Bonjour ! Voici ma première fan fiction sur Harry Potter, même si le premier chapitre ne l'évoque pas, cette fanfic sera davantage axée sur Drago Malfoy.

Je dis bien "davantage" , il y aura aussi d'autres personnages !

Je vous serais reconnaissante de poster des petites reviews si vous aimez ! Merci ^^

Mouhahaha, je vous souhaite d'aimer cette fanfic et je vous remercie d'avance !

~Prologue~

-Je vous suggère de ranger cette baguette sur le champ, Dolores ! Le ministère peut bien bombarder cette école de bombabouzes, il n'est pas et ne sera jamais question de renvoyer Potter !
-Le Ministère...
-Il me semble que le ministère a quelque peu perdu de sa superbe, aussi, Dolores, Minerva, Je vous suggère de cesser immédiatement cette querelle,qui, j'en suis sur ,n'aide aucunement Harry Potter.
Dumbledore avait prononcé cette phrase calmement, aucun signe d'irritation ne transparaissait, aucune nervosité, pourtant la situation s'y prêtait, oui elle s'y prêtait...

Chapitre 1 : Les Légumineuses.

Harry Potter... de nombreuses oreilles frémissaient à l'évocation de ce nom dans le monde de la magie. Les humains, eux, ne voyait en Harry qu'un petit pleurnichard défiguré, qui aimait se promener avec une petite branche à la main .Mais ce que les moldus ignoraient, c'est que Harry Potter, d'un geste maladroit, pouvait arracher la plus petite parcelle de vie de leur misérable enveloppe charnelle. Les seuls moldus ayant cette sombre information bien en tête, étaient les Dursley.

Les Dursley... les oreilles de Harry frémissait à leur évocation. Les sorciers,eux, ne voyait en ce nom, qu'une famille pathétique, confite dans le luxe sommaire de leur petit salon bourgeois. Et Potter concédait à dire, qu'ils avaient raison. Après avoir passé un été lamentable, Harry ne cultivait plus l'espoir de recevoir une quelconque lettre de Ron ou Hermione, et s'il s'était résolu à subir les humeurs de l'oncle Vernon, il ne pouvait raisonnablement pas accepter l'ostracisme dont il faisait l'objet. Chaque soir, il espérait trouver Dobby, sautant de bon cœur sur son lit, le même Dobby effarouché et tremblant, le même Dobby lui tendant les précieuses lettres de ces amis. D'un air agacé, il tripota la poignée de sa fenêtre, il aurait tout aussi bien pu l'ouvrir avec sa baguette, il le savait bien. Un simple « Alohomora ! » aurait pu lui éviter de tourner en rond, et pourtant...

À Private Drive, les lumières s'éteignaient peu à peu. Non loin de la maison des Dursleys, Hedwige était le témoin d'un étrange manège.

-HOAX ! Bon sang !!

-Calme toi Eliacin ! Ça ne sert à rien de s'égosiller, tu sais très bien qu'elle n'est pas douée pour ça ! Et puis c'est déjà suffisamment alarmant de transplaner au milieu des moldus !

-Alarmant ?! Un nargol en tutu serait moins alarmant qu'un transplanage au milieu des humains ! Si vous faisiez un peu preuve de prudence...

-Prudence ? Ne me fais pas rire, la prudence c'est pour les gens comme Fudge.

Ces quelques mots, prononcés sur un ton méprisant, émanaient d'une jeune fille. Celle-là même qu'Eliacin avait appelé Hoax. Elle portait un jean délavé et un sweat-shirt bleu ciel, et avait rabattu la capuche sur son visage, de sorte qu'un trou noir et béant siégé en lieu et place de son visage. D'un geste brusque, elle épousseta son sweat-shirt, et regarda ses acolytes d'un air qu'on aurait pu deviner fâché. Après s'être avancée, la jeune fille tapota le mur en face d'elle.

S'en suivit un grondement sourd et le mur tremblota. C'était un bruit dont Hoax semblait se délecter.

Elle fouilla dans un amas informe de briques et de poussières, porta ensuite la main à son sweat-shirt et remis le mur en place.

Plus haut, à l'une des nombreuses fenêtres qui parsemait la rue, une petite fille observait la scène, mais elle ne se doutait pas que le fardeaux de ces trois jeunes gens était plus noir que la nuit qui enveloppait Harrow Road.

Hedwige qui avait regardée la scène avec curiosité, décida de retourner chez son jeune maître. Lorsqu'elle se posa sur le bord de la fenêtre, Harry préparait sa valise et l'accueillit par un petit grognement. La chouette répondit par un hululement plaintif, lui signifiant son mécontentement. Un peu plus tôt, Potter avait reçu une lettre de Ron, l'invitant à passer le reste des vacances chez lui, il aurait du se sentir joyeux, ou au moins soulagé, mais son cœur subissait le joug d'une étrange amertume.