CHAPTER 1
- Dans quelques instant, l'avion en provenance de Paris atterrira sur la piste de l'aéroport de Jacksonville. Veuillez remettre vos ceintures, fit l'hôtesse.
Et voilà, plus quelques instant et ma vie pendra un autre envole. Cela fait maintenant six ans que je n'y suis pas retourné, six ans que je n'ai pas revue ma famille paternel. Je suis heureuse de les retrouver même si c'est dans un concours de circonstance Funeste.
Car il y a de cela un moi mes parents disparaissaient au cour d'un accident de voiture alors qu'il revenait de leur diner au restaurant qu'ils faisaient chaque année pour fêter leur anniversaire de mariage. Je n'avais eu alors que pour seul foyer la maison de mon oncle et ma tante.
Eléazar et Carmen Swan , le premier étant le frère de mon père.
Avec quelques amis de mes parents, j'avais organisé leurs funérailles. Quelque chose de simple, quelque chose à leur image. Il avait fallu vendre leur cabinet dentaire, avec l'argent obtenue et celui de l'héritage j'aurais très bien pu être indépendante mais la loi Françaises l'interdisant j'avais eu seuls choix, le foyer ou le pays natal de mon paternel.
Quitter Paris n'avais rien de très difficile pour moi, plus rien ne m'y attachait, plus rien ne m'y retenait. Je n'y avais plus aucune famille et étant une asociale je n'avais pas d'amis. Mais nouvelle vie, disait nouvelles résolutions, c'est pourquoi j'avais décidé de changer et d'aller vers les gens.
L'avion entama sa descente et je regardai à travers le hublot, A l'inverse de Paris, en novembre, la Floride était ensoleillé et les températures dépassaient les 20°C, le soleil voilà quelques chose qui allait me plaire.
Je sortis rapidement soufflant de soulagement, je n'aurai pas supporté quelques minutes de plus le voisin malodorant et bavard que j'avais eu.
J'entrai dans l'aéroport bondé, et partis pour récupérer mes valises. Devant le tapis-roulant se trouvait un couple que j'aurai pu reconnaitre entre mille.
L'homme était de grande taille, avait une chevelure brune de même couleur que ses yeux. Sa silhouette mince et bronzée rappelait celle de sa femme.
Elle était aussi brune, mais de petite taille et avait de grand yeux bleus. Eleazar et Carmen semblaient eux aussi, m'avoir reconnu leur mine devint réjouit :
- Bella ! cria Carmen en me prenant dans ses bras.
L'accueil chaleureux me fit plaisir, ils combleraient le vide affectif qui c'était installé depuis leurs décès.
J'attrapais mes bagages que Eleazar s'empressa de m'ôter des mains.
Nous partîmes vers la voiture, une Mercedes noir. Le trajet débuta en silence, jusqu'à ce que Carmen le brise
- Le voyage s'est-il bien passé ?
- Oui.
- Pas trop dur de quitter la France ? Demanda Eleazar
-Non.
- Nous avons reçu tes affaires hier ! Ajouta Carmen.
- D'accord.
Voyant que la discussion ne démarrait pas, ils abandonnèrent quelques peu peiné.
Je devais me faire accepter, et aussi accepter cette nouvelle vie. Je laissais de côté ma retenue et tentais de paraitre plus chaleureuse :
- Il fait toujours aussi beau, ici ?
- Oui malgré les orages très violents qu'il peut y avoir, répondit Carmen.
- Où est Emmett ?
- Il est chez sa petite-amie. Une jeune fille très charmante, malgré sa froideur apparente
- Qui est-elle ?
- Rosalie Hale.
- Je suis pressé de la rencontrer, dis-je avec un entrain forcé
Nous arrivâmes très rapidement à ma nouvelle maison. C'était une demeure typique des États-Unis comme on en voyait souvent dans les séries Américaine.
Nous entrâmes, la décoration était belle et simple, rien d'extravagant, tout ce qui me correspond.
Eleazar monta mes valises à l'étage, et moi, je suivis Carmen qui me montra ma nouvelle chambre.
Je tombais immédiatement sous le charme de ma nouvelle antre,les mur était peint en chocolat et beige et le reste de la décoration s'harmonisait parfaitement avec les ton de la chambre. . Il y avait un grand lit baldaquin entouré de vaporeux drapé et surmonté d'une tête de lit blanche qui me faisait penser à celle du 18em siècle, pleine d'arabesque.
Tout le reste du mobilier était d'un écru laqué du bureau, en passant par la commode.
S'étendant en dessous de mon lit, se trouvait un tapis à poil long couleur chocolat.
- Ta chambre te plait-elle? Me demanda ma tante.
- Oui, je l'adore.
Elle eu un immense sourire, qui eu le don de me faire sourire à mon tour.
- Ce sont tes affaires pour l'internat, dit-elle en me désignant le bureau.
J'allais désormais aller dans un internant pendant la semaine et je ne reviendrais dans cette maison que pour le week-end.
Je m'avançais vers le bureau et regardais les manuel qui s'entassaient. Espagnol, français, Anglais, Biologie, Histoire-Géographie, Histoire de l'Europe, Physique-Chimie et Maths. Pour mon plus grand malheur, plus de philosophie.
- Tu parles très bien l'Anglais.
- Merci c'est grâce à... à mon père, dis-je d'une voix qui dérailler quelque peu.
- Oh, je te laisse t'installer, je vais préparer le diner. Tu pourras déballer tes cartons en entendant.
- Bien.
Parler de mes parents me faisait encore mal, la coupure était encore fraiche et n'avait pas vraiment cicatrisé.
Je me tournais vers les cartons, je pris le cutteur et qui était posé dessus et les ouvris un par un.
Les deux premier contenaient mon impressionnante collections de livre, qui passait du théâtre jusqu'au roman, du fantastique au policier, du dramatique au romantique.
Le suivant était remplis d'un amas de CD et de DVD. Ensuite il y avait ma chaine hifi, ma télé mon lecteur DVD et mon ordinateur portable.
Puis mes vêtements qui tenaient difficilement dans mes deux énormes valises, je n'étais pas une fashion victime, mais j'aimais être bien habillé.
Je rangeais le contenu des trois premiers cartons sur les étagère. Je mis ma télé et mon lecteur DVD sur le coté, je l'installerais plus tard et je branchais ma chaine hifi en la posant sur mon bureau.
Et enfin il fallu disposer, mes vêtements dans la penderie, puis mes sous vêtements dans la commode. Je soufflais un bon coup quand ce fus finis. Il restait un gros cartons, dedans s'entasser de nombreuses paires de chaussure et de sacs. Je les pris et les rangeaient à leur tour. J'avais enfin terminé.
Mais une couverture prune attira mon attention, je mis ma mains dans le carton et effectivement il restait quelque chose.
C'était un album photo, mon cœur se mit à battre plus fort. Je m'effondrais sur mon lit et me mit à le feuilleter.
Des la première page il y avait un photo de famille, nous étions à la plage à Narbonne. J'avais quatre ans et je faisais un château de sable, entouré de mes parents qui riaient, ma grand mère avait du prendre la photos.
J'observais mes parents, Renée et Charlie Swan, plein de vie.
Charlie, ses grand yeux bruns et sa chevelure brune qui bouclait, que j'avais hérité d'ailleurs comme son teint porcelaine.
René elle arborait un teint plus halé, de petit yeux noisette qui pétillait et des cheveux raides comme des baguettes châtains.
Une larme, puis deux suivit d'un torrent de larmes coulèrent malgré moi.
Pourquoi sa me faisait aussi mal, on aurait dit qu'un poignard était planté au plus profond de mon cœur et que chaque souvenirs d'eux le remuer, et le tout produisait une grande douleur morale.
Je le refermais d'un coup sec, refusant de me faire souffrir plus. Je n'étais tout de même pas masochiste. Je le reposer sur ma table de chevet puis descendis rejoindre ma tante.
Elle était dans la cuisine et s'affairer autour des fourneaux.
Quand elle m'entendit enter elle se tourna, son sourire disparu faisant place à une mine alarmé;
- Bella tu as pleuré?
- Non, pourquoi, mentis-je.
- Tu as les yeux rougis par les larmes.
Elle s'avança et me pris dans ses bras, me serrant contre elle.
- Tu as le droit de pleurer Bella. Sa fait souvent du bien. Ils ont peut-être disparut mais ils resteront à jamais dans ton cœur je peux te le promettre.
- Oui je le sais.
Elle se décolla, et m'observa, me sondant des ses iris couleur du ciel d'été.
D'un geste tendre, tel un mère qui console son enfant, elle m'essuya les larmes en dessous de mes yeux.
- Je peux t'aider? Demandais-je une fois calmée pour de bon.
- Oui tu peux mettre la table s'il te plait. Tout est prés il ne reste plus qu'à dresser.
- D'accord.
Je partis vers la table et me mit d'abord à placer les set de table. Puis je mis les assiette, ensuite les serviettes pliés, sur lesquelles je positionner les couverts et devant chaque assiette je rajoutais un verre.
Et voilà, j'avais finis ma tache. Alors que j'allais me retourner pour prévenir Carmen, je fus soulevais à au oins un mètre du sol.
- Bella!
J'aurais reconnu cette voix tonitruante entre mille, sa ne pouvait être que Emmett.
Il me posa au sol et d'un geste brusque, je me retournais sur lui pour me jeter à son cou.
Comme il m'avait manquer, moi et mon cousin avions toujours étaient proche.
Comme il m'avait manqué pendant six ans, six ans sans entendre ses blagues graveleuses, son rire tonitruant ou encore le voir faire son coureur de jupon.
- Et bien on dirais que je t'ai manqué BelliBella.
- BelliBella.
- J'ai passé la semaine pour te trouver un petit surnom.
- Mais je vois que tu as encore fait appelle à tes méninges, BelliBella c'est très recherché, dis-je d'un ton ironique qu'il ne sembla pas percevoir.
Les enfants on mange, nous informa ma tante.
- Manger! Nourritures! A table!
Je ris en le voyant se dépêcher ou plutôt se jeter sur le table. Il n'avait pas perdu son goût pour la nourriture et ressembler au Emmett que j'avais quitter.
Il avait des cheveux cours brun, des petit yeux marrons et la carrure d'un ours. S'il n'étais pas constamment entrain de sortir des blague plus bêtes, les une que les autres il ferait surement peur à la population.
Je m'assis devant lui et me servit une part de tare au poulet. Il ne mangeais pas, il dévorait sa nourriture.
- Alors comme sa tu t'es trouvé une copine?
Il me jaugea étonné.
- Et oui, répondit-il avec une pointe de fierté.
- N'étais tu pas coureur de jupon?
- Oui, mais plus depuis que j'ai trouvé la femme de ma vie.
- Oh non Em' tout mais pas ça, tu es devenu un de ces romantique en chamalow.
- L'amour ma changé ma chère, fit-il théâtralement.
- Ou alors c'est par ce que ta copine ta dompté.
- Moi dompté jamais, même si ma Rosie d'amour à un fort caractère c'est moi l'homme.
- N'importe quoi.
Nous finîmes de manger, en riant à l'entente de souvenirs passés.
A la fin du diner, Eleazar et Emmett s'éclipsèrent pour aller regarder un match.
Cela me fit repenser à mon père, un accro du foot américain comme du shocker.
- Je vais faire la vaisselle, dis-je à ma tante.
- Non, c'est inutile.
- J'y tiens, vous m'accueillaient chez vous, il est normal que je participe.
- Et il est normal pour nous de t'accueillir. Tu dois te sentir ici, chez toi.
- D'accord.
- Et j'ai une solution, pour ce problème.
- Laquelle.
- Le lave vaisselle.
Alors vous me laissez débarrasser?
- Si tu y tiens.
- Je me levais et me mis à débarrasser la table, avant de remplir le lave vaisselle.
Un fois que ce fus fait, je partis prendre mes affaire pour me laver.
La douche me fit du bien, l'eau chaude dévalant mon corps me détendit, ainsi que l'odeur de mon gel douche à la fraise.
En sortant je m'enroulais dans une serviette et me mis à sécher mes cheveux mouiller, puis je m'étalais de la crème hydratante sur le visage pour enfin mettre mon pyjama.
Un simple short de pyjama accompagné d'un débardeur.
Je sortis de la salle de bain plus fraiche.
Je m'étalais sur mon lit en attrapant un livre au passage, alors que j'étais en plein dans la lecture d'orgueil et préjugé un raclement de gorge me fit sursauter.
- Pardon je ne voulais pas te faire peur, affirma Carmen.
- Ce n'est rien.
- Je suis venu t'apporter de quoi faire ton sac.
Je constatais qu'effectivement elle transportait plusieurs choses.
- Voilà un sac, des valises m'ont parut trop grosse.
Elle me tendit un sac de voyage en cuir marron, de taille moyenne.
- Puis des serviettes et des gants de toilette pour la bas.
Elle me donna quelques serviettes éponges rose bleu et violet et des gants de toilettes assortis.
- Et enfin de quoi faire ton lit là bas.
Elle me passa une parure de lit violette avec des motif en arabesque compliqué dessus.
- Merci Carmen.
- Mais de rien ma chérie.
- Aurais-tu besoin d'autres chose.
- Non sa ira.
- Tu me préviens à la moindre chose.
- Oui.
Elle me fit un sourire me laissant à ma lecture. Demain promettait d'être une journée riche en surprise.
Voilà le premier chapitre de notre fiction,j'espere qu'il vous à plut. Si vous voulez la suite n'hésitez pas à le dire avec une review.
Bisous Mau' and Math. :D
