Hello every body ! Voici ma toute première fanfiction sur cette super série qu'est Numb3rs alors s'il vous plait, soyez indulgents car je ne l'ai découverte que récemment. Il se peut donc que certains détails ne collent pas trop mais bon j'espère que cela vous plaira.

disclaimer : rien n'est a moi ... dommage XD

personnages : Colby, Don, Charlie, Megan, David et Alan

Surtout n'hésitez pas a me faire part de vos critiques car c'est toujours constructif et j'en ai besoin pour savoir ce sur quoi je dois m'améliorer.

Bonne lecture.


Dans la vie de Colby Granger, agent de terrain du FBI, ex-agent triple, il y avait, comme chez tout le monde, des choses agréables comme passer des heures avec son coéquipier durant les planques, le fait de rentrer chez soi le soir (même si cela devenait de plus en plus rare ), les longs monologues incompréhensibles de son ami Charlie Eppes, les blagues débiles ainsi qu'une infinité d'autre choses. Mais il y avait aussi les choses moins agréables et en l'occurrence, le coup de fil qu'il avait reçu il y a deux jours en faisait partit.

C'est ainsi qu'après avoir fini sa très très longue journée où lui et l'équipe avaient enfin fini par arrêter le petit groupe de braqueurs de banque qui sévissait dans la belle ville de Los Angeles, en partit grâce au calculs savants de Charlie et Amita, qu'il salua ses amis et partit avant qu'une autre affaire fasse apparition. Il était rentré directement chez lui, dans son petit appartement avec une magnifique vue sur l'océan pacifique qui s'étendait a perte de vue, avait échangé sa tenue d'agent du FBI pour une tenue moins conventionnelle, a savoir, un jean et un teeshirt blanc, avait ramasser les clefs de sa voiture avant de repartir, direction la banque Barker, a une dizaine de kilomètres de là.

L'agent Granger n'était pas vraiment connu pour sa patience et le fait de passer trois quart d'heures dans les embouteillages interminables pour aller dans un de ses endroits les plus détestés n'arrangeait pas vraiment la situation. Il attendait en tapant son volant au rythme de la musique qui rugissait au volume maximum dans les hauts parleurs lorsque son téléphone se mit a sonner. Le jeune agent soupira quand il vit l'identité de l'appelant s'inscrire sur l'écran et décida raisonnablement de ne pas décrocher, sachant pertinemment qu'il ne pourrait pas éviter le sujet très longtemps, il balança son téléphone sur la place passager, qui glissa et tomba sous le siège. Pourtant cinq minutes plus tard, sa sonnerie retentie a nouveau et cette fois ci il se décida enfin a décrocher.

- Allo ?

- Bonjour Monsieur Granger c'est Ray Whyter de Barker Bank, je souhaitais juste savoir si vous avez prévu de venir ?

- Euh oui, désolé je suis un peu en retard, vous savez ce que c'est aux heures de pointe…

- Bien, je vous attends alors. A tout de suite Monsieur Granger

Jamais Colby n'avait comprit le besoin qu'avez les banquiers de voir leurs clients minimum une fois par an, peut être était ce pour avoir la certitude qu'entre temps, ils n'étaient pas devenus inaptes a rembourser leurs dettes ou pour leurs proposer des nouvelles assurances, des nouveaux crédits, bref, les embrouiller pour mieux les arnaquer… les banques et les hôpitaux, les deux endroits que le jeune agent avait le plus en horreur, mais malheureusement pour lui, les séjours a l'hôpital se multipliaient en ce moment et apparemment, vu le temps que ce cher Whyter avait prit pour l'harceler de coup de fil, il devait forcement y avoir un petit problème, en plus de la visite annuelle.

Ce n'est que dix minutes plus tard que Colby put enfin garer sa voiture dans le parking. Trainant le pas, comme si avancer aussi vite qu'une mamie armée d'un déambulateur aurait pu retarder ce moment, il poussa l'immense porte en verre de l'entrée et se retrouva dans un hall grouillant de personnes. Il se sentait un peu perdu dans un tel amas de monde, de plus tous ces sens était en alerte, ce n'était pas parce qu'il était en civil qu'il ne devait pas faire attention et le temps qu'il avait passé en Afghanistan lui avait apprit a être prudent peu importe la situation. Apres quelques secondes passés a s'acclimater de cet environnement, il se dirigea vers un guichet et attendit avec agacement son tour.

- Bonjour, Colby Granger, j'ai rendez vous avec monsieur Whyter.

L'hôtesse d'accueil tapa sur son ordinateur quelques secondes, puis releva la tête vers Colby, le regardant avec étonnement.

- Heu vous savez que vous aviez rendez vous il y a deux heures ?

- Heu oui mais … euh … vous savez, les embouteillages…

Merde deux heures ! Il savait qu'il avait prit tout son temps, il s'était même arrêter pour boire un café mais il ne pensait vraiment pas être autant en retard.

La jeune femme prit son téléphone puis raccrocha peu de temps après.

- Monsieur Whyter vous attend, son bureau est à gauche du hall, vous ne pouvez pas le manquer, son nom est inscrit sur la porte. Au revoir.

Alors que Colby se frayait un chemin parmi la foule, un grand bruit retentit, faisant sursauter tout le monde, les grilles qui bloquaient les accès descendirent toutes en même temps et l'alarme se déclencha. En quelques secondes, ce fut le chaos total, les gens se mirent a courir un peu partout en hurlant, une femme tomba dans les pommes, un autre fit une crise d'asthme. Instinctivement, Colby chercha son arme avant de se souvenir qu'elle était chez lui, ainsi que sa plaque. Les secondes passèrent, interminables. Les gens se piétinaient littéralement devant les portes désormais fermées. La climatisation s'était arrêtée et petit a petit sous l'effet de l'agitation et du soleil californien, la salle devenait une vraie fournaise, ce qui ne faisait qu'aggraver la situation déjà assez intense. Habitué a ne pas paniquer, le jeune agent se dirigea calmement vers les guichets, espérant s'emparer d'un téléphone car comble de malchance, il avait complètement oublié son portable dans la voiture.

A peine était il arrivé à proximité que quartes coups de feu résonnèrent dans le grand hall. Aussitôt, tout devin silencieux, la panique ayant laissé place à la peur. Plus personne ne bougeait, plus personne ne parlait. Il régnait a présent un silence lugubre et inquiétant quand la voix puissante d'un homme se fit entendre.

Tout le monde se calme, ceci est un hold up. Je veux que tout le monde aille s'assoir a contre le mur de droite, les mains derrière la tête et calmement. Si jamais il prendrait a quelqu'un l'envie de jouer les cow boy nous n'hésiteront pas a tirer !

To be continued...


Merci d'avoir lu! XD … en espérant que cela vous ai plu.

ce chapitre est un peu court mais les prochains seront bien plus longs.

Au fait je tenait a dire que je n'ai absolument rien contre les banquiers mais pour les besoins de cette histoire je les ai un peu fait passer pour des « méchants ». Désolée. XD