Jasper à reçu un beau cadeau d'Elena, la passion. Il va mettre en pratique son nouveau cadeau avec sa tendre et chère Alice. Alice devra se lâcher et Jasper oublier le vocabulaire correct.

Nous entrons dans une chambre que je ferme à clé, principe de précaution.

—Tu es sûr que cela ne peut pas attendre la maison.

—Chut, jeune fille de bonne famille. Laisse-moi plutôt te le démontrer, une fois ma démonstration terminée je te laisserais seule la décision. Attendre ou pas attendre la maison. Mais tu ne dois pas me faire d'objection jusqu'à la fin.

—D'accord, fait donc ta démonstration.

Je m'approche d'elle, colle son corps contre le mien et fais en sorte que son visage soit dans mon cou.

—Tu sens bon, me dit-elle, quelle est cette odeur.

—L'odeur de la passion, l'odeur des ailes jaunes.

—Des hormones, ça ta gavé d'hormones. J'ai envie de te manger tout cru.

Elle m'embrasse goulûment le cou, ouvre ma chemise et embrasse mon torse. Sauf que ce n'est pas comme ça que je veux que ça se passe. Je la repousse délicatement, je sais quoi lui dire.

—On se calme, on dirait Bella.

—Bella a peut-être raison en fait.

—Chut c'est mon cadeau, c'est moi qui mène la danse.

Je lui enlève sa jolie chemine, elle est décorée de fin carreaux rose et bleu, ma femme à tellement bon goût. J'ouvre la fermeture éclair de sa jupe et la laisse tomber à ses pieds. Je soulève Alice et pousse négligemment ses vêtements plus loin. Je me mets à ses genoux, ma tête arrive à la hauteur de son sexe, je frotte mon nez dessus, je l'entends respirer plus fort. Je sais qu'il en faudra beaucoup plus pour la faire crier comme je l'aimerai l'entendre. Je me baisse vers ses pieds que je libère de ses chaussures. Elle a perdu quelques centimètres, Edward à raison ma femme est un vrai petit lutin, mais sacrément bien gaulée.

—Tu n'as pas oublié, aucun commentaire pendant ma démonstration ?

—Oui, dit-elle, sans conviction.

—Bien.

Je sors une paire de ciseaux et je les approche du soutient gorge de ma douce. Je sens Alice à deux doigts de parler, mais elle ravale ses paroles. Je découpe soigneusement, à deux centimètres des baleines, afin de libérer sa poitrine. Je pose un peu plus loin l'outil de mon délit. Je caresse ses seins avec ma langue méthodiquement, de la base du sein jusqu'au téton. Celui-ci devient de plus en plus dur, mais je n'arrête pas, je continue jusqu'à entendre un petit « ah » s'échapper de ses lèvres. Alors, je fais de même à l'autre sein, je la vois qui commence à frotter ses cuisses l'une contre l'autre, c'est un bon signe. J'ai enfin mon deuxième « ah ». Je caresse sa taille, je sais qu'elle est chatouilleuse à ce niveau-là. Bingo elle répond à mes caresses.

—Jasper ?

—Je n'ai pas fini, tu auras la parole que plus tard, alors chut. Je te laisse quand même le droit d'exprimer ta satisfaction, tu vois ce que je veux dire.

—Oui.

J'embrasse son ventre, dur comme de la pierre, mais sensible comme un voile. Je laisse ma langue s'égarer dans son nombril, comme s'il agissait de son clito. Elle me caresse la tête, fourrageant mes cheveux de ses doigts, mais surtout en appuyant dessus pour me faire descendre vers son triangle. Je me relève et l'embrasse doucement, puis moins doucement et enfin frénétiquement. Je la prends dans mes bras et la dépose sur le lit. Je fais courir l'index de ma main droite autour de ses seins, je descends faire des ronds sur son ventre. Je descends encore, je suis à la limite de sa culotte, elle écarte les cuisses, je le passe sur son sexe protégé du tissu vers l'arrière et reviens vers l'avant en appuyant un peu plus fort. Je l'entends jouir, doucement, étouffer par ses lèvres comme d'habitude. J'embrasse ses cuisses en les écartant un peu plus et j'attrape mon arme. J'entaille alors son slip dans la longueur d'un bout à l'autre pour me laisser le plus de marge. Je prends les coussins que je glisse sous ses fesses offrant par le même coup son sexe gonflé près à exploser. Je caresse de mon indexe ses lèvres fermées, l'entrée de son anus, elle trépigne. Je passe ses grandes lèvres, elle respire fort, je passe sur son clito j'entends un petit « iihhh ». Doucement j'avance la tête vers son sexe, je ne la touche pas encore qu'elle commence déjà à gémir, ses gémissements me nourrisse et je fonce sur son clito et l'aspire en le titillant du bout de ma langue. Elle gémit encore plus, mais je sais qu'elle se retient, un doigt puis deux dans son intimité fait augmenter le volume. De mes deux doigts je tente de caresser le fameux point G, le volume augmente encore. Je la sens monter, encore et encore et j'arrête. Vampiriquement j'enlève mes vêtements, je m'approche d'elle, présente mon sexe à l'entrée de son vagin. Je respire profondément et rentre en elle, elle crie pour la première fois. Je reste enfoncé le plus profondément possible pendant quelques secondes, je sors et j'entends un râle sourd, puis je rentre à nouveau, elle crie une deuxième fois. Je commence à faire des aller retour, comme dirait certains je la ramone de plus en plus rapidement.

—Alice, lâche-toi.

—Ja ... ja ...jasper je ...

—Lâche-toi, imagine qu'on est seul au monde. Ahhh

—Mais …

—Putain lâche-toi, cri, encourage-moi. Tu aimes ?

—Ouiiiiiiiiiiiiiiii.

—Alors, dit-le, cri-le, réclames-en plus.

—Je peux ? Alors, accélère, oui, non encore plus vite. Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ahhhhhhhhh.

—Plus fort.

—Oh non, ce n'est pas possible !

Elle relève d'un cou son torse, prend ma tête dans ses bras me serrant de toutes ces forces et cri et pousse un cri de jouissance fort et libéré. Tout son corps tremble, telle une crise d'épilepsie, son vagin écrase mon sexe en cadence et je sens une explosion de mouille et elle finit par retomber sur le matelas les yeux révulsés. Elle n'a jamais jouie de la sorte.

Elle ferme alors les yeux et semble comme endormie, je reste là immobile à la regarder. Elle si belle, si parfaite, si gentille, si douce, si parfaite. Puis doucement elle ouvre les yeux et me sourie.

—Coucou beau blond.

—Coucou, ma reine. Alors, ta décision suite à ma démonstration ? On attend la maison ?

—C'est moi qui décide ?

—Oui c'est toi, si tu veux je peux sortir le jeu d'échec.

—Et toi ?

—Moi ? J'adore les échecs.

—Mais tu n'as pas joui.

—Ce n'était pas au programme, la seule chose que je voulais c'était que tu te laisses aller et t'entendre jouir haut et fort.

—Ok, à moi de dérouler mon programme, couche toi à ma place. On va commencer par une vidange.

—Alice ? Quelle vocabulaire ! dis-je en m'allongeant à sa place, les coudes posés sur la matelas, soulevant mon torse.

—Je crois que je me suis lâchée un peu trop, dit-elle en avance sa tête de mon sexe tout en me regardant dans les yeux.

—Ce n'est pas grave, dis-je en lui caressant la joue, je ne suis pas fan de ces genre d'expression, mais c'est moi qui t'ai demandé de te lâcher.

Elle prend mon sexe en bouche, je la regarde faire et j'aime le spectacle qu'elle m'offre. J'ai l'impression de profiter de ma femme et de la rabaisser, mais ses yeux me disent le contraire, elle aussi elle aime. Je sens que je vais jouir, j'incline la tête en arrière et j'explose dans sa bouche.

—N'avale pas tout, je veux goûter, dis-je étonné par moi-même.

Mais quelle idée ! Elle monte vers mon visage et s'immobilise à quelques centimètres de ma bouche, elle ouvre alors la sienne et ma semence coule doucement. Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas correct de faire une chose pareille. Je l'attire alors vers moi et l'embrasse, buvant tout ce qu'elle avait gardé.

—Je t'aime, merci.

—Ne bouge pas, je n'ai pas fini.

Elle monte ensuite à califourchon sur moi, en position accroupie. Elle commence par se caresser avec de longues caresses, puis se saisissant de mon sexe elle se caresse avec et enfin elle le fait entrer dans ses fesses. Nous ne l'avions jamais fait et je n'osais même pas l'imaginer. Elle commence des vas et viens, le dos bien cambré. Elle se caresse de plus belle son sexe, un gémissement fort et sans aucune retenu monte dans sa gorge, j'aime. Mon sexe serré dans l'étroit passage. Mais d'un cou elle s'arrête, reste à califourchon, mais me tourne le dos. Elle fait rentrer ma verge dans son vagin, elle recommence les vas et viens. Quelque minute passe et elle se laisse tomber sur les genoux et pose son dos contre mon torse. Je me mets alors au travail faisant bouger mon sexe dans son sexe avec en prime je remplace sa main pour la masturber. Je maltraite son clito sans ménagement ce qui l'a fait jouir encore plus fortement que la première fois. Je l'entends grogner comme si elle allait attaquer, le vampire qu'elle est se montre sans masque. Les contractions de son vagin me font alors jouir donnant des contractions dans mon corps tout entier.

On se repose un peu, couché l'un contre l'autre, je n'ai plus la notion du temps. Elle se retourne enfin pour me dire.

—J'en veux encore.

—Désolé, mais les trois heures sont passées et ... mince rhabille toi ils ouvrent la porte. T'inquiète j'ai une idée pour toi, mais patience.

Comment trois heures avaient pu passer si vite ?