Salut les amis, ça fait bien longtemps que je n'ai pas écris sur Castle et je me suis dis qu'il fallait remédier à ça, alors voilà.

Je n'ai actuellement que deux chapitres d'écrit, en plus du prologue et je n'ai pas beaucoup de temps pour écrire, de ce fait, les postes ne seront pas réguliers et je comprendrais si vous ne lisiez pas ma fic.

Petite info avant de commencer, il n'est pas nécessaire d'avoir vu toute la série pour lire cette fic

Petite présentation de ce qui va suivre:

Titre: The fear of my life

Rating: T, pour le sujet de la fic.

Genre: Drame

Personnages: un peu tout le monde mais principalement Kate Beckett et Richard Castle.

Résumé: Kate fait une découverte qui va radicalement changer sa vie. Elle se détournera de tout ses amis, voulant les protéger et ne voulant pas être faible devant eux, mais c'était sans compter Rick Castle qui tentera le tout pour le tout pour elle.

Disclamer: Castle ne m'appartient pas et je ne touche rien pour ce que j'écris, je ne le fais que pour mon plaisir, et le votre.

En passant je voudrais remercier Karya pour sa correction.

Je vous souhaite à tous une bonne lecture.

Sweety


Prologue


Le soleil était haut dans le ciel, une légère brise venait rafraîchir cette belle journée de printemps. Le cui-cui des oiseaux, le bruit du vent dans les branches des arbres, le tout agrémenté par une voix qui s'élevait dans l'immense place verte.

Un grand nombre de personnes se trouvaient là, toutes vêtues de noir, toutes portants, pour la plupart des lunettes de soleil sur le nez, toutes ayant des mouchoirs dans les mains. Malgré la beauté de ce jour, l'humeur était à la peine, la tristesse, le deuil. En ce jour de printemps, des gens enterraient une personne chère à leur cœur, une femme aimée de tous, une femme respectée, une femme forte et à présent loin d'eux.

Les choses étaient allées si vite que personne ne les avaient vues venir et maintenant ils étaient là, autour de cette boite qui refermait cette femme merveilleuse.

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Un peu en retrait du groupe, un homme tenait la main de sa fille. On pouvait voir les larmes briller aux coins de ses yeux, des larmes de tristesse intense, des larmes qui le suivraient pour le reste de sa vie. Il venait de perdre une femme qu'il avait aimée pendant si longtemps, une femme avec qui il aurait aimé faire sa vie, mais cette vie en avait décidé autrement et à présent il devrait la vivre sans elle. Comment pourrait-il aimer de nouveau après ça? Comment pourrait-il être de nouveau heureux sans elle?

Bien entendu il n'était pas seul, il avait sa fille avec lui, il avait des amis et de la famille pour le soutenir et l'aider à affronter la situation. Mais malgré toute leur bonne volonté, ils ne pourraient pas chasser la haine qui habitait son cœur, la haine de cette maladie qui lui avait volé l'amour de sa vie.

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Le prêtre parlait, ventant les mérites de cette femme, faisant éloge de sa gentillesse, de sa droiture, de sa bonté, de toutes ses qualités. Les gens écoutaient en silence, reniflant parfois lorsque la peine se faisait trop grande. Tout les mots du monde ne pourraient pas dire à quel point cette femme était merveilleuse, à quel point elle avait été aimée de tous, à quel point elle allait leur manquer.

L'homme d'église finit son discours et vint le moment de dire au revoir à la défunte, le moment le plus difficile à surmonter pour ses proches. Ce moment redouté durant de longs mois, ce moment bien souvent oublié par tous, car trop souvent ignoré.

Maintenant tous devaient se rendre à l'évidence, ils ne pouvaient plus se leurrer.

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La première personne à approcher fut sa meilleure amie qui vint déposer une rose blanche sur le cercueil, soutenu par un des collègues de l'amie perdue. Cette rose qui voulait dire tant de choses tout en étant pas assez parlante.

Des larmes tombèrent sur la boite d'un blanc crème, choisie spécialement par l'homme en pleurs.

Puis vint le tour de ses collègues qui déposèrent la même rose, s'attardant moins longtemps, mais pleurant tout autant que les autres. Ils étaient simplement plus pudiques et ne voulaient pas afficher leur peine à tous.

Ensuite vint le tour de la famille et enfin celui de l'homme. Sa fille passa devant lui, s'agenouilla devant le cercueil et posa sa main dessus, ravalant les larmes qui menaçaient de couler. Elle voulait se montrer forte, pour ses amis, pour sa famille et surtout pour son père. Il allait avoir besoin d'elle plus que jamais et elle ne devait pas faiblir. La même rose vint rejoindre les autres.

Elle se releva et laissa la place à son père qui n'osa pas faire un pas. Elle l'aida alors, lui prenant la main et le guidant en avant afin qu'il dise au revoir à son âme sœur.

L'homme avança mais il n'était pas aussi fort que sa fille et il tomba à genoux devant le cercueil, pleurant à chaudes larmes devant tous le monde, sans honte. Il avait perdu une part de lui-même et ne s'en cachait pas, pourquoi le ferait-il? Tous le monde pouvait le comprendre.

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Il finit par se relever après avoir déposé une rose et un baiser, aidé par sa fille qui le guida vers la sortie du cimetière.

En chemin, ils croisèrent un couple qui se tenait en retrait, un couple qui avait traversé la même épreuve mais qui s'en était sortit bien mieux qu'eux.

Ils se saluèrent d'un signe de tête et le couple avança vers le cercueil pour rendre un dernier hommage à cette femme qui les avait aidés par le passé.

Puis, le petit cimetière se vida, ne laissant plus que le silence de la mort l'envahir.

Une page venait de se tourner, et une nouvelle faisait son apparition, telle le grand livre de la vie.

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TBC…


Je ne sais pas quand je posterais le prochain chapitre, mais en attendant voici un aperçu du chapitre 1 What happens to me:

« La jeune femme commença à se frotter le corps, passant le savon sur chaque parcelle de peau recouverte de boue et frotta de son mieux pour l'évacuer. Non seulement elle avait de la boue partout, mais en plus elle sentait vraiment mauvais et cela lui retournait l'estomac.

Elle se demanda un instant si c'était bien de la boue et pas de la merde de chien. Elle passa sa main sous ses bras et frotta encore jusqu'à ce que quelque chose attire son attention, une petite boule non loin de son sein gauche. Elle tata, surprise et chercha à savoir ce que ce pouvait bien être mais ne su répondre à cette question.

Par acquit de conscience elle tata sous son autre bras à la recherche de la même chose mais ne trouva rien. Elle repassa donc sa main sur la boule, vérifiant si elle avait rêvé ou pas et la trouva là, au même endroit.

"_ Non," souffla-t-elle. »