Disclaimer : tout appartient à JKR et je ne fais aucun profit en écrivant cette histoire.

Béta : Tania comme toujours !

Cette histoire est partie d'une phrase entendue dans le train et j'espère que vous aurez du plaisir à la lire…

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Chapitre 1 – Harry Potter ?

Narcissa Malfoy était ce qu'il est coutume d'appeler dans son milieu une femme charmante. C'est-à-dire une aristocrate écervelée uniquement préoccupée par l'organisation de diners mondains et du dernier défilé de mode auquel il fallait absolument être vue.

Une magnifique chevelure blond pâle, qui ne devait rien aux bons soins de son coiffeur, lui donnait une allure féérique. Petite et très mince, elle était l'incarnation même de la fragilité. Ses grands yeux bleus, qu'elle écarquillait avec la plus adorable candeur, ajoutaient encore à son apparence de poupée de porcelaine. Elle avait toujours un mot agréable pour chacun lors des diners somptueux qu'elle organisait et où elle tenait à la perfection son rôle d'épouse de Lord Lucius Malfoy. Et chacun de renchérir sur ses talents d'hôtesse et d'épouse apportant un soutien sans faille à son mari dont elle était follement amoureuse.

Pour tout le monde, Narcissa était un magnifique joyau, qui n'avait d'autre utilité que de parer la gloire de son mari.

Pour tout le monde, sauf pour son fils.

Draco Malfoy, jeune homme de vingt neuf ans, avait hérité de la blondeur de sa mère et des yeux gris acier de son père. Jeune homme qui levait actuellement les yeux au ciel, en entendant derrière la porte matelassée de son bureau du cabinet Malfoy, la voix de sa mère aux prises avec sa secrétaire. Cette pauvre Millicent essayait de convaincre l'aristocrate que son fils ne voulait voir personne et qu'elle était comprise dans ce « personne ». Draco connaissait déjà l'issue du combat et se disait avec fatalisme qu'il allait encore devoir acheter un gros bouquet de roses à Millicent car elle allait, comme d'habitude, finir en pleurs. Sa mère était en réalité un tyran et elle arrivait toujours à ses fins.

Lucius et Narcissa s'étaient conformés aux souhaits de leurs parents en faisant un mariage de raison quelque peu précipité par le fait que sa mère était tombée enceinte, tout à fait par hasard, lors d'une fête étudiante. Lucius Malfoy, parti tout à fait convenable, se trouvait par chance être l'auteur du délit.

Le patrimoine des Malfoys avait été triplé depuis leur mariage et Draco ne pouvait que constater que c'était l'œuvre de sa mère qui formait le cerveau du couple et menait les affaires d'une main de fer. Son père était parfaitement satisfait du rôle de représentation qui lui était alloué et en profitait pour prendre des maitresses, de plus en plus jeunes. Narcissa n'en prenait absolument pas ombrage tant qu'il n'y avait pas de vagues et ils formaient un couple plutôt harmonieux.

Comme prévu, la porte s'ouvrit sur l'aristocrate blonde qui entrait un sourire triomphant aux lèvres.

« Draco, dans le but louable d'éviter des crises de nerf à ta secrétaire, je t'encourage vivement à lui apprendre que ta mère n'a pas à être traitée comme le commun des mortels »

« Bonjour à vous aussi, Mère. Je pensais Millicent de taille à vous résister, je vois que je me suis terriblement trompée » dit-il en se levant pour embrasser Narcissa qui souriait toujours.

Draco adorait sa mère malgré le don certain qu'elle avait pour le faire sortir de ses gonds et perdre le calme légendaire qui le caractérisait. Narcissa lui rendait bien et elle n'avait pour autre but dans la vie que son bonheur. Elle aurait tué sans aucun remord pour le protéger. Elle se désespérait de le voir passer de conquête en conquête sans jamais trouver chaussure à son pied. Il était tout à fait inadmissible qu'il soit encore célibataire à son âge. Le fait qu'il lui ait révélé être gay, un soir où il était particulièrement agacé par ses attaques incessantes, était un obstacle qu'elle avait balayé d'un geste négligent de la main. Rien ne peut s'opposer aux désirs d'un Malfoy, il suffit de faire voter une petite loi de rien du tout, de rendre les gays très tendance et il n'y avait plus de problème.

Elle s'était immédiatement lancée dans la bataille, avait versé quelques pots de vin, organisé des galas de soutien à la cause des homosexuels et la loi devait être votée dans un mois au Parlement. Rien ne pouvait s'opposer à la volonté de sa mère.

Draco était donc persuadé qu'elle allait revenir une fois de plus sur le sujet de son mariage en lui vantant les mérites de quelque jeune homme de sa connaissance qui s'était révélé être gay et un bon parti en plus. Il se tendit, prêt à lui faire face une nouvelle fois et à défendre à tout prix sa liberté. Même s'il adorait sa mère, il ne la laisserait lui imposer personne.

« Sais-tu que cette pauvre Pansy est partie se faire soigner les nerfs en Australie ? La pauvre petite a toujours été fragile et ses parents ont trouvé un éminent spécialiste à Sydney » dit sa mère d'un air satisfait qui contredisait totalement le faux apitoiement de ses paroles.

Draco ne put s'empêcher de sourire. Pansy Parkinson était une de ses camarades de classe qui après avoir jeté son dévolu sur lui, sans succès, s'était rabattu sur son père et avait entretenu une liaison avec lui. Elle avait le rêve fou d'évincer sa mère et de devenir la prochaine Lady Malfoy.

« Pauvre Pansy, elle a toujours été d'une nature fragile » répondit-il sur le même ton que sa mère.

« Assez parlé de cette péronnelle. Je suis très fâché contre toi, Draco »

Draco leva un sourcil étonné en se demandant quelle nouvelle lubie était passée par le cerveau machiavélique de cette femme.

« Qu'ai-je fait pour vous déplaire, Mère ? »

« Je trouve que la moindre des choses, après tout ce que j'ai enduré pour te mettre au monde, aurait été que tu me préviennes que tu voyais quelqu'un et que c'était sérieux ! » dit Narcissa d'un ton blessé.

« Mais Mère… » répondit Draco qui cherchait désespérément dans sa mémoire ce qu'il avait pu faire pour donner cette idée à sa mère. Sa dernière liaison remontait à six mois et elle avait duré trois jours, ce qui était déjà un record !

Draco avait été bercé pendant toute son enfance par les contes de fée que lui racontait son parrain, Severus Snape, ce qui quand on connaissait un peu l'homme était parfaitement étonnant. Néanmoins, Draco avait décidé lorsqu'il était tout petit qu'il trouverait sa princesse et qu'il l'épouserait. Le fait qu'il ait découvert à l'âge de quatorze ans qu'il était gay n'avait rien changé dans sa ligne de conduite, sauf que sa princesse était devenue un prince. Il ne l'avait malheureusement pas encore rencontré et se contentait d'aventures, peu nombreuses et sans lendemain.

« Ts ts ! Draco n'essaye même pas de nier. J'ai la preuve de ce que j'avance et je comprends pourquoi tu ne m'as pas informé que tu fréquentais ce… garçon » dit-elle en sortant d'un geste dramatique, de son minuscule sac à mains lilas, sa couleur préférée, une photo qu'elle posa sur le bureau.

« Ose nier que tu sors avec Harry Potter ! »

« Harry Potter ? » murmura Draco abasourdi en se saisissant de la photo.

Il se découvrit en train de couver du regard un jeune homme qui fixait l'objectif en souriant largement.

Il regardait la photo profondément stupéfait. Il était absolument certain de ne jamais avoir été en contact avec une telle créature qui, il devait l'avouer, était absolument magnifique quoique dans un genre très particulier.

Il était petit et lui arrivait à peine à l'épaule. Ses cheveux noirs en bataille étaient parsemés de petites tresses se terminant par des pâquerettes et il portait un tee-shirt trois fois trop grand avec un jean troué. Mais le plus remarquable était ses grands yeux d'un vert intense qui fixaient l'objectif en pétillant d'une joie innocente. Draco sans y faire attention caressait du bout des doigts le papier glacé puis il releva les yeux vers sa mère qui le regardait d'un air triomphant.

« Où as-tu eu cette photo ? » demanda-t-il enfin.

« Tu te rappelles de Lily Potter, cette femme que j'ai du solliciter pour un de mes diners en faveur de la cause homosexuelle ? »

Draco leva un sourcil en signe d'ignorance. Pour tout dire, il s'était fort peu préoccupé des agissements de sa mère lorsqu'elle s'était lancée dans ce combat qui ne l'intéressait absolument pas puisqu'il était bien résolu à ne pas se marier tant qu'il n'aurait pas trouvé son prince.

Narcissa fit claquer sa langue avec désapprobation et lui lança un regard noir avant de reprendre.

« Lily est professeur à l'université, elle enseigne la littérature et faisait une caution parfaite car elle milite, entre autres, depuis longtemps pour les droits des homosexuels. C'est une femme brillante mais absolument insupportable. Une de ces féministes engagées qui regardent de haut toutes les femmes normales. Elle a fait un bébé toute seule, cet Harry… Enfin toute seule, je la soupçonne d'avoir séduit un homme et de l'avoir ensuite dévoré comme la mante religieuse qu'elle est ! Tu te rends compte qu'elle m'a fait un sermon parce que je faisais ça uniquement pour mon intérêt personnel et que la cause des homosexuels m'intéressait peu ! Evidemment que si tu n'avais pas été gay et que le prestige des Malfoys n'en dépendait pas, je n'en aurais rien eu à faire ! Personne n'a jamais osé me parler de cette façon !» Narcissa s'arrêta, essoufflée et les joues rouges d'indignation.

« Et ? » dit Draco pour la relancer car il n'avait toujours pas la moindre idée d'où elle voulait en venir.

« Je vais passer sous silence les différentes disputes que j'ai eu avec elle puisque tu n'as pas l'air de t'y intéresser le moins du monde et que défendre ta pauvre mère ne fait pas partie de tes préoccupations immédiates »

Draco leva les yeux au ciel devant le regard candide et plein de larmes que lui envoyait sa mère mais qu'il savait longuement travaillé devant le miroir. Il lui fit signe de continuer.

« Hier, je l'ai rencontré par hasard dans le train. Tu sais que j'ai du arrêter de prendre la voiture en journée à cause de ces affreux embouteillages ? Je suis même en train de me demander si ça vaut le coup de continuer à payer un chauffeur alors que je pourrais prendre un taxi le soir… »

« Mère ! » l'interrompit Draco qui savait très bien qu'elle ne licencierait jamais son chauffeur.

« Ha oui ! Je m'égare » dit Narcissa en lui faisant un petit sourire d'excuse. « Nous échangeons quelques civilités, puis elle me demande si je veux voir la photo de son fils et de son copain qui seront sans doute les premiers à bénéficier de la nouvelle loi sur le mariage homosexuel. Je réponds oui et là, elle me sort cette abomination » finit-elle avec colère. Si ses yeux avaient pu lancer des flammes, nul doute que la pauvre photo ne serait plus qu'un tas de cendres.

Draco ne comprenait plus rien à l'attitude de sa mère. « Mais vous devriez être ravie, n'est-ce pas ce pour quoi vous me tannez depuis des années ? » demanda-t-il en oubliant totalement qu'il ne connaissait pas Harry Potter et qu'il pouvait mettre fin à cette crise d'un mot.

« Pas le fils de Lily Potter, Draco ! Cette virago… Cette chienne de garde ! Tu m'entends, je t'interdis de le revoir et de continuer cette liaison » hurla Narcissa.

Draco contemplait avec satisfaction cette femme, que rien ne pouvait atteindre et qu'il avait toujours connu maitresse d'elle-même, perdre tous ses moyens et hurler. Un sourire satisfait étira ses lèvres, il avait enfin trouvé quelqu'un capable de ce prodige. Il allait faire élever un autel à Lily Potter.

« Je ne crois pas que vous ayez votre mot à dire Mère. C'est Harry Potter que je veux et c'est Harry Potter que j'aurai. Point final ».

Pour Draco, c'était aussi simple que cela. Il venait de décider qu'il obtiendrait d'Harry Potter ce qu'il voulait et rien ne se mettrait en travers de son chemin. Il avait toujours eu ce qu'il désirait et son obstination n'était plus à démontrer.

« Draco ! » rugit Narcissa en s'étranglant presque de colère. « Ne crois pas t'en tirer aussi facilement ! »

Puis, drapée dans sa dignité, elle fit une sortie digne d'une grande tragédienne, bousculant au passage Millicent qui souriait de toutes ses dents en la regardant battre en retraite.

« Pas besoin de fleurs cette fois, Draco. La vision de ta mère en colère a suffit à me rendre toute ma joie » dit-elle en souriant de plus belle. « Dois-je préparer un dossier complet sur Harry Potter ? »

« C'est exactement ce que j'allais te demander, Millicent. Tu es vraiment une perle » répondit Draco avec un sourire carnassier.

C'est avec une joie tout à fait inhabituelle chez lui qu'il se remit à travailler sur le dossier qu'il devait plaider le lendemain.

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Il ne put se concentrer qu'à peine une heure avant d'être à nouveau dérangé mais cette fois par la voix charmeuse de son père.

Il n'en revenait pas d'entendre les rires retenus de Millicent à ce que lui racontait son père. Mais qu'avait-il fait au bon dieu pour avoir de tels parents ?

Sans aucune surprise, la porte s'ouvrit sur son père qui souriait de manière charmante à Millicent puis qui se retourna en faisant une grimace à Draco.

« Je n'utilise pas les mêmes arguments que ta mère mais j'arrive moi aussi toujours à mes fins. Tu devrais le savoir, Draco et ne pas essayer de me faire arrêter par la gardienne de ton sanctuaire » dit-il du ton pompeux qui lui était caractéristique.

« Bonjour, Père. Je garde toujours l'espoir insensé de trouver un jour quelqu'un capable de vous résister »

Lucius lui fit un sourire carnassier qui signifiait qu'il pouvait toujours rêver.

« Que me vaut le plaisir de votre visite… impromptue ? »

« Ta mère… » répondit Lucius dans un soupir comme si cette simple assertion expliquait tout.

« Ha ! »

« Sais-tu qu'elle s'est arrangée pour envoyer Pansy en Australie ? Je suis vraiment très fâché, cette petite était très distrayante avec son ambition démesurée. Elle réussissait à me sortir de l'ennui profond de ma vie… »

« C'est certes contrariant mais je ne vois pas en quoi je suis concerné.. »

Lucius lui adressa un regard noir pour lui faire comprendre qu'il devait le laisser finir et Draco poussa un soupir en pensant que cela pourrait prendre des heures.

« Je disais donc que ta mère m'a appelé et elle était à moitié hystérique. Elle m'a raconté une histoire de petit ami, de photo et de mante religieuse, à laquelle je n'ai pas compris grand-chose, sauf que je devais immédiatement lâcher toute occupation pour venir te dissuader de faire cette folie ».

Lucius fronça un instant les sourcils en signe de réflexion intense puis finit par dire d'un ton désabusé, « je n'ai vraiment aucune idée de ce qu'est la folie en question et je te serais reconnaissant de m'expliquer tout cela avec plus de self contrôle que ta mère »

Draco réfléchit un instant aux différentes options qui s'offrait à lui, puis décida de dire la vérité. Il ne doutait pas de se faire un allié de son père sur ce coup là.

« Mère s'est mis dans la tête, après avoir vu une photo sortie de je ne sais où, que j'avais décidé de me marier avec Harry Potter, le fils d'un professeur d'université, féministe engagée et ennemie déclarée de Mère »

« Après les mois qu'elle a passé à faire voter cette loi, je ne vois pas ce qui la contrarie dans le fait que tu l'utilises… Et tu as l'intention d'épouser réellement ce garçon ? »

« Qui sait… mais en fait je ne le connais même pas » répondit Draco d'un ton songeur. « Quoi qu'il en soit, j'ai bien l'intention de me faire un plaisir de donner une leçon à Mère et de lui faire comprendre une fois pour toute que je ne veux pas qu'elle se mêle de ma vie »

« Si tu réussis cet exploit, tu mérites une place sur l'Olympe, mon fils. Comment comptes-tu t'y prendre ? »

« Je vais persuader cet Harry Potter de jouer le rôle de mon fiancé et je compte bien en profiter pour créer quelques situations cocasses avec Mère » dit Draco avec un grand sourire anticipateur.

« Voilà qui pourrait me sortir de l'ennui dans lequel m'a plongé le départ de Pansy ! » s'exclama Lucius d'un ton guilleret. « Je pars de ce pas prévenir ta mère que je n'ai pas réussi à te faire changer d'avis »

Draco secoua la tête de gauche à droite en voyant son père partir d'un pas décidé. Il pensa avec compassion aux vases Ming qui allaient pâtir de la colère de sa mère et à Dobby qui allait devoir tout ramasser et supporter l'humeur massacrante de Narcissa. Le majordome de la famille Malfoy mériterait d'être sanctifié.

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Pendant ce temps, Harry Potter, inconscient de ce qui allait lui tomber sur la tête, se faisait transporter comme un sac à patates par deux policiers qui l'emmenait au poste.

Il s'était enchainé avec quelques autres indignés aux grilles de la Bourse pour protester contre l'argent et les financiers qui dominaient le monde.

Il était particulièrement satisfait de cette manifestation qui était un grand succès puisque les plus grandes chaines de télévision s'étaient déplacées pour couvrir l'évènement. Il pensait avec satisfaction à la couverture médiatique qui allait en découler, sans se douter un instant que dans quelques jours, il allait se retrouver fiancé à l'un des hommes les plus riches du pays.

A suivre

Le bonus de Tania

Draco avait été bercé pendant toute son enfance par les contes de fée que lui racontait son parrain, Severus Snape, ce qui quand on connaissait un peu l'homme était parfaitement étonnant. (Je confirme ! mais Severus est tout puissant !)

« Je vais passer sous silence les différentes disputes que j'ai eu avec elle puisque tu n'as pas l'air de t'y intéresser le moins du monde et que défendre ta pauvre mère ne fait pas partie de tes préoccupations immédiates » (… han ! elle mériterait un oscar !)

Puis, drapée dans sa dignité, elle fit une sortie digne d'une grande tragédienne, bousculant au passage Millicent qui souriait de toutes ses dents en la regardant battre en retraite. (mouahaha ! « Et au loin, gronde l'orage, illuminant la ville de nombreux et dangereux éclairs ! » mouahaha)

« Si tu réussis cet exploit, tu mérites une place au Panthéon, mon fils. Comment comptes-tu t'y prendre ? » (J'adore ! ce Lucius Malfoy me plait beaucoup !)

« Voilà qui pourrait me sortir de l'ennui dans lequel m'a plongé le départ de Pansy ! » s'exclama Lucius d'un ton guilleret. « Je pars de ce pas prévenir ta mère que je n'ai pas réussi à te faire changer d'avis » (dangereuse mission, donc excitante pour Lucius ! quel ennui d'être riche ^^)

Pendant ce temps, Harry Potter, inconscient de ce qui allait lui tomber sur la tête, se faisait transporter comme un sac à patates par deux policiers qui l'emmenait au poste. (Oh ?! mais qu'est ce qu'il a encore fait lui ?!)

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A bientôt pour la suite…