Petites précisions sur l'histoire au passage

Tous les personnages de Harry Potter n'apparaîtront pas (comme ce sera sans doute le cas de Severus Rogue), faute de place

Les 3 gargouilles, amis de Quasimodo, seront sans doute plus de 3, parce que je n'arrive pas à n'en trouver que trois qui me satisfassent.

Rien ne m'appartient, tout est à J.K. Rowling, Victor Hugo et Disney.


Tapotant du bout de ses doigts, George continue de regarder d'un air las la cour devant lui depuis son stand installé déjà deux heures plus tôt. Une expression distraite sur le visage, il prend une paire de marionnettes parmi celles étalées devant lui, ses préférées, celles qui le représentent lui et son frère. Deux petites poupées identiques reliées l'une à l'autre par un petit crochet à la main, retirable au cas où on voudrait séparer les deux poupées (ce qui arrivait souvent, puisque les radins de service n'en prenaient généralement qu'une pour avoir moitié prix). La seule différence : celle qui représentait George avait un minuscule point sur le côté gauche du cou, grain de beauté qui était la seule manière de différencier Fred et George.

- On dirait qu'aujourd'hui, personne ne s'intéresse à nous, dit-il d'un air déçu aux poupées. Va falloir accélérer les choses si on veut de quoi manger pour tout le monde ce soir.

Au même moment, le son des cloches retentit dans la ville, attirant l'attention de George sur Pourdlard. Poudlard qui domine la ville de Pré-au-Lard. Poudlard, mystérieuse cathédrale magique, regorgeant de secrets. Poudlard, prête à donner asile à n'importe qui, même aux bohémiens, regroupant souvent des Moldus, des Cracmols, des traîtres à leur sang (comme Fred et George), des Hybrides ou des Nés-Moldus, comme leur amie Hermione. Cette cathédrale fascinait George depuis toujours. On disait qu'à l'intérieur, les escaliers n'en faisaient qu'à leur tête, que les tableaux étaient vivants et que même des fantômes y vivaient. Mais ce qui fascinait George encore plus que la cathédrale elle-même, c'étaient les cloches. Il aimait écouter le son des cloches qui donnait l'impression que certains esprits supérieurs veillaient sur le monde des sorciers. Ce qui en un sens est peut-être le cas, songea George en pensant aux quatre fondateurs de Poudlard : Godric Gryffondor, Salazar Serpentard, Rowena Serdaigle et Helga Poufsouffle. Peut-être qu'à travers les cloches, ils veillent sur nous.Une autre chose qui intéressait George, c'était le sonneur de cloches. Quel genre de vie pouvait-on mener de là-haut ? Qui était-ce ? Comment s'était-il retrouvé comme sonneur de cloches ? Il y avait une petite légende qui courrait là-dessus parmi les bohémiens, après que Sirius Black, traître à son sang et ancien prisonnier d'Azkaban, leur ait raconté une histoire farfelue que peu de gens croyaient.

Finalement, George retourne la tête vers la vision de la rue. Des gens font leur marché, discutent ou passent. Lui, il les voit mais eux non. George a un sourire ironique en pensant de nouveau au sonneur de cloches. Lui aussi voit sans être vu, se dit-il. Sauf que la vue doit quand même être nettement plus intéressante.

Tout à coup, le stand se trouve pris d'un tremblement. Pendant un instant, George crut que les cloches avaient sonné si fort qu'elles en faisaient trembler la terre. Jusqu'à ce qu'une tête rousse identique à la sienne apparaisse. Enfin, identique sauf qu'elle était à l'envers.

- Alors, combien ? demande son frère Fred, perché sur le toit du stand.

- Que dalle, répond George. Aujourd'hui, les gens ont décidé de jouer les avares. Et de ton côté ?

- Eh bien, commence Fred en descendant du toit, Seamus continue de faire ses numéros d'explosion mais c'est comme toi, il n'y a pas assez de monde. Cho Chang fait son patronus, Ginny danse et…

- Et Viktor Krum ? Et Fleur Delacour ? Ils sont pas à leurs postes ?

- Viktor se prépare pour le Festival des Fous et Fleur… estime qu'elle a aussi besoin de se préparer.

- C'est à cause du Festival des Fous, dit George. Tout le monde est en train de se préparer pour la fête.

Son frère haussa les épaules.

- Heureusement, Hermione rattrape le coup.

- Combien ?

- 25 gallions, 20 mornilles et 10 noises, répondit Fred avec un sourire. Ces messieurs aiment la voir danser. D'ailleurs, je crois que McLaggen a un faible pour elle.

- Hmm, dit George en réfléchissant. On pourrait en tirer un bénéfice.

- Prostituer notre Mione, George ? s'écria Fred d'un ton faussement choqué. Tu n'y penses pas, on perdrait notre plus grande source de revenus.

- Pas la prostituer mais juste… peut-être promettre un simple rendez-vous… Pour dix gallions, tu crois qu'il accepterait ?

- Blague à part, l'interrompit Fred en redevenant sérieux, c'est pas juste avec Hermione qu'on aura à manger pour tout le monde ce soir. Je crois qu'il va falloir s'en charger nous-mêmes. Les adultes sont occupés mais les enfants non, ajouta-t-il en jetant un coup d'œil au groupe de gamins qui jouait aux billes dans un coin. On refait le sketch des jumeaux pour attirer leur attention ?

- Ils le connaissent déjà, répondit George en grommelant.

- T'as d'autres idées, peut-être ?

- Il nous faut un tout nouveau truc, continue George en ignorant son frère. Un truc qu'on a jamais fait. Un truc…

George s'interrompt en entendant les cloches, mêlé au chant des prêtres pour la messe du matin. Son regard se dirige doucement vers la plus haute tour de Poudlard. La légende du sonneur de cloches résonne en même temps que les cloches sonnent, sonnent, sonnent…

- George ? le rappelle Fred avec un sourire plein d'espoir, reconnaissant le moment où son frère a quelque chose en tête. Quelle est ton idée, frérot ?

La chanson, dit soudainement George.

- Quoi ? répondit son frère, un air d'incompréhension sur le visage.

- La chanson ! répéta son frère avec enthousiasme. Tu te souviens de la chanson qu'on avait improvisée l'autre jour ? Celle sur la légende du sonneur de cloches ?

- Cette chanson ? dit Fred en se frottant le menton. Tu veux dire cette petite chose qu'on a improvisée pour s'amuser ?

Il eut un petit sourire.

- J'ai toujours pensé que c'était quand on avait rien préparé qu'on était les meilleurs.

Sur ce, il retourna sur le toit d'un bond.

- Hey, les enfants ! les apostropha-t-il. Vous voulez entendre une histoire ?

Les enfants ne se retournèrent même pas. Fred réitéra son appel mais cela ne fonctionna pas plus. Après un regard échangé avec son frère, et alors que le chant des prêtres s'éteint pour laisser celui des cloches continuer seul, Fred entama sa chanson, attirant l'attention des enfants qui se retournèrent :

« La ville se réveille quand les cloches sonnent

Dans les tours de Poudlard,

Le pêcheur se poissonne, le mitron mitronne,

Sur les tours de Poudlard,

Le Bourdon éclatant mille tonnerres »

A ce moment-là, le son d'une cloche puissante résonna. Parmi les enfants qui s'étaient rapprochés, Nigel Wolpert se demanda si Fred l'avait prévu.

« La clochette légère tinte clair »

Cette fois, ce fut le son doux de ce qui semblait être une clochette qui sonna. A partir de là, Nigel ne douta plus que c'était fait exprès.

« Et c'est là que s'enflamme l'âme de Pré-au-Lard

Quand sonnent les cloches de Poudlard »

Les enfants s'étant cette fois rapprochés pour de bon, George en profita pour se pencher vers eux en plaçant sa main autour de son oreille.

- Vous entendez, les enfants ? chuchota-t-il comme s'il confiait un secret, en désignant de son autre main la cathédrale. C'est magnifique, non ?

- Tous ces sons qui changent d'humeur et de couleur, continua Fred.

- Mais à quoi correspondent-elles ces humeurs, à ton avis, Fred ?

- A l'esprit des Fondateurs, peut-être ? Qu'en dites-vous, les enfants ? dit-il en se penchant à son tour vers les enfants. Et si à travers les cloches, continua-t-il d'une voix douce, comme s'il posait une question très importante, en tournant son regard vers Poudlard, c'était l'esprit des Fondateurs qui veillaient sur nous ?

- Ça m'étonnerait que Salazar Serpentard veille sur nous, lança un des enfants. En tout cas, pas sur ceux qui ont du sang moldu dans les veines.

- Tout juste, petit, répondit George. Alors moi, j'aurais plutôt tendance à penser que ces humeurs n'appartiennent qu'à une seule personne. Parce que vous savez, les cloches ne sonnent pas toutes seules !

- Ah non ?! ajouta son frère d'un ton faussement surpris.

- Non, frérot !

Puis il se tourna vers les tours de Poudlard, un regard fasciné aux yeux.

- Tout là-haut, haut, haut dans les plus hautes tours vit le mystérieux sonneur de cloches.

Après un silence, il reprit d'un ton vif :

- Qui est donc cette créature ?

- Qui ? répéta Fred.

- Comment est-il?

- Comment ?

- Pourquoi reste-t-il caché ?

- Pourquoi ?!

- Silence, mon frère ! interrompit George alors Fred évitait un sort Bloclang.

- Manqué ! rit son frère, rejoint par les enfants.

- Les Weasley vous diront tout. Ceci est l'histoire…

Ce court silence, pendant lequel George prenait une poupée, mit les enfants au supplice.

- L'histoire d'un homme, continua-t-il tandis que les enfants s'épouvantaient en reconnaissant l'homme que représentait la poupée, et d'un monstre… termina-t-il alors que la poupée Lord Voldemort tirait le rideau du théâtre de marionnettes.

« Dans la nuit noire, commença notre histoire,

Sur les quais de Poudlard »

La barque continue d'avancer, une odeur de crainte dans l'air , les pleurs d'un bébé résonnant alors que Peter Pettigrewe continue de ramer.

- Il va nous faire repérer ! tempêta Sirius.

- Calme-le, Lily, chuchota vivement James.

- Chut, Harry, murmura la mère à son enfant.

« Quatre sorciers abordèrent un soir,

Sur les quais de Poudlard »

- Dix gallions pour vous faire venir à Pré-au-Lard, demanda Mondingus Fletcher alors qu'ils descendaient de la barque.

- STUPEFIX !

Pétrifié, Mondingus tomba immédiatement raide dans la neige. Le groupe se retourne pour faire face à des Mangemorts masqués et armés de leurs baguettes.

« Mais un piège attendait les bohémiens,

Menacés par les Forces du Mal… »

Une silhouette noire se rapproche peu à peu alors que le vent continue de crier en écho avec la neige et qu'une ombre grandit sur le mur.

« D'un magicien inhumain,

Au cœur plus dur que le métal… »

- Lord Voldemort, murmure Sirius avec effroi.

A présent, Lily peut clairement distinguer une silhouette habillée d'une robe noire. Un visage dénué de cheveux, d'une peau pâle à en évoquer un mort, avec deux narines évoquant plutôt deux fentes et deux yeux rouges et luisants. Froids comme ceux d'un serpent.

« Des cloches de Poudlard ! »

En un instant, leurs baguettes furent confisquées, avec celles des Mangemorts pointées dans le dos.

« Lord Voldemort combat le vice et l'impureté.»

Le bruit sinistre des menottes qu'on ferme sonne comme un condamnation.

« D'un monde corrompu et qui doit être purifié. »

Peter Pettigrewe se sépara du groupe pour se rapprocher du mage noir.

- Maître, couina-t-il d'une voix aigüe.

Le Seigneur des Ténèbres lui accorda à peine un regard.

- TRAITRE ! hurla Sirius. C'est toi ! C'est toi qui nous as dénoncés.

- Emmenez ces traîtres à leur sang et ces sang-impurs à Azkaban, ordonna Voldemort d'un ton froid. Qu'ils reçoivent le baiser des Détraqueurs.

- Toi, là ! s'écrie un des Mangemorts en désignant Lily. Qu'est-ce que tu caches ?

- Une arme, sans doute, dit Voldemort d'un ton moqueur. Donne-le-moi, ordonna-t-il, ses paroles faisant écho à l'éclair qui zébrait le ciel derrière lui.

La sorcière courut, murmura Fred, les enfants pendus à ses lèvres.

Lily court, court, court. Elle est si paniquée qu'elle ne pense même pas à transplanner. Elle ne pense qu'à courir, courir, courir, sans pour autant oublier de serrer Harry fort contre elle.

Après un temps qui a paru comme irréel à Lily, elle arrive enfin aux portes de Poudlard. Là-dessus, elle cogne, cogne aussi fort qu'elle peut.

- Asile ! Je vous en supplie, donnez-nous asile !

Derrière elle, elle entend un bruit, elle se retourne pour voir Voldemort qui la fixe d'un air tranquille. Doucement, il sort sa baguette.

- Non ! crie-t-elle. Prenez-moi si vous voulez, mais laissez mon Harry, ayez pitié !

Sans un signe de trouble, Voldemort tend finalement sa baguette vers la femme qui se retourne pour s'agenouiller devant Poudlard, en espérant protéger son fils.

- AVADA KEDAVRA !

Un éclair vert et Lily tombe en avant, les yeux vides contre le sol. S'attendant à un silence d'e mort, Voldemort a pourtant la surprise d'entendre des pleurs. Il se rapproche de la morte pour découvrir un bébé qui s'époumone, toujours serré contre sa poitrine.

- Un bébé ? dit Voldemort, surpris.

Puis il se rappelle que cette Sang-de-Bourbe était unie à un Sang-Pur, bien qu'un traître à son sang.

- Un sang-mêlé ! s'écrie-t-il avec répulsion.

Finalement, il tend de nouveau sa baguette, cette fois vers l'enfant.

- Avada Kedavra !

Encore un éclair vert. Toutefois, Voldemort n'assiste pas à la mort immédiate de l'enfant mais voit l'éclair rebondir pour revenir sur lui. Il sent son corps être projeté à plusieurs mètres, dans un fracas douloureux. Il se relève, non pas mort, mais sérieusement sonné.

- Mais qu'est-ce que… ? commence-t-il avec un regard nouveau pour le nouveau-né, un regard mêlé de stupéfaction et de méfiance.

Il se rapproche, tente de prendre l'enfant qui continue de pleurer avec précaution. Lorsque son pouce touche accidentellement la joue de Harry, il sent une brûlure violente sur sa peau. Il comprend finalement. Puisqu'il faut se débarrasser de l'enfant, il lui faut des moyens plus rudimentaires.

Apercevant le lac, il se rapproche du pont. Là-dessus, il tend le paquet de couvertures dans lequel Harry est logé. Il se prépare à le lâcher…

- Non !

- Cria Dumbledore, directeur de Poudlard, dit Fred alors que les enfants devant lui tremblaient pour le pauvre bébé.

- Ce n'est qu'un bâtard, un sang impur que je renvoie là où il aurait dû rester, dit calmement le Seigneur des Ténèbres.

« Vous qui souillez par les armes et le sang

Le parvis de Poudlard » chanta George, la poupée Dumbledore sur sa main

- C'était une hors-la-loi, répondit Voldemort en désignant Lily que Dumbledore prenait dans ses bras. Elle n'a pas coopéré, je l'ai poursuivie, je suis innocent.

« Vous voulez rougir du sang d'un enfant

Le parvis de Poudlard ».

- Je n'ai pas le moindre remords, répliqua Voldemort, agacé.

« Racontez vos mensonges à vos Mangemorts, continua le directeur d'un ton dur.

Qu'ils acclament l'héritier de Serpentard ! »

A ces mots qui semblent moqueurs au Seigneur des Ténèbres, il serre les lèvres comme pour se retenir de jeter un Avada Kedavra à Dumbledore.

« Vous ne pourrez cacher l'étendue de vos torts, tonna le directeur

Au regard des saints» termine-t-il en désignant la cathédrale.

« Des Fondateurs de Poudlard ! »

Sentant un sentiment étrange grandir en son âme, Voldemort lève finalement les yeux vers l'église. Pour enfin comprendre quel est ce sentiment qui a atteint son paroxysme lorsqu'il eut complètement le bâtiment en vue : la peur.

« Et Voldemort sentit son pouvoir glisser dans les flammes » chanta George, comme s'il racontait une prophétie.

Tout à coup, Voldemort doute. Pour la première fois de sa vie, il se demande s'il n'est pas sur le point de franchir une limite. Une limite que même lui ne doit pas dépasser.

« De l'Enfer qui menaçait sa puissance et son âme ».

Il jette un ultime regard à l'église. Est-ce que Salazar Serpentard lui-même irait jusqu'à tuer un bébé ?

- Que dois-je faire ? chuchote-t-il finalement.

- Rachetez-vous auprès de l'enfant, répond Dumbledore, la morte toujours dans ses bras. Elevez-le comme votre fils.

- Et je devrais m'enchaîner à ce bâtard ?! s'insurge-t-il.

- Je vous rappelle, Tom, que vous êtes vous-même un bâtard.

Voldemort serre les lèvres de colère à cette évocation de cette souillure sur son passé.

- Très bien, accepte-t-il à contrecœur. Mais qu'il reste caché à Poudlard.

- A Poudlard ? Mais où ?

- Où vous voudrez.

« Enfermez-le quelque part

A l'abri des regard »

- Au sommet des tours, pourquoi pas, songe-t-il. Après tout, les intentions des Fondateurs sont secrètes pour tous.

« Cette créature pourrait, si le ciel le veut bien,

Servir, demain » conclue Voldemort avec un sourire mauvais.

- Et Voldemort lui laissa le nom que lui avait donné sa mère, continua Fred. Et aujourd'hui, il règnerait en haut des tours de Poudlard.

- Et l'enfant conserva une cicatrice au front, en souvenir du sort qui l'avait frappé mais pas tué, termina George. Et c'est en cet honneur qu'il porte son surnom.

Et il attendit que les enfants soient au comble de l'impatience avant de mettre fin à leur supplice, alors que les cloches sonnent de plus belle.

Harry Potter, le garçon qui a survécu !

« Quand les cloches sonnent,

Les cloches questionnent,

Dans les tours de Poudlard !

L'homme est-il un monstre ou le monstre un homme ? » questionne George dans son chant.

« Et les cloches sonnent… »

Un coup de cloche puissante retentit dans Poudlard…

« Sonnent, sonnent… »

Les cloches continuent de sonner dans tout Pré-au-Lard…

« Sonnent, sonnent… »

Il tire la corde, encore et encore…

« Sonnent, sonnent… »

Il tire la corde du haut de ses tours pour faire résonner leur chant…

« Sonnent ! »

Encore un dernier coup de corde pour les faire chanter…

« A Poudlard ! »

Harry retombe sur le sol, en volant parmi les cloches qui sonnent pour lui.


Pour l'anecdote du grain de beauté de George, c'est vrai : en effet, Oliver Phelps, qui joue George Weasley, est le seul des deux jumeux à avoir ce grain de beauté au cou.

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