Bonjour! Eh bas il était temps que j'écrive quelque chose! je lis trop je poste rien.. bref c'est ma première ff que je POSTE j'en ai une autre en réserve mais je suis un peu bloquée et j'ai pas trop la motivation pour le moment!

disclaimer: tout le monde dit ça alors je fais comme tout le monde les perso m'appartiennent pas les 4 bouquins twilight non plus enfin rien du tout quoi! je mélange juste tout dans une grande marmite nommée cerveau et je recrache ça sur un écran! c'est ma copine stephanie meyer qui a tout inventé, pas moi je le jure

on se voit en bas :D (l'italique gras souligné entre parenthèse c'est moi qui me parle a moi même vous êtes pas content c'est la même chose! bisous bisous les loulous (garous) mon dieu je vais trop loin...


13 Septembre

J'ai 17 ans aujourd'hui. Ma vie a été jusque là plutôt banale. Mes parents ont divorcés lorsque j'étais encore un bébé, je n'ai donc subit aucun choc. Je passais l'année scolaire avec ma mère et me rendais chez mon père pour les grandes vacances, deux semaines, pas assez pour se lier a proprement parler. Ma mère s'est remariée. Un chic type, Phil. Attentionné, intelligent, un peu plus jeune que ma mère mais l'important c'est qu'elle soit heureuse, n'est ce pas ?

J'étais seule à la maison quand ils ont sonnés a la porte. Je pensais que ca serait ma mère et Phil. Mais non. Deux officiers sont arrivés et le temps s'est comme arrêté. Je ne comprenais pas ce qu'ils me disaient, mais je les ai suivit. Je suis montée dans leur voiture. Doucement. Elle a démarré et je voyais les lumières de Phœnix défiler. Vite. Bien trop vite pour moi. La voiture s'est arrêtée. Je suis sortie. Doucement. J'ai levé la tête et lu a voix haute le panneau au dessus de ma tête « Centre médical et Hôpital St Joseph ». Je fis quelques pas et perçut des appels venant des deux policiers. Je les ignorais. Je voulais désormais rejoindre ma mère qui se trouvait quelque part dans le bâtiment.

Je retrouvais Phil dans la salle d'attente pleine a craquer, désemparé. Après qu'il mut expliqué la situation je me levais et quittais la salle. J'errais sans but dans les couloirs. Ma mère était dans une salle d'opération, quelque part. Des médecins autour d'elle devaient s'évertuer a recoller les morceaux... Un accident tragique qui a causé la mort d'une dizaine de personnes et un nombre impressionnant de blessés. Encore un type trop alcoolisé qui a décidé de rentrer par ses propres moyens. Il a survécu. Il est déjà sorti de l'hôpital, lui. Quelques points de suture et il était comme neuf. Comme quoi le monde est pas toujours très juste.

De retour dans la salle d'attente. Elle est presque vide cette fois et toujours Phil qui attends. Qui attends. Il est assis sur un canapé, les jambes repliés contre lui et il se balance. Une petite tape sur l'épaule, un sourire incertain et je suis repartie dans mon couloir. La tête basse, les mains dans les poches. L'attente. Qu'est ce qu'il y a de pire. Ce laps de temps ou vous avez encore espoir et d'un moment a l'autre, tout peut basculer. Tout peut s'arrêter. Une mère inquiète pour son enfant, un mari pour sa femme, moi pour ma mère. Dans ces moments là, mieux vaut ne penser a rien, se vider la tête, tout oublier comme si plus rien ne comptais. Les pleurs ne servent a rien. La colère non plus. Autant de moyens d'exprimer sa peur qui n'augmenteront pas les chances de revoir l'être aimé un jour.

Des séjours à l'hôpital, ma mère en a fait au moins autant que moi, et c'est pas peu dire. J'ai déjà pleuré. J'ai déjà crié. Je me suis même évanouie une fois et j'ai fini dans la même chambre que ma mère, sur le lit d'à côté !Je suis déjà passé par là... Je sais quoi faire. Je ne veux pas partir défaitiste mais l'espoir n'est pas bon dans ce genre d'établissement. Alors pour passer le temps je marche. Je marche encore et encore jusqu'à ne plus tenir debout. De la musique dans les oreilles pour ne pas entendre au malheur des autres, de peur que ca ne déteigne sur moi. Je vois les gens passer à mes côtés. Pressés. Des médecins, des patients, des visiteurs. Tous pressés. Pressés de sortir d'ici sûrement. De quitter les murs ardoise et les lumières artificielles pour le réconfort de leur chez-soi. Je les comprends. J'étais comme ça avant.

L'accident de ma mère est de loin le plus grave qu'elle ai subit. Je ne suis pas sûre de ce qu'il va se passer. Qu'est ce que le docteur va me dire ? Quand il s'approchera de moi. Est ce qu'il va sourire et je saurais que tout vas bien ? Ou va t-il enlever son masque, me regarder avec pitié pour me faire comprendre que ma mère ne s'en ai pas sortie ? Que ma mère n'est plus là ? Que je serais privée d'elle à jamais?

Je sortis de ma stupeur lorsque je percutais quelque chose. Je ne suis quand même pas rentrer dans un mur si ? Non l'obstacle est tombé lui aussi, et ses papiers sont éparpillés sur le sol. J'enlève vite mes écouteurs et ramasse les papiers en m'excusant continuellement. Je lève la tête et tends les papiers à l'homme dans lequel je suis rentrée. Un docteur. Blouse blanche, stéthoscope, la totale. Cheveux blond, la peau assez pâle, plutôt bien conservé pour son âge. (si tu savais ^^)

-Désolé, m'excusais-je encore une fois

-Ce n'est rien, je vous en prie, répondit-il avec un sourire

Il commençait a partir lorsque je le retins par le bras.

-Docteur..

-Cullen m'indiquât-il

-Docteur Cullen, je suis la fille de Renée Dwyer, l'accident de voiture sur la nationale, je voulais savoir... Est ce que vous avez des nouvelles sur sa situation ?

Il se tourna afin d'être face à moi. Ca n'est pas bon ca... Je serrais son bras inconsciemment. Je voyais la pitié s'installer sur son visage. Ce n'est pas bon du tout. Je serrais un peu plus.

-Excusez moi je ne m'occupe pas de cette patiente. Un collègue s'en charge, je suis désolé mais je n'en sais pas plus.

Soulagement. Un profond soulagement s'empara de moi. Mais j'avais un mauvais pressentiment. Je repris donc bien vite mes esprits. Je n'avais pas d'informations j'en étais au même point. Je lâchais le bras du docteur et le remerciais avant de repartir dans un nouveau couloir.

Il était temps que je repaie une visite à Phil. J'avançais plus par automatisme qu'autre chose vers la salle d'attente. Plus qu'un couloir avant d'y être. Je poussais la porte devant moi. Ce que je vis me glaçât le sang. Un médecin, face a Phil. Celui-ci le regardais, debout, tremblant, les yeux rougis par les larmes toujours présentes et qui continuais de couler sur ses joues. Je m'approchais à pas lents. Le visage de Phil se tourna vers moi et je lu toute la peine de cet homme dans ses yeux. Il s'avança vers moi, me pris dans ses bras, ses sanglots redoublants.

-Je suis désolé Bella... Tellement désolé...

Je retournais son embrassade tant bien que mal avant de me séparer lentement de lui. Mes yeux commençaient a s'embuer. Le médecin se tourna vers moi, le chagrin sur son visage se lut également.

-Mademoiselle Swan ?

-C'est moi.

-Toute mes condoléances...

Je n'écoutais pas la suite.

C'était la fin.


Voilà première ff soyez indulgents svp ^^ un peu dark pour un début je sais!

c'est qu'un début j'ai des idées pour la suite mais rien ne dit que je vais la finir :/ si quelqu'un veut vraiment la suite je peux essayer de l'écrire mais bon ça risque de prendre un peu de temps.. J'ai le bac toussa toussa!

Si vous avez des idées, des conseils, je suis preneuse! je veux pas être écrivaine mais j'aime bien écrire donc hésitez pas!

bonne matinée, bonne journée, bonne soirée!

Clara 3