Aaaaarggggh, tirez-moi une balle dans la tête, vite !
Je vous hais ! JE VOUS HAIS TOUS ! PUTAIIIIN !
...
Après une petite visite à domicile de mon psychiatre pour s'assurer que
j'avais bien pris mes médocs et après que j'ai engueulé les gens dans
ma tête, je suis désormais à peu près calme pour vous faire l'intro de cette fic qui portera sur DE
L'INCESTE BORDEL DE MERDE-
...
Bref je vous invite à vous préparer psychologiquement (et physiquement pour certains
d'entre vous, bande de pervers) parce-que là on a du lourd. Et un titre en
anglais, parce-que si on peut faire des titres putaclics sur Youtube, on
peut en faire ici aussi. J'essayerai de pas trop accentuer le côté "père
et fils" pour que les plus sensibles d'entre vous sur ce sujet puisse
se branler en paix.
Et puis bon, cherchez pas le scénario, il s'est barré avec ma santé mentale.
LET'S ROCK, baby !
Family stories
La pièce était très différente de celle dans laquelle il s'était endormi. Il jeta un coup d'oeil circulaire autour de lui. Il n'y avait plus le canapé. Ni la télé d'ailleurs, ni la chaussette sale, le caillou, la table...
Ce n'était pas son salon.
D'ailleurs, ce n'était pas un salon tout court. Ou alors le plus glauque qu'on puisse imaginer. Qui aimerait s'assoir tranquillement sur un des petits tabourets en plastiques pour lire le plus calmement du monde l'un des nombreux livres qui ornaient les étagères et portant la plupart sur les sciences ? Qui irait volontairement s'allonger sur l'espèce de siège sur lequel se trouvait Sans et jouer à FlappyTale sur son téléphone ?
Le petit squelette se redressa.
- Merde, qu'est-ce que...
Il sursauta. Il avait voulu se masser le crâne mais ses poignets étaient retenus par une sorte de câble qui semblait s'enfoncer dans ses os. En les découvrant, Sans poussa un petit cri et se débattit, essayant de se débarrasser ce ces foutus tubes. Il remarqua que d'autres étaient connectés à son âme, les câbles passant entre les os de sa cage thoracique.
- Putain !
Il sauta de la chaise au dossier penché et arracha d'un seul geste les fils de diverses épaisseurs. Il n'avait plus sa tenue habituelle. Sa veste bleue et son short noir avaient été remplacés par un T-Shirt gris foncé et un pantalon ample un petit peu trop grand pour lui. Paniqué, il chercha un repère du regard, quelque chose de rassurant à quoi se raccrocher. Il n'y avait rien.
Il regardait autour de lui d'un air désespéré.
- J... Je dois sortir d'ici...
Partir, d'accord, mais par où ? Il ne savait pas vraiment où aller et comment. Il ne voyait aucune porte autour de lui, seulement des tonnes de livres, de fioles et d'instruments divers à l'allure inquiétante. Sans frissonna et déglutit.
- Une sortie... Il doit bien y avoir une sortie...
Il avait quitté la pièce dans laquelle il s'était réveillé et arpentait désormais des couloirs sombres d'un pas précipité. Chaque endroit se ressemblait et il fut bientôt incapable de se situer par rapport à la salle d'origine. Terrifié, il se mit à courir, ne prêtant plus aucune attention à où il tournait. Il se prenait des coins de murs dans les épaules, serrait les dents et continuait. Il se prenait les pieds dans les bas de son pantalon et trébuchait.
Au bout d'un moment de course effrénée, il arriva sur un cul-de-sac. Haletant, il s'approcha du mur lisse, posa sa main dessus. Il se sentait si fatigué et si faible. Il appuya son front contre le mur et sa main glissa, puis tout son corps. Il se sentit tomber et ses yeux se fermèrent d'eux-même.
...
- Ghh... Qu'est-ce que... Waah !
Le petit squelette s'était brusquement redressé. Il était en sueur et ses doigts étaient crispés sur le tissu du canapé moelleux.
... Un canapé ? Il tapota le coussin d'un air incrédule. Oui. Un canapé, semblable au sien. Pendant un instant, il se crut de retour à la maison, que ça n'avait été qu'un cauchemar et que Papyrus allait surgir de la cuisine en l'engueulant parce-qu'il s'était endormi au lieu de l'aider à préparer le repas.
Mais non. Ce n'était pas chez lui. Le canapé était d'un vert beaucoup trop foncé, et le reste de la pièce était très différent de son salon.
- Oh. Tu es réveillé.
- AAAH ! J... Je...
Sans leva les yeux vers son interlocuteur. Il avait une voix étrange, comme tremblotante, même si elle était assurée. Les yeux du petit squelette s'écarquillèrent.
- Uh... Je... Je suis où ? Q... Qui es-tu ?
Le monstre eut un étrange sourire.
- Tu ne te souviens vraiment pas de moi, Sans ?
L'attention du squelette était attirée par l'oeil droit du personnage. La paupière de ce dernier tressautait sans cesse et sa pupille n'apparaissait que par à-coups.
- N... Non... Je... te connais ?
- Mmh... En quelque sorte.
Sans n'aimait pas le regard que le monstre posait sur lui. Il avait l'impression d'être subitement devenu un morceau de viande devant un fauve affamé.
- Je suis le docteur W.D Gaster, fit la créature d'un ton calme. Je suis le scientifique royal.
Le petit squelette ne put s'empêcher de rebondir.
- Non. Alphys est l'actuelle scientifique royale, désolé de te l'app...
Il s'interrompit. Un souvenir refaisait surface dans sa mémoire.
- Att... tends... Redis-moi comment tu t'appelles ?
Le sourire de Dr. Gaster s'élargit.
- C'est moi qui ait formé Alphys.
Sans cligna des yeux à plusieurs reprises. Puis il se prit le visage entre les mains.
- Je t'avoue que je suis un peu perdu, là...
- C'est normal. Je vais t'expliquer.
Gaster s'assit sur le canapé, près du torse du petit squelette. Instinctivement, il eut un mouvement de recul, mais étant allongé, les possibilités de fuite étaient peu nombreuses, voire inexistantes.
- J'ai terminé la construction de ma machine temporelle. Je l'ai utilisée pour aller dans le futur. Au début, je voulais juste vous revoir, ton frère et toi...
- Nous... "revoir" ?
- J'y reviendrai plus tard, fit le scientifique avec un regard rassurant. Donc je vous regardais, je m'assurais que tout allait bien pour vous deux. Je commençais à me dire que tout allait bien, et puis...
Son sourire se transforma en rictus.
- Je t'ai vu combattre l'humain, avant qu'il ne finisse par recommencer la timeline.
- O-Oh ...
- ... Sans.
- O... Oui ?
- Ta magie est extrêmement puissante. Cela pourrait être dangereux pour ton entourage, tes amis et... ton frère.
- EH, s'écria Sans, je ne suis pas un enfant ! Je sais quand-même contrôler ma magie ! Et puis... Tu es qui pour nous observer Pap's et moi ?
(Là je vous ferais bien une scène à la Star Wars style "Sans... Je suis ton père" mais faut pas abuser.)
- Disons que je suis ton... créateur.
Le petit squelette haussa un sourcil (toi et moi on a déjà eu une discussion là-dessus, les squelettes on des sourcils).
- Eh, doc, je... j'y crois pas vraiment, à ton... votre... histoire. Je veux dire, si j'avais un père, je m'en souviendrais, quand-même, non ?
Il regarda les mains trouées de Gaster.
- Je suppose que c'est toi qui m'a kidnappé et emmené dans cette timeline ? C'est toi qui m'a accroché toutes ces saloperies de tubes ?
- Oui. Je ne m'attendais pas à ce que tu t'en débarrasses aussi facilement, d'ailleurs.
Sans soupira, plaqua sa main sur son visage.
- Ok, donc... Ce que t'es en train de me dire... C'est que t'es l'ancien scientifique royal qui a créé la machine à voyager dans le temps (et qui, accessoirement, m'a créé), que tu as aussi créé le Core (si j'ai bien compris) et que c'est pour ça que t'as disparu (ça c'est des gens qui me l'ont dit), mais que tu n'étais pas mort, et comme tu t'inquiétais pour nous, tu a utilisé la machine pour venir vérifier qu'on allait bien. En me voyant utiliser ma magie, tu t'es dit que je pouvais dangereux, donc tu as attendu que je sois endormi pour... Ben, je sais pas comment t'as fait, mais...
- Seringue anesthésiante.
Le petit squelette grimaça. Il essaya de s'éloigner le plus possible de Gaster.
- Laisse-moi rentrer chez moi.
- Non.
- Je veux voir mon frère ! cria Sans en essayant de se lever. ça fait des années qu'on vit ensemble et il ne sait jamais rien passé de mal !
- ça viendra. Tu dois apprendre à contrôler ta magie.
- Je sais la contrôler.
- Pour l'instant, oui.
Le ton très calme et neutre du scientifique le faisait bouillir de rage. Il sentit tout d'un coup une vague de froid l'envahir. Il chancela un peu et sa tête retomba sur l'accoudoir du canapé. La sensation glacée disparut.
- Ghh... Que...
Gaster continuait de sourire. Son oeil gauche brillait d'un éclat violet.
- J... Je... Je... C'est toi qui m'a fait... ça ?
- Oui.
Le petit squelette grogna, se redressa. Il demanda pourquoi il avait fait ça. Gaster répondit qu'il devait être calme. Sans demanda combien de temps il devrait rester avec lui pour apprendre à contrôler sa magie. Gaster répondit que ça prendrait plus ou moins de temps. Sans gémit.
- Et Papyrus ? C'est mon petit frère, il va s'inquiéter si je ne rentre pas. C'est aussi ton... uh, "fils", tu ne te soucies pas de lui ?
- J'ai laissé une lettre à Papyrus fit tranquillement le scientifique. Je lui ai tout expliqué. Ne t'en fais pas, tu le retrouveras en temps voulu, quand tu ne seras plus dangereux pour lui.
Sans ouvrit la bouche pour répliquer que jamais il ne lui ferait de mal, mais seul un sanglot étranglé sortit de sa gorge. Il cligna des yeux, étonné de sentir des larmes sur ses joues, et surtout extrêmement gêné et en colère de pleurer devant Gaster.
Celui-ci posa une main sur son crâne.
- N... Ne me touche pas, gronda le petit squelette en essayant de se dérober. Va... Va-t-en.
Il frissonna quand les doigts squelettiques passèrent doucement sur son visage, éprouvant les reliefs de ses pommettes et fossettes, essuyant ses larmes, glissant sur ses mâchoires serrées.
Il ferma les yeux, ne voulant plus voir ce visage à la fois étranger et familier. Il sentit une bouche s'appuyer sur la sienne ("clank !") et il se sentit immédiatement bleuir. Tétanisé, il n'osa pas ouvrir les paupières. Il n'avait pas la force de se débattre. Il n'en avait même plus la volonté.
Il sentit que Gaster se levait, puis entendit des pas s'éloigner.
Alors il ferma les yeux et se laissa sombrer.
Pap's... Pap's, où es-tu, frérot... J'ai tellement besoin de toi... J'espère que tu vas bien, qu'il ne t'a pas fait de mal...
- Pap's... sanglotait-il tout doucement.
...
Il avait été réveillé par la lumière du soleil sur son visage. Le canapé était situé juste sous la fenêtre et était le premier à profiter des lueurs du jours montant.
- Mgnn? Pap ... yrus?
Son frère était habituellement déjà levé à cette heure-ci, s'apprêtant à partir poser des pièges à humains.
- Bien dormi ?
- GAAAH ! Oh... Oh... Damn, tu m'as fait peur...
- Excuse-moi.
Gaster se tenait penché par dessus le canapé. Sans remarqua qu'une couverture légère recouvrait son petit corps. Surpris, il la prit et fit glisser le tissu entre ses doigts. Il était doux au toucher.
Gaster laissa ses yeux glisser sur le corps du squelette, qui remonta la couverture jusqu'à son menton.
- Tu devrais dormir dans un vrai lit, ce soir. Tu prendras ton ancienne chambre.
- Mon ancienne chambre ? Ah... Oui, j'avais oublié.
Le scientifique l'observait d'une manière gênante, voire intrusive. Sans avait l'impression qu'il pouvait voir directement dans sa tête pour savoir à quoi il pensait.
- ... Si tu as faim, il y a des Temflakes (HoI !) sur la table.
Le petit squelette regarda pour la première fois autour de lui. Mis à part le canapé, il y avait peu de meubles dans le salon. L'écran d'un petit téléviseur éteint, situé en face du canapé, lui renvoyait son image. Les cernes sous ses yeux semblaient plus sombres et profondes que la veille, et il semblait très confus. Il se tourna à nouveau vers Gaster.
- D'accord.
Il aurait bien rajouté un "merci", mais vu les circonstances, il était probablement en droit de passer outre cette formule de politesse. Si un criminel s'apprête à vous buter mais qu'il vous propose d'abord un coca, vous allez pas lui dire "merci mec, t'es vachement sympa".
Il se leva, dégagea la couverture et s'approcha de la table, qui était visible depuis le salon bien qu'elle se trouvât dans la cuisine, car il n'y avait pas de porte pour séparer les deux pièces.
Il s'installa sur une des trois chaises, tira un bol vers lui et le remplit de céréales. En voyant Gaster prendre place sur la chaise en face de lui, une tasse de café dans une main et un bloc note (auquel était attaché un crayon) dans l'autre, il se raidit.
- E... Eh, qu'est-ce que tu fais ? Tu n'as rien de mieux à faire.
- Oh je voulais juste m'excuser. Pour t'avoir laissé seul dans le laboratoire. J'aurais au moins dû être avec toi pour te surveiller. Non, en fait, j'aurais dû t'emmener ici dès le début.
Sans se renfrogna.
- Oui, c'est sûr que c'est de loin le pire que tu aies fait... grommela-t-il.
Il chercha des yeux une bouteille de lait. Manger des céréales sans lait était clairement à classer parmi les choses qui l'énervaient le plus. Et, comme par magie, sans doute parce-que c'était vraiment de la magie, une bouteille d'un blanc nacré apparut devant lui avec un petit "pop". En face de lui, Gaster le regardait en souriant. Son oeil était redevenu violet. Sans cesser de le fixer, il porta la tasse à ses lèvres inexistantes et bu une gorgée avec un regard provocateur. Sans frissonna en apercevant une inscription sur la tasse "Bonne fête des pères".
... COMMENT AVAIT-IL PU LAISSER CE GARS L'EMBRASSER ?
Sans un mot, il prit la bouteille de lait et en versa le contenu dans son bol. Il pouvait sentir les yeux du scientifique peser sur lui. En tremblant un petit peu, il posa la bouteille vide avec colère et se leva un petit peu de sa chaise, les mains sur la table.
- Arrête de me regarder comme ça ! s'écria-t-il en faisant trembler ses Temflakes. Arrête de faire comme si... comme si il ne s'était rien passé ! Je ne te connais pas, d'accord ? Et tu crois peut-être me connaître, mais c'est faux ! J'ai grandi ! Je ne suis plus un enfant, je ne suis même plus ton enfant ! Je ne suis même pas sûr que tu sois mon père ! Je ne te crois pas ! Comment je pourrais te faire confiance ? Je... Je te déteste !
Pendant que Sans lui gueulait dessus, Gaster croisa les jambes et continua de le regarder "comme ça". Il souriait toujours. Il termina son café et croisa aussi les bras. Quand le petit squelette, haletant, s'appuyant sur la table, eut vidé son sac, ils entamèrent un duel de regards. Sans serrait les dents, transpirait, en bref, il était clairement tendu. Gaster était calme.
Il souriait.
Puis il prit la parole.
- Je te connais mieux que tu ne le crois, Sans. Peut-être même que je te connais encore mieux que toi-même.
Il décroisa les bras, puis croisa ses mains sur la table et s'appuya dessus.
- Si je te regarde, Sans, c'est parce-que ça fait des années que je ne t'ai pas eu réellement en face de moi, en train de me parler. Un père n'a pas le droit d'être heureux de retrouver son fils ?
Le petit squelette, qui n'en menait pas large, ouvrit la bouche pour dire quelque chose (probablement une insulte), mais Gaster lui coupa la parole.
- Et malgré le fait que tu ne sois plus un enfant, tu seras toujours mon enfant, quoi que tu puisses en dire. Ensuite...
Il pencha un peu la tête sur le côté.
- Je comprends que tu aies du mal à me faire confiance. C'est normal, mais tu finiras par t'habituer à moi. Je fais ça pour ton bien, d'accord ?
- C'est pour mon bien que tu m'as arraché à mon jeune frère, qui lui est encore un enfant et qui a besoin de moi ? Et pourquoi pas son bien à lui ? Je... Je...
Sa voix se mit à trembler. Il regarda ses chaussons.
- Qu'est-ce que je te hais...
Gaster poussa brutalement sa chaise. En se levant (tout aussi brusquement), la table trembla, la bouteille de lait vide se renversa et la tasse et le bol vacillèrent. Sans sentit tous les muscles de son corps se raidir (oui oui. les squelettes ont des muscles. va vérifier. non, je déconne, le fait pas et continue à lire) et se tint prêt à se téléporter. Il n'aurait pas assez de magie pour aller bien loin, mais s'il parvenait à atteindre le salon, il pourrait se ruer vers la porte et essayer de s'enfuir.
Mais il n'en eut pas le temps.
Le scientifique était bien plus rapide que lui. Sans n'eut même pas le temps de réagir qu'il était déjà sur lui. Il s'attendait à des coups, à des cris, et au lieu de ça, il sentit simplement les doigts osseux de Gaster se refermer sur ses poignets, l'appuyant contre le dossier de sa chaise. Son visage n'était qu'à quelques centimètres du sien. Un joli bleu clair envahit les joues du petit squelette. Les yeux du scientifique se plongèrent dans les siens. Tremblant de tous ses membres, il sut qu'il ne devait pas rompre le contact visuel.
- Qu-Que...
- Mon Dieu, Sans... fit le plus âgé en retrouvant son sourire. Tu n'as pas changé. Tu es toujours aussi... adorable.
Puis il lâcha ses poignets.
- H- Huh ?
- Hey, tu croyais vraiment qu'il en fallait si peu pour que je m'énerve et que je te tue ? (Il rit.) Je ne pourrais jamais te faire du mal, Sansy. Et pas que à cause des liens de sang.
Il tourna les talons. Après une courte réflexion de Sans sur le fait que les squelettes n'aient pas de sang, il se redressa un petit peu.
- Euh... Doc... Gaster... Je... Je ne te crois toujours pas quand tu dis être mon... père. Montre-moi au moins une preuve.
Le scientifique se retourna. Quelque chose brillait dans ses yeux.
- Ce soir, fit-il avec un sourire chaleureux dans la voix. Je te montrerai.
Il quitta la pièce.
ABSOLUMENT JE VAIS FAIRE PLUSIEURS CHAPITRES ! T'AS
UN PROBLÈME AVEC ÇA ENFOIRÉ ?
Vous en faites pas, le lemon arrivera un peu plus tard. Vous pouvez
patienter jusque là, quand-même ? Bien sûr que vous pouvez. Ou pas. Je
m'égare.
J'espère que ça vous a plu, les gens ! Moi je maudis les gens qui m'ont pervertie
avec leurs putains de fanarts.
Allez, bye les gens !
