Bonjour tout le monde ! (y'a du monde sur ce fandom ? ok je vais pas me plaindre le pire c'est sûrement The magicians. sérieusement, regardez cette série et aidez moi à faire quelques fic en fr, parce qu'il n'y a absolument rien :'( bref. La c'est The musketeers dont on parle )
Donc, j'ai déjà écrit quatre chapitres, sauf que je les ai écrit sur papier... Donc en ce moment même je suis en train de m'embêter à les recopier, et je déteste recopier XDD bref, tout ça pour dire que je prend de l'avance avant de poster, mais n'arrive pas à résister, j'ai besoin d'avis, d'encouragement, ou même de gens pour me dire que c'est pourri et qu'il faut que je passe à autre chose... Même si ce serait pas gentil ' j'y peux rien si j'ai des idées bizarres !
Je vais aborder des sujets graves comme le viol et l'automutilation, quoique n'espérez jamais lire un viol décrit dans cette fic, c'est juste trop malsain. Je les sous entendrai, et tant mieux si je les sous entend pas assez bien, je suis très pudique pour ce qui concerne ce genre de violences, donc ne vous attendez pas à frémir d'horreur devant une scène de viol décrite, enfin bref. je parle trop.
Donc, les codes. Des fois, bien que l'histoire soit à la troisième personne, nous entrons dans la tête des personnages, et donc lisons leurs pensées. Elles sont codées par ça : / pensées /
et non pas en gras, parce que ça attire l'oeil et c'est comme ça que je m'auto spoile des fic... enfin bref.
Je rajouterai peut être des codes au fur et à mesure, et je m'excuse pour ce roman, je met toujours en gras ce qui est réellement important dans mon monologue ^^'
Bonne lecture, j'espère que vous aimerez... Ah et, une dernière chose : si la fic commence avant la pendaison d'Anne, que je ne nommerai milady que plus tard, donc faites le moi remarquer si j'ai fait une gaffe.. Elle continuera pendant la série, pour s'achever à peu près en même temps que la fin de la saison 3, bien que je ne pense pas réécrire chaque épisode ou quoi que ce soit. Vous verrez x)
Disclaimer : Rien, sauf la fanfiction, ne m'appartient. J'ai envie de dire heureusement, je suis cruelle avec les persos !
oOoOoOo
Anne vivait une vie si heureuse. Son passé dans les rues était oublié, inconnu de tous.
Son mariage avec Athos, compte de la Fère, avait été le plus beau jour de sa vie et elle s'en souviendrait jusqu'à la fin des temps.
Une belle journée d'été, un sourire si lumineux, celui de l'amour de sa vie. Des fleurs bleues dans ses cheveux, de douces lèvres sur les siennes, de soyeuses mèches brunes et sauvages chatouillant son cou, et toutes les horreurs de son passé oubliées, comme si elles ne referaient jamais surface.
Dans son lit, Anne laissa échapper un rire sans joie au souvenir de sa naïveté. Lors de son mariage elle ne s'était pas un instant inquiétée du regard brillant et impénétrable de Thomas, le petit frère de son mari.
Thomas était un jeune homme timide et réservé, mais très affectueux avec sa fiancée et son grand frère.
Et pourtant ce jour-là, il n'avait cessé de la scruter, ne la quittant jamais des yeux, un étrange sourire aux lèvres. En y repensant, Anne aurait dû le remarquer. Mais elle ne l'avait pas fait, et voilà où elle en était aujourd'hui.
Les larmes lui montèrent aux yeux à sa plus grande surprise.
Elle croyait ses larmes épuisées avec tout ce qu'elle avait pleuré plus tôt dans la journée.
L'après-midi de ce jour-là :
« Je pars chasser, mon amour. Cerf ou sanglier ? » Le ton d'Athos était léger, amoureux.
« Pourquoi pas du lapin ? »
« Hm, je vois que l'élue de mon cœur a bon goût. Tu auras ce que tu désires, pour toi, je ferai n'importe quoi. »
Athos l'embrassa. Anne sourit et murmura : « Je t'aime. »
Le compte lui sourit en retour et répondit sur le même ton : « Moi aussi. »
Catherine, la fiancée de Thomas, les rejoignit.
Quelques minutes plus tard, Thomas s'approcha et le couple lui sourit.
L'air gêné, il prit la parole.
« Je euh… Pardon mais je ne me sens pas très bien, allez-y sans moi. »
Athos sourit plus largement encore.
« Mon très cher frère. Toujours aussi timide à ce que je vois ? Catherine te remplacera, je crois que ça lui fera plaisir. »
Catherine acquiesça et ce fut au tour d'Anne de dire quelque chose.
« Cela tombe bien que vous vous absteniez de chasser, je craignais de me retrouver seule dans cette grande demeure. »
Un sourire apparut sur les lèvres du plus jeune.
« Cela sera un plaisir pour moi de vous tenir compagnie. »
Sur ce, Anne et Thomas saluèrent Catherine et Athos, et se retirèrent dans la grande maison.
Thomas se précipita vers une des grandes fenêtres dès qu'ils atteignirent le salon le plus proche. Il y resta jusqu'à ce que les cavaliers soient hors de vue.
Alors il se tourna vers Anne, qui attendait patiemment que le jeune homme propose une occupation, n'ayant pas trop d'idées elle-même.
Thomas s'approcha, lentement, mais sans jamais s'arrêter, jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de la jeune femme.
Anne était dans l'incompréhension totale, et quand elle leva les yeux vers Thomas, elle prit peur. Une étrange lueur brillait au fond de ses yeux ciels. Une étincelle malsaine qui fit ressentir à la brune une sensation glaçante de danger imminent.
Elle se rappela son enfance dans la rue, ce à quoi elle avait parfois assisté. La lueur dans le regard de ces hommes qui déshabillaient et violaient des femmes de tous âges à même le pavé.
Cette lueur, elle n'arriverait jamais à l'oublier. Cette lueur, c'était la même qui habitait en ce moment même les yeux de Thomas.
Alors elle comprit avec horreur qu'elle devait fuir. Mais c'était bien trop tard. Thomas lui attrapa les poignets et les lia avec une corde qu'il avait sortie de sa poche.
Quand la jeune femme voulu crier, il plaqua sa main sur sa bouche et eut un rictus malsain.
« Tu te souviens, je suis allé à Paris il y a quelques jours. Tu ne devineras jamais tout ce que j'ai appris sur toi. Ou peut-être que tu te doutes de ce dont je parle ? » Il y avait une sonorité de danger dans le ton calme qu'employait Thomas. Comme si quelque chose était sur le point d'exploser.
Les yeux d'Anne s'agrandirent alors que l'horreur s'insinuait froidement dans ses veines. La brune savait parfaitement de quoi parlait le frère de son mari. Pourtant, elle secoua la tête négativement.
« Non, tu ne vois pas ? Tes yeux disent le contraire. Alors comme ça, tu es une fille des rues ? » Il la frappa soudainement dans les côtes. Anne gémit, mais ne chercha pas à s'enfuir.
« Une voleuse ?! » Un coup de pied.
« Une menteuse ?! » Un autre. Et encore un.
Les larmes envahissaient ses yeux.
« Une traitresse… » Le ton était soudainement accusateur, et promettait bien des souffrances.
Thomas s'agenouilla et prit violemment le visage d'Anne entre ses mains.
Un sourire apparut sur ses lèvres quand il vit les larmes de la jeune fille couler.
« Oh… Je vais te donner une raison de pleurer moi tu vas voir… Parles-en à mon frère et ce sera ta dernière action avant de mourir ! Et bien sûr, si tu te débats, ou que tu tentes d'obtenir de l'aide de qui que ce soit, je risquerais de divulguer tes secrets par mégarde… »
Il garda le silence un instant.
« Et je tuerai aussi cette servante que tu sembles apprécier… Marie. »
Sur ces paroles pleines de menace, il commença à la déshabiller, son sourire se faisant plus vicieux, et ses yeux plus brillants, au fur et à mesure que la jeune femme perdait espoir.
Le bruit des sabots se fit entendre au dehors. Thomas se leva, donna un coup de pied à la femme en larmes tout en se rhabillant, puis quitta la pièce sans un regard en arrière.
Anne paniqua de plus en plus au fur et à mesure que les chevaux approchaient.
Puis elle repensa aux menaces de Thomas, au doux et innocent Thomas qui n'était qu'un masque. Elle repensa à Athos.
/ Par amour pour lui. /
Elle enfila rapidement ses vêtements alors que son mari entrait dans la demeure.
Elle ouvrit la porte au moment où il la demandait, le sourire aux lèvres.
Quand il se retourna et que son visage devînt inquiet, faisant disparaître son sourire, elle se força à le lui rendre, souriant du mieux qu'elle put.
« Quelque chose ne va pas, Anne ? »
« Non, tout va bien, mon amour »
« On dirait que tu as pleuré. »
Athos est intelligent et observateur, comment avait-elle put l'oublier ? Que dire ? Que dire ?!
« J'ai lu un roman d'amour triste. L'homme mourrait à la chasse à la fin. J'étais inquiète pour toi ! »
Athos sourit doucement, vint à elle et l'embrassa. Anne dut résister à son corps qui cherchait à s'enfuir, se souvenant trop bien des lèvres de Thomas qui s'étaient écrasées au même endroit peu de temps auparavant.
« Tout va bien maintenant, rassure-toi. Vous êtes-vous bien amusés avec Thomas ? »
« Oui ! très bien ! »
/ Par amour pour lui. /
Retour au présent :
Anne regarda par la fenêtre, dans la vaine tentative de chasser ses larmes.
Un sanglot lui échappa et, paniquée, elle se tourna vers Athos en priant de ne pas l'avoir réveillé.
Un doux ronflement prit la place du silence tandis qu'elle retenait sa respiration. Le visage paisible de son mari endormit la rassura.
Elle se força à ignorer ce qu'il s'était passé dans la journée, se concentrant sur Athos, sur son amour pour lui.
Au bout de ce qui lui parut être une éternité, elle fut enfin gagnée par un sommeil sans rêve.
oOoOoOo
Un avis ne coûte rien et fait toujours très plaisir :)
Les prochains chapitres seront plus longs, je poste le prochain dans une semaine, ou avant, je ne sais jamais si je vais résister XD si vous insistez assez, c'est sûr que je ne tiendrai pas XD
(jsuis faible, mais chut... c'est un secret !)
