Un peu d'action ?

Disclamer : Si les CLAMPS ne sont pas mortes dans le tsunami/séisme/irradiation nucléaire de ce Week End, tout ça et à elles. Sinon, c'est a moi. Yeah, je l'ai dit la première, poussez pas !

Rated… Bah on va dire T pour l'instant, parce qu'il y a du sang…

Au fait, ne me détestez pas trop… Pour ce que j'ai fais dans ce chapitre, parce que… Bah, le reste sera pire…

C'est ma première histoire, alors ça va être un peu brouilon, maladroit… bref, personne n'est parfait et surtout pas moi, mais je me lance.

Bonne lecture !


Depuis qu'il était à ce poste, il s'ennuyait. Affreusement. Horriblement. Mortellement.

Il soupir a et regarda la fenêtre. Il s'était pourtant engagé à faire cesser ceci… Ces meurtres qui sévissaient depuis trop longtemps.

Déjà un an… Mais les autorités stagnaient et il les soupçonnait de tremper dans l'affaire. Il sortit de son bureau et se dirigea vers la machine à café. Il n'eut guère le temps d'aller plus loin : le son strident de son bip résonna dans le couloir désert. Il décrocha, en attente de l'information.

Il souri d'excitation : Enfin !

C'était ce qu'il attendait : Un nouveau corps avait été retrouvé dans des ruelles, sa mort était de toute évidence due à une perte importante de sang, suite à de graves blessures. Le nouvel inspecteur hocha la tête pour lui même. Il prenait rarement la peine d'achever ses victimes. Il s'en allait souvent en les laissants inconscients, et si gravement blessé qu'ils succombaient par exsanguination. Dans la police, son nom de code était le « démon », en référence à ses méthodes cruelles. Il se dirigea rapidement vers la salle de travail où ses subordonnés et collègues et leur annonça la bonne nouvelle avec enthousiasme, comme à son habitude. Enfin, « bonne »… C'est sur que pour le mort, et pour les précédents, ce n'était pas vraiment une « bonne » nouvelle… Mais cette fois ci, peut-être, ils trouveraient des indices concluants, après tout, personne n'est infaillible ! Du moins, il essayait de s'en persuader. Et jusque là, les faits lui avait donné tors.

µ*µ

Quand ils arrivèrent sur les lieux, il voulu tout de suite voir le corps, pour vérifier si ces suppositions étaient fondées. Un seul coup d'œil suffirait. Depuis les six mois qu'il était charger du dossier, il avait bien eu le temps d'apprendre les caractéristiques des cadavres que laissait le démon.

Le médecin légiste, qui le connaissait assez bien pour deviner ce qu'il voulait lui dit, d'assez mauvaise humeur,

« Je ne peut rien vous dire à ce sujet, Yuui, Aller donc voir mon collègue généraliste et son ami chirurgiens, voulez vous ? »

Une lueur s'alluma dans les yeux du jeune inspecteur : « Il n'est pas mort ? » Le Médecin prit son air le plus peiné pour soupirer :

« Et non. Nous sommes arrivé trop tôt. Ils ont décidé de me mètres au chômage… Même les meurtriers s'en mêlent… Yuui lui fit un énorme sourire et lui tapa dans le dos :

« Allons, Fei Wan, Je vous prédit un cadavre en décomposition avancée avant la fin du mois ! »

Fei Wan (de son nom complet Fei Wan Reed, médecin légiste rattaché au département nord, et ayant été largué par sa fiancée, une fille déjantée et loufoque qui se faisait appeler Yuuko, pour son grand frère, Clow …Ils étaient morts tous les deux, assassiné par un drogué. M'enfin, c'est pas le sujet, bref.) Donc, Fei Wan se retourna vers lui et lâcha, tristement :

« J'espère que ce ne sera pas le tien… »

Yuui le regarda bizarrement, sans se départir de son sourire, et finalement dit

« Non, doc, Jamais deux fois la même erreur. Pas dans mon métier. »

« EX- métier, tu devrais dire, petit. Enfin… J'vais retourner à mes bouteilles… J'ai pas encore le compte pour mon record, et la fin du mois approche… »

Yuui le laissa partir sans même essayer de le dissuader, il avait maintes et maintes fois essayé de le déscotcher de l'alcool… Mais rien n'y faisait. Et puis, il ne se sentait pas d'utiliser le chantage avec ce pauvre docteur. Il aurait certes eu pas mal d'arguments… Qui pouvaient tous lui être retournés. Et puis, Fei Wan, malgré ses air de méchant l'avait énormément aidé, à une époque. Mais il ne voulait plus y penser. Il avait réussi à se cicatriser tant bien que mal, il était inutile de retourner le couteau dans la plaie.

µ*µ

Il se dirigea rapidement et joyeusement vers l'ambulance, où les docteurs lui affirmèrent que la victime pourrait être sauvée. Mais elle garderait de grave lésion, autant physiques que psychologique. Quand Yuui demanda la raison de ses lésions psychologiques, ils lui montrèrent de concert un petit corps recouvert de blanc sur une civière à côté de l'ambulance. Cette fois ci, il y avait eu deux victimes.

Un de ses agents arriva et l'informa sur les deux victimes : Deux jeunes adolescents, Shaolan Li, et Sakura Kinimoto, apparemment en balade en amoureux quand ils avaient été attaqués. Yuui se demanda comment il allait annoncer à celui des deux qui avait survécu la mort de sa moitié… ça allait être chaud… Mais, en même temps, il jubilait : Il allait enfin avoir des informations dignes de ce nom sur le démon ! C'étais la jeune fille qui avait été tuée, en voulant protéger son compagnon, semblait-il. Celui-ci était sûrement très très choqué… Et le réveil ne serait pas de tout repos non plus…

Comme Yuui l'avait prévu, le jeune homme était en état de choc. Il refusa de s'alimenter et ne fit que fixer ses mains avec un air de tristesse et culpabilité. Yuui savait ce que représentait la perte d'un être cher. Il savait aussi qu'il fallait une petite période de laisser-aller. Mais pas trop. Sinon, la dépression menaçait. Et avec elle, les envies stupides comme celle du suicide. Il fallait souvent l'aide de quelqu'un pour se rendre compte que le monde existait toujours. Et que ce monde pouvait avoir besoins de vous. Notamment en matière d'informations sur un certain démon…

µ*µ

Yuui décida donc d'installer l'adolescent chez lui, puisqu'on ne lui connaissait aucune famille, aucune relation, aucun domicile, rien. Le néant. D'ailleurs, cela rappelait à notre inspecteur des souvenirs… Mais bon. Le passé ne comptait plus. Seul le futur comptait. Ce futur qui devenait présent, celui dont on décidait. Pas celui qui vous tombait sur le nez comme une averse lors d'une sortie sans parapluie. Yuui regarda le ciel où des nuages noirs s'amoncelaient. Bientôt, la pluie laverait le sang et noierait le reste. Le démon avait bien choisi son moment. S'ils n'étaient pas arrivés plus tôt, la pluie aurait sans doute effacer les quelques preuves que Yuui pouvait espérer trouver. Mais ce qu'il ne comprenait vraiment pas, c'est que le démon avait laissé sa proie, où l'une d'elle en vie, sachant pertinemment que la police s'en servirait comme témoins…

Non, vraiment, là, quelque chose clochait. Une chose très dérangeante. Enormément dérangeante. Pourquoi le démon se serait arrêté en cour de route ? La jeune fille qui était morte, Sakura, avait sûrement été blessée en essayant de protéger son compagnon, car ce dernier portait deux ou trois blessures, pas très graves, comparées à celles qui fleurissaient ordinairement sur le corps des victimes du Démon… Il s'était sûrement défendu, mais on n'avait pas retrouvé d'armes, ce qui pourrait signifier que le démon l'avait emportée. Et pourquoi diable c'était t'il attaqué à deux personnes ? Des adolescents, qui plus est ? Il aurait au moins pu attendre qu'ils soient seuls ! D'habitude, il s'en prenait plutôt aux vieux politiciens véreux, aux corrompu, à des gens en rapport avec le milieu…La manière précise qu'avait Schaolan de marcher le renseignait plus ou moins sur les motifs du tueur, d'ailleurs… Mais là ! Une jeune fille innocente avait payé pour lui.

Cela faisait deux jours que Schaolan était chez lui, et il refusait toujours de s'alimenter. Alors, comme Yuui cuisinait bien et qu'il n'avait rien d'autre à faire, il s'était dit, autant faire un peu de cuisine, ça le mettrait peut être en appétit… Tout en revenant du super marché, il avait réfléchit tout ça, avant de voir… Schaolan. Mais dans une tenue qu'il ne lui connaissait pas. Se faisant discret, il le suivit jusqu'aux bas cartier de la ville, là où tout bon officier qui voulait rester en vie un minimum ne mettrait jamais les pieds … Mais Yuui regardait la vie avec le sourire, et regardait la mort avec ce même sourire, il s'enfonça donc à la suite de Schaolan dans les ruelles sombres et sinueuses de la ville. Sa filature dura un petit moment avant qu'il ne s'arête, tout à coup. Flûte. Il avait été semé. Une question subsistait: le Schaolan qu'il avait laisser chez lui était dans un état effroyable, et quasi incapable de se lever tout seul … Il rentra chez lui pas des chemin détourné, se doutant bien que si on l'avait repéré, il serait suivi.

Il trouva Schaolan dans le même état dans lequel il l'avait laissé : endormis sur le lit. Il souri distraitement. Ou le garçon était encore plus dangereux qu'il ne le croyait, ou il avait vu double.

Il se dit qu'il verrait bien, de toute façon, cette partie d'avenir lui était inaccessible pour le moment. Il se mit donc aux fourneaux. Cela le reposait de cuisiner, ça lui permettait de se détendre et d'aborder sa vie plus sereinement. Si il ne cuisinait pas, il sombrait dans le stress et le doute. La cuisine était, avec le dessin, l'un de ses rares plaisirs et loisirs. Alors, qu'allait-il donc faire cette fois ? Il fixa son plan de travail en réfléchissant un instant, puis il retroussa ses manches et se mit au travail.

µ*µ

L'odeur de la nourriture réveilla Schaolan, qui n'avait pas manger depuis deux jours et demis, et qui, disons-le franchement, crevait la dalle. Il essaya de se lever, mais son corps en manque de vitamines ne suivi pas, et il s'effondra sur le plancher. La joue contre le tapis vert et or de la chambre de Yuui, sa conscience lui revint un peu. Il commença par se demander où il était. Et chez qui ? Il se souvenait de se qu'il s'était passé jusqu'à la mort de… Il sera les points aussi fort que ses muscles engourdis le lui permettaient. Des pas se firent entendre, dans le couloire. Le bruit de sa chute avait alerté quelqu'un. En toute logique, ce ne devait pas être un ennemi. Sinon, il l'aurait déjà tué. Ou, si il voulait lui soutirer des informations, il l'aurait attaché, au moins. A moins que la personne ait tellement confiance en elle qu'elle ne ce soit pas donné cette peine. Il réprima un tremblement. Il n'était pas en position de se battre… Mais il ne pensait pas qu'il aurait à le faire. Il ne savait pas ce qui lui faisait dire ça. Peut-être le tapis vert et or, peut-être le lit moelleux dans lequel il avait passé plusieurs jours, peut-être cette odeur divine qui lui parvenait depuis une cuisine quelque part… Peu importait, il était trop tard, la personne à qui les pas appartenaient poussa la porte et entra. Son premier geste fut de s'agenouiller et de poser une main sur le front de Schaolan, qui ferma les yeux, craignant une attaque. Mais la personne, qu'il ne distinguait pas bien a cause de ses yeux brouillé par un trop plein de larme versée, et encore plus de retenues, cette personne se contenta de mettre son autre main sur son front à elle, et de déclarer sur un ton enjoué au bout d'un moment :

« Tu n'as plus de fièvre. Tant mieux. »

Elle ôta sa main et l'aida à se redresser doucement.

Elle demanda :

« Comment te sent tu ? Tu peux parler ? »

Après un instant d'hésitation, elle précisa :

« Je ne te veux aucun mal, tu sais. Je ne suis pas ici pour te torturer. Mais tu ferais quand même bien de manger. Même si ça fait mal. »

Schaolan s'étonna que ses paroles soient si adaptées… D'autre lui aurait sûrement dit de se reprendre d'une autre façon. Voir, ils l'auraient forcé. Non, définitivement. Ce n'était pas un ennemi. Ou alors un ennemi profondément gentil et inagréssif, ce qui dans les relations humaines est plutôt, voir même très, rare.

Il hocha la tête et la personne se leva et le remit dans le lit, confortablement. Schaolan pensait que ç'était un homme, malgré son caractère doux, car sa force (il pesait quand même son poids) aurait été peu commune chez une femme. Mais la silhouette était trop mince et trop floue pour lui pour qu'il puisse deviner. La voix était tout aussi androgyne, par ailleurs, et ses mains longues, fines et douces, même si on sentait qu'elles étaient capable de beaucoup de chose. Ce qui n'était pas le moins du monde contradictoire avec le fait d'être ou non une femme l'exemple le plus flagrant qu'il avait en tête le replongea dans la tristesse et la culpabilité. Il aurait du l'écarter tout de suite, s'enfuir ! Ainsi, il « L »'aurait éloigné de sa princesse.

Une larme coula doucement sur sa joue. Jamais il ne s'était senti aussi seul qu'a cet instant. Elle avait toujours été là, depuis le début,… Et même quand il s'était engagé avec Lui, elle l'avait suivie. Sa gentillesse lui manquait tellement… Elle, elle aurait su trouver les mots, les dires pour qu'ils ne blessent pas, le prendre dans ses bras et lui murmurer qu'elle était là…

Mais elle ne l'était plus.

Plus jamais.

Plus jamais elle ne serait là.

Les larmes coulaient toutes seules, sans qu'il puisse rien y faire.

Il sera la couverture que la personne lui avait posée sur les épaules et pleura.

Yuui, après un moment, rentra dans la chambre. Il posa l'assiette qu'il avait préparée pour l'adolescent sur la petite table près du lit et le prix maladroitement dans ses bras, comme le faisait sa mère, dont il n'avait pour tout souvenirs que celui des berceuses qu'elle lui chantait pour l'endormir, le consoler, le calmer, le rendre joyeux… L'une d'elles lui vint spontanément à l'esprit et il la murmura à un Schaolan qui s'endormis après avoir levé les yeux une dernière fois sur cette personne mystérieuse. Ses yeux embué firent qu'il ne pu rien distinguer d'autre que deux taches d'un bleu profond comme l'océan sur une autre, blanche comme les pétales des perces-neiges.

µ*µ

Quand il se réveilla, il se sentait déjà mieux, physiquement, du moins. Mentalement, le mal-être persistait et il savait qu'il devrait vivre avec cette douleur pour le restant de ses jours. Il y voyait bien plus clair, et percevait très bien tout ce qui l'entourait. Y comprit une fort jolie assiette de porcelaine, recouverte d'une autre, pour éviter tous les désagréments que l'on peut avoir lors qu'on laisse de la nourriture à l'air libre pendant un certain temps. Combien de temps avait il dormis ? Il se souvenait que sa dernière prise de conscience datait d'un après midi. La lumière avant tout l'air de provenir de l'Est, c'était donc le matin. Assez tôt, qui plus est, car il faisait un peu froid.

Son ventre émis une sourde protestation à cette attente trop longtemps prolongée, et Schaolan prit l'assiette. Pour tout dire, même si son corps réclamait de la nourriture, il ne se sentait pas d'humeur à manger. Il se remémora les paroles de l'inconnu. Il fallait qu'il mange, même si cela faisait mal. Même si cela prolongerait ses souffrances. Pour l'instant, il n'était pas en état de réfléchir sur le sens que prendrait sa vie sans Sakura. Il retint ses larmes. Il devait juste manger, sans se poser de questions. On le lui avait demandé, il devait bien y avoir une raison.

Une fois qu'il eut finit, il reposa l'assiette sur la table. La personne n'était pas revenue. Elle dormait sûrement. Où peut être qu'elle n'était pas là. Il y avait plein de fait qui pourrait expliquer sa disparition de sa demeure. Dont celui qu' Il l'ait retrouver… A cette pensée, il paniqua. Non, plus jamais ! Plus personne ne payerait pour avoir été gentil avec lui ! Il se leva brusquement, aussi rapidement qu'il le pouvait, et il essaya de se diriger dans la maison. La tête lui tournait, mais qu'importait ? Il du souvent s'appuyer sur les murs, et il zigzaguait de l'un a l'autre.

Il se trouva enfin dans le salon. L'appartement était plus grand qu'il ne l'avait cru. Dans le salon, le divan lui tournait le dos, si bien qu'il ne pouvait voir qu'un pied dépassant. Il s'en approcha timidement, le toucha du bout du doigt. Froid. Affolé, il fit le tour de du divan pour se retrouver en face de cette personne mystérieuse. Effectivement, c'était un homme, Blond comme le soleil d'hiver, à la peau pale comme la neige. Il était plutôt grand, mais Il le dépassait d'une tête. Il était recouvert par une couverture élimée aux bords, la tête enfouie dans l'accoudoir du canapé. Une de ses épaules, nue, dépassait de la couverture. Schaolan la toucha de la même manière. Gelée. Le corps ne bougeait même pas pour montrer un signe quelconque de vie, une respiration… Il commença à s'affoler, et surtout, comme il n'était pas encore tout à fait en état de s'agiter, il perdit l'équilibre et tomba sur ses fesses. Le bruit, cette fois, réveilla la personne. Il avait des yeux magnifiques. Aussi beaux que deux saphirs. Ceux-ci le regardèrent un instant étonné, puis, leur propriétaire souris.

« Tu as bien dormis ? »

Schaolan hocha la tête. L'homme semblait être entre 25 et 30 ans… A vrai dire, Schaolan lui en donnait 27, pile poil entre les deux. Le jeune homme se frotta les yeux et se leva, laissant sa couverture telle qu'elle pour l'instant. Il se tourna vers l'adolescent et demanda :

« Tu as mangé ce que je t'avais laissé ? »

Schaolan hocha la tête. L'homme sourit de nouveau quand leurs deux ventres grondèrent. Il avait un beau sourire. Pas très naturel… Mais beau quand même. Et Schaolan n'avait pas le cœur à fouiller pour en savoir la raison. L'homme le regarda, il était toujours en pyjama.

« Tu peux te lever ? Je mets la table tout de suite. »

Schaolan hocha la tête de nouveau, sans hésiter. Il se mit debout, sous le regard quand même prudent de son hôte. Quand celui-ci le vit debout et dans de bonnes dispositions pour marcher, au moins jusqu'à la cuisine, il lui indiqua la direction de celle-ci et se dirigea lui-même vers sa chambre, pour se changer. Au moment d'atteindre le couloir, il se retourna vers Schaolan et lança :

« Au fait, je m'appelle Yuui. »


Voilà, c'est finit pour cette fois. La suite, c'est seulement si vous la voulez vraiment.

Si vous me tuez avant, ça sera dur, pensez-y…

Ceci dit, défoulez vous avec le petit bouton en dessous…

Remarques, fautes, même les félicitations, j'accepte tout !