Bon donc voilà mon projet de fan fiction. Je vous prévient tout de suite que ma fic n'a rien de réaliste puisqu'elle sort droit de mon imagination tordue mais je tenait vraiment à écrire une fiction sur BB et A dont on ne parle vraiment pas souvent et qui sont des personnages très intrigants.

Enfin bon, si cette fiction marche bien je l'étendrai sûrement au reste de l'histoire mais on n'en ai pas encore là! J'espère que cette histoire (un peu tordu mais bon) vous plaira!

Bonne lecture à vous!

Raiting : T pour l'instant. Rien de bien méchant mais peu être pas très adapté à des moins de 13 ans.

Et par la suite peu être une partie un peu glauque....à voir

Pairing : BB & A. Je précise (au cas ou) que dans ma fiction je considère A comme une femme.

Disclamer : eh bien malheureusement jusqu'à ce que les auteurs de Death note accepte de me céder leur personnages, ils ne sont pas à moi! (enfin sauf si on considère que A m'appartient étant donné qu'elle(ou il d'ailleurs) n'est que vaguement évoqué dans Another note.


Son regard se posa sur son image que l'eau miroitante lui renvoyait avec force.

Un reflet, son reflet...

Non.

Pas son reflet.

Le reflet de celle qu'elle devait être. Pas celui de celle qu'elle aurait du, aurait pu, être.

Celui de celle qu'elle devait et qu'elle devrait toujours être.

Parce que celle qui aurait du vivre ne pouvait survivre dans ce monde cruel.

Parce que elle était bien trop naïve, bien trop gentille, bien trop stupide.

Parce que elle était beaucoup.

Et qu'elle ne pouvait qu'être rien.

C'était comme ainsi.

Elle avait finit par devenir l'un des nombreux personnages qu'elle avait du jouer, Cette fille surdoué seule et triste et inlassablement parfaite...

C'était son rôle.

Celle qu'il lui fallait devenir entièrement.

Ce que l'on attendait d'elle.

Celle qui devait être elle.

Sa vie n'avait été qu'une succession de rôle que la vie lui avait imposé.

Cette vie dont la cruauté avait détruit celle qu'elle aurait du être vraiment: elle.

Sa vie n'était qu'un tissu de mensonges, de rencontre forcé et de liens factices. Elle était vide.

Atrocement vide. Une simple coquille qui prenait la forme que l'on exigeait d'elle.

Parce qu'elle était morte... Il y a longtemps

Il ne restait qu'un corps sans émotion réelles. Sans émotions réelles non...simplement réalistes.

Un rôle dans lequel elle avait finit par se confondre, Pour bientôt ,elle le savait, disparaître totalement ne laissant derrière elle qu'un nom qui avait de puis bien longtemps perdu toute signification comme celle qu'elle avait réellement été.

Ce même nom qui flottait au dessus de sa tête. Du moins pour elle.

Personne ne saurai ni ne verrai jamais cet ultime vestige d'elle.

Personne ne se souviendrai d'elle.

Parce qu'elle n'avait jamais vécu qu'à travers de fausses émotions. Une comédie éternelle.

Et l'unique chose précieuse à ses yeux, ce secret que seul son cœur connaissait, mourrai avec elle.

Ne resterait que cette chose.

Cette chose factice qui se reflétait dans l'eau. Un être humain.

Un être humain faux, même pas vraiment humain.

Un être parfait.

Une lettre....A

Elle se leva. Les action quotidienne d'une journée identique a toute celles qui l'avait précédée. Excepté le temps. Elle aimait ça. Parce que ça lui donnait une raison de douter parce que ce n'était pas régulier. Pas éternel, pas logique, par parfait.

Non. Pas parfait contrairement a sa vie. Une vie parfaite. La pire vie que l'on puisse imaginer.

Paradoxale? Pas pour elle. Parce que ce n'était pas parfait dans le sens commun du terme.

Mais dans le sens premier. Parfait. Toujours parfait.

Jamais trop, jamais pas assez. Non. Juste parfait et parfaitement parfait.

Un cercle parfait et infini.

Une perfection inhumaine. Insupportable.

Pour les autres comme pour celle qui l'était. Plus encore pour celle-ci.

Mais que pouvais t'elle y faire.

Mourir ?

Vivre ?

non.

Parce que aucun des deux n'est parfait.

Et qu'elle ne peut qu'être parfaite ou rien.

Après tout, ce sont deux synonymes...

et comme d'habitude dans ses apparences parfaites elle s'assoit au bord du lac et laisse sans que personne ne puisse le voir ses pensées vagabonder le plus loin possible. Pour survivre. Survivre a ce qu'aucun humain ne saurai supporter. Cette éternelle perfection.

Parce que l'humain par nature et imparfait, tout comme le monde.

Parce que elle aussi veut, ne serai-ce qu'un instant être un peu humaine.

Avant de redevenir inhumainement parfaite.

Mais le temps passe... comme les aiguilles de l'horloge...toujours identique...parfait.

Alors elle se lève tournant le dos au lac et reprendre le cour de sa vie. La répétition de sa vie.

Sans remarquer, qu'aujourd'hui, sur le cadran de l'horloge juxtaposé au grand manoir,

...la grande aiguille semble bien s'être arrêter...

ni qu'un jeune garçon vient d'arriver à la Wammy's.... un certain B...

Quelque chose venait de se briser...