Chapitre 1: le garçon qui a survécu.

31 octobre 1981

Alors que Albus Dumbledore proposé de laisser le jeune Harry chez sa tante, Minerva McGonagall ne comprenait pas le choix de Dumbledore et lui fit savoir :

« -Pourquoi Albus d'après ce que me disais cette défunte Lily sa sœur la traitée de monstre alors pourquoi lui confié son fils ? Pourquoi ne pas le confier à ces grands-parents maternels ?

-Minerva, je pense que Mr et Mrs Evans sont trop vieux pour s'occuper d'un enfant comme Harry.

-Je ne le pense pas Albus, regardez-vous et regardez-moi, nous sommes tous les deux plus vieux que Mr et Mrs Evans et pourtant nous serions parfaitement capable de s'occuper d'un enfant de cette âge, dit-elle en regardant Dumbledore droit dans les yeux.

-J'ai l'impression, Minerva, que vous ne changerais pas d'avis sur ce sujet n'est-ce pas ?

-Bien-sûr je ne vais pas laisser le fils de deux de mes élèves préférés avec des moldus qui ne verront quand lui un monstre.

-Eh bien, Minerva je ne savais pas que James était un de vos élèves préférés, dit-il avec un petit sourire.

-Il est vrai que James et ses amis était turbulents et chahuteurs mais il faut reconnaître que leur talent était indéniable.

-Soit puisque vous ne me laissez pas le choix, le jeune Harry ira chez ses grands-parents. Hagrid emmenez-le à cette adresse…

-Non laissez Albus je vais m'occuper du garçon les Evans me connaissent déjà, dit Minerva.

-Bien je vous fais confiance pour la suite Minerva. »

Puis McGonagall pris le jeune Harry des bras de Hagrid, qui était resté en retrait pendant sa discussion avec Dumbledore. Dès que Hagrid avait finis ses au-revoir à Harry, Minerva transplana vers la résidence des Evans dans la banlieue de Londres. Un fois sur place McGonagall sonna au 32 avenue William Shakespeare. Au bout de quelques minutes la porte s'ouvrit sur Mr Evans, c'était un homme dans la cinquantaine assez grand ses cheveux gris était coupés comme les militaire et d'après les souvenirs de Minerva l'homme avait était militaire et il était habillé d'un élégant pyjama gris . L'homme la fixa de ses yeux marrons en plissant les yeux puis eu l'air de se souvenir de Minerva :

« - Bonsoir vous êtes une enseignante de Lily n'est-ce pas ? Pourquoi êtes-vous ici professeur ?

-Mr Evans je n'enseigne plus à Lily mais oui j'étais une de ses enseignantes, si je suis ici c'est pour vous faire part d'une triste nouvelle, puis-je rentrez pour qu'on puisse en discuter ?

-Oui bien-sûr, Mr Evans s'écarta pour laisser passez la professeure qui tenant quelque chose dans ses bras mais il n'y fit pas attention, le salon est tout de suite sur votre gauche.

-Merci, dit-elle une fois installée dans un fauteuil, votre femme devrait nous rejoindre Mr Evans.

-Appelez-moi Robert je préfère ».

Puis il sortit de la pièce, pendant ce temps Minerva contempla le salon qui était plutôt ordinaire il avait deux fauteuils en cuirs, un grand canapé, une cheminée, une télévision et un grand meuble où était posé différents cadres moldus et magiques, ces derniers représenter pour beaucoup Lily à Poudlard et les autres provenez du mariage de Lily et James. McGonagall entendit les Evans revenir, puis elle les vit rentrer dans leur salon, Mrs Evans était une très belle femme un peu plus jeune que son mari, ses cheveux roux étaient coiffés en un élégant chignon et on pouvait lire l'inquiétude dans ses yeux verts dès qu'elle et son mari fut assis elle demanda :

« - Pourquoi êtes-vous ici professeure ? Est-il arrivez quelque chose à Lily et James ?

-Malheureusement je dois vous annoncez la mort de Lily et James Potter, dit Minerva

-Comment est-ce arrivez ? Demanda Mr Evans pendant que sa femme pleurer dans ses bras

-Je ne sais pas si Lily vous avez dit pourquoi elle et James devez ce cacher ?

-Elle nous avait dit qu'un Lord voulez le tuer mais qu'il serait en sécurité et que ça ne durerez que quelque temps.

-Ce cela Robert, malheureusement ce Lord les a retrouvés et …

-Comment ? Elle nous avait dit qu'ils avaient les meilleures protections, demanda Mrs Evans qui avait les yeux rougis par les larmes.

-C'est vrai Mrs Evans…

-Appelez-moi Rose.

-D'accord Rose, dit Minerva en cachant son agacement d'être si souvent interrompu, il est vrai qu'ils bénéficiaient de la meilleure des protections mais -malheureusement elle reposait sur la confiance car temps que la personne qui était le gardien du secret de leur cachette ne donne l'emplacement de leur cachette elle était introuvable quel que soit les moyens utilisés et ils étaient en parfaite sécurité.

-Donc ce gardien les a trahis, demanda Rose.

-Soit il a parlé de lui-même soit il a été torturé pour le dire.

-Et où était Harry ? Demanda subitement Robert.

-Il était avec ses parents…

-Vous voulez dire qu'il est mort ?

-Non Rose c'est justement pourquoi je suis ici, dit-elle en montrant Harry qu'elle tenait dans ses bras puis elle le tendit à sa grand-mère qui le prit aussitôt -dans ses bras pour le bercer.

-Vous avez réussi à arrêter ce Lord avant qu'il ne tue Harry c'est cela ? Demanda Robert.

-Non, en fait personne ne sais ce qu'il s'est passé mais il semblerait qu'un sort lancé par ce Lord sur Harry se soit retourné contre lui et donc ce Lord est maintenant considéré comme mort et votre petit-fils comme le sauveur de la communauté magique.

-Harry un sauveur mais ce n'est qu'un enfant, ce doit être ce Lord qui s'est trompé un lançant le sort, dit Rose tout en temps caressant les cheveux de Harry, qu'est-ce que c'est cette cicatrice professeur ? Je ne me souviens pas que dans ses lettres Lily nous en ai parlé.

-Cette cicatrice est le seul dommage que le sort du Lord à fait à Harry, et non ce Lord n'a pas pu ce trompé en lançant le sort car c'est surement un de ses sorts préférés, le sortilège de la mort.

-Et comment Harry a survécu ? Demanda Robert en regardant Harry.

-Comme je l'ai dit personne ne sais pourquoi ni comment, certains pense que Harry est simplement une sorte d'élu d'autres que Harry est tellement puissant que le sort ne lui a rien fait.

-Et vous que pensais vous professeure ?

-Eh bien Rose, j'en ai parlé avec le directeur de Poudlard, le professeur Dumbledore est d'après lui s'est grâce au sacrifice de Lily qui aurait agi comme un bouclier.

-Et donc maintenant Harry est en sécurité il ne craint pas de représailles ? Demanda Robert.

-Il y a toujours un risque, c'est pourquoi on vous confie Harry, car les partisans du Lord ne penseraient pas à chercher chez des moldus, et en plus à la demande de Lily votre maison possède de très bonne défense magique qui seront parfaite pour protéger Harry et vous-mêmes.

-Je pense avoir tous compris professeure, mais que pouvons-nous faire au sujet de cette cicatrice ? Car je n'ai pas envie que mon petit-fils ait sur lui en permanence un souvenir du meurtrier de ses parents.

-Je vous comprends Robert mais le professeur Dumbledore pense que certaines cicatrices sont utiles dans la vie et …

-Eh bien ce professeur n'est pas médecin, dit Robert en élevant la voix, et en tant que grand-père je pense être mieux placé pour prendre cette décision.

-Bien comme vous êtes les tuteurs d'Harry maintenant, je vais suivre votre avis et prendre un rendez-vous à Ste Mangouste pour Harry tous en restant discret.

-Pourquoi ?

-Rose, il faut comprendre qu'Harry est une célébrité maintenant dans le monde magique et on pense qu'il faut mieux pour lui de vivre un peu à l'écart du monde magique car la célébrité à un si jeune âge peut être dangereuse.

-Nous comprenons, professeure, maintenant excusez-moi je suis fatigué je vais allez me recoucher et mettre Harry dans son lit, dit Robert en prenant Harry puis monta à l'étage avec Harry.

-Il faut excusez mon mari d'être aussi rude mais il montre rarement ses sentiments.

-Je comprends ne vous inquiéter pas, sûr ce je vais vous laissez, et toutes mes condoléances.

-Merci professeure.

-Je repasserai dans quelques jours pour emmener Harry à Ste Mangouste, au revoir Rose.

-Au revoir professeure.

-Appelez-moi Minerva, dit-elle avec un léger sourire.

-Au revoir Minerva. »

Puis Minerva sortis de la maison des Evans puis une fois dans la rue transplana chez elle, où elle s'autoriser enfin à pleurer la perte de deux de ses plus brillants élèves et presque amis.