Héhéhé, je suis contannnnnnnteeeee c'est ma première fanfic sur TRC et j'espère franchement que vous allez aimer, j'ai eu le tilte de faire cette histoire après avoir regarder un épisode de la saison 2 x)
Bref j'espère franchement que vous allez aimer, me frapper pas s'il vous plait je sais que c'est assez (...) mauvais, mais soyez indulgent et désolé d'avance pour les fautes de français ToT
Je tiens également à remercier ma Power Beta Lectrice Lyra64 =D \o/
Nouveau voyage, nouveau monde et pourtant toujours la même routine pour nos voyageurs, bien qu'ils vivent toujours de nouvelles expérience dans les mondes visités.
Notre petit groupe est composé de Sakura, princesse à la recherche de ses souvenirs, de son chevalier servant Shaolan, d'un grand blondinet, magicien originaire du pays de Celès nommé Fye, d'un ninja venant tout droit du Japon féodal (et qui aboie plus qu'il ne mord), Kurogane et enfin de leur petit guide touristique (sans qui passer de monde en monde serait impossible), Mokona.
Ils venaient de quitter le pays de Rekord où ils avaient encore trouvé une plume.
Comme à chaque fois, après avoir quitté le monde dans lequel ils se trouvaient, ils arrivent dans un nouveau monde, sans savoir pourquoi quelque chose était différent, étrange même...
Narrateur Fye.
Encore un nouveau monde qui s'offre à nous et je suis heureux de voir que ce n'est pas le mien.
Comme chaque fois, Mokona nous a fait atterrir en catastrophe, ce qui lui vaut de se faire gronder par Kuro-chan. Je souris sans vraiment faire attention à eux, plus occupé à scruter l'endroit où nous sommes. C'est beau, tellement beau : tout est vert et il y a plusieurs cerisiers qui sont en fleurs, juste à côté d'une sorte de petit étang. Magnifique, il n'y a pas d'autre mot pour décrire le monde dans lequel nous avons atterri, bien que ce que nous voyons ne soit en fait que le jardin d'une grande demeure. Comme j'aimerais y vivre, tout est tellement relaxant, et tout d'un coup je n'entends plus Kurogane crier après Mokona.
Je le regarde et je me fige tout comme lui et comme le sont déjà Shaolan et la princesse, je me frotte les yeux pour vérifier que je n'ai pas une hallucination, mais non juste en face de moi se trouve un Kurogane de maximum une quinzaine d'années ayant un peu de mal avec ses habits devenus trop grands. Mon dieu même sous cette apparence qu'il est beau, il faut dire je me retiens de ne pas lui sauter dessus ou lui faire une remarque - surtout en voyant le regard qu'il me lance. Je me regarde donc et me fige : moi aussi j'ai " rajeuni " et j'ai également une quinzaine d'années. Cela correspond à l'époque où j'avais les cheveux longs. Je me fige. J'ai peur. Non ! Ce n'est pas possible, je ne veux pas revenir à cette époque maudite...
Pourtant, malgré ma peur, je ne peux m'empêcher de rire quand je tends le bras vers Kurogane, pour lui dire quelque chose et que je remarque mes vêtements également devenus beaucoup trop grands pour moi.
Tout d'un coup, nos regards se tournent vers les enfants pour voir Shaolan tout paniqué courir vers la princesse qui elle semble trouver la situation très amusante. Tout deux doivent avoir sept ou huit ans maximum.
- Princesse Sakura, vous vous sentez bien?
- Oui merci beaucoup Shaolan-kun. De plus cette situation est amusante, tu ne trouves pas?
- Neeee Mokona, tu sais ce qui s'est passé toi ? Pourquoi on dirait qu'on est tous redevenus enfants ?
- Mokona ne sait pas, mais Mokona sent une plume de Sakura dans ce monde et une autre grande source de magie.
- Hé bien, au moins c'est une bonne chose qu'il y ait une plume ici, pas vrai Kuro-pii?
Rien, aucune réaction. Je me retourne donc vers Kurogane qui est resté en retrait. Il ne parle pas et ne bouge même pas, il ne fait que fixer un point. Quand je regarde dans la même direction que lui, je vois un femme, tellement belle, avec de longs cheveux noirs, et un visage tellement doux. Je remarque qu'elle fixe également Kuro tan droit dans les yeux puis, sans que personne ne comprenne rien, elle s'approche doucement, se met juste devant lui et le prend dans ses bras avant de se mettre à pleurer. Kurogane fait pratiquement sa taille, peut-être est-il à peine plus petit, et j'entends la femme dire, entre quelques sanglots :
- Je suis tellement heureuse de te revoir mon fils ! Si tu savais comme j'ai prié pour te revoir ne serait-ce que quelques secondes. Viens entre, il faut que toi et tes amis vous changiez, les vêtements que vous portez sont bien trop grands pour vous. Je suis sûre que ton père sera fou de joie à l'idée de te revoir ! Venez je vais vous montrer vos chambres.
Et là, encore une fois, je ne comprends rien : cette femme serait la mère de Kuro-pon ? Enfin ce n'est finalement pas très étonnant, vu que tous deux sont d'une grande beauté. Et je ne peux m'empêcher de me demander à quoi ressemble son père...
J'entends simplement le ninja prononcer un petit « oui » presque inaudible, on dirait qu'il n'en revient pas. Elle lui attrape la main et tous deux commencent à marcher. Sans poser plus de questions, nous les suivons, essayant de ne pas faire tomber nos vêtements pour ne pas nous retrouver entièrement nus - bien que voir Kurogane perdre tous ses habits ne m'aurait pas dérangé...Et là, comble de tout, je rougis. Et pas un petit rouge qui ne se voit pas, non un bon gros rouge que la mère de Kuro-wanwan remarque très bien ! Je la vois faire un petit sourire malicieux, ce qui ne présage rien de bon pour la personne à qui est destiné ce sourire... et là, en l'occurrence, eh bien il s'agit de moi !
Une fois devant les chambres, elle en montre une pour Sakura juste à côté de celle de Shaolan puis, arrivée devant une chambre, elle s'arrête et je vois Kurogane entrer sans rien dire. Elle me regarde ensuite et me dit avec un grand sourire :
- J'espère que ça ne te dérange pas de partager la chambre de Kurogane ? Tu verras, elle est très grande. Et surtout, fais comme chez toi.
- Ou...Oui madame, je bégaye difficilement, le rouge aux joues encore une fois, tout en évitant soigneusement son regard.
- Allons allons, ne te mets pas dans un tel état ! Elle sourit, se penche à mon oreille et murmure. Prends bien soin de Kurogane s'il te plait. Il a beau jouer les grands garçons, je crois qu'il est troublé en ce moment.
Puis elle me fait un simple signe de la main en partant, avant que je n'aie pu réagir. J'en ai marre. Tous ça ne me ressemble pas. Pourquoi je me mets dans de tels états ? Pourquoi je réagis de façon aussi immature ? Peut-être...parce que je suis revenu à l'âge de l'insouciance, parce que je ne peux m'empêcher de penser comme le gamin que je suis devenu.
Je soupire et je rentre dans la chambre, pour voir Kurogane en boule dans un coin. Je vais me poser sur le seul grand lit de la pièce (enfin « lit », c'est plutôt un futon très grand) et le regarde.
Aucun de nous ne parle. Après de longues minutes, quelqu'un toque à la porte et entre sans même attendre une réponse. C'est la mère de Kuro-chan, c'est bizarre. Parfois je l'appelle par son prénom et d'autre fois par un surnom que je prends tellement de plaisir à inventer avec l'aide de Mokona.
Je reporte très rapidement mon attention sur sa mère qui me sourit encore. Elle est tellement belle ! je ne sais pas combien de fois je l'ai déjà dit et combien de fois je le redirai, mais comment ne pas la trouver belle, douce et gentille ? J'aurais tellement aimé avoir un mère comme elle... Elle pose des vêtements sur le lit et puis, juste à côté, un grand katana tout simplement magnifique et un bâton de magicien faisant ma taille. Elle se retourne ensuite vers Kurogane, me tournant le dos, et dit d'une voix qui se veut douce et pourtant remplie de tristesse :
- Kurogane, une fois que tu te seras changer, ton père aimerait te voir. Je pense que tu sais où le trouver, même après tout ce temps pas vrai ?
- Hm.
- Quant à toi, Fye, commence-t-elle en se retournant vers moi, j'espère que cesvêtements seront dignes d'un prince du royaume de Celès, termine-elle en sortant.
Comment le sait-elle? Je ne l'ai jamais dit à personne, je ne l'ai jamais fait paraître non plus, alors comment le sait-elle ? Et sans que je n'aie rien vu Kurogane est à côté de moi, en train de retirer ses vêtements pour mettre les nouveaux. Comme s'il avait lu dans mes pensées il me répond d'une voix complètement absente, comme s'il était là sans être là :
- Ma mère était prêtresse. Il s'arrête pour lâcher un petit rire ironique et rajoute : Enfin... « était », je devrais plutôt dire « est », vu qu'elle est de nouveau là. Elle a la capacité de voir des choses dans ses rêves.
- Ha bon? Comme ta princesse Tomoyo alors?
- Mouais.
- Dis, Kurogane, pourquoi tu as dit « était » à la place de « est » et pourquoi ta mère parle comme si elle ne t'avait pas vu depuis des années? D'ailleurs on est où?
Je le regarde attentivement, détaillant son corps, ses gestes, les expressions de son visage. Puis je me remets à regarder son corps le plus discrètement possible, même aussi jeune il devait bien faire une ou deux têtes de plus que moi et était déjà passablement musclé. Il est désormais en sous-vêtement (à mon plus grand plaisir) et quand il regarde les habits que sa mère lui avait préparés, il soupire en lisant un petit mot sur la pile que je n'avais pas remarqué. Il y est écrit « Fais toi beau pour revoir ton père, après tout le prince de Suwa doit être présentable non ? ». Alors lui aussi faisait partit de la noblesse, je ne sais pas pourquoi, mais savoir cela me rassure, comme si désormais nous étions vraiment accessibles l'un à l'autre. Et pendant que je me plonge dans mes pensés, Kurogane a changé de sous-vêtement et je n'ai rien vu. Je suis dégoûté. Oui, moi Fye je suis dégoûté de ne pas avoir pu voir les partis intimes de Kuro-chan. Puis tout en mettant ses nouveaux vêtements, il répond vaguement à mes questions :
- Fye, bienvenue cher moi.
- Chez toi? C'est le palais de la princesse Tomoyo, le monde où tu voulais revenir?
Et la, vision de rêve, Kurogane torse nu, assis sur le rebord de la fenêtre éclairé par la douce lumière du soleil, un micro sourire sur les lèvres, me dit en regardant par la fenêtre :
- Non, nous sommes dans mon vrai chez moi, celui qui m'a vu naître, qui a vu ma famille et toutes les personnes auxquelles je tenais mourir, qui a été témoin du plus grand changement chez moi, et également celui où je suis devenu un ninja aux ordres de la princesse Tomoyo. Il marque une courte pause, se retourne vers moi et ouvre en grand les bras et dis ironiquement :
- Fye, bienvenue dans la contrée de Suwa, entièrement dévastée alors que je n'avais même pas une douzaine d'années.
Hein? Non franchement il faut m'expliquer ! Je comprend de moins en moins ce qu'il se passe ! Bon, d'abord, la famille de Kuro-puu est morte. Mais alors comment cela se fait-il que sa mère soit là, devant nous, aujourd'hui? Fye arrête de penser, tu te fais du mal... De plus, Kuro-carasu à beaucoup parler en une seule fois et surtout il me dit pratiquement son passé comme ça, comme si il me criait dessus. Il revient vers moi pour continuer de s'habiller et son style de m'étonne pas vraiment, du noir comme toujours, un pantalon noir, des bottes noires... Ha il a toute de même une chemise blanche qui en passant lui va à merveille et par dessus un gilet très long noir (1). Et là je remarque le détail qui tue, un anneau est posé sur le futon, il le prend et...Se le met à l'oreille gauche? Je savais pas que Kuro-Kuro portait ce genre de chose, ça le rend encore plus beau et ça lui donne un air encore plus rebelle, c'est incroyable en même pas une demi-journée je n'arrête pas de répéter que sa mère est belle et que lui est bien plus que beau. J'ai vraiment l'impression d'être une petite adolescente toute excitée devant une idole (2). Je sens alors quelque chose percuter le haut de ma tête et bien que ce n'ait pas été très fort je mets mes deux main à l'endroit qui a été percuté avant de relever la tête pour voir le visage de Kurogane à quelque millimètre du mien. Il tient son katana par le fourreau, signe qu'il m'afrappé avec le manche. Il me regarde droit dans les yeux et à ce moment je suis comme hypnotisé, il pourrait me demander n'importe quoi je le ferais du moment qu'il me laisse continuer à regarder ses yeux, mais très rapidement il me met une petite pichenette sur le front et me dit avec un sourire :
- Il faudrait penser à t'habiller tu crois pas abrutit de mage? Alors arrête de rêvasser et dépêche toi de rejoindre les gamins et l'autre boule de poile blanche, entendu, princesse?
Et au moment ou j'allais lui répondre il sort de la chambre me laissant seul.
J'ai dû rater un épisode c'est pas possible autrement, notre Kuro-Kuro national qui réagit de cette manière et là...Je viens de réaliser qu'il m'a appelé « princesse », je ressemble pas tant que ça à une fille.
Je lâche donc un long soupir et m'habille. Les vêtements que sa mère m'a donnés sont vraiment beaux, assez semblable à ma tenue blanche à la différence qu'elle fait plus princière et décontracté, de couleur bleu clair.
Ils ont aussi de grosse parties en laine que j'adore tellement, bleues également, mais foncé.
Une fois habillé, je sors de la chambre pour aller voir les enfants, mais au moment où je vais toquer à leur porte, une voix m'arrête dans mon élan. Je me tourne donc pour voir que c'est la mère du Kurogane qui m'a appelé. Elle me demande de la suivre, car elle aimerait parler avec moi et je la suis sans rien dire jusque dans le jardin, où elle me conduit devant une sorte de temple et s'assoit sur la petite terrasse très rapidement suivi de moi.
Je la trouve mystérieuse, tout ici m'intrigue, peut-être que c'est parce que tout ici est en quelque sorte relié à la personne que j'aime... Oui je le dis et j'en suis fier : j'aime Kurogane et depuis longtemps. J'étais peut-être juste un peu trop lâche pour me l'avouer...
J'attends donc sans rien dire qu'elle prenne la parole et quand elle le fait je me tends sans vraiment savoir pourquoi, pourtant sa voix est douce, je ressens qu'elle ne me veux aucun mal, mais je me sens mal alaise et quand j'entends ce qu'elle a à me dire je comprend pourquoi.
- Fye, j'aimerais que tu me parles de Kurogane.
- Comment ça ? je réponds, interloqué par une telle question.
- Oui, de comment il est, ce qu'il fait, que tu me parles de votre voyage. Je te demande cela, car je sais que tu es la seule personne à pouvoir véritablement me répondre. Sakura et Shaolan le voient plus comme un grand frère ou comme un père et je sais aussi qu'il se comporte différemment avec toi qu'avec eux. Alors tu es d'accord?
Oui, c'est vrai qu'il est différent quand nous nous retrouvons seulement tous les deux...
Je lui fais donc un signe oui de la tête et je commence tout d'abord par lui raconter le début de notre voyage, donc notre arrivé chez Yuko lorsque nous avons tous du lui donner une compensation.
Je lui parle de la réticence qu'a eu Kuro à lui céder son katana et je m'arrête quand je l'entends rire pour me retourner vers elle.
- Désolée Fye, c'est juste que ça m'aurait étonnée qu'il ne rechigne pas à le donner à Yuko, il y tient beaucoup tu sais.
Elle a un beau rire, j'aimerais bien aussi entendre le sien une fois, l'entendre rire et pas crier sur quelqu'un. Juste une fois, et sans même m'en rendre compte je me perd dans mes pensés et sa mère a dû le remarquer vu qu'elle s'approche de moi pour me chuchoter quelque chose à l'oreille et soudain je me bloque comme si on m'avait mis sur pause, j'ouvre grand les yeux, la fixe et au bout de plusieurs seconde qui me paraissent des heures, j'arrive enfin à articuler quelque chose.
- Vous êtes sérieuse?
- Oui, c'est ça qu'il faut faire si tu veux le faire rire, ça à toujours marché donc pourquoi ne pas essayer... ?
- Mais...Je sais pas...C'est quand même un peu...
Je n'arrive pas à y croire, je suis rouge tomate et je bégaye ce qui la fait encore rire, il faut dire que je ne pourrais jamais faire « ça » à Kuro, j'ai beau être frivole il y a tout de même des limites surtout avec lui.
Et pourtant...Croyez moi quand je vous dis que ce n'est pas l'envie qui me manque, mais je n'ai pas envie de mourir tué par lui. Après cela je continue de lui parler de notre voyage en lui disant tout ce que je peux même si je sais que je ne pourrai pas lui dire certaines choses, même à elle.
Même si je sais déjà qu'elle sait que j'aime Kurogane, c'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'elle m'a demandé de lui parler de lui, car elle sait que je suis très impliqué quand ça le touche...
Yaya-Chan: ENFINNNN finiiiii
Kuro: Ouais enfin...A ta place j'en serais pas trop fier vu le torchon que ta pondu.
Yaya-Chan: Je peux pas pondre je suis pas une poule Kuro-Baka :(
Kuro: C'est KU-RO-GA-NE même et surtout pour toi Baka-Fanfikeuse.
Fye: Bon je suis tout à l'honneur dans ce chapitre on dirait (étoile dans les yeux)mouhahahaha, bref, à toute mes FanGirl chérie seriez vous assez aimable pour laisser des Reviews à une incapable comme elle?
Yaya-Chan: Ouaiiiin Fye s'y met aussi.
Kuro: A la place de faire la débile tu avais pas des notes de bas de page à mettre toi?
Yaya-Chan: ...Heu...Si xD
(1) Pour les personnes voulant voir correctement les vêtements de nos personnage voilà le lien, il faudra juste retirer les espaces. Http :/ .v4 . /a09/ xx-fye-yume-xx /pics/ 2632668612 _small_2.j pg
(2) Au japons les idoles sont d jeune talents de la chanson et ou de la télé.
