Coucou tout le monde !

Donc, d'abord : j'ai honte, je suis en retard sur Albus. Mais je vais y revenir et cette fois attendre d'être sûre que vous n'attendiez pas.

Bon, en attendant... je ne fais ici qu'une annonce. Avec CaptainePoppins, on a passé plusieurs fois à parler d'une fanfic ensemble. Le projet a pris forme et avec le temps, c'est devenu... CA. Ca, c'est une fanfiction délire MAIS pas que, alcoolisée MAIS pas seulement, stupide MAIS référencée sur... sur Ombrage mais aussi - et surtout - nos personnages préférés, Minerva et Severus.

Dans un souci de cohérence, nous allons tout poster dans son compte. Du coup, je vous renvoie à la fiction "L'amour a ses raisons que la raison déplore" de CaptainePoppins... et pour vous allécher (j'espère) voilà les premiers paragraphes.

Je vous embrasse,

Bises, Bergère


Chapitre 1 : Harry Potter ou le Pot aux roses

15 novembre, 21h17 – Poudlard

Il avait fini par prendre l'habitude : sa main lui faisait mal. Enfin, mal… Sa main saignait joyeusement, par petites gouttes, c'était particulièrement ragoutant. Il leva les yeux : Ombrage, sa face de crapaud imbécile et imbu de lui-même, était penchée sur une feuille où elle écrivait. Il la détestait. Non, sans blague ? Il la haïssait. Hum. Il baissa les yeux sur sa feuille à l'encre rouge, il avait fait une pause en plein milieu d'un mot. Histoire que la plaie se referme, d'arrêter un peu de serrer les dents, et de rêver à l'essence de Murlap qu'Hermione lui fournirait tout à l'heure. Dans… une heure. Une heure ! comment le temps pouvait-il passer aussi lentement ?!

Rien ne changeait jamais dans ces punitions stupides – et hors-la-loi. Mais aujourd'hui, Ombrage toussait depuis dix minutes : le son était désagréable, mais avec un peu de sadisme et il aurait bien voulu s'imaginer qu'elle crevait de douleur. Une pauvre petite toux seulement, visiblement, mais enfin, ça ne tuait pas d'imaginer : en tout cas, ça tuait moins que Dolores Ombrage. Il avait recommencé à écrire, les dents serrées, quand elle se mit à tousser plus fortement : Ah ? On s'étouffait avec son thé ?

[...] Ah non, ça, c'était trop fort ! Il s'approcha, fixa le papier, le souleva même un peu vers ses lunettes comme s'il rêvait. Mais il ne rêvait pas. C'était vraiment trop fort, et trop drôle, et… la porte grinçait ! Précipitamment, il se rassit, et tenta de prendre un air sérieux.

[...]


Maintenant les amis, on trouve la vraie fanfiction... et on vous y attend !