Orgueil et préjuges
CHAP 1
-"En vain ai je lutter mais rien n'y fait je ne puis réprimer mes sentiments, permettez moi de vous dire l'ardeur avec laquelle je vous admire et je vous aime. En me déclarant ainsi j'ai pleinement conscience de parler à l'encontre du jugement de ma famille, de mes amis et dois je le dire de mon propre jugement. Les situations respectives sont telles qu'une alliance entre vous et moi ne pourrait être perçu que comme hautement reprehensible par la sociéte. Ma raison me dicte de la considerer ainsi moi meme mais je ne puis m'y resoudre. A peine vous avais je rencontrer que j'éprouvais pour vous une admiration et une inclination passionnée qui en depit de mes efforts ont eu raison de toutes objections rationnelles. Je vous supplie donc avec ferveur de mettre fin a mes souffrances en consentant a devenir ma femme".
-"En de telles circonstances, je pense qu'il est d'usage d'exprimer de la reconnaissance et d'éprouver de la gratitude mais je ne le puis. Je n'ai jamais desiré votre affection et c'est certes très à contre coeur que vous me l'a donnée. Connaissant votre position dans la société et votre fortune je serais bien stupide de refuser une demande comme celle ci. Mr Darcy", dit elle en se levant, "j'accepte votre demande mais sous certaines conditions".
Mr Darcy qui avait palit tout au long de son discours hésita quelques secondes puis accepta d'écouter ses conditions bien qu'il n'affirma pas de les accepter.
-''Apres avoir entendu ses conditions sachez que je vous autorise à retirer votre demande.'' Voyant qu'il n'avait pas l'intention de répondre elle continua. ''Je vous demande de ramener Charles à Netherfiels près de Jane. Puis lorsque nous serions marier ma famille aura le droit de nous rendre visite. Et comme vous le savez Longbourg possède un entail et de se fait lors de la mort de mon père, ma mère et mes soeurs se retrouveront sans toit. Je vous demande donc de leur trouver un logement et de survenir à leur besoins le moment venu. Et dernièrement il faut que vous sachiez que je ne vous aime pas et je ne vous aimerez jamais".
Mr Darcy tourna la tête et pris quelques secondes pour réflechir et d'un air decidé il s'approcha d'Elizabeth et accepta ses conditions.
-"En êtes vous certain Mr Darcy"? lui demanda t elle d'une voix tremblante. Elle esperait qu'il serait choqué qu'une femme négocie une demande et de ce fait aller retirer sa demande,
-"Miss Bennet, toute ma vie j'ai été convoité pour ma fortune et ma richesse. J'y suis en quelques sortes habituer. Alors oui j'en suis certain".
-"Maintenant il vous faut l'approbation de mon père".
-"Evidemment… Puis je vous rejoindre à Longbourg quelques jours après votre depart ? J'ammenerais Bingley avec moi et j'aurais ainsi rempli une des conditions".
-" J'aurais aussii le temps de parler à mon pere avant vous. Je vous dit donc au revoir" dit elle en lui faisant la reference
Mr Darcy lui baisa la main, lui fit son plus beau sourire qu'elle ne vit pas ayant baisser les yeux, et lui dit qu'il avait hate de la revoir et s'en alla,
Après son depart, Elisabeth courru dans sa chambre et éclata en sanglot. Comment sa vie pouvait changer ainsi ? Pourquoi a-t-il fallut que l'homme qu'elle avait jurer de hair lui dise qu'il l'aime. Quelle ironie du sort, elle Elizabeth Bennet qui avait jurer de ne se laisser entrainer dans le marriage qu'avec l amour le plus profond, se voyait fiancer à un homme qu'elle haissait. Comment allait-t-elle supporter cet homme orgueilleux, fier et detestable ?
Les jours suivants elle apprit que le Colonnel Fitzwilliam et Mr Darcy étaient rentrer à Londres. Elle n'en fut que peu toucher. Cela lui éviterait d'avoir à revoir l'homme qu'elle devait à présent appeler fiancé et bientot epoux.
Rien que d'y penser cela la faisait fremir. Charlotte remarqua le changement d'humeur de son amie. Elle ne souriait plus, ne taquinait plus, ne rigolait plus. Elle mis cela sur le fait que le Colonnel Fitzwlliam était partit et qu'il lui manquait.
La semaine se déroula plutot paisiblement. La derniere soirée d'Elizabeth au Kent se déroula à Rosing. Lady Catherine qui avait remarqué l'air melancolique qu'affichait Elizabeth lui posa un tas de questions auxquelles Elizabeth répondait par momosyllabes. Elle avait hate d'être chez elle. Elle voulait se confier à Jane et parler au plus vite à son père mais craignant tout de meme leurs reactions. Elle savait que sa mere serait au dela de l'extase étant donner que sa fille aura à disposition 10.000 livres par an. Son père et Jane seront les seuls à vraiment s'inquieter s'il y avait vraiment de quoi s'inquiéter….
