Bon. J'hais assez ça les texte de début d'histoire, mais je crois que c'est important que je m'explique. Il est possible que cette histoire ne finisse jamais. J'ai déjà penser à toute l'histoire. J'ai une autre histoire que je compte prioriser au dessus de celle-ci une fois que je me serais lasser de l'écrire. Finalement, il est possible que j'oublie de passer mon texte dans antidote, donc que mon français soit merdique et que mes tournures de phrases soit foireuse.
C'est ça, Bonne lecture.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Yugi Muto, l'ancien réceptacle du défunt pharaon Atem, ainsi que le champion de duel monster japonais venait de passer à ses 18 ans ce mois-ci. Ce simple fait le faisait se sentir tellement libre. Maintenant qu'Atem était partie depuis presque deux ans, il se sentait de plus en plus en confiance avec lui-même.
La première année avait été tellement difficile pour lui, mais la vie continuait. Lui et Anzu étaient finalement un couple, il passait du superbe temps avec ses amis, bref, tout allait pour le mieux dans sa maintenant modeste vie.
Il avait décidé de prendre une marche avant de rentrer chez lui faire ses devoirs scolaires. Il aimait surprenaient passer du temps seul. Comme il n'en avait pas eu pendant plusieurs années, il chérissait cette chance. Le soir était calme, la température bonne et Yugi avait un sourire niais collé aux lèvres. Anzu venait de lui parler de projet pour qu'ils déménagent tous les deux en Amérique. Ce rêve d'une nouvelle vie le rendait tellement heureux. Il était amoureux, personne ne pourrait en douter.
Alors qu'il voyait le soleil se coucher et les commerces se fermer, Yugi se dit qu'il ferait mieux de rentrer pour aider son grand-père à fermer le magasin avant de se lancer dans ses études. Alors qu'il marchait vers le magasin, il jeta un coup d'œil au coucher de soleil, et pour ne raison qu'il ne comprenait pas, malgré tout le bonheur qu'il ressentait, un sentiment d'inquiétude presque imperspectible sévissait dans son âme.
Ce genre de sentiment, il en avait parfois, mais il ne lui était jamais rien arrivé. Il avait donc simplement pris la décision de les ignorer, mettant toujours la faute sur son stress scolaire.
-Ailleurs, dans un lieu indéterminé-
« -Chers compagnons, chers compatriotes. Nous sommes ici réunis pour lancer notre rébellion. Notre clan vit dans la pauvreté et le malheur, tout ça, car notre indigne roi en a décidé ainsi. Il a décidé que les dieux étaient contre nous. Mais, mes chers amis, ne perdez pas espoir. J'ai un plan. Au fil de mes recherches clandestines sur le roi, mes infiltreurs et informateurs ont découvert une information intéressante. Cette information, mes amis, pourra vous sembler anodine, mais sachez qu'elle nous rendra riches! Elle nous permettra d'obtenir notre vengeance si longuement attendue.
-Chef... Qu'est-ce que cette fameuse information? Nous voulons savoir!
-Et bien, mes chers frères, dans un monde éloigner du notre existerait une copie de notre roi bâtard! Une copie physique à quelques différences près, certes, mais non mentale. Mes informateurs m'ont assuré qu'il n'avait aucune force mentale. Ce n'est qu'un simple enfant maudit par ce monde.
-Mon chef, vous dites bien « Un autre monde »? Une telle chose existerait-elle réellement?
-Mon frère, bien que cette information est perdue à jamais dans les abyssaux souvenirs de nos défunt ancêtres, n'oubliez jamais cette croyance qui dit que nous aurions tous vécu autre part avant de venir ici.
-Chef, ne me dites pas que vous croyez en cette idiotie qui dit que nous sommes tous morts?
-Mis à part en notre cause, mon frère, sache que je ne crois en rien. Mais bon, sans essayer de débattre sur l'origine de cet autre monde, ma source m'affirme que celui-ci existe, et même que le dirigeant de notre royaume y aurait déjà passé plusieurs années.
-Je vois... Mais mon chef, dites-moi : comment se rendre dans ce fameux autre monde?
-Vous tu, mon informateur aurait entendu que le temple du dirigeant actuel serait une porte d'entrée vers cet autre monde.
-Écoutez chef. Je comprends que la perspective de cet autre monde est amusante et qu'il est en effet surprenant de savoir qu'il existerait une copie du roi, mais qu'est-ce que vous voulez que nous fassions avec lui?
-Nous allons détruire le roi. Nous en ferons un esclave pour notre cause! Nous ferons payer tous les antirois pour qu'ils puissent l'avoir comme esclave. Nous vendrons l'image du roi aux enchères au plus haineux.
-Je dois avouer trouver cette idée alléchante. Soite! J'embarque!
-Et vous, mes chers confrères, qu'en pensez-vous?
-Nous sommes avec vous chef!
-Nous allons vous aider, chef!
-Le roi tombera!
-Bénis soit le chef!
-Voyons, mes chers confrères, ne soyez pas si vénérant envers ma personne. Je ne le mérite pas. Bon. Pour ce qui est de cette mission, il me faudra choisir ceux d'entre vous qui l'accompliront.
-Je me porte volontaire!
-Moi de même?
- Amir? Kashar? Vous vous portez garent d'aller chercher l'esclave et de le ramener ici?
-Oui chef!
-Parfait! Allez-y, donc! J'attendrais votre retour avec impatience! »
C'est sous ses mots que la troupe d'une vingtaine de personnes vêtue de cape beige comme le sable et de turban complet jaune se dissipa peu à peu, dont deux jeunes hommes qui quittaient le village en ruine vers l'Est, en direction du temple construit à l'effigie du roi de leur pays.
Sur l'estrade centrale du village, l'homme qui se faisait nommer Chef était resté, alors qu'une personne en cape l'approcha nerveusement.
« -Mon chef... Dites-moi... Êtes-vous sûr que cette mission est bonne? L'enfant recherché n'est pas du pays d'après nos sources. Et en plus... Vous savez que l'esclavage est le film le plus puni du royaume... Nos frères risquent d'être en danger...
-Dalliah. As-tu vu la lueur d'espoir qui a brillé dans leurs yeux? Je sais que, comme moi, tu as ressenti leur envie de vengeance envers le roi. Cette envie dépasse les limites du bien et du mal. Cette enfant nous est inconnue, mais il a le malheur de ressembler à notre roi. Le monde est dangereux et malsain, ma chère. Cette enfant n'a pas eu de chance. Ce n'est pas a nous d'en vivre les conséquences.
-Si vous le dites, chef... J'ai confiance en vous... »
La femme nommée Dalliah quitta donc l'estrade pour elle aussi se diriger dans sa maison, alors que le chef leva les yeux vers le ciel pour y voir le soleil se coucher paisiblement au-dessus de son désert natal.
