Titre:Transcendance
Résumé :
Harry Potter décide de prendre sa vie en mains, 2 ans aprés la mort de Dumbledore et d'un entraînement donné par ses plus proches alliés (anciens et nouveaux), il décide de voyager, voyager dans le temps et plus exactement dans le passé: il veux avoir des réponses et pour cela il doit aller les chercher bien avant la naissance de ses parents. Cependant, la magie est caprisieuse et imprévisible, ce qu'aprit Harry Potter à ses dépends...Le hasard fait bien les choses...
Les dimensions paralléles sont au rendez-vous.
Notes de l'auteur:Les personnages ne m'appartiennent pas, malheureusement, certains, en revanche seront inventés pour la continuité de l'histoire et donc m'appartiendront.
Ceci est ma première histoire postée, j'accepte donc toutes types de critiques, j'essairais donc de tenir a jour l'histoire et de ne pas l'abandonner, du moins sans vous prévenir.
Mon rythme d'écriture dépendra uniquement de mon inspiration et de mon temps libre, ne vous attendez donc pas à ce que je publie un chapitre toutes les 2 semaines.
Transcendance
Prologue
Une silhouette sombre marchait d'un pas vif et assuré, sa cape de sorcier volant au rythme de ses pas. On remarquait les muscles bien dessinés même avec la cape noire et le pull fin et vert sombre de l'individu malgré tout, la silhouette de l'inconnu était toute en finesse. Il marchait avec une certaine grâce, féline qui attirait les regards envieux de certaines foules.
Sa capuche retombait en cloche, cachant ainsi son visage bien trop connu. Son aura semblait dissuader les quelques charognards et miséreux de l'approcher, en effet sa puissance magique bien que puissante et discrète se faisait ressentir quelques mètres a la ronde -et celle-ci, à des yeux attentifs, l'englobait d'un voile léger, blanchâtre - dans le poussiéreux et sordide Chemin de Traverse.
Le Chemin de Traverse perdait son atmosphère chaleureuse de jour en jour, et les éclats de rires –même les éclats de disputes-, les injonctions entre clients et commerçants avaient disparu en même temps que la monté en puissance de la cruauté et du pouvoir du Seigneur des Ténèbres et de ses partisants. Cela, laissait place à un sentiment d'abandon et de réalité amère.
Le sorcier était tendu, prés à recevoir n'importe quelle attaque de la part des Mangemorts et restait sur ses gardes, les sens aux aguets. Mais malgré la dangerosité des lieux il continua son chemin. Un désordre attira son attention et il s'arrêta devant un magasin, pillé par les lâches, qu'était les pantins de Voldemort, reconnaissant l'enseigne familière, il serra les poings d'indignation, il se tenait devant les restes du magasin du plus grand fabriquant de baguette du Monde Sorcier, Olivandeur.
Il se força à partir, les lieux n'étaient pas sûrs, surtout pour lui. Il ne devait pas se faire repérer.
Pas maintenant. Il reprit sa marche. La rue principale qu'il avait emprunté déboucha sur une sorte de forteresse blanche, les ténèbres semblaient se concentrer autour du dernier bâtiment encore sûr, du Monde Sorcier.
La Banque des Sorciers, Gringotts, dirigée par des gobelins et gardée par ces mêmes créatures, dissuadait tous types de voleur. Le bâtiment lui-même se protégeait de ceux qui ne respectaient pas cette unique loi, en les enfermant dans les entrailles des galléries souterraines qui s'étalaient dans les profondeurs de la terre.
Devant le bâtiment, se tenait des gardes, des gobelins et semblaient refuser certaines personnes. Car depuis la violation d'un des coffres d'un des clients par Harry Potter en personne, le bâtiment était encore mieux protégé et toute personne suspecte se faisait éjecter du bâtiment.
Le sorcier y pénétra, frôlant au passage l'un des gardes, gardant une allure impassible. Le garde le fixa un instant de ses yeux vitreux et le laissa passer.
Avec une ouïe fine, on aurait put entendre un soupir de soulagement provenant du sorcier.
Celui-ci se dirigea vers un des bureaux qui faisait parti du secteur: Comptes Spéciaux et Affinité.
Le secteur contenait dix bureaux ou chaque employé travaillaient avec acharnement. Sans une hésitation, le sorcier se dirigea vers le premier bureau.
Le gobelin qui y travaillait, avait de fins cheveux doré, tirant vers le blanc. De grosses lunettes ornaient son visage fripé et ridé. Voyant de l'ombre sur ses papiers, celui-ci releva la tête, un éclair de surprise et de méfiance passa dans les prunelles jaunes.
D'un long doigt, il remit habillement ses lunettes et inspecta le client qui lui faisait face.
Après un cour moment d'inspection, la créature déclara :
- « Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eut de client, de même pour mes collègues, dans ce secteur. Les sorciers oublient bien souvent que La Banque Des Sorciers est avant tout une entreprise magique qui s'étend au-delà du temps et de l'espace…
- C'est pourquoi je suis ici, coupa le sorcier toujours masqué.
Le gobelin inspecta le sorcier avec un intérêt nouveau, les clients de la Banque ne sont pas que humains-toutes sortes de créatures viennent passer des contrats, et ceux-ci (les humains) ont tendance à oublier des choses importantes sur la Société Magique sur 2 ou 3 générations, telle que La Banque avaient, a et aura toujours des multiples facettes, que seuls ceux qui étaient curieux, et qui étaient dotés d'une réserve conséquente de magie ou ceux qui étaient métissent ( lien de sang avec une ou plusieurs créatures magique) et qui avaient bonne mémoire pouvaient avoir connaissance de ces différentes faces.
Et le sorcier en face de lui, plutôt jeune-même très jeune en connaissant la durée de vie des sorcier- d'après lui, était au courant d'une des facettes. Or aujourd'hui, ormis les puissants sorciers, les mages et les vieux savants, personne n'était au courant de ce fait. Une des puissantes images du Monde de la Sorcellerie, maintenant décédé était Albus Dumbledore.
Se pourrait-il qu'il est désigné un héritier même s'il n'a jamais eut de descendance, avec qui il aurait pu partager sa connaissance ?
Le gobelin eut une soudaine illumination. Cependant celle-ci aussi brillante fût-elle était improbable. Harry Potter ne peut pas entrer à Gringotts. Et cela depuis qu'il a eut la brillante idée de venir voler l'un des coffres d'une des clientes les plus puissantes (et une des plus folle, aussi).
Visiblement le sorcier avait lui aussi suivit les cheminements de la réflexion intense de la créature et, commençait à perdre patience. Il reprit la parole :
- Je souhaite renommer le compte Tempus Fugit d'Albus Dumbledore...Et le mettre au nom d'Harry Potter.
- Pour cela vous devez avoir une justification que le compte de Mr Dumbledore peut être attribué à Mr Potter et me donner son testament ainsi que la clé du coffre pour identification, répondit le gobelin méfiant, ne croyant toujours pas avoir à faire avec le Potter.
Le jeune sorcier sortit les documents demandés et les présenta devant le gobelin, celui-ci les inspecta aux rayons x, ne laissant aucun paragraphe de côté et prit plus de temps là ou était mentionné l'héritage d'Harry Potter. Dépité, ne trouvent aucune falsification, il détailla la clé minutieusement.
Impassible, il rendit les documents et fit le changement de nom du compte en un tour de main.
Croyant que le sorcier avait finit, il replongea dans ses dossiers Ô combien passionnants. Quand il entendit quelqu'un tousser discrètement. Il releva la tête sèchement et lorgna sur celui qui lui faisait face.
Le sorcier n'avait – apparemment- pas fini.
- Je voulais savoir si Harry Potter pourrai venir retirer de l'argent de son compte sans avoir à payer les conséquences de ses actes et à n'importe quel moment.
Devant cette question, le gobelin sembla s'énerver, néanmoins il répondit de mauvaise grâce :
- Mr Potter pourra venir retirer ses biens sans se soucier des conséquences de ses actes puisque avec ce genre de compte, les actions mauvaises,a l'encontre de notre Banque, des clients sont annulées. Cependant, le gobelin eut un regard mauvais, si Mr Potter refait ce genre de comportement stupide, nous sévirons et il ne sera plus admis ici.
Satisfait, la créature retourna à ses papiers et congédia le sorcier. Celui-ci se dépêcha de sortir de la banque, craignant, et avec raison, que le gobelin ait pu prévenir ses supérieurs.
Dés les premières marches de Gringotts, il transplana devant un bâtiment bien connu de certains membres de l'Ordre.
Il déclencha le système d'apparition de la maison en envoyant un sort de reconnaissance, après avoir vérifié qu'aucune personne ne l'ait suivit et qu'aucun moldus ne se trouvaient dans la rue. Cela fait, il rentra vite dans Square Grimaud.
….A suivre.
* * * : Merci d'avoir lu jusqu'ici ! Je sais, c'est cours mais c'est aussi un prologue. Je vous écrirez la suite le plus vite possible ; ) . Mise en place de l'histoire.
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