Je vais faire quelques précisions sur la fiction :

- Elle se déroule environ un an après Breaking Dawn (au début de l'histoire)
- Les loups imprégnés dans le livre le sont dans ma fiction avec leur véritable imprégnée.
- La plupart du temps le moindre détail est important et à retenir !

Tout les lieux et personnages appartiennent à Stephenie Meyer ! Seuls Haven, sa familles et quelques amis sont de moi (personnages tertiaire en somme) !

...

. Au-delà de l'imprégnation .


.

Je ferme mon casier et le retourne pour faire face au couloir déjà remplis d'élèves. Je me dirige tranquillement vers la salle de classe quand je percute quelque chose ou quelqu'un de pleins fouets. Je tombe à la renverse et évite de justesse de me prendre le mur en pleine tête.

- Aï..ïe !
hurlai-je.

Je me mets en position assise en me tenant l'épaule gauche, j'ai la sensation que si je la lâche, mon bras tombera. Super génial. En plus je suis gauchère.

- Tu...tu t'es fait mal ?
me demande un garçon que je reconnais être Jacob Black.
- Oui ! J'ai la légère impression que mon épaule est déboîtée...
- Ah..euh... Excuse-moi, je suis vraiment vraiment désolé ! Je...je vais t'emmener à l'hôpital !
- Et comment ? À moto peut-être ? La bonne blague. dis-je sarcastique.

Tout le monde sait que Jacob Black s'est découvert une infinie passion pour les bolides à deux roues. Moi, je n'aime pas les motos, ça me fait peur, je n'ai absolument pas confiance en ses machines là. Même les voitures me font peur, c'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle je n'ai pas mon permis, j'ai refusé de le passer. Toujours par terre, je me sens soulever.

- Ma..mais qu'est-que tu fais ?
- Je t'emmène à l'hôpital !
- L'infirmerie n'est pas si loin et en plus le médecin scolaire est là auj...

Je ne peux finir ma phrase que je suis déjà dehors devant sa moto. Je regarde Jacob en lui lançant un regard plein d'interrogations.

- Je connais un bon médecin à l'hôpital de Forks, sa belle-fille est ma meilleure amie.
- Cullen ?
- Comment tu sais ça toi ? me demande-t-il incrédule.
- Quand une fille de dix-huit ans se marie à Forks ça fait son petit effet... J'en ai entendu parlé pendant un long moment...

Il me repose à terre et me tends un casque, je le regarde bizarrement et soulève très difficilement mon épaule gauche à l'aide de ma main droite. Il m'enfile le casque sur la tête et me l'attache.

- Monte et tiens toi à moi.
m'ordonne-t-il.

Je lâche mon bras gauche et attrape Jacob par la taille, je sers son t-shirt le plus fort possible. Il est bouillant et il n'est pas malade puisque Jacob Black et ses copains sont les seuls gars que je connaisse à être en t-shirt en hivers... C'est assez spécial...

Une fois à l'hôpital, il demande aussitôt à voir Carlisle Cullen et expliquant brièvement la situation, l'aide-soignante nous demande de patienter quelques minutes, qui s'avèrent être des heures, enfin une. Je suis aussitôt pris en charge par le qui, je dois l'admettre, est un super canon. Il regarde ma fiche patient.

- Haven McGeller, dix-sept ans, luxation de l'épaule gauche. lit-il.
- À cause de moi, en plus, Doc !
- Et bien, je vais remettre ça en place. Très bien Haven, met ta main droite sur mon épaule.

Je m'exécute. Il pose ensuite une de ses mains sur mon épaule, je grimace légèrement au contact et attrape doucement mon bras de l'autre.

- Ça va faire mal, tu as le droit de crier et tu peux serrer mon épaule aussi fort que tu le souhaites.

Ça va être difficile, le mec, on dirait du marbre. Pâle, froid et dur. D'un geste professionnel et rapide il remet mon épaule en place, j'hurle. Une fois l'action finis je me stoppe. Je ne suis même pas sur d'avoir eu mal, en fait, je ne sais même pas ce qu'il s'est passé, j'ai hurlé voilà. a dit que je pouvais, alors peut-être qu'inconsciemment, j'ai décidé de le faire... Il me pose une atèle.

- Merci Doc ! Tu me sauves encore une fois ! dit Jacob.
- Encore une fois ? le questionnai-je. C'est plutôt moi qu'il a sauvé ! Merci !
- N'importe quoi, allez, sauvez-vous !

Je le remercie encore une fois et sort de la salle d'examens, Jacob sur les talons.

- Je te ramène ?
- Encore heureux ! m'esclaffai-je.

Il rit doucement et me tends une seconde fois son casque de moto, je le fixe d'un regard qui se voulait être noir. Il rit de nouveau et me pose le casque sur la tête et me l'attache. Il grimpe sur sa moto et je me place derrière lui, je m'accroche de la même manière qu'à l'allée. Une fois à La Push, la réserve Quileute, il ralentit et me demande de le diriger, je lui explique la route en me demandant comment il réussit à m'entendre...

Il s'arrête devant ma maison, je descends de la bécane, retire le casque et le lui tends. Il me le prend aussi sec de la main et me salue, je lui dis au revoir et je tourne les talons. J'ouvre la porte et un petit monstre accours vers moi, je me baisse automatiquement pour avoir un câlin.

- Taaataaaa ! dit-il en sanglotant. Milo...Milo respire pu ! Y respire pu !

Je me relève à une vitesse qui me semble surhumaine et cours dans la chambre de Milo. Je le trouve allongé par terre, les yeux révulsés.

- Miky, chéri, va jouer dans ta chambre, s'il te plaît ! ordonnai-je.

Il obéit, percevant l'inquiétude de ma voix. Je m'approche de Milo et pose ma tête contre son petit torse, j'entends, faiblement, son rythme cardiaque. Je vois qu'il a la bouche ouverte et après une fine observation, je constate qu'il a quelque chose de coincé dans la gorge. Ni une ni deux je prends mon téléphone et appel une ambulance. Je pratique tant bien que mal un massage cardiaque au bébé allongé au sol. Quelqu'un décroche.

- Service des ambulances de Forks, bonjour ?
- Bonjour, je...Mon neveu a avalé quelque chose de travers, un jouet, il ne respire presque plus, j.. j'ai besoin d'aide ! sanglotai-je à mon tour.
- Mademoiselle, dites-moi votre nom et votre adresse ?
- Haven McGeller, j'habite à La Push...

Je lui donne le reste de mon adresse et mon interlocuteur raccroche. Voyant que mon massage cardiaque ne sert à rien, une évidence me frappe. Gorge obstruée. Aucune respiration possible. Je me relève et cours à la cuisine. Je prends un couteau et je cherche un stylo bille. J'ai déjà vu ça dans des films. Trachéotomie qu'on appelle. J'ai déjà vu ça.

Je remonte à une vitesse hallucinante, enfin, pour moi et retrouve Milo dans la même position, je m'accroupis à nouveau à ses côtés et je touche sa gorge de mon index. Je sens l'objet de malheur et souffle un bon coup. Je démonte entièrement le stylo en ne gardant que le tube. J'approche la pointe du couteau de la gorge de mon neveu et y fait un trou, j'enfonce légèrement le tube du stylo a bille. Très vite, sa respiration devient normal et je commence à le voir bouger.

Au loin les ambulances arrivent, j'entends les sirènes. Milo gigote dangereusement et je le cale comme je peux avec des peluches. Je le maintiens en place. Les sirènes se rapprochent.

Quelqu'un toque à la porte.

- Miky, Mike chéri, va ouvrir, va leur dire que c'est ouvert, vite ! criai-je.

J'entends ses petits pas descendre les escaliers et crier à travers la porte que c'est ouvert. Les ambulanciers entre.

- Là-haut ! criai-je de nouveau.

Je pleurs, encore et toujours depuis l'instant où mes yeux se sont posés sur le petit corps de Milo. Les ambulanciers sont maintenant à mes côtés.

- Bon reflex jeune fille. Tu as eu du cran, ton neveu est sorti d'affaire grâce à toi.
- Sor...ti... d'affaire ?
- Oui et tu peux être fière.

Il m'aide à me relever. Mike qui ne comprend rien s'approche de moi.

- Tata ? Pou'quoi les môsieur ils emmènent Milo dans les 'bulances ?
- Milo est malade mon cœur, mais ne t'inquiète pas, ça va aller, d'accord ?

Je me penche et il s'accroche à mon cou, je le soulève. Dans mes, du moins, mon bras, Mike me fait un bisous et essuie mes larmes doucement.

- J'aime pas bien quand tu pleurs ! dit-il fermement.

Je ris doucement et je lui fais un autre bisous.

- Mais j'aime bien tes bisous d'amour sur la joue ! Un jour, j'aurais une 'moureuse et je lui ferais un bisous d'amour sur la bouche comme y font Papy et Mamie !
- Oui, mais ça, ça sera quand tu auras au moins trente ans, d'accord ?

Une jeune ambulancière nous regarde en souriant, elle s'approche de moi.

- Ce sont vos neveux, c'est bien ça ? me questionne-t-elle.
- Oui, quand je suis rentrée tout à l'heure ils étaient seuls, ce n'est pas normal. Ma sœur ne fait jamais ça ! C'est une bonne mère...
- Je pense qu'il y aura une convocation chez une assistante sociale à cause de ça. m'informe-t-elle.
- Si ça pouvait lui éviter de recommencer une bêtise pareille, j'irais avec joie !

Elle regarde Mike qui s'accroche à moi encore plus fort.

- Toi, tu es adorable comme tout ! Tu me fais penser à mon petit garçon ! lui sourit-elle.

Il se détend et rit doucement. Je suis les ambulanciers au rez-de-chaussé et je laisse un mot à mes parents au cas où il n'écouterait pas leurs messageries. Je vais à l'extérieur, je ferme la porte à clef et me retourne vers les ambulances. J'aperçois Jacob mis à l'écart, je lui fait signe et il s'approche de moi à grands pas.

- Ils ne voulaient pas me laisser entrer, j'ai vu un bébé sur un brancard... ils n'ont pas voulu me laisser te voir ! dit-il énervé.
- Tu as fait demi-tour pour moi ?
- J'ai entendu les ambulances et quand j'ai vu qu'elles allaient vers chez toi je me suis inquiété, tu n'as qu'un seul bras...

Je baisse les yeux sur mon atèle et regarde de nouveau Jacob.

- Ce n'est rien, tu peux rentrer chez toi, merci de t'être inquiété... lui souris-je doucement.
- Tata ? Je peux descendre ?

Je pose Mike à terre et il rejoint des ambulanciers, je le vois monter dans l'ambulance où est son frère.

- Trachéotomie ? Ce n'est rien effectivement ! rit-il franchement.
- Je... J'ai vu ça dans des films...
- Je te rejoins à l'hôpital. Rejoint tes neveux, les ambulanciers t'appellent !
- T'es pas obligé de venir, tu sais...
- Je ne te laisse pas le choix, en plus, je t'ai déboîté l'épaule.

Je rejoins Mike et Milo dans l'ambulance et le chauffeur démarre. Je sanglote une nouvelle fois. Mike me prend la main pour me réconforter.

Très vite, nous arrivons à l'hôpital de Forks où Milo est pris en charge immédiatement. J'attends patiemment que mes parents me rejoignent dans la salle d'attente, Jacob s'assoit à ma droite sans un bruit et me tend sa main que je saisis.

- Merci... soufflai-je.
- C'est normal Haven ! Tu aurais fait ça pour moi...

Il me sourit. Un sourire à la Jacob Black, c'est-à-dire resplendissant. Ne vous méprenez pas, je ne suis pas amoureuse du lui, non, il ne m'a jamais vraiment intéressé, je sais, par contre, que c'est un garçon adorable. Ce n'est pas le genre de garçon à chercher des embrouilles, même après s'être mis a traîner avec Jared Cameron, Paul Lahote, s'être disputé avec Embry Call qui avait rejoint les deux autres et après s'être disputé avec Quil Ateara V pour rejoindre les trois autres, fin bref, maintenant ils traînent tous ensemble et je me souviens avoir entendu mon père, dire qu'ils prenaient des stéroïdes.

Je regarde ma main accrochée à celle de Jacob.

- Dis ? Tu prends des stéroïdes ?
- Non, pourquoi cette question ?
- Je...j'ai entendu parler de ça un jour, je... je voulais savoir si c'était vrai...avouai-je penaude.
- J'ai eu une poussé de croissance, un truc génétique, en fait les copains et moi on a un lien de parenté ou je ne sais quoi, du coup, eu aussi l'ont eu et je fais pas mal de muscu.
- T'es pas obligé de t'expliquer, je voulais juste savoir la raison pour laquelle mon père te tuera, l'épaule, les stéroïdes ou ma main dans la tienne...

Je rougis à une vitesse impressionnante. Jacob rigole, du coup, je rougis encore plus, je suis vraiment gênée... Mike cesse de gambader de-ci de-là pour revenir vers nous. Il se poste devant Jacob et grimpe sur ses genoux. Jacob Black se fige sur place mais se détend très vite.

- Tata elle s'est fait mal alors je peux pas faire la sieste contre elle. dit-il à Jacob.

Il se blottit contre Jacob qui, encercle sa petite taille pour éviter qu'il ne gigote trop et tombe. Mike ferme les yeux progressivement et sa respiration ralentit.

- Il t'aime bien ! annonçai-je doucement.
- Ouais, en général j'ai un bon feeling avec les petits...

Les minutes défilent à une vitesse réduite, j'ai l'impression d'attendre depuis des jours.

Une heures après mon arrivée à l'hôpital, mes parents arrivent, je me redresse et Jacob lâche ma main aussi sec. Je me lève très vite et cours vers eux, je me réfugie dans les bras de mon père.

- Qu'est-ce qu'il s'est passé ? me questionne-t-il.
- Les deux petits étaient seuls à la maison, Milo a avalé un jouet...
- Mon dieu et il va bien ? Où est ta soeur ?
- Des aides-soignante viennent souvent, l'opération se déroule bien et Daphné n'est pas arrivée encore...
- Et toi, que t'est-t-il arrivée ? me demande ma mère.
- Jacob, assis là-bas, m'a bousculé sans faire exprès, mon épaule s'est déboîtée, il m'a amené ici directement...
- Et que fait-il là ? demande mon père légèrement en colère.
- Il s'est douté que quelque chose n'allait pas en croisant les ambulances. menti-je. Il a fait demi-tour... Si n'avait pas été là, je serais devenue folle... L'attente est insupportable...

Quelques instants plus tard ma sœur arrive dans l'hôpital, j'arrête aussitôt ma conversation avec mes parents et la regarde d'un œil mauvais, mes sanglots reprennent de plus bel.

- Il a faillit mourir à cause de toi ! À CAUSE DE TOI ! IL A FAILLIT MOURIR PAR TA FAUTE TU M'ENTENDS ? TU LES A LAISSÉS TOUT SEULS ET MILO A FAILLIT MOURIR !

Je m'approche d'elle dangereusement et un quart de seconde plus tard Jacob attrape mon poing que je commençais à lever dans la direction de ma sœur. Il me tire en arrière mais, je lutte tant bien que mal pour pouvoir enfin donner un coup de poing à ma sœur. Il m'attrape alors par la taille et me porte un peu plus loin près des sièges où nous étions installés quelques instants plus tôt.

Il me force à lui faire face et à ce moment là je pose ma tête contre son torse pour laisser place à mes pleurs incessant. Le s'approche de nous.

- Ahem...fit-il pour se faire entendre.
- Carlisle ? demande Jacob, froid.
- Je voulais rassurer Haven, pour son acte, il a sauvé la vie du jeune Milo et aussi prévenir qu'il est en train de dormir, seul la famille peut le voir.

Mes parents se précipitent au côté du , il les informe du numéro de la chambre. Ma mère se retourne voyant que je ne les suis pas.

- Tu viens ? me demande-t-elle.

Mais son ton intime plutôt l'ordre. Je secoue la tête négativement, je sais que je ne pourrais pas le supporter.

- Mme McGeller, votre fille est encore en état de choc, je ne pense pas que cela soit une bonne idée qu'elle entre dans cette chambre. annonce Carlisle Cullen.
- Très bien, tu... tu iras plus tard.

Je n'irais pas. Ça non.

- Jacob ? Tu...tu pourrait me ramener ?
- Ouais, viens.

Je le suis hors de l'hôpital. Devant sa moto, je saisis le casque que je mets, Jacob me l'attache. Je m'installe derrière lui, je m'accroche à son t-shirt et il démarre.

Une fois arrivé à la maison, je descends de la bécane et retire le casque que je le tends à Jacob. Il l'attrape mais, descends de la moto à son tour. Il attrape ma main et me tire doucement jusqu'à la porte d'entrée. Je l'ouvre et il entre, moi sur les talons.

- Sympa la baraque.
- Hem, merci.
- Tout le monde vit ici ? C'est ça ?
- Ouais, ma chambre et celle des petits sont là-haut.
- Ben alors, on monte ?

Il me pousse légèrement pour que j'avance. Dans ma chambre, Jacob regarde à peu près tout, il détaille la pièce de haut en bas lorsque son regard tombe sur l'étagère au-dessus de mon bureau, là où il y a mon loup en peluche et TOUT mes ouvrages sur les légendes Quileute. Oh non. Oh non. Pitié faite qu'il ne se foute pas de moi...

- Tu aimes les légende ? me questionne-t-il sans la moindre moquerie.
- Ouais, j'adore. avouai-je.
- Tu as raison. Les légendes sont géniales. dit-il enthousiaste.
- En secret, j'aimerais qu'elle soit vraie... Des guerriers loup et les sang-froid... Ça me fait rêver.

Il sourit et s'assoit par terre tandis que je m'installe sur mon lit. Il me regarde un instant puis tourne la tête vers mon loup au pelage brun-roux.

- Il s'appelle comment ?
- Hum, Wolfy.
- Super original ! se moque-t-il.
- J'avais quatre ans quand je l'ai eu... dis-je pour ma défense.
- J'aime la couleur en tout cas.

Je note une petite touche d'humour dans sa voix.

- Tu le trouves moche c'est ça ? Wolfy c'est le plus beau.
- Oui il est beau, mais il m'a juste fait penser à un truc drôle, mais toi tu ne comprendrais pas ! Je raconterai ça à Sam et les autres.
- Mouais. Enfin bon, tu vas rester là, assis par terre, alors que ton père doit t'attendre ?
- Ouais, j'aime bien ta chambre.

Et on reste là, assis à écouter les mouches voler. Il reste près d'une heure comme ça avant de décider de s'en aller, je le raccompagne à la porte.

- Tes parents vont bientôt arriver alors bon, vu que ton père n'a pas l'air de m'apprécier, je m'en vais. On se voit demain au lycée ?
- D'accord, pour demain. Mon père croit que tu prends des stéroïdes, mais je lui dirais que non.

Il s'éloigne en souriant et remonte sur sa moto, il met le moteur en marche puis relève la tête vers moi.

- Je viens te chercher à huit heures moins cinq au croisement.
dit-il en me montrant le croisement en question.

J'acquiesce et lui fait un signe de la main quand il démarre. Je le regarde s'éloigner non pas en direction de chez lui mais, vers chez Sam.

.


Coucou voici une fiction sur l'univers Twilight, centré sur les Quileutes, cette fiction me tiens à coeur et c'est la première que je fais sur ce sujet, donc j'espère qu'elle va plaire et que j'aurais des avis ! Bisous !