Bonjour a tous. Voilà une histoire qui n'est pas de moi mais que je veux vous faire partager.
Attention, l'intégralité de cette histoire appartient à Jane Austen, les personnage principaux on été remplacé par ceux de Stephenie Meyer.
J'ai adoré Twilight et j'ai adoré Orgeuil et préjugés et je me suis dit pourquoi pas faire découvrire cette dernière oeuvre aux fan de twilight qui ne la connaisse pas en incorporant les perso de Stephenie a l'histoire. Je trouvais que l'histoire s'y prêtait plutôt bien.
J'ai simplement remplacé les noms des personnages et modifié une description. Je le répète, l'intégralité de l'histoire est de jane Austen.
Le language est soutenu, l'histoire a été écrite au environ de 1800, donc c'est normal.
N'hésitez pas a lire.
Je le répète CETTE HISTOIRE N'EST PAS DE MOI! JE NE M'APPROPRIS EN RIEN CETTE OEUVRE ALORS QU'ON ARRETE DE ME DIRE LE CONTRAIRE. MERCI.
Je n'oblige personne a lire, ceux qui veulent lire l'oeuvre originale peuvent allé sur livrespourtous. com c'est gratuit et LEGAL.
Sur ce, bonne lecture.
C'est une vérité universellement reconnue qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune doit avoir envie de se marier, et, si peu que l'on sache de son sentiment à cet égard, lorsqu'il arrive dans une nouvelle résidence, cette idée est si bien fixée dans l'esprit de ses voisins qu'ils le considèrent sur-le-champ comme la propriété légitime de l'une ou l'autre de leurs filles.
– Savez-vous, mon cher ami, dit un jour Mme. Swan à son mari, que Netherfield Park est enfin loué ?
Mr. Swan répondit qu'il l'ignorait.
– Eh bien, c'est chose faite. Je le tiens de Mme. Long qui sort d'ici.
Mr. Swan garda le silence.
– Vous n'avez donc pas envie de savoir qui s'y installe ! s'écria sa femme impatientée.
– Vous brûlez de me le dire et je ne vois aucun inconvénient à l'apprendre.
Mme. Swan n'en demandait pas davantage.
– Eh bien, mon ami, à ce que dit Mme. Long, le nouveau locataire de Netherfield serait un jeune homme très riche du nord de l'Angleterre. Il est venu lundi dernier en chaise de poste pour visiter la propriété et l'a trouvée tellement à son goût qu'il s'est immédiatement entendu avec Mr. Morris. Il doit s'y installer avant la Saint-Michel et plusieurs domestiques arrivent dès la fin de la semaine prochaine afin de mettre la maison en état.
– Comment s'appelle-t-il ?
– Withlock.
– Marié ou célibataire ?
– Oh ! Mon ami, célibataire ! Célibataire et très riche ! Quatre ou cinq mille livres de rente ! Quelle chance pour nos filles !
– Nos filles ? En quoi cela les touche-t-il ?
– Que vous êtes donc agaçant, mon ami ! Je pense, vous le devinez bien, qu'il pourrait être un parti pour l'une d'elles.
– Est-ce dans cette intention qu'il vient s'installer ici ?
– Dans cette intention ! Quelle plaisanterie ! Comment pouvez-vous parler ainsi ?... Tout de même, il n'y aurait rien d'invraisemblable à ce qu'il s'éprenne de l'une d'elles. C'est pourquoi vous ferez bien d'aller lui rendre visite dès son arrivée.
– Je n'en vois pas l'utilité. Vous pouvez y aller vous-même avec vos filles, ou vous pouvez les envoyer seules, ce qui serait peut-être encore préférable, car vous êtes si bien conservée que Mr. Withlock pourrait se tromper et égarer sur vous sa préférence.
– Vous me flattez, mon cher. J'ai certainement eu ma part de beauté jadis, mais aujourd'hui j'ai abdiqué toute prétention. Lorsqu'une femme a cinq filles en âge de se marier elle doit cesser de songer à ses propres charmes.
– D'autant que, dans ce cas, il est rare qu'il lui en reste beaucoup.
– Enfin, mon ami, il faut absolument que vous alliez voir Mr. Withlock dès qu'il sera notre voisin.
– Je ne m'y engage nullement.
– Mais pensez un peu à vos enfants, à ce que serait pour l'une d'elles un tel établissement ! Sir William et lady Weber ont résolu d'y aller uniquement pour cette raison, car vous savez que, d'ordinaire, ils ne font jamais visite aux nouveaux venus. Je vous le répète. Il est indispensable que vous alliez à Netherfield, sans quoi nous ne pourrions y aller nous-mêmes.
– Vous avez vraiment trop de scrupules, ma chère. Je suis persuadé que Mr. Withlock serait enchanté de vous voir, et je pourrais vous confier quelques lignes pour l'assurer de mon chaleureux consentement à son mariage avec celle de mes filles qu'il voudra bien choisir. Je crois, toutefois, que je mettrai un mot en faveur de ma petite Bella.
– Quelle idée ! Bella n'a rien de plus que les autres ; elle est beaucoup moins jolie qu'Alice et n'a pas la vivacité de Lauren.
– Certes, elles n'ont pas grand-chose pour les recommander les unes ni les autres, elles sont sottes et ignorantes comme toutes les jeunes filles. Bella, pourtant, a un peu plus d'esprit que ses sœurs.
– Oh ! Mr. Swan, parler ainsi de ses propres filles !... Mais vous prenez toujours plaisir à me vexer ; vous n'avez aucune pitié pour mes pauvres nerfs !
– Vous vous trompez, ma chère ! J'ai pour vos nerfs le plus grand respect. Ce sont de vieux amis : voilà plus de vingt ans que je vous entends parler d'eux avec considération.
– Ah ! Vous ne vous rendez pas compte de ce que je souffre !
– J'espère, cependant, que vous prendrez le dessus et que vous vivrez assez longtemps pour voir de nombreux jeunes gens pourvus de quatre mille livres de rente venir s'installer dans le voisinage.
– Et quand il en viendrait vingt, à quoi cela servirait-il, puisque vous refusez de faire leur connaissance ?
– Soyez sûre, ma chère, que lorsqu'ils atteindront ce nombre, j'irai leur faire visite à tous.
Mr. Swan était un si curieux mélange de vivacité, d'humeur sarcastique, de fantaisie et de réserve qu'une expérience de vingt-trois années n'avait pas suffi à sa femme pour lui faire comprendre son caractère. Mme. Swan elle-même avait une nature moins compliquée : d'intelligence médiocre, peu cultivée et de caractère inégal, chaque fois qu'elle était de mauvaise humeur elle s'imaginait éprouver des malaises nerveux. Son grand souci dans l'existence était de marier ses filles et sa distraction la plus chère, les visites et les potins.
Voilà pour le premier chapitre je vais mettre le deuxième de ce pas. Je fusionnerais plusieurs chapitres a l'avenir car certains sont assez courts.
Biz
