Bonjour tout le monde,
Je vais faire vite donc voila j'ai commencer à écrire un Kennett avec une possibilité de suite si ça vous plaît.
Bref je m'enfonce pas dans un récit, donc bonne lecture à tous!
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BAD NIGHT
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Le soleil se levait, me chatouillant le visage. J'ouvris doucement mes yeux verts, avec peine. La lumière étincelante se posant sur ma peau métisse, m'éblouissait tout en me réchauffant.
J'étais allongée sur un lit très confortable, trop confortable pour être le mien.
J'ouvris précipitamment les yeux que j'avais entre temps refermés. Je me relevais dans un bond et m'adossais sur la tête de lit en bois sombre.
Je balayais du regard toute la pièce, minutieusement, en prenant mon temps. Cette dernière était décorée avec beaucoup de goût. Tout était soigneusement rangé. Une grande fenêtre, style baie vitrée, me faisait face, tout en me laissait admirer un magnifique paysage.
Mon regard se stoppa sur l'homme allongé à côté de moi. J'ouvris grand les yeux, puis me pinçais le bras pour être sur de ne pas faire un cauchemar. Non, par pitié, qu'est ce que je faisais là, dans ce lit qui n'était pas le mien avec un inconnu ?
L'homme qui partageais mon lit, enfin le lit, semblait dormie encore. Il était dos à moi, torse nu, enfin je crois, par pitié qu'il ne soit pas nu sous les draps.
Je me mordis la lèvre inférieure sans aire attention en admirant sa belle tignasse châtaine et son dos musclé.
- Tu mattes chérie ? me demanda l'inconnu.
Mes yeux s'écarquillèrent de plus belle en sortant de leurs orbites. Mon sang ne fit qu'un tour. Cette voix si reconnaissable. « Seigneur, par pitié, tout le monde sauf lui, tout le monde sauf Kol » pensais je, priais je plutôt. J'avalais difficilement. Je n'aurais tout de même pas passé la nuit avec lui ?!
- Sois pas timide, me dit il, en se retournant avec son éternel sourire charmeur.
Je sautais en dehors du lit, les yeux toujours autant écarquillés. J'étais figée. Que c'était il passé durant cette nuit ? Non, non et encore non je ne veux même pas savoir.
- Tu étais beaucoup moins timide cette nuit, continua-t-il d'un ton amusé en voyant que je ne disais rien.
Il sortit à son tour hors du lit. J'eus un soupire de soulagement en remarquant qu'il portait un boxer noir.
Non en faite il fallait que je saches. Seulement je n'arrêtais pas de fixer son caleçon avec insistance. « Bonnie détourne le regard voyons » pensais je. Mais rien n'y fit je continuais à le contempler. « Bonnie Bennett, détache ton put*n de regard de sa virilité ! » criais je intérieurement. Et ceci me fit réagir, je relevais les yeux vers son visage.
Il affichait toujours ce regard mi joueur mi charmeur qu'on aurait pu croire qu'il l'avait volé à Damon. En tout cas ce regard était tout aussi énervant.
- Qu'est ce que tu m'as fait ? Pourquoi je suis ici ? m'empressais je de demander.
Apparemment ma réplique l'amusait vu qu'il se mit à rire à rire ! De moi en plus !
Ma mâchoire se serra. Je le vis tout d'un coup arrêter de glousser pour se tordre de douleur tel un petit vers ou asticot, je vous laisse le choix. Ce moment était extrêmement jouissif. Ça lui apprendra à ce moquer de moi et à se frotter à une sorcière.
- Arrêtes ! m'ordonna-t-il en criant de douleur et en se tenant la tête.
- Répond moi ou je continue ! lui dis-je fermement.
- Je t'ai rien fait, t'es venue par toi même, révéla-t-il.
Je me rapprochais de lui d'un pas assuré. Il était toujours sur le sol, à se tordre sous le martyr que je lui infligeais. Je m'accroupis à côté de l'Originel.
- Développe, exigeais-je.
- Tu es venue hier soir en pleur, commença-t-il. Il s'est rien passé, tu t'es juste endormie, continua-t-il avec beaucoup de difficulté. Par pitié arrêtes ! finit-il avec le peu de force qu'il lui restait.
Je mis fin à son supplice en arrêtant l'anévrisme. Je me relevais mais avant je le prévins.
- Tu n'as pas intérêt à parler de ça à qui que ce soit, dis je d'un ton froid. Ou je te le ferrais payer cher, très cher, précisais je.
Je partis de la villa, sans attendre de réponse. Je pus enfin reprendre mon souffle. Mon cœur battait à cent à l'heure. Mais que m'arrivait-il ?
Et voila, je sais c'est très court mais si vous voulez une suite dite le moi.
J'attend vos impression, vos review et tout le reste avec impatience.
bis
Eve