Mon Incroyable Songe... Ou pas?
Résumé : Nom : Marie G. ; Age : 18 ans ; Situation : Célibataire ; Niveau d'études : Première année de Fac de Maths. Mais alors, qu'est-ce que je fous à Poudlard ?! Me voici donc à la découverte de la légendaire école… Mais voilà, apparemment Voldy court toujours ! Soit je suis en train de faire une sacrée overdose de Fanifics, soit tout ceci est réel ! Mais comment c'est possible ? Warning : Grosse dose de fou rire, et de situations cocasses avec une pointe de magie survoltée^^. M pour langage et peut-être plus…Réécriture !
Déclaimer : Rien n'est à moi, tout est à J.K. Même le personnage de Marie G. est en fait une amie de fac ! Pour vous dire elle m'appartient encore moins que les autres. Et, en plus, elle râle à voix haute quand je ne suis pas gentille avec elle dans ma fic. Ce qui est… tout le temps le cas !^^
Petite dédicace quand même : A Marie, alias Erinama... Hi hi hi, tu n'as pas fini de souffrir ma vieille... à malfoy44, à dobbymcl, à dgreyman, à cmoa, à Blackclaire, à vendta, à santera, à Aya-chan31, à Tagada-June (Sacré review que tu n'avais laissé !^^), à Okawa, à Nayla-HP (la seule et l'unique en dehors de Marie (Erinama) qui a laisser une review à TOUS mes chapitres), à shishi-sama (toi aussi tu m'avais laissé une sacré review !), à Artemis, et toutes celles et ceux qui lisent encore ma fic… si y'en a encore…
Note de l'Auteur :
- Cette fic est au départ un défi que Marie et moi avons relevé (la sienne s'appelle la « guerre de la faille » sous le pseudo Erinama, hélas abandonnée). Si vous voulez en savoir plus au sujet des défis que nous relevons, je vous suggère un petit tour dans mon profil, et pour avoir toute la liste des défis, mon forum « Défi que tout le monde peut révéler ».
- J'ai décidé de m'y remettre sérieusement, du coup, je voulais aussi améliorer quelques petites choses. Voilà pourquoi j'ai mis cette fic en réécriture. Dans l'ensemble l'histoire ne va pas fondamentalement pas changer. Enfin, sauf pour les couples principaux, mais ça vous verrais plus tard !
- Pour plus de piment, et puisque Marie est ma correctrice également, vous trouverez en parenthèse en italique les commentaires de la vraie Marie ! Et si vous avez des questions à lui adresser vous pouvez aussi le faire^^.
Sur ce, Bonne lecture !
Chapitre 1
Où l'abus de fanfics est mauvais pour la santé (mentale) (ndMarie : ça sous-entend quoi au juste ?! *Air menaçant*)
POV Marie
Fatiguée. Exténuée. Lessivée.
Je suis crevée ! Bon c'est toujours comme ça à la fin d'une session d'examen avec la retombée du stress et tout et tout... Mais, là ça atteint des summums !
Ainsi donc, je viens de finir la session d'examen du premier semestre et je vous assure : ça m'a achevée. Bon, je sais les exams ne sont pas les seuls responsables de cette fatigue, voir même les derniers. (NdM : il est vrai qu'à cette époque-là, la masse de travail que je fournissais pour les études n'était pas des plus épuisantes… Ça a bien changé par la suite !)
C'est certain que si je passais moins de temps sur à la rubrique Harry Potter de après mes révisions, je dormirais plus, je n'aurais pas les yeux injectés de sang et je n'aurais pas cette de tête de morte-vivante. Pas étonnant qu'on me prenne pour une droguée après ! (NdM : ben oui ! les fics c'est bien une drogue, non ?)
Je jette un coup d'œil à ma montre : 03:30. Je crois qu'il faut vraiment que j'aille me coucher. Pour vous dire, même mes collocs doivent être endormies. Je tends l'oreille. Diane et Sandrine sont allées se coucher il y a deux bonnes heures maintenant. Et j'aurais fait la même chose si après mon tour à la salle de bain je n'étais pas repassée par le salon et y avait trouvé mon ordi portable encore allumé sur la table-basse me tendant les bras. Il semblait me murmurer : « viens, viens, tu n'as pas finis ta fanfic Harry Potter… N'es-tu pas curieuse de savoir ce qui va arriver à Draco ? » Du coup, j'ai cédé. Et oui, que voulez-vous ? Je ne suis qu'une faible femme… (NdM : et puis comment ne pas céder face à Draco ? NdA : Pas encore Marie, tu grilles toute l'histoire, là ! NdM : ou pas… ;-) )
Bien décidée à ne pas me laisser avoir une deuxième fois maintenant que j'ai réussis à arracher mes yeux de mon ordi, je ferme le capot avant qu'il ne m'ensorcelle à nouveau. Ne jamais sous-estimer le pouvoir d'un PC lorsque votre propre cerveau est engourdi de fatigue.
Je me dirige, en titubant, vers ma chambre.
Non, je n'ai pas bu, même si la bouteille de Vodka vide qui trône sur la table du salon et mon état semble indiquer le contraire.
La bouteille de Vodka, c'est notre bouteille d'eau, baptisée Glougloutte en référence à une fic super que nous avons lu toutes les trois : « Quand un no-life change de drogue » (je pense que les lecteurs n'ont plus aucune illusion sur nous, à présent !) ; et si je titube, c'est juste que mes genoux n'ont pas apprécié la position en tailleur que j'avais quelques secondes auparavant, et ce pendant plus d'une heure.
Je me change le plus vite possible, enfilant mon pyjama préféré et m'écroule de bonheur sur mon lit. Que du bonheur ! *sourire d'extase*
Et là,… mon enfer sur terre se manifeste.
« Styx ! ».
Mon cri, qui ressemble plus à un grondement purement primitif qu'à un cri humain, n'inquiète pas plus que ça mon chaton – et surtout celui de mes collocs – de 6 mois, simple chat de gouttière tigré, tirant sur un marron grisâtre et terne, aux yeux vert si inexpressif qu'il en parait abruti (ndM : Ce n'est pas le cas ?) d'où le terme de regard styxien. Celui-ci a entrepris de m'attaquer la main. Comment s'est-il glisser jusqu'à ma chambre déjà ? Je suis pourtant sûre qu'il pionçait allégrement dans le salon, sur le chauffage pour être précise, lorsque je me suis levée.
Si j'avais été dans mon état normal, il aurait fait un vol plané dans le salon (après tout, il se prend bien pour un écureuil volant, non ? (*1)) pendant que ma porte se serait refermée en claquant. Mais je suis si claquée, que je le bloque sur ma poitrine, les bras croisés pour l'immobiliser au maximum. C'est ainsi que je finis par m'endormir dans un sommeil de mort. Etrange d'ailleurs, si l'on considère la larve qui s'agite dans tous les sens dans mes bras.
(NdM : RrrZzzRrrZzz)
Il me semble que je marche pieds nus dans un couloir au dallage glacial. Les murs de pierres bruts m'indiquent que le bâtiment dans lequel je me trouve, ne doit pas être récent. Doux euphémisme pour ne pas dire qu'il s'agit là d'une antiquité ! Un peu de l'âge de Poudlard en fait, me dis-je en riant de ma propre bêtise. Après tout, rien n' « existe » de plus imaginaire que Poudlard. Sans m'en rendre compte, je tiens encore serré contre moi Styx. Faut dire qu'il est tellement apathique que l'oublier, ou du moins, ne pas y faire attention n'est pas très difficile. Pour une fois ! Ah ! Si seulement il pouvait être toujours comme ça. (NdM : il est juste comme quand il tombe de 9 étages ! NdA : Heureusement que ce n'est pas le cas tous les jours alors !^^)
Je me dirige vers le bout du couloir et je jette un coup d'œil au dehors. J'y vois un grand lac qui reflète une lune presque pleine. Celle-ci éclaire tout ce paysage paradisiaque. Une sombre forêt borde l'un des côté de l'étendue d'eau et s'étend à perte de vue. Devant, un parc qui, au printemps, doit être couvert d'un lit de fleur des champs.
Avec amusement, je me dis, encore une fois, que si Poudlard existait, son parc ressemblerait à ça. Décidément, il faut que je me calme sur les fanfics ! Maintenant je ne fais que des références au monde d'Harry Potter. Ça devient maladif !
Un frisson me parcourt le dos. Il fait vraiment pas chaud ici. Je m'éloigne de la fenêtre, et continue mon exploration. Tout à coup, à l'autre bout du couloir, des bruits de pas se font entendre. Pendant un instant, un élan de panique m'envahit et je cherche du regard une cachette dans l'obscurité du couloir. Puis, réalisant le ridicule de la situation, je me traite de tous les noms en rigolant intérieurement de ma bêtise. Je suis dans un rêve après tout, non ? Alors pourquoi, j'aurais besoin de me cacher.
J'entends les pas se rapprocher encore, se faire hésitant, puis se rapprocher à nouveau, mais dans l'obscurité du couloir, je ne distingue absolument rien. Je hausse les épaules et continue ma ballade. Après tout ce doit un effet de mon rêve destiné à plonger mon songe plutôt agréable dans une session plus cauchemardesque. Mais je ne vais pas me laisser avoir comme ça ! Que quelqu'un ose me dire quelque chose, tiens ! Je me ferais un malin plaisir de laisser cours à toute ma verve et mon venin. Ca me fera le plus grand bien. Après tout je ne désire qu'une chose : Qu'on me laisse tranquille enfin ! Mais, hélas, mes souhaits ne semblent pas vouloir se réaliser.
Alors que je continue à marcher, une voix glaciale retentit non loin de moi :
« Puis-je savoir ce qu'une élève fait dans les couloirs au beau milieu de la nuit, en pyjama ? » (ndM : Elle se promène... ? NdA : Mais bien sûr Marie, c'est si… habituelle de faire des petites promenades la nuit dans des couloirs inconnus sombres et angoissants ! Je ne sois absolument pas le problème à cela ! NdM : tu fais quoi sinon quand tu fais des rêves méga réalistes sur un monde qui te passionne ? Mis à part aller trouver Severus pour faire des choses pas très catholiques avec lui… NdA : Non Marie reviens ici. Ne vas pas harceler Severus. Pas encore. Ca va venir. Patience ^^)
Je me retourne d'un bloc vers mon interlocuteur :
« Je ne sais pas d'où vous sortez ni pourquoi vous êtes accoutré de cette façon, mais je vous ai rien demandé. Alors, fichez moi la paix et allez casser les pieds de quelqu'un d'autre. Laissez-moi dormir en paix ! On ne vous a donc jamais appris les bonnes manières ? On n'importune pas les gens comme ça dans leur rêve pour leur faire faire des cauchemars ! »
Sans attendre mon reste, je tourne les talons pour explorer mon rêve, notant tout de même en passant que ma verve habituelle semble avoir pris des vacances pour laisser place au vocabulaire d'une jeune femme du XVIIIème outragé. (NdM : heu… c'est pas que, mais mis à part que je suis étonnamment polie, je parle quand même relativement comme ça… C'est ça de trop lire de bouquins NdA : Tout est dans l'intonation !)
Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ! En plus, franchement, il faut être quand même passablement déranger pour ce faire harcelé par le sosie de Snape en plein rêve ! Ya pas idée de faire des rêves pareil ! (NdM : Yum ! moi je trouve que c'est plutôt une bonne idée, il y aurait de quoi bien s'amuser :-) ) A moi que ce ne soit que le début – très chelou – et que ça s'améliore par la suite… Dans ce cas-là, je signe de suite !
POV Snape
Que personne ne me dise que le boulot de prof est un boulot de paresseux ! A moins que certaines personnes aient dans l'idée de tester l'étendue de mes capacités en matière de magie noire. (NdM : Ça doit pas être très agréable ça ! Mais passer entre les mains de Snape, ça peut être intéressant quand même… On ne devient pas maître de Potions sans une certaine dextérité… NdA : Marie et sa libido…)
Je ne sais pas qui a décidé que les profs devaient faire des rondes nocturnes, mais heureusement pour cet abrutit qu'il est mort, parce que sinon j'aurais pris un malin plaisir à le torturer. Comment voulez-vous être de "bonne humeur" le matin quand, pendant la moitié de la nuit, vous parcourrez des couloirs glaciaux ! Et on n'est pas encore en hiver en plus !
Puis rester seul avec moi-même, à espérer un élève assez téméraire pour braver l'interdit (NdM : Présente ! NdA : Chut, Pas encore !), n'est pas pour améliorer mon humeur. Je n'ai guère de pensées agréables à ressasser. Littéralement coincé entre deux « maîtres », autant dire que c'est un miracle que je tienne encore entier sur mes deux jambes ! (NdM : Ho oui, surtout dit comme ça ! ^^ NdA : Berk ! Et Glauque ! Enlève Dumby au moins !)
Tout à coup, je vois à l'autre bout du couloir une élève en train de contempler le parc. Un petit sourire sadique sur mes lèvres, je n'aurais pas perdu ma nuit au moins, je m'approche d'un pas vif d'elle, sans me soucier qu'elle puisse m'entendre ou non. Elle ne peut m'échapper ! (NdM : Qui a dit que je le voulais ?)
Alors que je suis plus près d'elle, je peux enfin la détailler de haut en bas. Je faillis émettre un ricanement d'amusement.
Faillit bien sûr, car en tant que maître occulmens, je me dois faire preuve d'un stoïcisme à tout épreuve. La moindre faille dans mon masque dans de mauvaise circonstance, et pouf, plus de Snape ! Je sais que les trois quart des élèves de Poudlard marqueront ce jour d'une fête nationale, mais par instinct de préservation ou simplement pour les emmerder un peu plus longtemps, je ne suis pas encore prêt à faire face à ce jour. (NdM : j'aurai tendance à pencher pour la deuxième raison, connaissant Snape… NdA : C'est sûr que tu t'y connais en emmerdeur…^^)
Je me fige un instant de stupeur : Elle semble avoir 17 ans tout au plus, jusque-là, tout va bien, si l'on peut dire, mais…
Elle est vêtue d'une immonde chemise de nuit rose à froufrous de la mode du siècle dernier… au moins ! (ndM : (à l'Auteur) J' vais t'tuer ! oui vraiment, même 5 ans plus tard, j'ai toujours l'intention de te tuer…Je porte certes des pyjamas informes mais pas de chemises de nuit de grand-mère et encore moins rose ! Il y a des limites à tout ! NdA : *s'enfuit en courant* Pourtant je l'adore cette chemise de nuit… Tu la porte si… bien ?) Dans ses bras, elle tient apparemment un chat – une vrai mocheté digne de miss teigne – amorphe.
Drôle de fille. (NdM : Si tu savais :-) NdA : Je précise qu'elle a un regard lubrique et qu'elle bave !)
Si j'étais encore étudiant, qui que soit cette fille, je me ferais un malin plaisir à faire circuler une photo de son accoutrement… Si seulement j'avais pu chopper l'un des maraudeurs dans une tenue pareille, j'aurais pu leur rendre la monnaie de leur pièce ! Tout en restant anonyme bien sûr ! (NdM : on sent bien là le Serpentard… Mais j'avoue… j'aurais fait pareil !)
Alors que je détaille les traits de son visage, je me rends compte que je ne la connais pas. Pourtant, une élève comme elle je ne pense pas que ça s'oublie : Elle a l'air d'être complètement à l'ouest. (NdM : Ben merci ! Toujours aussi sympa ! NdA : mdr !) Je me racle la gorge et, de ma voix la plus glaciale possible – celle dont je suis si fière – dit :
« Puis-je savoir ce que fait une élève dans les couloirs au beau milieu de la nuit, en pyjama ? »
Elle sursaute, parfait. Ma voix est décidément mon meilleur atout pour terroriser mes élèves. (NdM : pas que pour les terroriser, j'en suis sure) J'ouvre la bouche pour lui faire encore plus peur avec mes habituelles menaces, mais, à ma grande surprise, elle me devance. D'une voix agacée, elle me réplique après s'être brusquement retournée vers moi :
« Je ne sais pas d'où vous sortez ni pourquoi vous êtes accoutré de cette façon, mais je vous ai rien demandé. Alors, fichez moi la paix et allez casser les pieds de quelqu'un d'autre. Laissez-moi dormir en paix ! On ne vous a donc jamais appris les bonnes manières ? On n'importune pas les gens comme ça dans leur rêve pour leur faire faire des cauchemars ! » (ndM : Aaaah ! Je m'aime)
Si j'ai été surpris qu'elle ose me répliquer quoi que ce soit, jusqu'ici le seul élève ayant assez de courage pour le faire était Harry Potter, la teneur de son discours me laisse sans voix. Difficilement, je tente d'assimiler toutes les informations que contenait son discours.
Premièrement, « accoutré de cette façon » ?! Elle s'est jamais vu dans un miroir ma parole ! C'est le cracmol qui se fout du moldu ! (NdM : Pour toute réclamation, merci de vous adresser à l'auteur et/ou de vous associer à la plainte que je suis déjà en train de déposer !)
Deuxièmement, elle ne sait pas qui je suis, donc ce n'est pas une élève.
Alors que fait-elle là ?
Troisièmement, elle pense qu'elle est en train de dormir. Somnambule ? Par la barbe de Merlin, mais qui c'est cette fille !
De nouveau sa voix s'élève, elle marmonne :
«Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ! En plus, franchement, il faut être quand même passablement déranger pour ce faire harcelé par le sosie de Snape en plein rêve ! Ya pas idée de faire des cauchemars pareil ! » (NDM : Cauchemar, cauchemar… c'est vite dit !)
Alors là, je ne sais plus quoi penser. Elle me connait ou elle ne me connait pas ?
Toutes ces questions m'énervent, et je le fais savoir :
« J'ai le regret – pour vous mais pas pour moi – de vous dire que je suis VRAIMENT le PROFESSEUR Snape ! »
Elle se retourne brusquement vers moi et fronce les sourcils en me dévisageant insolemment.
« Vous êtes le vrai de vrai de Snape ? »
C'est à mon tour de froncer les sourcils, et je me redresse de toute ma hauteur avec l'idée de l'intimidé un peu plus pour lui apprendre les bonnes manières qui lui tiennent apparemment à cœur. (NdM : il devrait se méfier quand même, je ne suis pas sûre qu'il obtienne l'effet voulu en utilisant ce genre de techniques sur une mordue de fanfic… NdA : Il ne sait même pas ce que c'est une fanfic…)
« Oui, je suis le vrai PROFESSEUR Snape ! Celui qui travaille toute l'année à Poudlard !»
« On est à Poudlard, là ? » dit-elle de plus en plus confuse et surprise, sa voix prenant de désagréable accents suraigus.
Je soupire : C'est qu'elle m'agace ! Une vrai folle amnésique ! J'ai vraiment décroché le gros lot cette nuit ! (NdM : Non mais je ne vous permets pas ! NdA : Je crois pas qu'il te demande la permission ^^)
« Oui, nous sommes bien à Poudlard ! »
« ARGH ! Poudlard ! » Hurle-t-elle, me détruisant la moitié de mes cellules auditives au passage. (NdM : Moi j'aurai dit : "Youpi ! Poudlard !" NdA : ou "Poudlard ? C'est ça… Tu te payes pas tête")
Puis, elle s'évanouit dans mes bras. Oui parce que par pur réflexe, quand j'ai vu qu'elle tournait de l'œil je l'ai rattrapé. (NdM : quel gentleman… et non, je n'en profite pas ! NdA : Du moins, pas assez à ton goût…) Mais qu'est-ce que je peux être cloche parfois !
Le chat qu'elle tenait pousse un drôle de couinement, puis profite que j'ai récupéré la jeune femme dans mes bras – décidément je suis trop bon ou c** ! Pourquoi je ne laisse pas choir par terre ? – Pour se rouler en boule sur son estomac. Pas gêné le chat ! J'ai vraiment la poisse aujourd'hui… (ndM : Ben oui, ce sont des choses qui arrivent…)
Bon, direction bureau du « gentil maître ». Je suis trop fatigué pour réfléchir à une autre solution ! (NdM : c'est rare ça venant d'un Serpentard ! NdA: Oui, mais même un serpentard peut être fatigué parfois...)
(*1) : Ce chaton sort tout droit de Matrix ou d'un film de ce genre… je vous jure il s'amuse à marcher sur les murs, défiant les lois de la gravité sans remords, à croire qu'il n'a jamais entendu parler de Newton… quoique… en fait, comme c'est un chat il n'a jamais entendu parler de physique. Okay, je vais me pendre…
J'espère que ça vous a plût ou plût à nouveau! A dans 2 semaines pour le Second chapitre !
