Chapitre 1: Quand tout commençe.
La guerre faisait rage, Voldemort et ses partisans ont réussis à entrer dans Poudlard et à contourner tout les champs de protections. Ils pouvaient, donc, tansplaner à tout moment à l'intérieur de Poudlard.
C'était pendant les vacances de noël et presque tout les élèves étaient rentrés chez eux. Seul Dumbledore, les menbres de l'ordre du Phoenix, Harry, Ron,Hermione, Neville, Luna et Ginny étaient restés à Poudlard, ils avaient décidé de s'entrainer, de s'améliorer pour pouvoir être prêt à se battre lors du combat final.
Voldemort et ses sbires entouraient le groupe, ils étaient plus d'une centaine. Tous dans la grande salle.
L'ordre avait été pris par surprise, ils ne s'attendaient pas à ce que Voldemort les attaques.
Ils avaient peur, çà c'était une chose certaine, mais cela faisait longtemps qu'ils avaient décider que s'il devaient mourrir, se serait en se battant fiérement sans montrer ni peur ni crainte.
Le rire du seigneur des ténèbres résonna dans la salle.
- Mon cher Severus, alors comme ça, tu as commis la faute de me trahir? siffla le mage noir.
Rogue, encore plus blanc que d'habitude, regardait son ancien maître dans les yeux. Il savait que cette affront allait lui couter cher et cela ne mit pas longtemps, le doloris lui arriva en pleine poitrine. Ses genoux fléchirent sous la douleur mais il ne cria pas. Dumbledore envoya un sortillège de protection à Rogue et le sort s'arrêta. Rogue se remit debout, aider par Lupin.
Encore une fois Voldemort se remit à rire.
- Tu ne crois tout de même pas protéger chacun de tes amis, Albus?
- Je me batterais jusqu'au bout et les protègerais jusqu'à mon dernier soufle, répondit Dumbledore d'une voix déterminée.
Voldemort regarda chacunes de ses proies.
- Mangemorts desarmés-les et quittés cette salle, ordonna le maitre des ténèbres.
Pendant dix secondes les expeliarmus et d'autres sorts fusèrent et le petit groupe fut désarmer. Sans un mot, tous les mangemorts partirent vers la sortie.
Il ne restait plus que Voldemort et Nagini, ainsi que le groupe.
D'un seul coup de baguette, il envoya tout les menbres du phoenix, Ron et Neville contre les murs de la grande salle et ils y restèrent coller.
Dumbledore, Harry, Hermione, Luna et Ginny se resserèrent les un contre les autres, Dumbledore devant. Voldemort prononça une formule et Dumbledore fut projeter à plusieurs mêtres, il alla bientôt rejoindre les autres contre le mur sans pour autant y rester coller, il resta à terre, il ne pouvait rien faire, Voldemort venait de lui aspirer toute son énergie. Soudain Dumbledore entendit une explosion, cela venait de dehors mais il fut le seul à l'entendre
Il regarda le seigneur des ténèbres s'approcher du petit groupe, cette fois Harry devant. Depuis qu'il avait vu Hagrid se faire tuer, Harry n'avait plus dit un mot.
- Comme on se retrouve, cela fait quoi? 6 mois depuis notre dernière rencontre et...la disparition de ce batard de chien, siffla Voldemort.
Harry les nerf à vif, se rua sur lui, mais fut immobiliser dans sa course par Voldemort, il était paralisé, il ne pouvait plus bouger.
- Tu sais, cela fait longtemps que j'attendais ce moment, dit-il en s'approchant d'Harry, le jour où je prendrais enfin le pouvoir, le jour ou mes deux plus grands ennemis seront enfin hors d'état de nuir: toi et Albus. Les deux personnes qui, je dois avouer, me faisait légèrement peur, car seul vous pouviez déjouer mes plans. Mais maintenant, votre heure est arrivée et vous allez souffrir.
Harry s'attendait à recevoir le doloris mais Voldemort n'en fit rien, il s'approchait des trois jeunes filles restantes.
- Quelle belle souffrance de voir les êtres, à qui on tient le plus, mourrir sous vos propres yeux sans pouvoir réagir.
Dumbledore tentait tant bien que mal de se relever mais il n'y arrivait pas . Etrangement, un pouvoir s'exercait sur lui, un pouvoir plus puissante que celle de Voldemort. Il reconnaisait cette force, mais tout lui disait que c'était impossible. Il avait cette personne sous ses yeux, morte de trouille, essayant de proteger Luna et Ginny derrière elle. Et même si c'était elle ça l'étonnerai fort qu'elle soit aussi forte et qu'elle s'amuserait à l'utiliser contre lui pour qu'il reste à terre au lieu de l'utiliser contre Voldemort.
Ses pensées furent interrompues par plusieurs cris. Harry pleurait, tout le monde pleurait (sauf Voldemort bien sûr). Le seigneur venait de jetter le sortillège mortel à Hermione. Elle était à terre, inerte, les yeux ouvert. Harry criait de rage, on pouvait croire qu'il était devenu fou, il essayait de se débattre mais les liens du sortillège étaient trop puissant. Dumbledore regarda Ron, il avait le même comportement.
Son regard se tourna vers le mage noir, il s'approchait doucement des deux dernières jeunes filles. Une fois de plus, il essaya de se relever mais cette force continuait à s'acharner sur lui. Ce fut d'abord Luna...puis Ginny. Voldemort restait devant ses victimes, il riait sous les pleures et les cris de rage des autres. Molly et Arthur étaient anéantis, ils regardait le corps de leur fille, leurs joues mouillées de larmes. C'était un vrai massacre.
Voldemort s'approcha de Molly et Arthur.
- Quelle douce vengance, murmura le prince noir, les deux personnes qui me permettrons de détruire le grand Harry Potter.
Molly n'arrêtait pas de crier le nom de sa fille.
- Ne t'inquiète pas, siffla Voldemort, vous allez bientôt la rejoindre.
- Nooooon, c'est moi que tu veux, pas eux, tue moi mais pas eux, criait Harry comme un dément.
- Mais ne vois-tu donc pas, que c'est justement de cette façon, que je suis en train de te tuer. La torture est l'un de mes jeux preferés, tuer les personnes que tu considères comme tes parents me permettra de te détruire à petit feu. Après eux, je passerai à mon autre ennemi, Albus, toujours sous tes yeux. Enfin les deux personnes qui pouvaient contre carrer mes plans vont périr.
Il pointa sa baguette vers Molly mais au moment où il allait prononcer la formule mortelle, la porte s'ouvrit brutalement et Voldemort fut projeté par un sortillège si puissant que les pavers, qui se trouvait sur la trajectoire du sort, éclatèrent.
Une jeune femme apparut:
- Désolé de te contredire, mais maintenant tu auras une troisième personnes à craindre.
Fin du chapitre.
