Hello, bonjour, bonsoir, je suis revenue d'entre les morts, eh oui. Vous allez vous dire (pour les rares qui vont se souvenir de moi et de mon histoire) 'eh mais elle re-poste la même histoire?!'. ALORS. Oui ET non. Oui c'est toujours l'effet papillon mais c'est celui... de la maturité? non je ne sais pas mais j'ai eu besoin de la reprendre cette fic, de A à presque Z . Je n'arrivais plus à l'écrire, les premiers chapitres me donnaient la gerbe rien qu'à voir mon écriture, j'ai voulu tout reprendre, comme ça elle ressemblera plus a la moi qui à maintenant 20, et non plus 15 ans. J'ai grandi, donc j'ai changé des choses, j'en ai enlevés, rajoutés. Améliorés? J'espère. Vous me direz. ENJOYEZ MOI TOUT CA.

La bise sur votre joue droite, ça m'avait manqué d'écrire.


CHAPITRE 1

[Hermione]

Hermione Granger était assise en terrasse d'un café, jambes croisées, latte fumant, ses doigts tapotant nerveusement la petite table métallique un peu bancale où elle était installée. Cela faisait trois fois qu'elle relisait la même page de son roman, tant elle était nerveuse. Incapable de se concentrer, elle ne lisait qu'un mot sur 36. Énervée de ne pouvoir terminer son chapitre, elle ferma d'un coup sec son livre et entreprit de taper encore plus frénétiquement sur cette pauvre table. Vingts minutes de retard, c'était beaucoup trop. Tentant de faire passer le temps, elle pris son smartphone et fit négligemment défiler le feed de ses réseaux sociaux, à peine attentive à ce qui s'y trouvait. Enfin, cinq bonnes minutes plus tard, elle reconnu au bruit des pas la démarche de celui qu'elle attendait. Harry Potter , l'éternel ami, arrivait enfin à sa rencontre. Cependant, les politesses usuelles ne se firent pas entendre, et leurs regards étaient à tout les deux froids et déterminés, il n'y eu pas non plus de sourire de bienvenue. L'un en face de l'autre, ils attendaient que l'autre prenne la parole en premier, pour commencer leur joute verbale. Cette discussion n'allait pas être des plus festive, ni des plus agréables.

« Hermione, es-tu sûre de toi ? »

« Oui, oui Harry.. »

« Écoute, je… Je ne comprends pas, pourquoi lui ? Enfin Hermione, il a toujours été odieux avec nous trois, et il était même pire quand il s'agissait de toi ! Qu'es.. »

«Harry, j'aurais bien voulu que ce soit aussi simple tu sais, mais ça ne l'est PAS. Ce… ça n'est pas quelque chose que j'ai choisi, ça s'est imposé à moi, tout simplement. Franchement, j'aurais moi aussi préféré une situation moins complexe. »

« Mais Mione… Et Ron ? Il est complètement anéanti, il est complètement amorphe depuis 2 mois. LITTÉRALEMENT. Il ne déloge pas son cul du canapé: il doit y en avoir la forme d'incrustée dans les coussins, il ne se lave plus, et mange des céréales dans sa bière. DANS SA BIÈRE. Tu te rends compte ? Il vit une véritable descente aux enfers. Je ne peux pas te laisser faire ça, à toi comme à lui. Enfin, tu n'étais pas bien avec lui ? Comment tu peux balayer six ans de vie avec lui comme ça ? N'as tu pas une seule once de compassion envers lui ? »

Il ne peut pas utiliser Ronald comme argument, putain Harry c'est déloyal ça.

«En effet tout aurait été plus simple, si j'étais restée avec Ron. Toi et Ginny, moi et Ronald ! On aurait fait des sorties entres couples, fait nos mariages ensembles et élevés nos enfants dans des maisons voisines d'une banlieue bourgeoise ! Mais tu vois, le léger, infime, minuscule PETIT problème, c'est que ça n'a toujours été simple que pour vous deux. Pas pour moi. Ça ne l'a jamais été Harry. Jamais… Je n'en pouvais plus de dépérir à ses côtés. Je l'ai aimé, énormément, mais j'ai passé trop de temps à me convaincre que c'était toujours le cas, et je ne peux plus me permettre d'être égoïste envers moi-même. J'ai cédé trop de petites morceaux de moi dans cette relation. Ne penses pas que je suis heureuse de le faire souffrir, de quitter Le Terrier, et tout les Weasley. Je souffre moi aussi, ils ont été ma famille. »

Hermione, ne pleure pas. Garde. Le. Contrôle.

« J'essaye juste de comprendre Hermione. Comprendre, pourquoi c'est arrivé. Ce n'est pas tant le fait que tu décides de quitter Ron que j'essaye de comprendre, en soit, c'est la vie ça arrive. Mais Hermione…Pour lui ? Que t'est-il arrivé ? »

« Ah alors toi aussi tu vas faire comme tous les autres ? Comme Ronald ? Tu vas me tourner le dos ? Tout ça par ce que j'ai fait un choix ? Que pour une fois je n'ai pas réfléchis nuits et jours avant de me décider ? Eh oui Hermione Granger est capable de prendre des décisions irréfléchies ! C'est si étonnant, que la si sage, si prude, si intelligente Hermione Granger prend une décision sur un coup de tête ! Il va falloir que tu appel la presse Harry. »

Et c'est un Zéro pointé pour Hermione Granger et le déplorable contrôle de ses nerfs.

« Donc tu avoues que c'est une décision irréfléchie. Un truc fou décidé à la va vite. »

« Non. Depuis quelques temps je pense que c'est la meilleure décision que j'ai pu prendre. Mais si tu tiens tant que ça à penser ces stupidités, va donc. Tu n'es pas être le premier à me tourner le dos ces derniers temps. »

« Hermione, tu sais que je ferais jamais ça, mais comprend moi bordel ! Et cesses donc un peu d'être constamment ironique, il n'y à rien d'ironique à cette situation MERDIQUE, qui d'ailleurs, est entièrement sous ta responsabilité. Comprend les autres ! Tu nous balance ça, du jour au lendemain, on a le droit d'êtres largués, énervés, blessés! J'ai le droit ! Tout comme toi tu as le droit de prendre cette décision. Mais nous annoncer ça comme tu l'as fait ? Non, je ne pense pas que tu avais le droit. Tu te rends compte de la bombe que tu à lâchée ? »

« Oh mais oui, ce serait certainement mieux passé si je vous l'avais annoncé en douceur, petit à petit, en me détachant chaque jours un peu plus de Ron. Tu oses croire à ça ? Mais enfin Harry tu sais tout autant que moi qu'il aurait pris le même verre pour le fracasser de la même façon qu'il là fait et que sa main aurait atterrît sur ma joue avec la même violence que l'autre soir. Il aurait réagit exactement de la même façon qu'il l'a fait. Je n'ai aucun doute la dessus. Il y à des choses que Ron ne pourra jamais changer chez lui, le non contrôle de sa colère en fait partie, il n'à aucune capacité émotionnelle. A part peut-être celle d'une petite cuillère. »

Harry la fixait sans rien dire. Les lèvres pincées, les yeux meurtriers, il était incapable de parler sans exploser. Il en avait trop gros sur le cœur, elle devait connaitre quelles étaient les répercussions de son acte aussi éogïste que légitime. Il tenta rapidement de trouver comment lui dire les choses, puis se ravisa assez vite : il était beaucoup trop énervé pour se perdre dans des tournures de phrases, et estimait aussi qu'il n'avait pas besoin de prendre de pincettes avec celle qui avait littéralement piétiné le cœur de son éternel frère d'armes au profit de leur éternel et légendaire rival. Il explosa, donc.

« Il allait te demander d'être sa femme ! Putain Hermione tu lui as annoncé ça le soir, où il allait de demander en mariage !Il avait tout prévu, tout, pour cette soirée. Tu l'as quitté alors que lui voulait t'épouser ! T'as rien remarqué toi en rentrant chez vous! T'as pas vu les fleurs, les bougies, la façon dont il s'était mit sur son 31... Certes cela n'excuse en rien le fait qu'il t'ai ensuite frappé, il est tout bonnement impardonnable pour cela, mais toi non plus pour lui tu n'es pas pardonnable ! Et ce n'est pas comme si tu le quittais pour quelqu'un de bien, non… Non ! Tu le quitte pour LUI, ce connard, cet immondice de cruautés, cet infâme bâtard. »

Hermione blêmit. Elle ne pensait pas avoir fait autant de dégâts ce soir là. Ne sachant pas quoi répondre à Harry face à cette douloureuse révélation. Elle se mit à fouiller fébrilement dans son sac, à la recherche d'une cigarette. Non pas qu'elle aimait vraiment cela, mais elle sentait un besoin de s'occuper les mains , pour éviter de se planter les ongles dans les paumes, ou faire toute autre action qui, après réflexion, se révélerait être totalement stupide. Elle prit le temps donc, d'en sortir une de son paquet, de la faire glisser entre ses doigts, de la porter à ses lèvres et enfin d'allumer la petite flamme de son briquet. Fermant les yeux, elle prit une longue bouffée de fumée, la garda longtemps dans ses poumons, mit la tête en arrière et recracha le nuage blanchâtre. Quand elle rouvrit les yeux, Harry la regardait fixement, le regard plein de détresse et de peine. Il attendait qu'elle réagisse, mais elle n'était pas sûre de pouvoir réagir après la chape de plomb qui lui était tombée dessus après la révélation de Harry. Elle inspira très profondément, tenta d'ignorer l'énorme boule dans la gorge, et se lança :

« Je…Je pouvais pas savoir. Je ne pouvais pas. JE NE POUVAIS PAS SAVOIR ! Et quand bien même j'aurais été au courant, qu'aurais-je du faire? Accepter pour le briser quelques temps plus tard? Continuer cette mascarade en toute impunité, l'épouser et vivre ma vie malheureuse, tant que lui l'était? Continuer de feindre le bonheur avec quelqu'un qui malgré tout ses efforts ne m'en apportait plus depuis bien longtemps? Tu aurais préféré que je continue à mentir à tout le monde? Même à moi? C'est bien cela que tu es en train de me dire non? Protéger Ron quoi qu'il m'en coûte? Je ne veux plus faire des choses qui me pénalisent moi, j'ai trop perdu dans cette histoire Harry, beaucoup trop. Je n'en pouvait plus de jouer aux œuvres de charité, j'ai trop donné.» lâcha-t-elle, des larmes roulant sur ses joues.

Raté pour les larmes, Granger.

«Je ne pouvais rien prédire ni rien contrôler, Harry. J'étais spectatrice de mes propres actions, incontrôlable. J'assistais au désastre imminent sans pouvoir rien faire.»

Et bordel qu'est ce que j'ai aimé ça.

Suite à l'explosion d'Hermione, Harry se radoucit quelque peu. Malgré leur énorme contentieux, il ne pouvait se résoudre à être aussi dur avec elle. De plus, il sentait la réelle souffrance qui émanait d'elle, et cela, il ne pouvait pas le supporter non plus. Pas plus que tout les événements qu'elle avait provoqué au sein de leur grande famille. Il était tiraillé de toutes parts entre l'envie de la consoler et celle de lui remonter les bretelles de plus belles. Il retourna les deux solutions quelques instant, et réalisa que, quoi qu'il dirait, elle ne changerais pas d'avis. C'était Hermione après tout, l'entêtement personnifié. Il opta donc pour un peu de douceur, plus de mal ne pouvant actuellement pas être fait de toute façon.

« Mione… Mione, arrête de pleurer. Calmes toi, je veux juste essayer de comprendre. »

« Mais tu ne pourras jamais comprendre Harry ! Moi même je ne comprends toujours pas. Je ne me comprends pas. Et ni toi ni les autres ne pourraient comprendre et ,au fond, je suis persuadée que vous ne le voulez pas. Vous le haïssez. Vous n'avez jamais cherché à le comprendre, à deviner ce qu'il y avait sous tant d'arrogance et de méchanceté. Et il-y-a quelque chose Harry ! Quelque chose de… De fascinant. Et je ne te demande pas de toi aussi découvrir cette chose, mais plutôt de l'accepter, et de me comprendre. »

« Tout ce qui m'importe, c'est que tu sois heureuse… Avec un autre j'aurais préféré, je ne te le cache pas. Je doute que tu puisses réellement rester comblée avec ce type. Feu cher papa James Potter m'a toujours dit : 'si ça à des pattes de canard, un bec de canard et des ailes de canard… eh bien c'est un canard.'. Et lui Hermione, il à des pattes de connard, un bec de connard et des ailes de connard. »

« Tu ferais mieux d'arrêter tout de suite de t'inquiéter de mon bonheur de la sorte. Ce n'est pas en continuant ces infernales querelles d'enfants que quoi que ce soit va avancer. »

« Mais… »

« Écoute, tu devrais y aller. J'attends quelqu'un, réunion de travail. »

« Ce n'est pas la peine de mentir. Je sais très bien que ta réunion de travail s'appelle Drago Malefoy. »

« C'est ça Harry. A une prochaine fois. »

Elle parti sans un mot de plus, ni même un regard. Elle avait décider qu'elle ne regarderait plus jamais en arrière, elle s'y tenait. De plus, elle ne voulait surtout pas que Harry aperçoive les énormes larmes qui descendaient jusque dans son décolleté. Elle savait qu'elle n'allait pas revoir celui qu'elle considérait comme son frère de si tôt, voir peut-être même jamais. Cela la terrorisait.

Harry, quand à lui, regarda Hermione s'en aller. Il essayait de prendre en mémoire chaque petit mouvement spécifique de la jeune fille pour ne pas oublier les infimes détails d'elle qui faisait qu'il aimait tant son amie. Le cœur lourd, il resta encore un long moment assis à cette terrasse, les points si serrés que les jointures de ses doigts étaient blanches, et le visage encore plus fermé que lors d'un enterrement. Et en effet, il ne parvenait pas a faire le deuil de son monde qui avait éclaté en mille morceaux quelques semaines plus tôt, à cause de la décision d'Hermione. Il n'arrivait pas à comprendre comment tout cela était arrivé, ni pourquoi, tout ce qu'il arrivait réellement à ressentir c'était l'énorme vide qu'elle venait de laisser en lui. C'était encore plus douloureux qu'une plaie béante, cet hypothétique foutu trou.


[quelques heures plus tard]

Les mains encore une fois tremblotantes (cette fois-ci à cause d'un surplus de caféine, elle ne cessait jamais d'en boire), Hermione porta à ses lèvres une tasse de cappuccino encore brûlant. Elle était assise dans un des Cafés des plus 'hype' de Londres actuellement. « Les trois balais » était un lieu très cosmopolite, où il était possible de rencontrer toutes sortes de gens provenant de tout les horizons, qui n'avaient que pour seul point commun un porte-monnaie dont le chiffre dépassait les quatre zéros. Elle trouvait encore tout cela dérangeant, tous ces gens qui étalaient leur richesse si ostensiblement, prêts à payer beaucoup plus cher que le commun des mortels pour boire un café qui avait concrètement le même goût que celui d'une simple brasserie. Hermione Granger avait dû passer du stade de jeune et timide Londonienne de la classe moyenne complètement lambda à celui où elle était épiée par des vautours de la presse people, sans même être un tant soit un peu une célébrité. Que c'est pitoyable. Mais c'est la règle du jeu, désormais, pas de retour en arrière. Elle se répétait cette phrase, inlassablement, 150 fois par jours s'il le fallait, pour tenter de faire passer le mal être qu'elle ressentait à vivre de cette façon-là. Trop ostentatoire, trop de visibilité, où étaient ses moments d'intimité qu'elle chérissait tant ? Elle n'en avait plus eu depuis un certain temps. Être reconnue dans la rue ne lui plaisait pas, elle en était malade, chaque sortie lui donnait la nausée, lui tordait le ventre. Se savoir prise en photo par quelques paparazzis la dégouttait. Elle regrettait amèrement son anonymat.

Elle aurait pu continuer ses études, terminer le cursus de la prestigieuse université Serdaigle, devenir un brillant avocat à la carrière prometteuse, mais pour le moment, elle ne pouvait pas supporter les regards de ses collègues de promotions, qui ne voyaient plus désormais en elle leur brillante major de promo, mais le nouveau jouet de la petite personnalité vedette du moment, se hissant donc de quelques étages dans les sphères de la société. Cela n'avait pas plu à un bon nombre d'étudiants, fille comme garçon . Quand les filles, elles, étaient jalouses (la solidarité féminine, avait tristement remarqué Hermione, atteignait assez facilement ses limites quand certaines choses étaient en jeu.), les garçons eux, ne se privaient pas de commentaires odieux, voir même graveleux quand ils la croisaient sur son passage : « Alors, on se la joue escort girl pour financer ses études Granger ? Comment c'est la vie d'esclave sexuel ? « « Et à nous, tu nous fais la totale à combien?« ; et toute une ribambelles de phrases toutes aussi joliment fleuries les unes que les autres.

Au début, elle répondait à ces idiots. Elle tenta aussi de les ignorer, dédaigneuse. Elle savait qu'elle valait mieux que ce genre de jacassements. Elle savait surtout ce que valait sa relation avec Drago. Mais les jours passaient, et quand sa capacité de répondant perdait de sa superbe, celles de ses harceleurs n'en reprenait que plus de vigueur. Évidemment, elle aurait pu stopper sa folie Draconienne plutôt que de laisser tomber la fac...

...Mais non.

Il avait fallu qu'elle le croise un soir, lors d'une soirée de fin d'année un peu trop mouvementée.

Il avait fallu qu'elle le regarde, juste une fois de trop.

Il avait fallu que l'alcool qu'elle avait dans le sang anesthésie tous ses sens et mette en veille son esprit logique. Il avait fallu qu'il devienne grand, au corps magistralement bien sculpté.

Et il lui avait souri. D'un grand sourire franc, celui que l'on donne quand on ne compte même plus les grammes d'alcool que l'on a dans le sang, celui que l'on donne quand le simple fait de ne pas réussir à pense nous met dans une joie intense. Il ne savait plus à qui il souriait. Il était perdu dans ses pensées, lui même ne savait plus trop lesquelles, mais il lui avait sourit. Elle lui avait rendu son sourire.


Bon, voilà. Y'a pas une tonne de changements quand même, un peu. Dans les chapitres suivants je vais arranger plus de choses. Mais je la ressent dans mon écriture moi. Beaucoup. Je suis quand même triste d'avoir effacé la première version, j'ai perdu tout les gentils petits commentaires que j'avais, et ils m'avaient tous vraiment aidé et motivé à continuer.

Dites moi sincèrement ce que vous en pensez !

Et la suite.. arrivera probablement assez vite puisque j'avais fait 7 chapitres. Qui sont à refaire en sorte. donc jusqu'au 7ème chapitre la régularité des posts est plus ou moins assurée! :)

Wizardly.