Voilà, voilà ! Une petite impro que j'ai moi-même imaginé même si j'admets que je me suis assez inspiré des deux personnages de Pandora Hearts suivants : Xerxes Break et Reim Lunettes, créés par Jun MOCHIZUKI. Mais leur caractère a été en grande partie modifié, j'ai principalement réutilisé leur apparence et leurs costumes, même si j'ai gardé quelques traits de caractère. Et… juste les noms XD Mais sinon, on s'éloigne complètement de la trame du manga original, ce n'est pas du tout la même chose et ne vous attendez pas à retrouver les personnages que vous connaissez, même si je me suis inspiré du passé de Xerxes, ça n'a rien à voir avec l'original, donc il ne sert absolument à rien de connaître ce manga pour comprendre cette histoire.

Je m'excuse si vous êtes déçu de mon histoire que j'ai placé dans la section « Pandora Hearts » mais étant donné la similitude entre les personnages et un peu l'univers (l'organisation Pandora sera reprise mais ce sera réellement un groupe chargé de faire respecter l'ordre, Réveil est utilisée, seules les chains et la plupart des personnages seront absents, à part peut-être sur une demande, mais bon…). Je voulais écrire quelque chose d'un peu original sur PH, alors voilà, pardonnez-moi…

Au passage, la fiction a un statut « In-Progress » car j'ignore encore si je ferais une suite. A vous de me le dire ! M'enfin… y'a pas vraiment d'histoire si je m'arrête là aussi, héhé~

Bref, j'espère que ça vous plaira et je vous souhaite une bonne lecture !


Reim adressa un sourire à son hébergeur, un vieil homme septuagénaire aux cheveux sel et poivre, dont les profondes rides burinaient un visage hâlé et accueillant. Son sourire édenté laissait songeur quant à ses origines, bien qu'il possède une grande fortune et un manoir établi à Réveil d'une taille relativement impressionnante dont les hautes colonnes de marbre soutenaient l'immense hall richement décoré de tableaux aux couleurs vives et de vieilles photos de famille en noir et blanc. L'ancêtre, comme le surnommait intérieurement le jeune agent de Pandora, avait une démarche légèrement claudicante et était vêtu d'un costume noir en queue de pie. L'étrangeté et la bienveillance de cet homme faisait de lui l'un des plus connus dans ce bas-monde, laissant aux meurtriers le loisir d'abuser de sa confiance pour le dépouiller de ses biens et de son innocence – oui, il existe bien de tels scélérats. Mais d'autre, bien plus dangereux et plus profondément dérangés, avait seulement en tête de le torturer pour un simple coup de tête. Le mot qui revenait le plus souvent pour justifier leur acte tordu était qualifié par eux-mêmes « d'amusant ». Ces immondes détraqués qui finissaient derrière des barreaux pour être soumis à la peine capitale après un jugement sans délais ne semblaient même pas effrayés par la perspective de mourir. Tel était sûrement le cas de Xerxes Break, le criminel que traquait actuellement Reim.

Sa première mission.

Il était fier, bien évidemment, de pouvoir enfin prouver ses capacités et ses aptitudes. Ce jeune homme de vingt-six ans aux courts cheveux bruns et dont les yeux ambrés étaient surmontés de belles lunettes en demi-lune avait un fin visage dont la peau était constamment chaude, même sous les plus glacials des hivers.

Il avait une taille fine et possédait de fins et discrets muscles résultant de l'entraînement intensif auquel il avait participé pour dessiner son corps et être en meilleure condition physique. Ce serait tout de même dommage de laisser échapper un vaurien tout ça pour une histoire de surpoids que ne supporterait que moyennement ses jambes. Il avait troqué son uniforme d'agent contre un long manteau en daim, sous lequel était camouflée une chemise blanche et parfaitement lissé surmonté d'un veston de couleur bronze correctement fermé. Il avait enfilé un pantalon droit et chaussé des bottes passe-partout et confortables. Dissimulé dans sa ceinture en cuir se trouvait un revolver chargé de cinq balles, un Brooklyn Firearms Slocum que chérissait Reim, étant un cadeau de sa bien-aimée – un poil étrange, voudrait-elle qu'il ne se suicide avant le mariage ? Bien sur que non, elle lui avait offert alors qu'il partait vers l'aventure : « Je veux que tu sois protégé et que tu ne sois pas blessé. Tout se passera bien car mon esprit t'accompagnera tout du long de ton voyage. Je t'aime… » Il lui avait répondu un tendre « moi aussi » avant de se tourner vers la porte, son long manteau virevoltant derrière lui et de pousser la sortie pour observer avec une sorte d'émerveillement ce fiacre tiré par deux chevaux alezans qui allait le mener vers sa toute première mission.

Il repensa un instant à sa délicate fiancée, qui répondait au doux prénom de Lise. Leur dernière nuit passa en vitesse accélérée dans son esprit, ressentant de nouveau ses fines mains parcourant son torse, ses lèvres charnues sur les siennes, ses beaux yeux azur dans les siens, ses longs cheveux de blé sur ses épaules dénudées, son corps svelte et généreux se mouvant avec grâce contre lui, le plaisir ressenti lorsqu'il l'avait possédé…

Il rougit légèrement, continuant néanmoins de se faire conduire par le vieil homme – Melvin Stranblood - qui lui faisait visiter les principales pièces, à savoir la salle-à-manger, le salon, le couloir où les dizaines de chambres d'invités étaient étalées – la sienne lui étant attribuée – et enfin, le Saint Graal, la bibliothèque.

Aussitôt, l'air particulier de cire coulée, d'encens et de vanille le prit au nez. Il huma profondément le doux parfum, la vanille lui rappelant le capiteux parfum que dégageait sa future femme. Lui-même possédait une odeur mélangeant cannelle et bigarade, selon Lise.

Il observa les vastes rangées d'ouvrages, les étagères en bois de chêne sur lesquelles ils étaient entreposés, l'immense lustre en cristal qui était suspendu au plafond et les nombreuses tables installées pour la lecture, au centre desquelles trônait un chandelier. Ravi, il demanda l'autorisation de lire un peu, Melvin accepta presque automatiquement, lui faisant remarquer le manque de culture évident des « jeunes de nos jours ».

Reim s'installa à une table, recherchant son livre de chevet qu'il avait eu le malheur de laisser chez lui, dans leur petite mais chaleureuse maisonnette, à Lise et lui. Bien heureusement, il semblait qu'un nombre impressionnant de bouquins soit rangé ici. Alors il mit un certain temps à le trouver, mais ses recherches portèrent ses fruits.

Il retrouva la page à laquelle il s'était arrêté et s'assit sur une confortable chaise, puis, à la lueur tremblotante des bougies que supportait le chandelier, il continua sa lecture, ne pouvant s'empêcher de penser à la façon dont il pourrait demander à sa douce Lise si elle accepterait de lui offrir un mignon bambin. Puis sa mission lui revint en pleine figure lorsqu'une voix s'éleva dans la pièce. Elle avait un timbre très étrange, des intonations aigües et pourtant à la fois grave… impossible à décrire. Elle semblait joyeuse. Et Reim ne saurait dire si elle appartenait à un homme ou une femme. Mais comme il ou elle semblait en pleine conversation avec Melvin, il n'osa se retourner pour les interrompre et fit semblant de lire, écoutant attentivement la conversation pourtant banale. A propos de la position de la chambre de l'inconnu(e) par rapport à la lune. Il ou elle semblait souhaiter observer les étoiles et l'astre de la nuit. Un ou une passionné(e) d'astronomie ?

Bien que sa mission se réduise à rester dans l'ombre et à collecter des informations pour coincer le criminel, il voulait plus que tout intervenir, mais ce n'était malheureusement « pas de son ressort », comme le prétendait son supérieur.

Lorsque qu'enfin l'interminable négociation fut remporté par l'étranger, Reim attendit que la démarche claudicante de Melvin ne s'estompe pour faire volte face sur sa chaise et son cœur manqua un battement.

C'est lui, pensa t-il, un frisson d'horreur le parcourant.

Xerxes Break, le criminel, l'ineffable meurtrier de cent seize personnes, hommes, femmes, enfants. Aucun n'était épargné. Son allure n'était pourtant pas effrayante, plutôt excentrique. Il possédait un long manteau blanc qui débutait un peu en dessous des épaules et dont les manches masquaient ses mains, des bottes évasées qui s'ouvrait sur la cheville, une chemise parme à jabot noir, un pantacourt de couleur identique et une grotesque et effrayante petite poupée était perchée sur son épaule. Sa peau était presque translucide, tellement pâle que le nom d'albinos semblait lui correspondre à merveille. Sa coupe ébouriffée lui donnait l'air d'un gentil foldingue, dont la mèche immaculée couvrait la partie gauche de son visage, masquant une blessure d'origine inconnue mais dont la nature était notoire.

Certains agents le soupçonnait de se l'être infligé, mais cela semblait tout de même improbable, à moins qu'il ne se soit lui-même arraché l'œil gauche et qu'il ne fût masochiste, mais ses tendances sadiques et effroyablement sanglantes ne laissait pas penser une telle personnalité. Quant à son œil droit, d'un rouge des plus sanguinaires mais à la fois tellement fascinant, il balayait la salle d'un regard éteint, s'immobilisant soudain sur le jeune agent, qui frissonna. Ses cheveux étaient d'un blanc déconcertant, comme s'il avait décidé de vieillir avant l'heure. Pourtant, Reim connaissait sa date de naissance. Il devait avoir trente-deux ans. Pas cent deux. Son visage et son attitude laissait paraître une vingtaine d'années. Un homme intemporel.

A la fois ébahi et terrifié, il n'osait pas prendre la parole ni répondre au regard froid et implacable de l'étrange homme. Une seule chose lui venait en tête en l'observant : cet homme a tué cent seize personnes et pourtant Melvin l'a laissé rentrer dans son manoir en toute impunité… ou alors s'était-il inventé un faux nom et le vieil homme n'avait-il pas reconnu le meurtrier. C'était tellement horrible et simple de se servir d'aussi naïves et gentilles personnes pour pouvoir perpétuer ses crimes…

Finalement, le criminel prit un air enjoué comme il aurait choisi de tirer une carte de son jeu pour le plaquer sur la table et s'approcha de lui, sautillant presque. Une fois arrivé près du jeune brun, il lui tendit sa main d'une blancheur affolante, un sourire innocent gravé sur son visage.

- Bonsoir ! s'exclama t-il avec le ton jovial de son étrange voix. Je me nomme Xerxes Arbek, me ferez-vous l'honneur de vous présenter ?

Arbek… une anagramme de Break. Quant à son prénom, il n'avait même pas prit la peine de le changer. Tellement facile. Mais à la fois tellement ingénieux. C'était tellement simple que personne ne chercherait. A part peut-être Reim. Dans un sens, en tant que débutant, il cherchait ses repères et ce dont il se souvenait. Quand aux autres, plus expérimentés, ils étaient habitués à la subtilité de Break, aussi ne chercherait-il pas la simplicité. Reim devait admettre que l'homme était peut-être complètement fou à lier, mais terriblement intelligent. D'une certaine façon, il le fallait bien pour avoir tué autant de personnes sans finir derrière les barreaux une seule fois.

Le jeune homme toussota et serra sa main, intimidé sans pour autant le montrer.

- Je m'appelle Reim Lunettes. Enchanté.

- Lunettes ? répéta t-il.

Il laissa échapper un petit rire enfantin.

- C'est amusant, finit-il par dire, une lueur étrange dans son œil unique, tendant un doigt vers les lunettes de son interlocuteur.

- On me le dit souvent… enfin, pas comme ça, mais ça revient au même si on y réfléchit bien, rit-il, nerveux.

- Quelque chose ne va pas, mon cher Reim ? demanda aussitôt l'albinos en percevant son trouble.

- Non, non ! le rassura t-il en souriant, se sermonnant intérieurement de sa transparence. Tout va bien.

- Ah bien, tant mieux, me voilà rassuré ! sourit-il, tapant dans ses mains masquées, ses trop longues manches s'agitant en tous sens.

Reim avait l'impression de parler à un enfant. Sa façon de dire les choses, de prendre cet air si pur, de se mouvoir, de s'habiller. Pourtant, sa façon de parler restait très courtoise et polie.

Cet air innocent qu'il affichait était effarant quand on pensait à la centaine de gens enterrée par sa faute, bien que tous n'ai pas eu cette chance. Le corps de certains n'avaient jamais été retrouvé, mais étaient disparus depuis si longtemps qu'un unique et très mince espoir restait aux familles qui s'y accrochait comme des noyés à une bouée.

La répulsion envahit Reim, sentant encore la froideur de la peau du criminel contre la sienne, percevant encore les effluves sucrées de cerise qu'il dégageait. Tout dans ce type était similaire à un innocent original. Mais derrière cette façade soigneusement fondée se cachait un immonde et répugnant bourreau, qui torturait ses victimes pour son bon plaisir.

Son premier meurtre avait été commis à ses quatorze ans. En cette époque, l'enfance berçait encore Reim, alors âgé de huit ans. Les joues roses de l'enfant avaient brusquement pâlies en entendant prononcer le mot « mort » par sa mère, qui dirigeait un prestigieux et reconnu élevage de canidés et d'équidés, fondé par son père, disparu et jamais retrouvé. Sûrement emporté lui aussi par un cinglé. C'était d'ailleurs à cause de la disparition de son géniteur que Reim s'était orienté dans la criminologie. Son premier but avait été de comprendre la logique froide et implacable des criminels.

Malheureusement, tous n'avaient pas de but précis. Aussi le sentiment d'injustice avait envahi Reim en comprenait cela. Son père avait disparu et avait probablement était tué et torturé pour les fantasmes d'un taré. Il avait alors piqué sa plus mémorable crise de colère et d'angoisse. Il était très sujet au stress et il n'était pas rare qu'il panique pour un rien, par exemple si ses proches rentraient un peu plus tard que prévu ou que sa fiancée s'absente sans le prévenir. En revanche, quand il s'agissait de son métier, rien ne le touchait. C'était la première fois que quelque chose le perturbait autant. Mais en même temps, ce n'était que sa première mission. C'était sans doute normal.

Alors il reporta de nouveau son regard ambré sur le visage pâle et enthousiaste de Xerxes. Il restait planté là, penché en avant, son visage à environ quatre pouces du sien, c'est-à-dire dix centimètres. Mal à l'aise, il recula légèrement sur sa chaise et Break se redressa, l'air toujours aussi radieux que quelques instants auparavant.

- Et bien, mon jeune ami, que diriez-vous d'une tasse de thé ?

- Oh, heu… merci mais je préfèrerais un bon chocolat chaud, déclina poliment Reim, certain qu'au moins il ne fourrerait rien dans sa boisson.

- Ah mais il fallait le dire de suite ! s'exclama l'albinos. Je file à la cuisine et je nous prépare un bon thé et un délicieux chocolat chaud !

Et c'est de sa démarche sautillante qu'il s'éloigna en direction des cuisines, laissant un Reim interloqué derrière lui. Décidemment, il était bien étrange, ce fichu assassin. Il n'eut même pas la force de continuer sa lecture, trop inquiet de boire une boisson qui fût passée entre les mains de Xerxes Break.

« Tout se passera bien car mon esprit t'accompagnera tout du long de ton voyage. »

Les bonnes paroles réconfortantes prononcées de la si douce voix de Lise lui revinrent en mémoire et il mit toute sa confiance dans ses dires. Il déglutit, avant d'entendre les pas cadencés de Break revenir. Quelques instants plus tard, un plateau en argent se posait sur la table, sur lequel étaient posé deux tasses fumantes, une boîte de sucres et un petit panier remplis de gâteaux certainement très bons pour les bourrelets. Néanmoins, la gourmandise de Reim prit le dessus et il se laissa tenter par un petit morceau de gâteau au chocolat, abandonnant sa méfiance pour sa grande faiblesse. Après tout, il ne pouvait pas avoir placé de poison dans les gâteaux, étant donné qu'il en dévorait lui-même des quantités ahurissantes – surtout en prenant en compte sa maigreur apparente.

Tout en dévorant ses sucreries, son œil unique brillait de mille petites étoiles, comme ceux des enfants émerveillés devant une pâtisserie. Non, décidemment, il n'avait rien d'un meurtrier. Au moment où son regard croisa celui étonné de Reim, il étouffa un rire – manquant de s'étrangler avec un morceau assez conséquent de gâteau – et frotta ses mains pleines de miettes, époussetant ses manches salies et observant le brun avec amusement.

- Pardonnez-moi pour ce comportement un peu laxiste mais je suis un gourmand irrattrapable, rit doucement l'albinos. Je m'excuse si je vous ai choqué.

- Rassurez-vous, je possède le même vice, sourit Reim.

Décidemment, il ne se soupçonnait pas de telles ressources d'hypocrisie.

- Oh, je comprends. Un jour, ces délicieuses douceurs auront ma peau, sourit paisiblement l'albinos, l'air soudainement attendri.

Etait-ce le fait d'avoir évoqué la mort qui le mettait dans un tel état ?

Break sembla se reprendre et secoua la tête, tout sourire.

- Bien, je vous laisse goûter votre chocolat, moi, je m'attaque à mon thé ! s'écria t-il soudainement, ajoutant quatre sucres dans sa boisson.

Il saisit sa tasse – limite le petit doigt en l'air – et la porta à ses lèvres, fermant les yeux d'un air serein. Prenant son courage – et sa tasse – à deux mains, il imita son curieux interlocuteur et se brûla légèrement, continuant malgré tout à boire le liquide brun et mousseux. Comme il n'agonisait pas par terre en se tordant de douleur, il fut soulagé – ou tout du moins ne mourrait-il pas tout de suite.

Il souffla sur la fumée dégagée par le chocolat, l'air distrait, quand l'horloge de la bibliothèque sonna, faisant sursauter le jeune homme, qui manqua renverser son chocolat brûlant sur ses genoux. L'albinos leva le nez, soupira et termina son thé d'une traite, avant d'enfourner un dernier gâteau et de se lever, le saluant de la main.

- Je vais me coucher, Emily dit que ce n'est pas très bon que je veille tard, fit-il.

Emily ?

Et, une fois à la porte, il se retourna, un sourire pervers se dessinant sur ses pâles lèvres, découvrant ses dents blanches et bien rangées, mais son œil conservant cette étincelle enfantine, le résultat était des plus troublants.

- Bonne nuit, ricana t-il avant de disparaître dans l'obscurité du couloir.

Les craquements sinistres des escaliers retentirent, tandis qu'une peur viscérale nouait le ventre de Reim.

Il passa la nuit dans la bibliothèque, incapable de monter à l'étage et de se cacher sous les couvertures en sachant que la chambre de ce meurtrier au comportement illogique n'était qu'à quelques mètres.

Lorsque le soleil se leva, éblouissant ses yeux vitreux et rougis par le sommeil, il grogna, puis une silhouette se pencha à son oreille et il sursauta violemment, tandis que la voix étrange résonnait dans sa tête :

- C'est une nouvelle journée qui débute. Ce mâtin l'aube était très rouge…

Suivi d'un rire à vous glacer les sangs.

Il se retourna pour le frapper avec son livre – pitoyable, mais il n'était pas assez réveillé pour se rappeler du revolver à sa ceinture – mais…

Il avait disparut. Devenait-il fou ?

Non, il ignorait que Xerxes Break s'était mortellement et fatalement intéressé à lui.

« C'est une nouvelle journée qui débute. Ce mâtin l'aube était très rouge… »


J'espère que malgré l'éloignement du manga original – ne vous méprenez pas, j'adore vraiment PH – ça vous a plu et que vous avez passez un agréable moment !

Pardonnez-moi, encore une fois…

Review ?