Disclaimers : Shin Kidousenki Gundam Wing, personnages et produits dérivés appartiennent à Sunrise, Bandai, Sotsu Agency et aux parties associées.

Genre : One-shot, romantique au sens du XVIII ème siècle (pas de kawaii), yaoi et je tais le reste. Si ça pause un problème, passez à autres choses, tout simplement.

Rating : PG 13

Couple : 1+2+1/2+1+2

Résumé: Non, pas cette fois: ça gâcherait tout. Si vous avez vu les Choristes, vous reconnaîtrez le solo de Morange (In memoriam, superbe).

Pour qui en particulier ? Pour toi ma Zorky na moi que j'aime, en te souhaitant un très joyeux anniversaire tout plein d'amour.

Bonne journée de la Femme à toute s! D'ailleurs c'est notre fête tous les jours, sinon c'est la fête des hommes toute l'année? Et puis quoi encore XD. Et merci pour vos reviews, je vous répondrais qd je pourrais.

Clin d'oeil à mon tit poulpe: tu m'as envoyé un mail SANS pièces jointes XDDD et finalement je ne lui ai pas donné «les Roses Rouges» - je n'aurais pas pu la terminer dans les temps. J'ai préféré finir celle que j'ai commencé il y a bien longtemps en pensant à elle… il y a des mois de ça XD. Reste moi est un gros, gros clin d'œil à toi et au titre que j'ai trouvé. Parce que j'aime te faire des clins d'oeils.


La Berceuse du diable

¤

Pov de? Le 25 décembre AC 204

¤

Kyrie eleison
Christe eleison
Requiem aeternam
Dona eis domine…

¤

J'arpente les couloirs

Je marche à l'ombre de ta lumière

Tu es là, je ne peux le nier.

Alors pourquoi personne ne te voit ?

Non, la question est mal formulée.

Pourquoi personne ne te regarde ?

¤

Je marche en pleine lumière…

Un beau matin d'hiver…

Je marche, presque à en avoir mal aux jambes,

mal aux muscles.

Aux os.

Ozone

Tu es mon air

et tu m'étouffes.

Je meurs

et j'ai mal

Pourquoi personne ne te voit ?

¤

Je parle

et tu es face à moi.

Tu es là.

Tu m'écoutes, enfin je crois.

Tu me réponds avec tes yeux.

Tu me regardes sans me voir, comme si tu m'ignorais.

Mais tu sais que je suis là,

tu le sais.

Je rêve peut-être. Je rêve éveillé.

Je rêve en plein jour, un beau matin d'hiver.

Dans ce jardin de pierres…

Tu es là et je t'observe.

Ton corps est ta seule parure.

Ta peau cachemire cache ton cœur.

Ton corps est ta seule armure

car quand mes orbes te regardent

c'est toi, que je vois.

Les synthétiques s'effacent.

Tu es nu.

Tu es comme au premier jour avec quelques années de plus.

Quel âge as-tu, vingt-quatre ans? Tu ne le sais pas toi-même.

Moi non plus d'ailleurs…

D'ailleurs…

Le premier jour je n'étais pas là.

Je suis là aujourd'hui.

Je le suis depuis des années.

Tu es là et je pose mes yeux dans les tiens.

L'expression n'est pas invariable

ceux qui le pensent ne t'ont jamais vraiment regardé

Non…

¤

Kyrie eleison

Christe eleison

¤

On se raconte des fables.

On dit que, sous prétexte que tu sembles différent,

tu ne peux ressentir.

Quelqu'un qui se moque

J'entends quelqu'un qui se moque

Se moque complètement des qu'en dira-t-on,

des on-dit.

Qui se moque sans bruit,

qui se moque en restant lui,

en ne changeant pas.

Inaltérable

en façade,

peut-être en pensée…

Inaccessible…

Tu l'es pour moi.

Insensible…

Tu ne l'es pas

pour qui te connaît.

Pour qui sait.

Ne change pas.

Reste toi.

¤

Le nez au sol, un beau matin d'hiver…

Tu ne sembles pas perdu,

tu réfléchis.

Je le sais, je le vois.

Je te vois.

Certains donneraient leur vie pour connaître tes songes

Donner sa vie pour un inconnu…

Chercher à pénétrer un espace vital, un espace privé.

Envahir les pensées.

Le culot que l'on peut avoir, quand on prétend aimer

ou quand on aime vraiment…

Je suis culotté.

Je suis un homme.

Et j'aime.

Pourquoi chercher à savoir ce que tu penses,

à te sonder ?

¤

Tu es toi, à laisser plus qu'à prendre,

bien des gens t'ont pris

et y ont laissé leurs espoirs

de te comprendre.

Bien des gens y ont laissé des plumes,

mon ange…

Tu es unique.

Tu es ma douleur.

Eternelle jouissance,

eternel cutter sur ma chair à vif à force de te voir courir

à ta propre perte.

Courir vers ta mort,

vers

Te détruire au profit des autres.

Te détruire, de missions en missions.

D'une blessure à une autre,

d'une fracture à… qui sait ce que ce sera la prochaine fois ?

Pas moi.

Tu déchires ton corps et tu fractures mon cœur un peu plus.

Te détruire… casse-cou, casse-cou.

De cascades en cascades, plus dure sera ta chute,

plus intolérable sera la mienne.

Je t'aime.

Tu es ma vie même si tu n'en fais pas partie.

Tu es dans mon cœur à défaut de mon corps.

Il faut dire que je te connais mieux que quiconque,

mais ce n'est pas venu tout de suite.

¤

C'est venu avec les années, avec les missions, la camaraderie d'appoint.

Appoint qui s'est mué en fréquents rendez-vous.

Le destin faisait bien les choses. Tu es devenu Preventer et moi aussi.

Nous étions ensemble sans l'être, tout en l'étant un peu.

Nous avons appris à nous connaître mieux, de plus en plus.

Tu n'as jamais changé et moi non plus.

Nous nous sommes compris.

Tu n'étais plus le météore se crashant

sur le fil

de mon existence.

Tu es le funambule.

Tu étais ma lumière.

Tu l'es encore.

¤

Preventers depuis cinq ans.

Préviens-moi si tu meures… que je t'en empêche.

Partenaires particuliers mais privilégiés.

Bang, bang le bruit des balles

et des corps tombent.

Mission completed.

Big-bang

Tu es devenu

mon chaos organisé.

Tu es mon ordinaire.

et lux Perpetua luceat eis…

¤

Cinq années passées en un clin d'œil.

Chaque mission où nous sommes ensemble est un enfer pour moi.

I watch your back.

J'assure tes arrières, partenaire,

mais tu es bien trop souvent dans la ligne de mire.

Dans la ligne de tir.

Tu t'en sors in extremis

Je suis là et je veille

et toi aussi tu veilles.

Trop.

Tu devrais dormir, mon ange…

Dormir… mais pas ici et maintenant.

Surtout pas ici…


et lux Perpetua luceat eis…

¤

Personne ne comprend pourquoi tu es agent,

quand tu pourrais faire tant de choses

qui ne maculent pas tes mains de sang

et de boue.

Toujours debout,

jamais courbé.

La tête ni haute, ni basse,

simplement toi.

Tu fais ce qu'il y a à faire

sans te poser de questions.

Tu ne sais pas pourquoi tu fais les choses,

tu les fais.

C'est automatique.

Comme ton arme.

Tu fonctionnes à l'instinct.

Il n'y a pas de raisons existentielles à tous nos actes.

Derrière chaque grand homme il y a une femme magnifique.

Tu n'es pas bien grand même si tu as vieilli.

La femme-aurore est là

mais elle n'est pas la raison,

même si elle est un point de départ.

¤

On veut te mettre dans un moule,

mais l'humanité n'est pas un exemple.

Nous faisons du mal à nos frères,

sciemment,

pour des raisons tellement importantes

qu'elles en deviennent futiles.

On oublie les raisons

quand on enterre nos morts.

Quand ils ont une tombe.

Oui, tu sembles différent,

mais tu ne l'es pas pour les choses sensées être essentielles.

Je ne suis qu'un homme…

Tu as un cœur.

Ta conscience pleure.

Je le sais

Oraison funèbre un beau matin d'hiver…

Funeste raison.

La Mort n'a pas d'excuse.

Elle est.

Fumisterie ?

Pourquoi personne ne te voit

comme je te vois ?

Parce que je suis moi.

Parce que je t'aime…

¤¤¤

Que sommes-nous ?

J'en viens à me demander ce que je suis,

comme si je n'avais pas une existence propre.

Pourtant je suis.

Mais toi…

Toi…

Toi tu es… Toi.

Tellement ordinaire que tu en deviens extraordinaire.

Il y a bien longtemps, la dévotion et la ferveur semblaient éteintes

et tu es arrivé, adolescent au regard froid et aux mèches indisciplinées.

La Révolution porte ton nom, un nom qui n'est pas le tien, comme le mien.

Mais le mien, je l'ai choisi.

Au moins, j'ai choisi ma croix.

Pour toi je ne cesserais jamais de marcher.

Tu n'étais pas le seul bien sûr, nous étions cinq en tout.

Mais c'est toi que l'on remarquait le plus.

Toi qui avais été formaté pour être plus qu'une machine,

moins qu'un humain.

Toi qui est le plus humain de nous tous…

Pourquoi personne ne le voit ?

Ça crève les yeux.

¤

Et toi…

Je ne voyais que toi…

¤

Dès que je t'ai connu, je n'ai vu que toi.

Et rien que toi.

Sans artifices, sans armes,

parfois même sans vêtements.

Je ne vois que toi.

Seulement toi.

Nu.

Mon partenaire, mon ami, plus tard, le tien.

Mon amour en pensée.

Mon amour inavoué, mais mon amour quand même.

Mon éternel amoureux.

Et tu m'as vu aussi

Dans tes yeux il y a du blanc.

Il y a des nuages

Et il y a de l'amour pour qui sait voir,

Le ciel se voile

pour qui peut voir

à qui il est destiné.

Peut-être moi… peut-être pas ?


J'arpente les couloirs.

Je marche à l'ombre de ta lumière.

Pourquoi personne ne te voit ?

La question est définitivement mal formulée.

Pourquoi personne ne

Me

Voit ?

A trop être près de toi,

j'oublie d'être moi-même.

Tu me consumes

Par-delà…

Je ne vois que par toi

même si je ne vis pas que pour toi…

¤

Les autres passent à côté de toi sans te regarder…

parce qu'ils n'osent pas,

jamais

parce qu'ils ont peur de ton regard soi-disant vide.

Ils ont peur du fantôme.

Ils ont peur du noir

Ils ont peur du néant.

Tu es leur précipice.

Ils ont peur de leur propre reflet.

Ils passent de vie à trépas devant toi.

Ils ont peur de se perdre…

L'humanité t'a créée.

L'humanité a peur de sa création.

¤

Mais moi…

Moi aussi…

¤

Je suis issu des Hommes.

Je suis le reflet de leurs angoisses.

Je suis comme toi

à quelques différences près,

différences qui s'effacent au gré du temps qui passe…

Mais qui s'est arrêté pour moi

depuis deux ans aujourd'hui.

Jour pour jour.

Un monde.

Pas étonnant qu'on ne me voit pas.

Mais on voit ma stèle même sans la regarder.

Requiem aeternam.

¤

Personne ne te regarde quand tu marches.

Mais moi, je n'en ai presque pas besoin :

j'entends toujours l'écho de ton corps frappant la terre,

sonnant le glas

de l'ennemi.

Marche funèbre.

Oraison déraisonne.

Chant de damnations trop humaines,

mélodie brisée à chaque avancée.

Tel un métronome.

Marche nuptiale, marche funèbre.

Marche droit.

Je deviens fou.

Mort pour le monde.

Mort-vivant dévoreur de silence.

Aspirateur de sons pour ses semblables.

Tu es le silence

et pourtant je n'entends que toi.

L'oreille n'est pas tendue,

j'écoute avec les yeux

et mes oreilles implosent

peu à peu.

A chacun de tes pas

sur le sol.

Où que tu sois.

Ou ici même.

Toujours le même pas.

Toujours la même chose.

Seul l'endroit change.

Le rythme reste intact.

Tap tap tap tap

tap tap tap tap

tap tap

tap

Je

suis

incapable

d'entendre

les

miens.

Tu t'es arrêté de marcher, aujourd'hui.

Tu es devant moi.


Requiem aeternam
Dona eis domine…

¤

Je marche, presque à en avoir mal aux jambes

Presque…

Mal aux muscles

Symbiose… avec toi, partenaire

Aux os

Osmose…

Ozone

Toi, qui te raréfies, comme une peau de chagrin

Tu es mon air

Je te respire en pensée, mon poison, mon éternelle souffrance

Et tu m'étouffes

Parce que tu as mal au point de te noyer, tu ne sais même pas que tu souffres

Je meurs

encore

Et j'ai mal

De toi, de te voir ainsi

Pourquoi personne ne te voit ?

¤

Je suis…

Mort en mission.

Mort pour le monde.

Vivant dans ta mémoire.

Vivant car tu me parles en pensée.

Vivant parce que tu fleuris ma tombe… aujourd'hui même.

Vivant parce que je suis dans ton cœur.

Vivant parce que tu portes ma croix.

In memoriam

Vivant parce que mon corps est mort pour sauver des vies.

Vivant parce que tu as refusé tout autre partenaire en dehors de moi.

Seul, avec ta croix toi qui ne crois en rien.

Vivant, en partie pour porter ma mémoire.

Et moi, mourrant d'envie de te toucher

et me haïssant pour cette douleur qui surgit en toi à chaque anniversaire, un peu plus.

Quand tes yeux te brûlent, je ressens la flamme.

Je suis l'Enfer…

Ils te brûlent toute la journée et aucune eau ne vient les apaiser.

Je suis le sel sur ta coupure à vif.

Je suis le sel qui te rend vivant mais mort.

Je suis celui que tu devrais maudire, mais peut-être que tu ne sais pas comment faire.

Ou peut-être le fais-tu en continuant à vivre ainsi.

Oui, tu me maudis à ta manière à force de souffrances.

A force de t'autodétruire.

Et je me sens aussi impuissant que ceux qui respirent le même air que toi,

qui peuvent te toucher mais qui ne t'émeuvent pas.

J'ai au moins l'excuse d'être mort.

¤

Mais je n'ai jamais été aussi proche de toi qu'en cet instant.

Qu'en cet anniversaire…

Ici et maintenant alors que je suis tout le temps présent.

Je suis…

Si près, mais si loin…

Le sel ravive la douleur des plaies ouvertes.

Et l'homme, si parfait, ne sait pourquoi il a mal quand il pense à moi.

L'homme si parfait ne comprend pas qu'il m'aime… et son innocence fait que je n'en l'aime que plus.

Et que j'ai encore plus mal.

Incurable.

Incurable est l'amour quand il est ainsi.

Incurable est la maladie que l'on ne sait pas avoir.

¤

La seule chose qui me sépare de toi, mon amour.

La plus importante:

Un univers.

Une dimension

Une fracture temporelle.

¤

et lux Perpetua luceat eis…

¤

Nous sommes sur la même planète.

En attendant, je veillerai sur toi… sur ta souffrance

Et je ne peux rien faire.

Je suis ton ombre…

Nous ne sommes plus du même monde.

Tu es devant ma tombe.

Les yeux sur la pierre.

J'assurerai tes arrières

Je ne suis que ton ombre .

Nous ne sommes plus du même monde,

Je t'attends dans l'autre.

¤¤¤

Chaque anniversaire…

Quand tu te rends au cimetière,

Un jour comme aujourd'hui

tu déposes un bouquet d'immortelles.

Quelques fleurs sur ma pierre tombale.

Et je fais un vœu.

Toujours le même.

Et tu sembles m'exaucer puisque tu es encore là.

Là-bas… aujourd'hui.

Dans le monde des vivants…

Je te demande.

Je te le souhaite

et je me le souhaite :

tant que tu es sur cette Terre, mon amour qui s'ignore…

Reste.

Dans cet enfer…

Reste.

Tu es en sécurité dans ce chaos.

Reste.

Tu es vivant. Tu souffres. Savoure chaque seconde.

Reste.

Rejoins-moi… seulement si tu le dois. Ne te précipite pas. Et je t'expliquerais que tu m'aimes.

Reste.

Je ne supporterais pas de te voir mourir de ta propre main.

Egoïste dans l'après vie je suis.

Je pourrais dire que je t'aime à mourir mais je suis déjà mort.

Je t'aime comme seuls peuvent aimer les immortels.

Je ne supporterais pas de voir mourir encore un être cher.

Je ne supporterais pas de te voir t'éteindre même si je ne peux t'étreindre.

Même si je ne peux apaiser ta peine.

Egoïste dans la mort, je suis…

Je ne supporterais pas de voir mourir celui que j'aime.

Pas par ma faute.

… Mais je suis la Mort.

¤

Requiem aeternam

¤

Je préfère souffrir de te savoir en vie,

souffrir milles morts… pour un immortel amour.

La Mort peut mourir d'une peine de cœur,

même si l'organe ne vit plus.

Le cœur au bord des lèvres je te vois accepter

missions sur missions.

Et tu te rapproches un peu chaque jour

et je saigne un peu plus

mon âme est à vif.

Ne change pas quand même.

Ne change pas, même si ça me fait mal.

Reste toi et survis, car tu es un survivant.

Tu as toujours réussi, parfois malgré toi.

On a décidé que tu serais celui

qui survivrait à tout ce mal.

Reste toi, c'est ce qui te sauve et ce qui est ta perte.

Et la mienne en même temps que mon salut.

J'ai mal de te savoir si loin mais c'est la distance qui te préserve.

La Mort est corrosive.

Je t'aime, mon poison, mon aimé.

Je t'attends, mon amour, tarde à venir.

Ne me rejoins pas

¤¤¤

Tu m'offres des immortelles, ce beau matin d'hiver…

Dans ce jardin de pierre…

Comme chaque année depuis deux ans.

Immortelles,

Et non des chrysanthèmes…

parce que je suis en toi…

Ad vitaem aeternam.

Pour toujours…

Et au moment où les pétales s'étiolent au gré du vent, je me prends à prier

pour que les années se ressemblent, malgré tout.

Exauce-moi encore.

Reste loin, mon amour, la Mort veille.

Reste moi.

Rest in Peace…

Please

¤

Requiem aeternam dona eis domine

Et lux perpetua luceat eis

Donnez leur, seigneur, le repos eternel

Et que votre lumière luise à jamais sur eux…

¤

En mémoire de Duo Maxwell

AC? 180 – 25 Décembre AC 202

R.I.P

¤

¤

Owari



Petit mot: j'offre à mes amis des fics à fin fatales mdrrr nan je ne suis pas sadique, j'ai sondé l'intéressée près d'un an avant, pour être bien sûre XD.

Pourquoi j'ai rien dit: le but du jeu est de savoir qui parle. Qui semble mort, qui semblENT morts XD, si quelqu'un est mort XDDD. Techniquement ce n'est pas une death puisque la mort ne survient pas, on ne tue personne ici.

Ça aurait gâché la surprise. Maintenant vous savez qui a parlé.

C'est la berceuse du diable.

Tiens, tiens?

Pourquoi j'ai choisi ce titre ? J'aimerai savoir ce que vous en pensez et je vous répondrais!

Je me demande si vous allez deviner.

J'espère que ça vous aura plu à vous aussi (Zorky apprécie son kdo, elle me l'a dit)

A plus !

Mithy ¤ de chez elle ¤

Ps : ne me tapez paaaaaaaaaaaaas je suis blessée XD.


PS: je vais essayer d'up mes suites cette semaine, mais ce ne sera pas gagné, je ferais de mon mieux!

PS 2: Paroles extraites de In Memoriam de la B.O des Choristes, lui-même emprunté aux cantiques cathos… età peu près traduction des paroles.

Kyrie eleison : Seigneur ayez pitié
Christe eleison : Christ, ayez pitié
Requiem aeternam dona eis domine : Donnez leur, seigneur, le repos éternel
Et lux perpetua luceat eis : Et que votre lumière luise à jamais sur eux.