans la douceur de ces yeux céruléens. Il y avait aussi ses cheveux azurés qui flottait doucement au rythme de vent léger. Si Kuroko avait été une fille, Aomine lui aurait déjà sauté depuis longtemps. Pourquoi tu ne le fais pas ?

Tetsuya leva sa main, et il la dirigea vers le ciel – le ciel était de la même couleur que ces yeux. Et il s'amusa à ouvrir et à replier ses doigts.

« T'agis bizarrement Testu.

- Tu trouves ? »

Aomine lui répondit en hochant la tête. Il observa son ombre quelques minutes alors que Kuroko avait la main ouverte sur le ciel, le plus grand fit glisser sa main sur la sienne. A ce geste le rythme cardiaque du jour fantôme de Teiko s'emballa, et il adressa un sourire à son ami.

« Aomine-Kun est mignon ».

Le basané referma ses doigt contre la main de Kuroko, entre les siens. La teinte de peau des deux garçons formait un agréable contraste.

« C'est moi qui devrais dire ça, annonça Aomine, alors que ses doigts raffermirent leur prise sur la mais du petit bleuté »

Kuroko avait les yeux de la même couleur que l'océan, un océan sans vagues, incroyablement calme et doux – la lumière du garçon se noyait dans ses yeux.

Vas-y, caresse lui la joue qui te fais tant envie.

C'est vrai, la peau de Kuroko était d'une clarté époustouflante, et elle paraissait si douce... Aomine – sans la lâcher la main de son ombre – ramena le bras de Kuroko contre son corps, et il posa les deux mains sur le ventre du plus petit.

Puis, il lui caressa sa joue, à Kuroko. Il devait devait être malade pour faire un truc pareil et, pire, il le trouvait mignon. Ouais, il avait carrément craqué. Toujours était-il que la peau de son coéquipier était d'une douceur sans pareil, et que son cœur s'affolait – celui de Kuroko aussi, en fait.

Pendant quelques instants, ils partagèrent un regard complice. Aomine disait toujours qu'ils ne s'entendaient seulement quand il s'agissait de basket, pourtant, ils était sur la même longueur d'onde. Sa main contre la joue de Kuroko, ses doigt enlacés avec les siens, et ce regard perçant. Tous ça le rendait fou – pire, il aimait ça.

Pourquoi tu ne l'embrasse pas ?

Tsss, et voilà qu'il avait envie de l'embrasser maintenant. Enfin, il fallait dire que les lèvres légèrement rosées de Kuroko était attirantes ; elles ressemblaient à une gourmandise, attendant d'être mangé.

« Aomine-kun... »

Et puis merde hein. « Si Testu me demande ce que je fous, je mettrais ça sur le compte la fièvre, sauf qu'il avait pas de fièvre ! Alors si il n'en avait pas, je pourrais pas lui dire qu'il me l'a refiler... ça me gonfle... » Pensa Aomine, au bord de la crise. Des tas de sentiments s'emmêlaient dans son esprit.

Kuroko le regardait toujours, et le soleil tapait fortement sur les deux garçons maintenant – cette chaleur formait un agréable cocon de tendresse. Actuellement l'ambiance ressemblait à celle des films romantique prout-prout que Momoi avait l'habitude de regarder. Sauf que là, se tenait deux adolescents, captiver l'un par l'autre.

Les rouages étaient enclenchés, et Aomine se pencha vers son ombre, doucement – douceur qui ne lui ressemblait pas d'ailleurs.

« Aomi- »

Hop, il l'avait embrassé. L'échange ne dura que quelques secondes, juste le temps de savourer ces lèvres si délicieuses.

Kuroko ne réagissait pas, pas vraiment. Son cœur parlait pour lui, il battait vraiment fort dans sa poitrine, presque plus que dans un quart temps décisif d'un match.

Aomine se redressa, et il sourit. Un sourire chaleureux, et Kuroko ne pourrait dire les émotions qu'exprimait ses yeux – c'était un trop pleins d'émotion, un dédale infernal de pensées contradictoires aussi.

« Testu.

Aomine-kun.

- T'peux m'appeler Daiki, toi. »

Juste lui ; parce que visiblement Kuroko avait une place spéciale au fond de son cœur. Laquelle, il ne savait pas encore, toutes ces émotions, ses sentiments, tout ça, il n'y connaissait rien sans doute le temps saurait le lui dire. En attendant il y avait, appuyé sur sa cuisse, un Kuroko tout souriant.

Tetsuya regardait le ciel, là-haut les oiseaux dansaient.

« Daiki » Souffla t-il.


Voilààààà, n'hésitez à laisser vos impressions !

Bye bye !