Hey vous tous,

j'avais cette histoire en tête la première fois que j'ai lu le livre de Berlie Doherty, Cher inconnu. Livre génialissime, et émouvant sur deux adolescents basculant brutalement dans le monde des adultes. Ici nos deux protagonistes, Bella et Edward, vont avoir une romance particulière. Je n'en dis pas plus. Autant vous dire que ce livre je l'ai lu il y a très longtemps et il restera mon coup de cœur avant Twilight de la célèbre Stephanie Meyer, que tous le monde connaît.

Donc les personnages ne m'appartiennent pas ni même l'histoire, je ne suis que le mixeur des deux, si on peut dire…

Bonne lecture, et je n'abandonne pas mes autres histoires, je les ais mises de coté, par manque d'inspiration, ou de temps, car je ne voulais pas les bâcler.


Dear Someone

Prologue

Début décembre :

La lumière des réverbères éclairait ma chambre, mon refuge. A la fin du mois je serais loin, au Canada, j'ai enfin eu une réponse positive d'une université. Ma chambre me semble petite, je n'y avait jamais prêté attention avant se soir. J'ai l'impression d'avoir fait un bon en avant, en seulement quelque mois, d'être devenu adulte, un homme. Elle représente mon enfance et mon adolescence de footballeur du Lycée ; il y a encore punaisé sur les murs mon poster de la playmate de l'année dernière, mon armoire ouverte est tristement vide, seul sur un cintre un tee shirt, vestige de la plus belle année de ma vie. Je ne l'ai jamais lavé depuis…(soupir). Une brise s'engouffra dans le fenêtre ouverte et fis dansé le tee shirt bordeaux, une tache bout ou plutôt d'argile lui rappelant la soirée ou tout a commencé, un frisson descendit le long de sa colonne vertébrale.

Voix off : Chris

Vous avez déjà ressentit ce sentiment ? Vous savez, celui indéchiffrable, incompréhensible, celui relaté dans tant de livres, des Talk Show en somme partout. Pourtant pour nous, simple hommes, qui n'y connaissons rien, c'est le moment, a cette instant où vous pensez ne pas en avoir besoin, c'est là où il vous tombe dessus. Vous assommant d'une force que vous ne pouvez réagir, juste le subir. Ce sentiment est immense, terrifiant, transcendant, et impossible a décrire si on ne l'a jamais vécus. Oui, car ce sentiment, ce vie. Ce sentiment qui vous fait faire des choses que vous n'auriez jamais fais si il n'était pas là, comme se levé a 4h du matin pour acheté des fraise dans une épicerie a 1h de route de chez vous, juste pour ce sentiment, juste pour ELLE. Ce sentiment, c'est l'amour.

Je sais que ça somme guimauve, mais seuls ceux qui ne l'ont vécus peuvent revendiqué ça, car les autres me comprennent et savent que j'ai raison, car ils l'ont vécus, ou le vivent en ce moment avec LA personne qui a déclenché ce sentiment, qui l'a fait grandir, la fait brûler, qui vous a fait brûler, fondre sur place comme du chocolat en pleine canicule. Oui, seule cette personne peut vous faire fondre en un regard, un sourire, et vous faire, faire toute ses choses folles dont vous n'avez conscience de les avoir faite uniquement qu'en ont vous le dit. Mais peut importe, il peut vous faire vivre, ou mourir en instant. Même si vous connaissez les risques, les enjeux, le jeux en vaut la chandelle.

Fin de voix off

J'étais assis sur mon lit, le soleil avait déjà laissez place a sa belle, et son visage m'observait. J'avais revécus cette scène, un millions de fois dans ma tête, se tee shirt, son odeur en était encore imprégné, comme une douce caresse, je m'étais fais violence pour ne pas le prendre avec moi. Car cette torture devait cessé, elle ne voulait plus de moi, je causais sa perte, notre perte a tout les deux. Le pire c'est que j'aimais encore, peut être même encore plus. Il y avait un vide impossible a comblé, malgré ma stupide tentative de l'oublié, son visage revenait sans fins devant mes yeux. A chaque pas, a chaque geste, chaque chose me ramenait a elle, comme un aimant invisible, dont elle était le centre d'attraction. Comment j'en étais arrivé là ? Mon Dieu, j'aurais préfère qu'on m'achève. Le temps devait être mon allié, pourtant c'était l'inverse, il était mon cauchemar, mon pire ennemi et Dieu sait que j'en avais récolté pas mal en quelques mois. Elle allait m'oublié et refaire sa vie, comme elle l'avait dit, lors de notre dernière rencontre, je devait en faire autant, non ? Mais je n'y arrivais pas, c'est pourquoi, quant j'ai lu la lettre d'acceptation, j'ai penser que la distance m'aiderais a mettre fin ou ou moins diminué son absence, son vide. Quelqu'un frappait sur la porte de ma chambre, me faisant sortir de ses souvenirs, de son souvenir, car c'est tout ce qui me restait, un souvenir.

-Entre Papa

Il balaya la chambre du regard.

-Elle va me semblé bien vide sans toi.

Mon père était médecin, était car il a pris une année sabbatique, depuis que maman est partie vivre avec son nouveau…je n'arrive même pas a prononcé ce mot. Elle était partie en nous laissant seuls, mon père, mon frère Willy et moi. Seule une lettre nous avait expliqué son geste, elle trônait sur la table quant je suis rentré de l'entraînement de football, quant je l'ai lu, ma vie, mon monde s'effondrait pour la première fois. Elle avait fini avec :

« Pardonnez moi, mais sachez que je vous aime, et ça a été la décision la plus dure que j'ai prise de toute ma vie.

Maman »

-Tiens, quelqu'un a déposez ça il y a quelques minutes, tu vas devoir rouvrir ta valise.

Il me tendit une boite en carton ronde et jaune, dans les mains. Il y avait SON écriture dessus, et mon cœur manqua un battement pour repartir a une cadence plus soutenue. Mon père redescendit les escalier. Je caressais du bout des doigt les lettre comme pour m'assuré qu'elle ne s'effacerons pas, « Helene ».

J'ouvris lentement la boite, déposant le couvercle derrière moi sur le lit. A l'intérieur il y avait des lettre une bonne centaine, elles commençaient toute de la même façon : Cher inconnu.

Comment devais je le prendre ? Il y a encore quelques mois nous étions plus que ça, désormais, c'est tout ce que j'étais pour elle, un inconnu ? Je commençais par la première, me jurant de les lire toute, pour la comprendre, ou m'immergé un peu en elle, dans son monde, qui désormais était également le mien.