Bon, nous y voici, une nouvelle fic' !

Inventée à partir d'un rêve étrange où mon père se trouvait être en réalité Lucius Malfoy (surtout ne pas chercher à comprendre), je l'explique un peu dans mon profil !

C'est histoire ne tient pas compte de la fin du tome 6 et du tome 7, je préfère prévenir, car je sais que certains n'aiment pas les fic' trop changées de la réalité !

Attention : les deux premier chapitre sont un peu glauque (présentation l'oblige), mais la suite est faite surtout à partir d'humour !

Bien sur le monde merveilleux des bisounours... pardon de HP, ne m'appartient pas ! Vous y croiserez surement des personnages tirés de mon imagination, voir de mes rêves !

Attention BIS : les deux premiers chapitres de cette fic' sont juste des prologues, pas vraiment basé sur l'humour, alors attendez au moins le troisième chapitre pour vous faire une idée de mon délire Draco/OC !

Alors bonne lecture...

Chapitre 1 :

PDV Draco :

Dans quelques heures tout sera terminé, et en même temps tout va enfin commencer. C'est ce que j'avais le plus attendu dans ma vie... Enfin... Je crois ?

Cela fait maintenant cinq jours que j'ai appris que ma vie allait changer. Mon père m'avait dit trois choses ce jour là : tout d'abord que j'allais enfin recevoir la marque, celle qui allait sceller mon destin et qui montrera combien je suis dévoué au seigneur des ténèbres. Ensuite, que j'allais quand même devoir faire ma dernière année à Poudlard, école que je déteste si ardemment. J'avais pensé que si je recevais la marque, je ne serais pas obligé d'aller à Poudlard. Mais bon, on n'a pas toujours ce qu'on veut dans la vie, quoique je n'ai jamais manqué de rien. Étant fils unique, j'avais toujours eu ce que je voulais. Et pour finir, il m'avait trouvé une fiancée. Mon père ne m'avait pratiquement rien dit sur elle, excepté qu'elle est la fille de la famille de sang-pur la puissante et la redoutée des États-Unis, les Hollingworth. J'avais aussi appris qu'elle allait faire sa dernière année à Poudlard, pour découvrir nos coutumes parait-il !

J'étais toujours allongé sur mon lit à regarder le plafond quand mon père vint me chercher. Un peu plus tôt, il m'avait apporté ma tenue de mangemort. Je mis mon masque et suivis l'homme qui était mon modèle. Quand il était venu m'annoncer, il y a quelques jours, que le seigneur des ténèbres voulait que je devienne l'un de ses fidèles partisans, j'avais bien cru qu'il allait se mettre à pleurer tellement il était content. Et un Malfoy qui montre ses sentiments est quelque chose à marquer dans les annales.

Lorsque nous arrivâmes devant les lourdes portes en chêne du grand salon – quoique « grand » est un euphémisme : dans cette pièce on aurait pu garé une bonne dizaine de magicobus sans problème – mon père se tourna vers moi et mit sa main sur mon épaule. Il souriait, et comme je l'ai dit c'était très rare chez lui. Cette fois j'étais presque sûr qu'il allait pleurer, bien que je ne soit pas sur qu'il sache comment faire. Juste avant d'ouvrir, il dit :

- Je suis fier de toi mon fils.

En entrant dans la pièce, je pus constater que celle-ci était pleine. Beaucoup de mangemorts étaient présent et la plupart était venue avec leurs familles. J'avais entendu dire que mon arrivée dans le monde des ténèbres était un grand événement, peut-être est-ce qu'ils me voyaient comme le messie ? En regardant autour de moi, je pus reconnaître mes deux meilleurs amis, ou plutôt les seuls en qui j'avais une confiance absolue : Blaise Zabini et Pansy Parkinson, tout les deux me souriaient. Plus loin se tenait les deux idiots qui me suivaient partout depuis notre enfance : Gregory Goyle et Vincent Crabbe, ainsi que d'autres personnes avec qui je trainais tout le temps, bien que je les supporte de moins en moins. Il y avait également d'autres élèves de Serpentard dont les noms m'échappaient, ce qui me passait complètement au dessus de la tête. Mes yeux se fixèrent ensuite sur l'homme qui se trouvait dans un grand fauteuil au bout de la pièce, près d'un imposante cheminée. Lord Voldemort, celui que tous craignaient, le maître de toutes les personnes de cette pièce.

Me plaçant devant lui, je fît une profond révérence en mettant un genou à terre. Ce fût à ce moment que je la vis pour la première fois : la fille que j'allais devoir épouser. Bien sûr je ne pouvais pas voir son visage étant donné qu'elle portait également la tenue de mangemort. Quant elle se fût aussi agenouillée, le maître se leva et se plaça devant moi. Je fît alors ce que l'on attendait de moi : je récitais le serment d'allégeance que j'avais appris par cœur.

- Moi, Draco Lucius Malfoy, jure solennellement de prêter allégeance au seigneur des ténèbres. Je jure de lui obéir et de lui être fidèle jusqu'à la mort.

Une fois que j'eus fini, il me demanda de me lever, puis je lui tendit mon bras gauche et lentement, il commença à y graver sa marque. La douleur était terrible, à la limite du supportable, mais en respirant calmement et en serrant les dents, je pus repousser le malaise qui commençait à s'emparer de moi. Des images défilaient dans ma tête... tortures... meurtres... tortures... meurtres... Des images de plus en plus insoutenable, du sang partout, mais le pire était les rires que je percevais tout autour. Le maitre devait envoyer ses images pour me tester. J'essayai donc de faire abstraction à tout cela pour préserver ma dignité et que je puisse gagner en respect.

Lorsqu'il eut fini, la douleur de mon bras me donnait envie de vomir. Ma tante Bellatrix, une sadique dans son genre, m'avait dit que cette douleur fantastique perdurerait quelques jours. Je me tint droit pendant qu'il se tournait vers la silhouette à ma droite . Il lui demanda également de prêter allégeance.

- Moi, Krista Jade Hollingworth, jure solennellement de prêter allégeance au seigneur des ténèbres. Je jure de lui obéir et de lui être fidèle jusqu'à la mort.

Pendant qu'il posait sa marque, on pouvait entendre des petits gémissements de douleur venant de la jeune fille. Mais elle tint bon également. J'avais entendu dire que certains tombait dans les pommes après ça, franchement, je ne vois pas pourquoi !