Chapitre 1
Un dur début d'été
Il faisait noir depuis longtemps à Privet Drive et tous ses habitants dormaient depuis un moment. Tous sauf, un adolescent aux cheveux noirs et aux yeux verts. Cet adolescent se nommait Harry Potter. Il était couché dans la cave du 4, Privet Drive ou il vivait avec les Dursley. Son oncle Vernon, sa tante Pétunia et son cousin Dudley, qui l'avaient recueillit à la mort de ses parents. Si Harry se trouvait dans une cave humide en pleine nuit, s'est que son oncle l'y avait enfermé à son retour de Poudlard. La meilleure école de sorcellerie de Grande-Bretagne.
Le pauvre Harry se trouvait dans un état épouvantable. Depuis son retour, il y a une semaine. Il souffrait d'un mal inconnu, il avait une très forte fièvre qui lui donnait un sommeil des plus agité : des maux de tête intolérables, des maux d'estomac, des vomissements, des étourdissements et de l'arythmie cardiaque. Ce qui signifie que les battements de son cœur ne sont plus régulier. Chacun de ses muscles le faisait souffrir atrocement, au poing ou même le plus minime des mouvements le rendait fou de douleur.
Mais il devait souffrir en silence, sinon, c'était encore pire. Depuis son arrivé à Privet Drive. Son oncle le frappait sans la moindre raison. Il en profitait puisque Harry n'était pas en état de se défendre. Chaque jour, son état empirait. Son visage était tuméfié au point que Harry était presque méconnaissable. Il avait probablement plusieurs côte de briser car la peau de sa cage thoracique n'était plus qu'un amas de chairs. Il avait surement une cheville fracturé, un poignet foulé et une épaule disloqué. Son oncle ne ressentait aucune compassion à l'air maladif de Harry, il continuait à le maltraiter malgré son état. En fait, s'était plutôt le contraire, plus Harry semblait aller mal, plus Vernon le frappait.
Il ne lui laissait que quelques heures de paix par jours. Mais se n'était pas pour que Harry se repose, mais pour Vernon. ( Le pauvre s'est fatiguant de frapper quelqu'un toute la journée.) Le premier matin, malgré le grand état de faiblesse de Harry. Son oncle l'avait forcé à se lever pour faire ses corvées habituelles ( faire la pelouse, s'occuper des plate-bandes de sa tante, lavé l'auto de fond en comble, faire les repas, la vaisselle, passé l'aspirateur, épousseter, laver les vitres, le plancher de la chambre de bain etc.). Lorsque Vernon s'était aperçus de l'évidence, c'est à dire que Harry n'arrivait même plus à tenir debout, il l'avait enfermé dans la cave. Maintenant plusieurs fois par jours. Vernon y descendait pour frapper Harry. Pour le punir de ne pas faire ses corvées ou pour toutes autres raisons. Pour Vernon toute raison était bonne pour le frapper toujours plus et depuis deux jours, Dudley aussi s'y était mit lui aussi.
Mais malgré son état lamentable, l'esprit de Harry était très actif. Il pensait à tous ce qui c'était passé depuis un mois, le tournoi des trois sorciers, sa rencontre avec Voldemort et la mort de Cédric un camarade de Poudlard.
Harry n'était pas un garçon comme les autres, en fait il était un sorcier. Il l'avait apprit le jour de son onzième anniversaires. Par la même occasion, il avait aussi apprit la vérité sur la mort de ses parents. Le fait qu'ils aient été assassinés par le plus puissant mage noir de notre siècle, Voldemort ou plus communément appeler vous-savez-qui, quant Harry n'avait qu'un an. Mais la tentative de Voldemort pour le tuer à son tour échouât. En faite le sort s'était retourné contre lui, le laissant dans un état proche de la mort pendant treize ans et ne laissant à Harry, comme seul souvenir de cette nuit-là, qu'une fine cicatrise en forme d'éclair sur son front. Il avait affronté Voldemort a trois reprises depuis.
Presque aucuns sorciers n'appelaient Voldemort par son nom, car ils avaient encore peur. Peur d'un nom, d'un simple nom, d'accords c'était le nom du plus puissant mage noir du siècle. Mais ça ne restait qu'un simple nom. Harry n'avait jamais comprit la réaction de la plupart des sorciers.
Depuis trois jours, Harry n'avait rien avalé. Son estomac n'avait rien gardé de solide depuis son arrivé chez les Dursley. Il avait pu boire un peu d'eau jusqu'à il y a trois jours. S'étant considérablement affaiblie, ces deux dernier jours, il ne bougeait que lorsque c'était absolument nécessaire. Mais depuis le début de la journée, il luttait de toute ses forces ou du moins avec le peu de forces qui lui restait pour ne pas s'évanouir. Car il avait le pressentiments que s'il fermait les yeux, il ne les ouvrirait plus jamais. Depuis qu'il s'était réveiller se matin-là, il avait de la difficulté à respirer et plus le temps passait plus sa respiration devenait laborieuse. Il avait même commencé a cracher du sang. Le pire dans tous ça c'était que les Dursley, le regardaient dépérir d'heure en heure sans intervenir. Ils souhaitaient probablement la mort de Harry. Plus vite, il mourait plus vite, ils auraient la paix.
Pour amplifier les malheurs de Harry. Depuis environ une heure, sa cicatrise était en feu. Comme s'il n'avait pas assez mal à la tête comme ça. Mais Harry savait que cette douleur avait une signification. Sa voulait dire que Voldemort était soit en proie à une extrême fureur, soit qu'il n'était pas loin. Cette fois-ci, Harry savait que Voldemort était dans une humeur massacrante. Il le sentait au plus profond de son être, comment, il n'en savait rien. C'était comme ça et c'est tout. En fait, il avait une petite idée. Il était pratiquement sûre que cela avait un rapport avec le lien qui les unissaient Voldemort et lui.
Ce qui s'était produit pendant la troisième tâches du tournoi des trois sorciers, ne l'aidait pas. Il se sentait responsable de la mort de Cédric. Le retour à la vie de Voldemort aussi le troublait. En fait, il ne pouvait pas dire lequel des deux événements le dérangeait le plus. Il en avait fait des cauchemars et de l'insomnie. Ça c'était quand, il était encore à Poudlard. Maintenant c'était pire. La nuit de son arriver à Privet Drive, Harry était tombé malade et depuis son état ne cessait de se détériorer. Mais malgré sa grande faiblesse, la mort de Cédric et le retour de Voldemort ne cessaient de le hanter.
Harry fut sorti de son état semi-comateux par un harfang des neiges qui lui mordillait l'un de ses doigt. C'était Hedwiges sa chouette, elle entrait dans la cave par un petit soupirail. Elle lui apportait sûrement des nouvelles de Sirius, son parrain. Un supposé meurtrier, que Dumbledore le directeur de Poudlard, Ron et Hermione ses deux meilleurs amis et lui savaient innocent. Harry eu beaucoup de difficulté à détacher la lettre qui était attaché à la patte de Hedwiges. Ce simple geste l'épuisa totalement, au point ou il du se reposer avant de pouvoir ouvrir sa lettre. Une fois que se fut fait, il lit.
Salut Harry,
je sais que te sens responsable pour Cédric.
Mais tu ne l'ai pas. Le coupable est Voldemort, tu
sais très bien que peu de personnes survivent
lorsque Voldemort décide de les tuer. En plus, vous avez été surpris. Tu t'en es sorti s'est déjà très bien.
Ne t'inquiète pas pour moi. Je vais bien, je ne suis plus avec Servilus, Dumbledore s'est rendu conte que Servilus et moi ne pourrions jamais travaillé ensemble. Il nous a donc confié d'autres missions séparer. Je suis présentement avec Remus, mais ne te fait pas de souci. Nous sommes présentement en sécurité. Je ne peux pas te donner plus de détail pour le moment. Mais ce n'est pas que je ne veux pas te tenir au courant de ce qui se passe. Je ne peux seulement pas le faire par lettre. Au cas ou Hedwiges soit intercepté. J'espère que tu comprends et que tu ne m'en voudras pas.
Je sais que tu aurais aimé aller chez les Weasley dès le début de l'été. Mais Dumbledore ne prends jamais de décision à la légère. Il a surement une très bonne raison. Mais tu pourras sans doute y aller, avant la fin des vacances. Je te promets de passer te voir le plus rapidement possible.
À bientôt
Sniffle
Harry sourit faiblement, Sirius allait bien et il pensait à lui. Mais il n'était pas sûre qu'il révérait Sirius, encore moins qu'il irait chez les Weasley. Il savait que ses dernières forces l'abandonnaient. Sa respiration ralentissait de plus en plus. Sa vision se brouillait et il avait de plus en plus de mal a lutté pour ne pas s'endormir. Ce qu'il ne voulait surtout pas faire, car il avait peur de ne pas se réveiller. Cette lutte fut veine car quelques minutes plus tard, il s'était endormit. La lecture de la lettre avait épuiser ses dernières forces. Pendant son sommeil, il fit un drôle de rêve.
