Bonjour à tous. C'est la première fois que j'écris une histoire, et c'est donc également la première fois que j'écris une histoire sur cette fabuleuse série The Mentalist.

J'espère que mon histoire vous plaira, et j'espère ne pas avoir fait trop de fautes et des incohérences. Cette histoire comptera 11 chapitres, mais je prévois ne suite à celle-ci, mais ça je vous le re dirai en temps voulu. Sur ce, je vous souhaite une agréable lecture.

Andréa.B

Chapitre 1 :

Dans une petite ville du nom de Sacramento en Californie, l'équipe de Teresa Lisbon, une des meilleures du CBI, enquêtait sur une énième enquête. Cela faisait maintenant plus de deux jours qu'ils s'attardaient sur cette enquête, n'avançant pas aussi rapidement que lorsque Patrick Jane les aidaient.

Depuis la mort de John LeRouge, Jane s'était isolé loin de Sacramento, néanmoins il garda contact avec Lisbon. Durant de nombreuses années, elle était devenu petit à petit la personne qui comptait le plus à ses yeux. Malgré sa folle envie de vengeance contre celui qui lui avait enlevé sa femme et sa fille, il était heureux de travailler avec elle, et pour elle. C'est sans doute l'une des personnes qui lui manquait le plus en ce moment même. Patrick Jane était rechercher par le FBI pour meurtre, mais n'étant plus sur le sol américain, le FBI n'y pouvait rien.

Dennis Abbott, chef du FBI était à la recherche de Jane, non pas pour le mettre en prison, mais pour l'engager comme consultant au sein du FBI. Certes, il avait commit un crime, mais Abbott ne pouvait le blâmer pour ça, quand on y pense, le geste vengeur de Jane a irrévocablement sauvé de nombreuses vies. Mais pour cela il devait le trouver et il savait comment l'atteindre.

Dans l'ascenseur, Abbott arriva au QG du CBI dans le but de trouver l'agent Lisbon. Il n'eut pas du mal à la trouver puisqu'elle était dans son bureau à étudier un dossier, probablement celui encore en cours.

Abbott s'approcha et toqua à la porte. Lisbon releva la tête et lui fit signe de rentrer.

Lisbon : "Abbott ? Que faite vous là ?" Elle était surprise de le revoir bien qu'elle se doutait des raisons de sa visite

Abbott : " Agent Lisbon, j'ai besoin de vous pour mon enquête"

Lisbon : " Mon équipe et moi même sommes en plein enquête, mais lorsque nous aurons finit je vous ferez signe."

Abbott : " C'est au sujet de Jane"

Elle regarda avec intrigue, se demandant ce qu'elle avait à voir quant à Jane.

Lisbon :" En quoi puis-je vous aider ?"

Abbott :" Nous savons tous très bien la relation que vous avez eu avec Jane, et elle était loin d'être seulement amicale."

En entendant Abbott, la jeune femme écarquilla ses yeux magnifiquement vert et sentit ses joues virer au cramoisie. Jamais elle n'avait eu de relation plus que professionnelle avec Jane. Certes, ils ont ( ou du moins avaient ) une certaine complicité que beaucoup ne pouvait comprendre, mais de la à avoir des relations intimes avec lui, c'était inimaginable... bien qu'elle cache les réels sentiments qu'elle avaient envers lui. Elle s'est souvent mentis à elle-même, mais depuis qu'il était parti, son absence était dur, très dur pour elle, ce qui lui a permit de se rendre compte qu'elle était amoureuse de son ancien consultant.

Elle reprit rapidement ses esprits quand elle vit le regard de Abbott pesant sur elle.

Lisbon :" Abbott, entre Jane et moi, il n'y a jamais rien eu de plus qu'une relation entièrement professionnelle, et, avec tout le respect que je vous doit, ce que je fait hors du travaille ne vous regarde pas."

Abbott la regarda avec de gros yeux ronds. Il ne s'attendait pas à une telle réponse. Il reprit d'un ton le plus calme possible.

Abbott :" Teresa, je ne suis pas venu vous voir pour vous accuser de quoi que ce soit, comme vous l'avez dit, vous faites ce que vous voulez. Malgré tout, et vu comme vous vous êtes défendu, je suis certain que vous savez où se trouve Jane, et j'aimerai que vous alliez le voir afin de lui transmettre un message de la part du FBI"

Lisbon :" Vous attendez de moi que je persuade Jane de se livrer à vous ?"

Abbott :" Nous lui proposons un post comme consultant au FBI, Teresa. Pour la loi il a commit un crime, mais il a également sauvés de nombreuses vies. Disons que ce post est comme un travail d'intérêt général afin d'effacer son casier judiciaire."

Lisbon :" Et qu'est ce qui vous fait dire que je sais où il se trouve ?"

Abbott :" Lisbon, je travaille au FBI, Jane est recherché, nous savons qu'il vous envoie des lettres et que dans l'une d'elles, il vous a dit je cite Le soleil Mexicain est très apaisant, nous vous demandons seulement d'aller le voir et le pousser travailler avec nous, nous savons que vous avez de l'influence sur lui. C'est pour le bien de tous, et je suppose que vous serez ravie de le revoir"

Lisbon le regarda sans même savoir quoi répondre. Elle était énervée de savoir que ses lettres étaient espionnées. Elle trouva un prétexte afin de refuser le plus poliment qu'il soit.

Lisbon :" Abbott, je ne peux pas m'absenter, nous sommes en pleines enquête"

Abbott : Ne vous inquiétez pas, nous avons tout prévu, le FBI reprend l'enquête. Vous, vous rentrez chez vous préparer vos affaires, vous partez ce soir."

Lisbon ne pu rien répliquer que Dennis Abbott était déjà parti.

Quelque part au Mexique

Patrick Jane, un homme aux yeux bleus azur et aux cheveux blonds qui avaient tendance à boucler, était assis dans un bar ouvert, près de la

plage, où le soleil laissait apparaître ses tout derniers rayons avant de se "coucher". Jane aimait venir ici le soir, avec une bonne tasse de thé tout en écrivant une lettre destinée à une de ses plus chères amies, bien qu'il en voulait plus avec celle-ci. Il commença à écrire quelques mots avant que quelqu'un ne viennent s'assoir à sa table. Il ne prit pas la peine de lever la tête, il savait que c'était Monsieur Hernandez, le propriétaire du bar, qui s'était assis pour discuter de tout et de rien comme ils le faisaient chaque soir depuis maintenant 6 mois. Patrick attendait toujours qu'il entame la discussion, lui étant trop préoccupé à écrire une lettre qui lui tenait à cœur.

Quelqu'un :" Je suis ravie de voir que je vais vous faire économiser un timbre" dit cette personne d'une voix douce.

En entendant cette voix qui lui était agréablement familière, il stoppa net ce qu'il était en train de faire quelques secondes plus tôt et leva les yeux vers la personne qui avait parlé. Il n'en revenait pas. La femme à qui il pensait sans cesse, celle qui était chère à ses yeux plus que n'importe qui d'autre dans ce monde, se tenait là devant lui. Elle était si belle. Ses yeux verts, ses joues rosâtres, sa fine bouche, tout lui avait manqué en elle. Ni une ni deux, il se leva et enlaça Teresa tendrement mais également le plus fort possible. Teresa Lisbon lui avait horriblement manquée et pouvoir la prendre dans ses bras de nouveau lui mettait de la joie au cœur. Tout deux restèrent là, l'un dans les bras de l'autre, savourant à nouveau le contact mutuel de leur peau. C'était tellement agréable qu'ils ne purent se séparer au bout de deux minutes environ. Teresa avait les larmes aux yeux. Qu'est ce que cet homme, puéril et enfantin, mais en contre-parti avec un cœur gros, lui avait manqué.

Jane : "Lisbon ! Si vous saviez à quel point vous m'avez manqué !"

Lisbon :" Vous aussi Jane. Je suis heureuse de voir que vous allez bien."

Jane :" Je vais bien mieux maintenant que vous êtes là !"

Soudain Jane se posa la question, pourquoi au juste était-elle venue ? Dans la lettre qu'il avait commencé à écrire, il voulait enfin lui dévoiler les sentiments qu'il avait toujours eu à son égard. Seulement il n'eut pas le temps puisqu'elle se trouvait là, devant lui. Il pouvait tout lui dévoiler maintenant, mais il n'en avait pas le courage. Il n'était pas sur des sentiments qu'elle avait pour lui et si jamais par malchance ce n'était pas réciproque, il regretterait d'avoir gâché leurs retrouvailles. Par écrit c'était bien plus simple. Il lui disait à combien il l'aimait et à quelle point elle était importante pour lui et que si elle ressentait la même chose, il lui proposait de le rejoindre. Et si elle ne venait pas il aurait compris et sa pouvait être moins embarrassant que si elle se trouvait face à lui. Il se refusa donc de le lui dire.

Jane :" Lisbon, pourquoi êtes vous là au juste ?"

Lisbon :" C'est..."

Jane :"... en réalité je ne veux pas le savoir, pas ce soir. Ce soir je vous invite à diner et demain vous m'expliquerai la raison de votre venue."

Lisbon lui sourit. Pour une fous, ou peut être pour une énième fois, il faut bien l'admettre, il avait raison" Elle voulait profiter de cette soirée avant de lui dire que c'est pour une raison professionnelle qu'elle se trouvait là, bien qu'elle soit heureuse de le voir et d'ailleurs elle se traita intérieurement d'idiote de ne pas être venue plus tôt.

Lisbon :" Et où comptez-vous m'emmener manger "

Jane :" Qui a dit que je vous emmenez quelque part ? Non, j'ai une meilleure idée.. on va se faire un diner au bord de la plage. Ca vous dit ?"

Lisbon :" C'est une excellente idée"

Jane :" Attendez ici, je reviens dans 10 minutes."

Jane s'éloigna sous le regard interrogateur de Lisbon. Mais que pouvait-il fabriquer avec se barman ? Et pourquoi entrer dans la réserve ?

Jane en ressorti quelques minutes plus tard avec un jolie panier en bois décoré de jolies petites fleurs. Il fit un sourire à l'homme ( qui devait sans doute être Monsieur Hernandez ) et se rapprocha de Lisbon.

Jane :" Il me devait une faveur" dit-il en désignant le panier, comme si il avait lu dans les pensées de la jeune femme.

Lisbon le regarda d'un air interrogateur avant qu'elle ne soit attirée vers la plage par Jane qui lui avait tout naturellement prit la main, qui leur donna une sensation bizarre dans le ventre, autant pour Jane que pour Lisbon.

Sans un mot, ils s'installèrent sur le drap que Jane avait prit soin de placer. Lisbon le regardait installer la petite table improvisée sans rien faire sous les ordres de Jane, c'était d'ailleurs la première fois qu'il lui ordonnait quelque chose et c'est d'autant plus surprenant qu'elle avait obéit. Une fois qu'il avait finit de sortir du panier deux sandwichs au poulet, un Tupperware remplit de tomates cerises ainsi que deux verres de vin et la bouteille, il déposa le panier non loin d'eux. Il inspira à plein poumons le petit air frais qui venait de passer. A cet instant, il était vraiment heureux. Il se reconcentra de nouveau sur Lisbon qui le regardait avec des étoiles dans les yeux mais également avec un petit sourire en coin, ce qui n'échappa pas au mentaliste.

Jane :" Mlle Lisbon Teresa, seriez-vous pas en train de vous moquez de moi par hasard ?"

Lisbon :" Monsieur Jane Patrick, non je ne me moquait pas de vous, néanmoins vous êtes plus lent qu'un escargot et je commence vraiment à être affamée !"

Jane :" Patience... tout vient à point à qui sait attendre ma chère"

Lisbon :"Sauf lorsqu'il s'agit de l'estomac d'une femme... ou celui de Rigsby"

Suite à cette remarque, les deux jeunes gens se mit à rire aux éclats

TBC