Hey la compagnie comment sa va ? Moi je vous avoue que je suis stressé car c'est le premier chapitre de ma première histoire, donc s'il vous plait soyez indulgent, et puis en plus je n'ai pas trouvé de correcteur donc ne soyez pas sévère avec les fautes d'orthographes merci ...

Donc cette histoire porte sur la vie amoureuse des enfants Malefoy et de comment les parents de ces derniers réagissent face à ça !

j'espère que cela va vous plaire et se ne sera pas OS puisque que chaque chapitre sera pour un enfants.

Voila à non j'oubliais que j'accepte les critiques tant qu'elles sont constructive voila, ont se retrouve en bas ...

...°°°°°°...

CHAPITRE 1 : Clarissa Malefoy

- Maman !

Des cris, toujours des cris, voila à quoi se résumait la vie de la famille Malefoy, seulement se n'était que des cris des joies.

Bon d'accord il faut avouer que quelques fois, c'était peut être des grognements de la part de Drago Malefoy, le père, de cette grande famille un peu particulière.

Cette fois ci c'était Clarissa qui venait de crier.

Sa mère Hermione, sourit, de qui tenait-elle cette petite ? De son père ou d'elle ?

Dans son bureau Hermione attendit quelques minutes seulement, avant que la porte s'écrase contre le mur dans un BONG sonore.

Clarissa, dix-neuve ans de son état, faisait les cents pas devants sa mère, sa tête n'exprimait qu'angoisse, ont pouvait lire dans Clarissa comme dans un livre ouvert. Elle ne tenait pas ce trait de caractère de son père par contre.

Puis tout à coup Clarissa s'arrêta, regarda sa mère dans les yeux, puis s'affala dans le canapé, avec l'élégance d'une baleine.

- Maman, gémit-elle, j'ai besoin de tes conseils.

- Qui-a-t-il ma chérie ? Répondit Hermione avec calme.

- Tu sais j'ai pas fais exprès, papa il va pas être d'accord…


Clarissa se rend sur son lieu de travail, la grande réserve national d'Angleterre.

En prenant ce travail, elle avait non seulement prit son indépendance mais en plus elle avait fait la fierté de sa mère et puis il fallait dire que c'était le job révé, elle gagnait bien sa vie, elle adorait lire donc être en présence de livre historique vieux de plusieurs centaines de milliers d'années, c'était un honneur et toujours une chance.

Elle entra dans l'immense pièce, dit bonjours en souriant à tous ses collègues, puis se mit au travail.

Rangement des livres, faire le tri, demander aux clients si ils avaient besoin de renseignements, faire des recherches pour eux, et tout pleins d'autres choses comme ça.

Lorsqu'elle rangea des livres dans la bibliothèque G, un homme se racla la gorge.

Clarissa se retourna aussitôt soucieuse de faire son travail le mieux possible, elle se retrouva nez à nez avec un homme brun d'age mùr.

- Miss, je cherche un livre sur la famille Goldstein, pourriez vous m'aider ? Lui dit-il de sa voix suave.

- Bien sur monsieur, vous êtes un Goldstein ?

- Oui pourquoi ?

- Simple curiosité, ma mère connaissais un certain Anthony Goldstein.

Sous l'intensité de ce regard vert, Clarissa baissa les yeux.

- Et qui est cette femme qui me connais, répondit-il avec douceur, et qui par la même occasion a donner naissance a une magnifique jeune femme telle que vous ?

Clarissa se mordit sa lèvre inférieur, était-ce un homme de l'age de ses parents qui la draguais ?

Avait-elle le droit de trouver cet homme sensuelle, magnifique, magnétique ?

Que dirait sa mère ? Et son père alors ? Elle avait une réputation de sainte ni touche, alors pourquoi succombait-elle au charme d'un homme qui était de vingt ans son ainé ?

Ce qui était sur, c'est que Clarissa n'était pas insensible à Anthony Goldstein et ce n'était pas bien, ce n'était pas bien du tout même, mais sa conscience était en grève depuis qu'elle avait posé ses yeux bleu sur cet homme.

- Hé bien jeune fille ?

Clarissa sortit de ses pensées.

- Hermione Malefoy, ma mère s'appelle Hermione Malefoy.

- Malefoy ? lui dit-il étonné, je ne savais pas, donc Hermione est aujourd'hui marié avec l'héritier de la famille Malefoy.

Reprenant contenance Clarissa répondit avec désinvolte :

- Où étiez-vous ces dernières années ?

- En voyage miss, sourit Anthony de son ton condescendant, c'est la première fois que je rentre en Angleterre depuis vingt-trois ans, assez parler, pourriez vous me donner les livres que je souhaite ?

Clarissa ne dit rien, elle était gênée par cet homme.

Elle lui donna les livres qu'il voulait.

Puis il s'en alla, n'oubliant pas de lui dire au revoir.


Hermione n'en revenait pas Anthony Goldstein était revenu sur le sol Anglais.

Elle était euphorique, elle s'en pressa de demander des nouvelles de lui à sa fille, laquelle apprécia moyennement.

- Maman, je te dit que j'ai ressentit du désir pour un homme de trente neuve ans, maman ! Il a ton age !

- Ho, mon dieu ! S'exclama Hermione, mais comment sa se fait ?

- J'en sais rien, maman, j'ai peur qu'il joue avec moi, que ce n'était que pour voir si il pouvait être encore charmeur ou si il …

Clarissa se mit a sangloter doucement, et Hermione se leva et viens serrer sa fille dans ses bras, sachant qu'il s'était passer quelque chose et que Anthony Goldstein y était pour beaucoup. Alors tendrement comme seul une mère peut le faire, elle lui demanda de continuer son histoire.


Anthony Goldstein était revenu tous les jours pendants deux semaines, demandant a ce que se soit Clarissa Malefoy qui l'aide.

Il voulais n'importe quel livres, l'histoire prolongé de Poudlard, la captivité des animaux préhistorique, les moldus, les familles les plus influente et plein d'autres …

- Miss Malefoy ?!

- Monsieur Goldstein, répondit Clarissa en se retournant, que puis-je faire pour vous ?

- Je voudrais aujourd'hui emprunter le livre sur la famille Malefoy.

Clarissa le regarda étrangement et elle se mit a marcher a travers les étagères remplit de livre en M, puis elle lui donna et lui demanda pourquoi, il voulait ce livre en particulier.

Il se rapprocha d'elle, la plaquant contre l'étagère et lui susurra à l'oreille :

- Pour connaitre un peu plus votre histoire miss, car j'aimerais que vous veniez boire un café avec moi demain.

- Je je …

- Pourquoi hésitez vous, je ne vous ferez pas de mal, n'ayez crainte je suis une personne de confiance, après tout je me suis battu aux cotés de votre mère pendant la guerre.

- Ce n'est pas ça Anthony …

Il souriait comme jamais, mais pourquoi souriait t-il comme ça ?

- Vous m'avez appelé Anthony, je peut donc vous appelé Clarissa.

Ce n'était pas une question, il se donnait le droit de l'appelé par son prénom, mais elle s'en fichait, tous se qui comptait, là, maintenant, c'était elle plaqué contre une étagère, lui collé a elle, si près qu'ils pouvaient sentirent leurs souffles se mélanger.

- Alors vous d'accord pour demain ?

- Oui, répondit avec vitesse Clarissa qui la surpris elle-même.

- Très bien, sourit Anthony, alors demain je vous prends après votre travail.

Puis il se retourna et partit avant qu'elle n'ait pu dire la moindre chose.


Sa fille pleurait toujours dans ses bras elle ne savait pas quoi dire, Anthony avait charmer sa fille, et elle ne savait pas ce qui c'était passé ensuite, alors avec crainte de ce qu'allait être dit, elle demanda à Clarissa la suite.


Lorsque que Clarissa sortit de son travail il était dix-huit heure trente, Anthony était déjà là.

Il l'attendais déjà, quand il l'a vit, il s'approcha lui fit la bise et ensuite ils marchèrent pendant de longues minutes, traversant le mur permettant de passer du monde sorcier à celui des moldus.

Brisant le silence Clarissa parla de sa voie douce.

- Coté Moldu ?

- Le coté moldu est fantastique, dans beaucoup de domaines, la mode, la musique, la gastronomie et puis il faut dire ce qui est, ils sont plus sympa que les sorciers.

- Pourquoi tu dit ça ?

Il se tendit, mais très vite il repris contenance et dit la voix haché par la colère ou alors l'émotion, Clarissa Malefoy ne serais dire.

- On ne sais pas sur qui on peut tomber, sa pourrait être des mangemort, et je n'est pas envie de payer pour mangé ou acheter quelque chose à quelqu'un qui à tué des gens de ma famille, des amis a moi, des simple connaissances ou encore des inconnu parce qu'il on eu le malheur de naitre différent ou car leurs âmes n'était pas emplit de noirceurs.

Clarissa ne dit plus un mot, puis elle s'aretta et dit la voix emplit de tristesse.

- Les mangemorts comme tu les décrits on tous étaient emprisonné a Askaban ou on dut subir le baiser des détracteurs, ceux encore en liberté sont innocent car ils n'adoptaient pas les valeurs que défendait Voldemort mais il on était forcé sous menace ou alors sous l'emprise de l'imperium.

- Tu les défends en plus !

- Je défends mon père ! cria Clarissa, ne crois pas que la guerre a était facile pour le camp adverse au tiens !

- Tu ne sais rien de ce que je pense et tu ne sais rien de la guerre, a part peut être de misérable écrit racontant combien c'était compliquer, tu es née hier !

Ils criaient maintenant en pleine rue, les moldus se retournaient, mais Clarissa et Anthony s'en fichaient éperdument.

- Je ne sais rien, dis-tu ? Répondit Clarissa avec tristesse, c'est toi qui ne sais rien, je n'ai peut être pas connu la guerre mais je sais que c'était tellement horrible que mon père prend des potions de sommeil pour dormir encore aujourd'hui, je sais que des gens on enduré les pires tortures quand je vois ma mère avec l'inscription « Sang de Bourbe » gravé dans sa chair, et que je vois le regard coupable de mon père tous les jours que Merlin fait, car il a était forcé sous peine de mort pour lui et sa famille, de tué Dumbledore, et tu sais quoi il en a était incapable lorsqu'il c'est retrouvé devant lui, il a baissé sa baguette ! Où alors le jour ou j'ai plongé dans la pensine de ma mère et que j'ai vu Luna Lovegood se faire violé, et tu sais le pire c'est que Luna n'en parle jamais, elle ne va pas bien, elle est toujours célibataire, elle s'ait déjà mutilé à cause des souvenirs horrible de cette période, tous le monde veut l'aider, mais personne ne sais comme s'y prendre par peur de la détruire encore plus. Ou de voir Molly Weasley émut aux larmes quand elle voit George parce qu'elle croit voir son fils, Fred, mort au combat, et George toujours gêné que sa mère n'arrive plus a tenir le coup et qu'elle s'effondre a chaque fois qu'elle le voit. Alors oui je c'est ce qu'est la guerre, mais comparer à toi, je la vois a cause des effets néfaste qu'elle a eu sur mon entourage.

Puis elle tourna les talons et partit, Anthony la rattrapa en lui prenant le bras, il la retourna et sans attendre l'embrassa passionnément.

Clarissa garda les yeux ouvert ne bougeant pas ses lèvres, Anthony Goldstein, un homme mûr, du même age que ses parents, l'embrassait.

Elle se disputait avec lui et la seconde suivante elle l'embrassait, alors elle ferma les yeux et renforçant le baisé, elle entoura sa nuque de ses bras, tandis que lui passa ses mains dans le creux de ses reins.

Le baisé pris de l'ampleur Anthony avait les mains baladeuse et Clarissa gémit.

N'ayant plus d'air ils se séparèrent a contre cœur, Clarissa plongea ses yeux dans ceux vert d'Anthony, puis de la même vois dirent :

- Désolé…

Un ange passa, puis ils se mirent à rirent, quelque seconde après Anthony redeviens sérieux.

- Je suis vraiment désolé, je n'aurais pas dut te prendre pour une gamine qui ne comprenais rien …

- Mais je suis une gamine pour toi, lui dit Clarissa avec tristesse.

- Non, Clarissa, tu n'es pas une gamine, tu es une magnifique femme de dix-neuf ans, et tu es beaucoup plus mur que ton age. J'aurais du te prendre au sérieux.

- Je ne t'en veux pas, dit elle en baissant les yeux, j'ai dix neuve ans, on a tendance a ne pas me prendre au sérieux quand je parle de la guerre.

Il prit son menton entre ses doigts et le remonta doucement, la fixant dans les yeux il lui dit avec tendresse :

- Clarissa quand je t'ai vu, toi et tes cheveux fous, ta belle chevelure blonde, et tes petits yeux bleus, j'ai eu peur pour la première fois de ma vie. Je ne savais pas comment une personne pouvait être aussi belle, puis je t'ai parler et j'ai compris que malgré ton jeune tu étais une personne très intelligente. Ton nom famille m'a un peu rebuté au début je l'avoue, mais tu m'avais ensorcelé de la plus douce des manière, et je t'assure que aucune femmes de mon age, plus vielle, plus jeune ne m'avait fait cet effet, se n'est pas pour ton age que je suis tombé amoureux de toi. C'est pour toi, pour ton intelligence, pour ta beauté, pour tous ce qui fait toi, se que tu es. Tu m'a jeté un sort ou alors tu as m'a donné un philtre d'amour parce que je t'assure, je ne vois que toi, je ne vois plus que toi, Clarissa. Et j'ai peur de se que je ressent parce que sa ne m'aie jamais arrivé.

Il avait dit cette tirade tellement belle, que Clarissa ne put que lui répondre qu'elle l'aimait aussi, avec les larmes aux yeux, pitoyable, il lui avait fait un discourt et elle, elle lui disait un simple.

- Moi aussi je t'aime.

Heureuse a l'extrême Clarissa lui avait pris la main l'avait emmené dans une petite ruelle reculé, l'avait embrassé et lui avait dit dans l'oreille qu'il serait mieux chez lui.

Alors s'en attendre il la prit dans ses bras et ils transplanèrent, dans le salon d'un appartement dans Londres Moldu.

Sans attendre ils embrasèrent, beaucoup. Se dirigeant vers la chambre, Anthony la fit tomber doucement sur le lit avant de se mettre sur elle, et de l'embrassé toujours plus.

Il commença à l'a déshabiller, mais avant qu'il n'est pus ouvrir le deuxième boutons de sa chemise en soie, elle lui dit tendu par l'angoisse :

- Anthony, je n'ai jamais …

Il sourit, l'embrassa, puis lui mordit le lobe de l'oreille et lui répondit qu'il serait tendre et qu'ils irons à son rythme, que si elle voulait arrêter à n'importe quel moment, elle n'aurait qu'a le lui dire, et il s'arrenterait.

Pourtant elle ne lui dit pas, en ayant envie.

Ce jour là, ils firent l'amour pour la première fois.


Clarissa s'était arrêter de parler attendant la réaction de sa mère, seulement Hermione était bien trop sous le choque de cette nouvelle qu'elle ne dit rien, sa petite fille et Anthony Goldstein avaient couchés ensemble, il avait vingt ans de plus qu'elle.

Sa mère ne disant rien Clarissa pleura a chaudes larmes, serrant le corps d'Hermione comme si elle avait besoin d'une bouée de sauvetage.

Hermione se ressaisit et caressa doucement les cheveux de sa fille, aussi blond que ceux de son père, mais la texture, et les boucles étaient pareil au siens.

Puis la porte s'ouvrit sur un Drago plutôt de bonne humeur, mais quand il vit la détresse de sa femme qui tenait sa fille totalement dévasté dans ses bras, sa bonne humeur retomba aussitôt.

Puis Clarissa releva sa tête, ses joues étaient striés de larmes, puis elle dit trois mots qui détruit Drago.

- Je suis enceinte.

Hermione pâlit, Drago se sentit mal, tout à coups il s'assit regarda sa fille pleuré et sa femme resserrer son étreinte.

Qui avait touché le corps de son bébé ? Qui l'avait mise en cloque ?

- Qui ? Lui demanda Drago avec calme se qui était beaucoup inquiétant.

Sa fille ne répondit pas pleurant toujours, la colère pris le dessus, il se leva, et fit tombé le vase qui était posé sur le bureau d'Hermione, il explosa par terre, faisant sursauté Hermione, et pleurer un peu plus fort Clarissa.

Puis Drago cria :

- Qui, ta mise en cloque, Clarissa ?

Clarissa releva la tête vers son père.

- Je l'aime et il m'aime papa, alors ne t'énerve pas.

- Il t'aime, laisse moi rire Clarissa, il a eu ce qu'il voulait, tu crois qu'il s'en merder avec une gosse de dix-neuve ans ?

- Il m'a dit qu'il m'aimait, répondit doucement Clarissa ce qui provoqua l'éclat de rire nerveux de Drago.

- Il t'a dit qu'il t'aimait, et alors c'était pour te mettre dans son lit, et toi imbécile que tu es, tu l'a crut.

Hermione lâcha sa fille, se leva et se mit devant Drago, puis avec hargne elle lui dit de se taire.

- Ont va trouver une solution, tous ensemble.

- Moi vivant, jamais Clarissa n'aura un gosse aussi tôt, elle avortera.

- Drago ! l'avortement dois se réfléchir, nous n'avons pas recours à l'avortement de bonté de cœur, sa la vie d'un bébé qui est jeu, alors si on peut éviter se serait bien.

- De toute manière, s'interposa Clarissa, le délais est dépassé je suis enceinte depuis plus de deux mois et demis.

Hermione et Drago se turent quelques secondes.

- Tu l'a revu pendant ses plus de deux mois ? Demanda Drago la gorge nouée.

- Oui.

- Quand ?

- Tout les jours après le travail, il vient me chercher et ont va boire un café et je vais chez lui…

- Tu couche encore avec lui ? Sa lui avait couté de dire ça.

- Oui, mais je rentre toujours à la maison ensuite.

Elle avait baissé la tête et rougit, Drago s'était prit la tête entre ses mains, si il avait ce type en face de lui, il le tuerait.

- Qui est-ce ? S'il te plais dis le moi.

- Anthony Goldstein, répondit-elle après une brève hésitation.

Drago tomba par terre de stupeur, Hermione se précipita sur lui et l'assied sur le canapé, après un petit moment sans rien dire Clarissa lui demanda de dire quelque chose.

- Qu'est-ce que tu veut que je te dise Clarissa, tu t'ai fait avoir, il a vingt ans de plus que toi, il a notre age. Il a du prendre son pied tiens, une gamine ! Il a s'ait fait une gamine.

Clarissa se releva énervé et cria sur son père pour la première fois de sa vie :

- Je ne suis plus une gamine, et Anthony le sais lui, il sait que je suis une vraie jeune femme, et tu sais quoi papa ? Il m'aime, il me l'a dit et je le crois.

- Moi aussi avant ta mère je leurs disait un discours d'amour pour qu'elles viennent sous mes draps et pourtant je ne l'aient connaissaient même pas.

- Peut être, dit doucement mais avec animosité Clarissa, mais lui comparé a toi, se n'est pas un manipulateur, la preuve tu étais à Serpentard alors que lui, c'est un Serdaigle comme moi.

Puis elle partit, dans le salon on entendit le plop significatif du translanage.

Clarissa Malefoy était partit rejoindre Anthony Goldstein, son amour et le père de son enfant à venir.

Clarissa était allé chez Anthony, tambourinant de toute ses force à la porte de son appartement, mais personne ne répondait.

Elle s'assied parterre, il allait revenir. La nuit commençais à tomber et toujours pas de trace d'Anthony, Clarissa fini par rentrer chez elle à minuit, la mine défaite.

Il l'avait abandonné son père avait raison, et elle comme une idiote elle l'avait crus, et maintenant elle était enceinte à dix-neuve ans, impossible pour elle d'avorté, de toute manière elle en aurait pas eu la force de le faire.

Elle passa le hall d'entrée s'apprête à monter les escaliers menant à sa chambre, mais la lumière du salon s'alluma, son père apparut sur le sofa.

La mine angoissé quand il la vit, il parut se détendre un peu, mais suffisamment.

- Tu lui a dit ? Lui demanda t-il la voie rugueuse.

- Non, je ne l'ai pas vu, dit Clarissa en pleurant, je l'ai attendus mais il n'est pas venus.

Puis avec tristesse elle murmura si doucement que Drago se demandais si il avait bien entendus.

- Tu avais raison, il m'a abandonné … J'espère que tu es contant.

- Je ne suis pas content, comme ose tu dire ça ? Je t'aime Clarissa et je veut le meilleurs pour toi, seulement j'ai peur pour toi et tes sœurs, vous êtes mes filles et je suis votre père, c'est mon rôle de vous protégé. Et pour toi j'ai failli, je les laissé te toucher, je l'ai laissé te bousillé le cœur et je m'en veut ma puce si tu savais comme je m'en veux.

- Ce n'est pas ta faute papa, je suis vraiment désolé, j'ai étais naïve de croire qu'il pourrait m'aimer papa, mais je l'aime plus que tout et tu ne sais pas comme c'est dure de se dire que je vais élever notre enfants seule.

- Tu ne sera pas seule, ma puce, tu aura tes parents, ta famille, et tes amis, je t'aime n'en doute jamais…

Clarissa pris son père dans ses bras et s'endormit bercé par celui qu'elle considéré comme le seul homme de sa vie.

- Tu crois, il se passe quoi frérot ?

- Je ne sais pas trop, on va réveiller maman pour lui faire cracher le morceau ?

- Oui, allons-y.

Drago se fit réveiller par ses deux énergumènes de fils, de vrai petit Serpentards en puissance.

Jack et Henry Malefoy quatorze ans, régnaient déjà sur Serpentard faisant la fierté de leur père.

Aussi blond et pale que Drago, seul les yeux marron était emprunté a leur père.

- Vous, les serpents vous n'allez rien faire cracher a votre mère, et vous la laissez dormir, elle a besoin de se reposer.

Jack et Henry déçut partirent dehors jouer.

Pendant se temps Clarissa dormait paisiblement mais se réveilla subitement lorsqu'elle sentit une envie de vomir, elle se leva brusquement faisant tomber son père, et vomit ses tripes dans les toilettes.

- Se sont les aléas de la grossesse, dit Drago nostalgique, quand ta mère était enceinte de toi et de tes frères et sœurs, elle vomissait beaucoup, et je ne pouvait rien faire, donc je me contentais de lui tenir les cheveux et lui caresser le dos, ensuite je la relevait et lui essayer la reprendre ce role, pour ma fille cette fois si tu veut bien ?

- J'aurais aimé que se soit le rôle d'Anthony et non le tient.

Drago ne dit rien, son bébé souffrait, il le savait mais que pouvait-il y faire.

Après s'être habillé, Clarissa transplana sur son lieu de travail.

Toute la journée elle espéra voir Anthony, mais il ne lui rendit pas visite. Elle se rendit à l'évidence il l'avait abandonner.

Sept mois était passé, le ventre de Clarissa s'était arrondis, faisant le bonheur de sa mère, et désespoir de son père et la tristesse de Clarissa, Anthony n'était pas réapparut. Elle avait pris ses congé maternité au bout du troisième mois, et toute la journée elle regardait des comédies romantique en pleurant toute en mangeant de la glace à de la vanille.

C'est deux petite sœur Charlie et Dianna lui apportaient le diné dans sa chambre et Jack et Henry le déjeuné sa mère le petit déjeuné.

Pendant qu'elle regardait un film moldu « Titanic » elle eu tout a coup une contraction, se n'était pas la première fois mais là, c'était la pire, tout doucement elle se leva.

Quand elle se leva une flaque d'eau se forma sur le sol, paniquant elle cria « au secoure »

Sa petite sœur Charlie quinze ans rentra en trombe et vit sa sœur à terre soufflant fort.

Elle appela les jumeaux.

- Allez chercher papa, vite, cria Charlie

Quelques secondes après Drago rentra quand il vit sa fille comme sa, il la prit dans ses bras et se rendit avec la poudre de cheminette à Sainte Mangouste.

Arrivé sur place, des infirmiers les pris en charge, Hermione avec la famille Malefoy.

- Monsieur Malefoy ?

C'était une sage femme qui venait de parler avec une voix fluette, Drago s'empressa de répondre par l'affirmative, Hermione se rapprocha un peu pour participer à la discussion.

- Il y a des complications dans l'accouchement de votre fille, le cordon ombilical c'est entouré autour de la gorge du bébé, il n'y a pas de danger si il ne bouge pas, le problème c'est que la grossesse est arrivé a terme, il va donc sortir.

- C'est-à-dire qu'il va mourir ?

- Non pas si nous faisons accouché votre fille d'une façon moldu.

- Comment sa moldu ?

- Nous pratiquerons une césarienne, c'est-à-dire que nous lui ouvrirons le ventre, pour prendre le bébé directement dans le ventre.

- Mais elle va avoir mal.

- Non, nous endormons la partit sud de son corps plus son ventre, elle ne sent rien et pour pas qu'elle ne voit le sang on lui ferme les yeux.

- Alors faite ça ! Qu'attendais vous ?! Cria Drago hors de lui.

- L'autre problème c'est que le seul médecin sachant faire cette opération et actuellement à l'enterrement de sa mère et malheureusement si nous le faisons nous, cela risquerait de tuer Clarissa.

Hermione hoqueta, et serra Drago de toutes ses forces, Drago se dégagea de la poigne d'Hermione et tapa du poing contre le mur.

- Vous allez me trouver une solution pour que se fichu médecin revienne de l'enterrement de sa mère, sinon c'est notre famille qui allons subir un enterrement et je vous jure que le procès que je vous ferez fermera les porte de cet établissement avec les emplois qui seront supprimé, le votre le premier. Alors trouver une solution pour que ni Clarissa ni son bébé ne meurent.

- Nous ferons le maximum Monsieur Malefoy, en attendant de pouvoir joindre le docteur Goldstein.

Hermione et Drago tiquèrent à ce nom.

- Vous, commença Hermione, avez bien dit Goldstein ?

- Oui, Mrs Malefoy, c'est le seul médecin capable de faire une césarienne à votre fille.

- Donner moi, le lieu de l'enterrement Miss, je vais moi-même trouver Mr Goldstein, dit Drago, une flamme dangereuse dansait dans ses prunelles d'acier.

- Êtes vous sur ?

Cette femme devait être aimé, car quand Drago arriva au lieu de l'enterrement de Mrs Goldstein, beaucoup de monde pleurait, les femmes seraient dans les bras, les hommes avaient les larmes aux yeux seulement les hommes ne doivent pas pleurer, les imbéciles si ils savaient combien cela faisait du bien de chialer une bonne fois pour toute.

Il s'approcha d'un groupe de femmes pleurant, et il apostropha une vielle femme, lui demandant où se trouvait Anthony Goldstein.

- Si vous savez comme il est dévasté, je crois qu'il est allez se recueillir sur la tombe de cette pauvre Lucie.

- Merci Madame.

Drago courais maintenant, il arrivait sur la tombe de Lucie Goldstein et vit, en effet, un homme brun, aussi grand que lui, il était prostré sur la tombe et pleuré tout son soul dessus.

- C'est dur de vivre la mort d'un être cher. J'ai connu sa moi aussi.

L'homme se retourna et quand il vit Drago Malefoy, il baissa la tête de honte.

- C'est bon, ne t'en fait pas je vais pas fracasser l'homme que ma fille aime, mais si j'ai très envie. Tu as vingt ans de plus que elle et tu as couché avec elle, tu me fais pitié, mais je ne suis pas là pour ça. Aime tu ma fille ?

Anthony hocha la tête, ne regardant toujours pas Drago de peur de voir la colère d'un père s'abattre sur lui.

- C'est étrange tu la abandonné pendant plus de sept mois, sept mois ou elle avait besoin de toi. Sept mois ou c'est moi qui est joué ton rôle, je l'ai protégé de tous, je lui ai tenu le cheveux quand elle vomissait, ou c'est moi qui sentit les première contraction qu'elle a eu alors que se devait être toi !

Anthony avait relevé la tête quand il avait entendu le mot contraction, et Drago rit jaune.

- Eh oui, Clarissa est enceinte, tu sais comment on fait les gosse je suppose, et ma fille n'a couché qu'avec toi, tu es donc le père de mon petit fils. Mais ne t'inquiétè pas nous te demanderons rien, juste un petit service de rien du tout. Ma fille, est entrain d'accouché, seul bémol il y a eu des perturbations et il faut faire se que nous appelons une césarienne et tu es le seul de Sainte Mangouste a savoir la faire, alors tu va sauvé ma fille, parce que je te jure que si il arrive quoi que ce soit a ma fille ou a son fils, tu le regrettera amèrement.

Anthony n'entendit pas une minute de plus pour transplané, il arriva en trombe et demanda Clarissa Malefoy.

Arrivé dans la salle on se tenait la salle d'accouchement, il vit deux sage femme qui essayaient de retenir magiquement le bébé dans le ventre et Hermione Malefoy qui serrait la main de Clarissa en lui disant des paroles réconfortantes alors qu'elle paraissait souffrir le martyre, cette vision lui fit mal au cœur.

- Miss Randson mettez le drap en place, Mrs South donné moi le produit pour endormir les gambes dépêchez vous ! Cria Anthony.

- Anthony, murmura Clarissa émut, puis elle se mit a crier très fort.

- Ne te fatigue pas à crier Clarissa, il te faut des forces, je suis là maintenant et je te quitterais pas, dépêchez vous, s'exclama t'il à l'adresse des sage femmes.

Le cris déchirant, s'élévant dans la pièce, Anthony pris le bébé dans ses bras et le regarda, il était violet comme tout les bébés, mais il avait l'air en bonne santé.

Il mit ce petit gars dans les bras de sa maman, qui pleura en le serrant dans ses bras, comme elle était belle comme ça.

Il repris le bébé dans ses bras le nettoya et le mit dans une couveuse magique.

Puis il se dirigea vers Clarissa et Hermione compris qu'elle était de trop, elle embrasa le front de sa fille et sortit, ils se retrouvèrent tous les deux en silence.

- Je t'ai chercher tu sais ?

La voie d'Anthony brisa le silence.

- Comment ça ? Je suis allée chez toi tu n'y était pas, et tu n'est pas venu à la réserve, alors j'ai cru que tu m'avais abandonné.

- Jamais Clarissa, je t'aime trop pour abandonné. Et j'étais surchargé pendant des mois, je suis revenu sur le sol Anglais car ma mère était malade, étant médecin je devais faire mon possible pour la soigner. Et ensuite je suis allée à ton travail mais tu n'y étais pas et quand je demander où tu était il me disais qu'il n'avait pas le droit de le dire. Mais maintenant je vais rester avec toi, du moins si tu veut bien, parce que j'aimerais vraiment connaitre mon fils et vivre avec la femme de ma vie.

- Ho, Clarissa se mit à pleurer, oui je veut que tu reste avec nous.

Anthony s'approcha et embrassa Clarissa comme jamais, puis il susurra contre ses lèvres un je t'aime.

La porte s'ouvrit sur un Drago en pleine forme, quand il vit que sa fille se faisait manger la bouche, il s'énerva mais garda contenance.

Il était suivit de toute la famille.

Dianna rentra en courant et s'approcha d'Anthony et lui fit la bise tout en le remerciant pour avoir sauvé sa sœur et son neveu.

- Comment va s'appeler le gosse, demanda Jack

Anthony et Clarissa se fixèrent et puis il regarda son futur beau père gaga de son petit fils, suivant son regard Clarissa sourit tendrement à son amour et hocha la tête.

- Dray Antoine Goldstein Malefoy.

Quand Drago entendit le nom de son petit fils il sourit et une petite larme viens perler au coin de ses yeux, il n'y avait pas a dire il avait une famille extraordinaire.

Son bébé Clarissa venait de donné naissance à un petit Malefoy au cheveux brun.

Sa petite fille Charlie était le portrait craché de sa mère, courageuse et intelligente, une petite gryffondor en puissance.

Les jumeaux Jack et Henry était les roi de la maison Serpentard digne héritier de Drago.

Diana du haut de ses dix ans était vive et belle, avec sa peau de porcelaine elle en ferait tomber plus d'un , il faudrait qu'il l'a protège encore un peu de tout les hommes et de leurs testostérones.

Sa femme était radieuse et aussi heureuse regardant tout comme lui, sa progéniture d'une lueur émerveillé.

Ajouté a un nouveau membre de leurs grande famille, Anthony Goldstein, il faudra tout de même faire attention a lui.

Mais pour l'instant Drago était heureux et rien ne pouvait gâcher se bonheur.

...°°°°°°...

Comment ont se retrouve ?

J'espère vraiment que sa vous a plus, si c'est le cas, passez par la case review et si c'est pas le cas, passez quand même par cette case pour m'expliquer le pourquoi du comment.

Donc le prochain sera réservé pour Charlie.

QUESTIONS :

1) Voyez-vous d'un bonne yeux la relation d'Anthony et Clarissa ou trouvez-vous sa malsain ?

2) Qu'imaginez vous pour la futur relation de Drago et son nouveau gendre ?

3) Aimez-vous Clarissa, ou la trouvez-vous trop pleurnicheuse ?

4) Qu'imaginez-vous pour le futur de cette famille Goldstein ?

5) Souhaitez-vous que Dray Goldstein soit un personnage important pour les autres chapitre ?

6) Qu'imaginez-vous pour la vie amoureuse de Charlie ? Comment va t'elle se débrouillait pour faire enragé Drago et Hermione ?

7) Et pour conclure ce chapitre vous a-t-il plut, ou il faut que j'aille me cacher derrière un épouvantail ?

Voila a la prochaine fois ...