Harry, Ron et Hermione allèrent commencer leur septième années à Poudlard.
Comme à la fin de chaque été, Harry prépara ses baguages pour l'école, depuis des semaines
comme si cela ne suffisait pas il faisait et défaisait ses
valises. Il descendit les quelques
marches qui le séparait du rez-de-chausser. Quelqu'un l'attendait déjà dans le salon
quand celui-ci fut de retour au près de son oncle et de sa tante.
chambre et
donc j'ai insistée pour venir et bien me voilà.
― Mione fallait pas dire que ma soeur lui avait préparer une surprise.
― Ok arrêter maintenant, je crois que nous devrions partir d'ici avant que je ne décide de rester.
cou et m'embrassa.
Je ne pue résisté à cette étreinte, surpris par ce comment elle m'avait enlacée, je fit de même et l'ambrassa à mon tour.
Ginny reculait, je ne voulais pas que ce moment s'arrête donc à mon tour j'avanca.
lit ?
― Et bien je croyais que tu voudrais être okus à laise sur mon lit que si nous restons de bout.
― Ah bin vue de cette angle, avec plaisir, mais je ne dois pas resté trop longtemps sinon ils vont croire
que nous sortons ensemble.

― Harry mon vieux, je croyais être en retard pour venir te chercher, mais à ce que
j'ai pu voir tu ne t'était pas préparer en avance.
― Ron ! dot la voix d'Hermione juste derrière lui, laisse-lui une chance, tu sais
que demain il restera un jour avant la fête de ton meilleur ami et de toute façon nous ne sommes
pas à la course.
― Ron, Herm comment ça va ? Pas trop mal à ce que je vien de voir.
― Ron voulait pas que je vienne, il voulait que je reste avec Ginny pour te préparer un acceuille,
mais j'ai dis que cela serait inutile puisque Ginny t'as préparer quelque chose dans sa

Tout les valises et effets personnels de Harry partir en premier et les trois passa dans la cheminé à tour
de rôle. En moins de temps nous arrivâmes au Terrier, acceuilli par toute les têtes rousses qui pouvait connaître.
La seule personne qui ne m'avait pas pris dans ses bras ou même donner la main en guise de bonjour,
était Ginny. Elle attendait que plus personne ne soit sur moi pour m'aider à monter à l'étage tous mes choses
puis elle m'entraîna devant la porte de sa chambre.

― Aller vien Harry j'ai quelque chose à te dire.
― Ah très bien ! Mais donne moi deux minutes.
―Ron, Mione je vais défaire ma valise avec Ginny, donc ... j'aimerais être seule avec elle.
― Très bien, de toute manière moi et ma futur petite amie nous allons joué au Quidditch avec Fred et George.
― À tento dans ce cas !

Je tourna les talons et monta les marches quatres à quatres jusqu'à la chambre dont je n'avais jamais vue l'intérieur.
Ginny m'attrappas par le collet de chandail pour me faire entré dans sa chambre qui donnait sur le jardin de la maison.

― Ferme les yeux Harry s'il-te-plaît
― Mais pourquoi? Est-ce une surprise ...

Mais je n'avais pas ue le temps de terminer ma phrase quelle m'enalca le

― Ginny que fait-tu, ont vas vers le

Je m'assis sur son lit, mais nous ne nous embrassions plus. Ginny s'assit à co^té de moi et ouvra la
bouche pour me dire quelsques mots.

― Harry en faites tu vien d'avoir la moitié de ton cadeau de bienvenue, le reste sera se soir quand tout les personnes
de la maison dormirions.
― Tu veux dire que ...
― Oui, si seulement tu le désir !
― Ça alors c'est sûr, mais Ron et Mione ?
― Ils ne le sauront jamais, je vais jeter quelques sort pour être sûr.