Disclaimer: Tous les personnages sont de Stephenie Meyer, sauf quelques uns inventés pour l'histoire, c'est la seule fois ou je l'annonce.
Note: Coucou ! Je suis de retour, avec comme vous pouvez le voir, une fic sur Fascination, qui me traînait dans la tête depuis un baille. J'ai plein de fics en cours, mais bon, quand l'imagination me prend... Voilà quoi.
S'il vous plait, laisser une reviews, même pour dire un truc mal, j'accepte toutes les critiques.
Note 2: Ceci est le premier chapitre d'une histoire qui en comptera -normalement- quatre. Cette fic sera suivit d'un OS qui finira l'histoire. Principalement racontés sous le point de vue de Bella ou externe. Tous les tomes sont pris en compte, mais je risque de faire des confusions/oublies.
Si vous en trouvés, dite le moi en reviews.
Merci, et à bientôt, Mél.
Fascination: Avant que l'ombre...
C'est lorsque j'aperçu le cul de sac devant moi, que je compris que j'avais été piégé.
Cela aurait pourtant pu être une belle journée. Après les derniers évènements, Edward et moi préparions notre mariage. Bien sur, Alice avait été d'une aide exceptionnelle pour s'occuper de la cérémonie et des invités, mais j'avais insisté lourdement, et pendant des jours, pour choisir, seule, ma robe.
Même si je n'avais pas vraiment l'esprit "mariage", j'avais quand même une idée bien précise de ma robe de mariée, et ce n'était pas Alice Cullen et ses goûts excentriques qui allaient gâcher mon petit plaisir. Edward m'avait donné sa carte bleu, et je n'avais aucune limite de prix. Beaucoup de filles en seraient malade de jalousie, et/ou d'envie.
Bref, nous étions samedi, jour officiel de shopping, et je tournais en rond avec ma camionnette à la recherche d'une place de parking. C'était encore tôt dans l'après-midi, j'avais roulé un moment, je tenais à aller chercher ma robe à Phoenix, dans la boutique ou ma mère avait acheté la sienne. Je suis sans doute trop sentimentale sur certain point. Les Cullen n'avaient pas vraiment été d'accord, mais ils avaient compris que cela me tenait à coeur.
Lorsque j'eu poussé la porte de la boutique, je détailla des yeux son intérieur. Des frous-frous de toutes sortes accrochées au mur, du rose fuschia au vert anis, des robes de toutes les formes, pour toutes les tailles, et tout les goûts. Je comprenais maintenant pourquoi cette boutique (qui d'ailleurs était plutôt énorme) avait autant de succès.
Je me présentai au comptoir après mon moment d'arrêt et j'indiquai mon nom. Et dire que dans quelques jours, je serais Madame Edward Cullen...
Cette pensée me couva de frissons.
Une vendeuse vint me parler, et je lui annonçai directement la couleur. Je voulais une robe, blanche, sans débordement de rubans, classique, dans une coupe qui mettrait mes formes en valeur. Autant dire, que je voulais LA robe idéale. La vendeuse éclata de rire à ma dernière réplique, et me répondit que toutes les futures mariées avaient leur propre notion de la robe parfaite.
Soit, la jeune femme me présenta plusieurs robes, et j'en essayai une bonne dizaine. Au fur et a mesure des vêtements que j'enfilai, le soleil déclinait, et je trouva THE robe, un peu avant cinq heure. Edward allait être furieux, dire que j'avais promis ne pas rentrer trop tard. Résultat je devrais conduire de nuit.
Mais, j'avais ma robe. Celle dont je rêvais. Je vous passe les détails, j'en parlerais pendant des heures.
La vendeuse attrapa la carte que je lui tendais avec un sourire, et je payai la robe. Je pris celle ci sur mon épaule, et sortit de la boutique non sans remercier la gérante et la vendeuse, qui avait été, je l'avoue, d'une patience extrême.
C'est à ce moment que les choses ont dérapés. Je marchais sur le trottoir, traversant les rues désertes du centre ville, lorsque je m'écrasai littéralement sur les pavés.
Fichu maladresse.
Quand je me relevai, je vis deux hommes qui avançaient derrière moi. Je ne pensai pas tout de suite qu'ils me suivaient.
Mais quand plus tard, je croisai le regard d'un des hommes, j'accélérai le pas. Ce qu'ils firent aussi.
Bientôt, deux autres hommes se pressèrent en face de ma personne, sans décrochés leurs regards de moi. J'étais vraiment dans de sales draps et je doutais qu'ils ne pensaient que me dire bonjour. Bizarrement, je n'étais pas affolée, la peur m'empêchait d'être plus maladroite que d'habitude.
Un problème de plus se posa. Les hommes me bloquaient le passage vers ma voiture. Je décidai de changé de rue, je connaissais assez Phœnix pour mis retrouvé.
Ce fut une erreur. Une grave erreur. Une erreur fatale.
C'est lorsque j'aperçu le cul de sac devant moi que je compris que j'avais été piégé. Depuis le début, ils me poussaient vers une quelconque sombre ruelle, et j'avais été tellement idiote que je m'étais laissé avoir... Mon Dieu, que ne ferais-je pas pour voir mon vampire de futur mari débarqué et mettre une déroulé a ceux qui me suivaient...
J'étais maintenant immobile, les quatre hommes dans mon dos. Je n'entendais pas le son de leurs respirations. En fait, je n'entendais plus rien.
Tout mes sens étaient figés par la peur qu'ils me faisaient. Je me retournai en rassemblant tout mon courage.
La peau blanche, presque transparente, les habits noirs, les yeux brillants d'excitation, des vampires.
J'aurais du m'en douter. Si il y avait un vampire dans une ville, il était pour moi. J'aurais du m'appeler Bella-a-pas-de-chance.
Mon esprit devint de plus en plus embrumé, et je ne réalisais plus vraiment se qui se passait. Je su plus tard que c'était le vampire qui avait usé de ses talents sur moi.
L'un des hommes s'approcha de moi, et remis une de mes mèches de cheveux derrière mes oreilles. J'aurais voulu bouger, mais mes muscles étaient tétanisés. J'aurais voulu hurler mais les mots n'étaient hurlés que dans mon esprit, rien ne sortait de ma bouche.
Soudain, un des plus costauds des hommes sourit, et murmura un presque inaudible "elle est prête".
L'homme qui m'avait touché me chuchota :
- Aro avait omis de dire que tu sentais si bon, il ne nous en voudra pas si on t'enlève un peu plus de sang que prévu...
Je fermai les yeux.
Maman, Edward, Charlie... Mes proches me revinrent en mémoire, j'espérais encore être sauvée, qu'Edward et ses frères me sortent de la. Mais non. J'étais ici, à frissonner de dégoût lorsque les lèvres du vampire effleura mon cou.
Puis je fus morte.
La douleur me transperça le corps. Me transperça le coeur. Je voulu hurler de toutes mes forces, mais je ne réussis qu'a froncé mes traits. Le feu me rongeait et je n'avais aucune chance de l'atténuer. Un autre Volturi (car je su qu'il s'agissait de Volturis) s'attaqua à ma jugulaire, et bientôt, quatre morsures entaillaient mon corps.
Quand ils eurent finit, il me laissèrent sur le macadam, désarticulés, agonisante, comme on jetterais dans les ordures une vulgaire poupée de chiffons.
Et j'avais mal. Tellement mal.
Je ne fus quasiment pas consciente les deux jours suivants, mais je compris que quelqu'un s'était occuper de moi.
Après quelques temps, je n'avais plus besoin de respirer. Mon coeur ne battait plus. Le mal s'en alla.
J'étais devenue un vampire.
Ce n'est qu'au quatrième jour que je me souviens d'Edward. Mon futur. Mon passé.
Le pauvre devait se faire un sang d'encre pour moi.
J'avais réfléchis, longtemps, et je n'avais trouvé qu'une solution, m'éloigner de lui. Durant les premiers temps du moins.
Je lui enverrais une lettre. Peut-être. Je n'avais pas conscience d'agir sur un coup de tête.
Cette attitude ne me ressemblait absolument pas, mais j'étais incapable de revoir Edward avant de m'être fait à ma nouvelle situation. Dehors, je sentais les effluves de transpiration et de parfum des passants, et surpassant toutes les autres odeurs, celui du sang.
En bas, dans la cuisine de la maison ou j'étais installé, je devinais l'odeur de lys d'Imala, la femme qui m'avait sauvé.
Elle devait avoir entre 40 et 50 ans... au temps ou elle était encore humaine.
C'était une vampire, végétarienne, tout comme les Cullen, et les propos suivants, c'est elle qui me les a rapportés.
J'hurlais la bouche fermer quand elle m'a trouvée. Il y avait du sang partout, et elle avait eu du mal à se retenir de se jeter sur mes restes. Devant moi, elle avait eu pitié, et m'avait emmené chez elle, m'avait changé, et avait attendu la fin de ma pénible transformation.
Ensuite, Imala, m'avait dit l'essentiel. Elle était née en 1944, pendant la guerre, avait vécu quelques temps en Europe, avant de s'installer à Phœnix il y a dix ans.
C'était une belle femme à la chevelure rousse, aux yeux bruns noisette, et son sourire me faisait pensé à Alice, malgré leurs grandes différences physiques.
Sans doute, Edward avait mené des recherches dans tout l'état. Mais Imala savait se cacher. Une semaine après ma transformation, je quittai pour la première fois ma chambre. La maison de ma sauveuse était magnifique de simplicité. Dans un style de l'avant guerre, des senteurs de cire flottant dans l'air.
Je lui demandais des conseils, et elle m'écoutais, me répondais.
J'eu l'idée de me rendre en Alaska, dans les semaines suivantes. Je ne voulais pas risquer de croiser une connaissance, ou pire, qu'Edward me retrouve.
Je parlais longtemps d'Edward à Imala. Mon amour, notre histoire.
Elle ne comprenais pas pourquoi je ne voulais pas retourné auprès de lui. Dans un sens, moi non plus. J'avais tellement peur de mes réactions, de l'effet que cela nous ferais. Le revoir était au dessus de mes forces, aussi forte étais-je maintenant.
Imala me conseilla quelques endroits, et quelques connaissances Alaskiennes.
Le jour suivant, elle m'emmena avec elle à la chasse, et je chassai ma première proie. Un renard. Edward m'avait dis que le premier animal chassé resterais sûrement notre met favoris. Le renard avait pour moi, un goût métallique et froid, celui du sang. Sans doute avec le temps trouverais-je ce goût alléchant...
Chasser n'était pas si difficile, en fait, c'était mécanique. Je savais maintenant les sensations que pouvaient éprouvé les frères Cullen. Nous étions les chasseurs des plus fortes proies. Chasser, était notre nature. Naturel. Je le compris relativement vite.
Le temps de partir vint très vite. J'avais prix un billet avec de l'argent qu'Imala m'avait prêté, je ne voulais pas qu'on me retrouvé en remarquant que j'utilisait la carte bancaire d'Edward. A l'heure qu'il était, j'espérais que mon tendre ne souffrait pas trop, j'étais moi, en pleine découverte de mes talents, et j'avais honte d'avouer que je n'avais pas beaucoup pensé à lui. Le statut de vampire n'avait pas l'air d'avoir affecté que mon physique, il ait aussi changé ma façon d'être.
J'ajusta mon écharpe, et sortit de la maison à l'aube, bien que l'heure qu'il fut ne soit pas un problème pour moi. Imala, était bien sur déjà dans la cuisine quand je descendis l'escalier. Je remarquai d'ailleurs, que depuis ma transformation, je n'avais pas une seule fois perdu l'équilibre...
La vampire rousse m'embrassa sur les deux joues, me souhaita une bonne chance, me dit qu'elle avait trouvé en moi une amie, et qu'on se reverrait sûrement un jour. Si j'avais pu pleurer, je l'aurais sûrement fait. Si j'avais été humaine.
Je courus jusqu'a l'aéroport. Je testais mes capacités, et je fus contente de voir que je courais maintenant aussi vite que n'importe lequel des Cullen.
J'emportais avec moi qu'une petite valise, je n'avais besoin que du strict nécessaire. J'avais donnée à Imala ma robe de mariée. Elle l'avait récupéré en me secourrant dans la ruelle. Sans doute savait elle la valeur sentimentale que j'accordais à cette robe, car elle m'avais promis d'en prendre grand soin.
Je souris intérieurement. J'ignorais qu'une femme non humaine, autre qu'Alice ou Esmée, puisse être si gentille...
Je me présentai au détecteur de métaux, et je passai sans problème la douane. Je tendis mon billet première classe à l'hôtesse et m'installai dans un coin de la salle d'attente. Je m'étais suffisamment habitué au sang humain pour réussir à ne tuer personne pendant le vol. Mais pour plus de sécurité, j'avais demandé à être à coté d'une fenêtre, et si possible, n'avoir personne à coté de moi.
- Les passagers du vol 461 pour l'Alaska sont prières d'embarqués, Merci.
Une voix électronique m'annonça le départ. Je me leva prestement de mon siège, et suivit le dédale de couloirs jusqu'a la piste, et l'avion.
Avec chance, il n'y avait personne à coté de moi. Ce voyage n'allait peu être pas être désagréable. Des secousses m'indiquèrent que l'avion allait décoller, je bouclai ma ceinture, et m'envolais pour quelques heures.
L'Alaska, c'est froid. Heureusement que je ne le craignais plus. A la sortie de l'aéroport, j'aperçois un couple de vampire (je le sais grâce à l'odeur) qui semble m'attendre. Imala m'avait parlé d'eux. C'était chez eux que j'allais vivre...
Les années qui suivaient ces événement furent marqués pars les longs hivers glacials et le réchauffement des glaces. Au fil des chasses, il se trouva que mon animal arctique préféré était le caribou... C'est sur qu'on ne trouvait pas de renard continentaux dans cette partie de l'Amérique...
Anna et Hank m'ont beaucoup appris, et j'ai passé cinq années auprès d'eux. Imala m'avait rendus visite de temps en temps, mon coeur guérissait lentement. Le visage d'Edward disparaissait de jours en années, et je n'avais presque plus mal... à l'extérieur.
A l'intérieur, en revanche, j'étais très déprimé, et mourir quelques jours avant mon mariage n'arrangeait pas les choses. Quelle vie aurions nous pu vivre ? J'avais de sérieux doute sur ma fuite, et même, je regrettais. Oui, peu être aurais-je du affronter mon âme soeur...
Durant la période de ma vie que je passai en Alaska, Hank m'appris à me battre, à être forte, à être vampire. Heureusement pour moi, Imala m'avait trouvé une famille végétarienne, et j'eu la chance de ne jamais mordre un humain.
Je nourrissais une haine sans borne pour les Volturis, et mes intentions de vengeance m'avaient aidé à être encore plus forte. Aussi, durant ma troisième année vampirique, je commençai à révéler un étrange pouvoir.
Il semblerait qu'Edward et moi n'étions pas amoureux pour rien; mes pouvoirs étaient aussi spectaculaires que les siens. Je pouvais bouger les objets sans les toucher. Les spécialistes appelaient ça la télékinésie.
Maintenant, après 5 ans, j'avais quitté ma petite vie de vampire Alaskienne, et je reposais enfin les pieds, ou plutôt les escarpins, sur le continent américain centrale, à Forth Worth au Texas exactement. Une ville pas très médiatique, ou les Cullen semblaient avoir posé bagages après ma lamentable fuite. D'après mes infos, ils avaient quitté Fork sept mois après ma disparition, et bouger de ville en ville, avant de s'établir ici.
J'étais enfin assez confiante et sereine dans mon état de vampire, pour affronter mes démons... Et puis, j'avais tellement envie de savoir ce que devenait mes plus vieux amis vampires... bien sur, j'adorais Imala, Anna et Hank, mais Esmée et Carlisle resterait mes premiers parents vampires, même si ils ne m'avaient pas encore vue comme tel... Quoique, si je me retrouvais devant la grille de leurs maisons aujourd'hui, Alice devait sûrement avoir eu une vision...
Mon Dieu, j'avais priée, prier pour qu'Edward ne m'en veuille pas, prier pour qu'il ne se soit pas marier à une autre femme, prier, pour qu'il me frappe, me frappe jusqu'a qu'il se soit assez venger pour me dire qu'il voulait bien me reprendre...
Je savais parfaitement que cette scène ne se déroulerait jamais... Je connaissais trop bien Edward... Et je savais que j'avais fait une grave erreur, malgré tout, je ne regrettais pas vraiment... L'Alaska m'avait transformé, et ce, pour toujours. J'étais vampire, forte, belle, et j'étais morte de trouille.
Lorsque la grille s'ouvrit, mon coeur que je pensais éteint fit un bond, moi qui pensai être mal reçu... Tout les Cullen m'attendaient à la porte. Nous nous regardâmes en silence, même Alice semblait choqué. Puis, elle me sauta dans les bras.
- Merde Bella, si je pouvais pleurer, je serais en train de vider toute l'eau de mon corps, je te croyais morte !
D'une traite, elle m'avais dit tout ce que pensait tout les Cullen tout bas. Emett et Jasper me dirent bonjour, ils ne semblaient pas surpris de ma subite "résurrection", Carlisle me sourit en m'annonçant qu'Alice avait effectivement vu mon retour, et Esmée me pris également dans ses bras.
Edward à l'écart, me regardait avec un visage impassible, et n'esquissa pas un geste vers moi. J'en fut peiné... mais je le méritais. Nous nous sommes ensuite retrouvés dans le salon familial, et je racontai à la famille mes cinq dernières années. Edward ne fit toujours aucun mouvement, même quand je répondis à Rosalie que je n'avais pas rencontrés d'autre homme. Je leur fis une démonstration de mes pouvoirs télé kinésiques, et Carlisle diagnostiqua que j'étais devenue un vampire puissant.
Alice me trouva changée. Pas physiquement, mais vraiment mentalement. J'étais moins immature, plus sur de moi, plus en confiance, plus habile. Elle me félicita, et me raconta tout ce qui s'était passé depuis leur départ de Forks. Ma disparition - elle eut la délicatesse de ne pas trop parler de la détresse d'Edward - les déménagements à cause des Quileutes, les Volturis qui prenaient de plus en plus de pouvoir, et enfin l'acquisition de cette magnifique demeure Texane.
Je croisai enfin le regard de mon ex- et j'espère futur cher et tendre. Je savais qu'il était profondément blessé par ma disparition, et je vis dans ses yeux qu'il me pensait totalement libérer de mon amour pour lui. Ce qui était indéniablement faux. J'étais malheureusement, toujours et totalement amoureuse d'Edward Cullen. Et ça, je devais lui dire, parce que je n'étais, dans le fond, revenu que pour lui. Plus tard, dans la soirée, Alice me murmura que je devais peu être attendre qu'il cicatrise son coeur brisé par ma fuite, et que je devrais être patiente. Cinq ans, c'était court pour voir sa future femme disparaître, puis revenir. Je lui avais fait beaucoup de mal. Je voulais me racheter. Recommencer.
Mais l'histoire en décida autrement.
Alors que nous trinquions tous ensemble, et qu'Edward ouvrait enfin la bouche, une chose surprenant et complément irréaliste se produisit.
Après une explosion de lumière, nous nous retrouvions, en face de deux personnes très proches. Evidemment proche, puisque j'identifia la femme comme étant moi.
Vous lisez bien. En face de moi, ce trouvais mon double, et ce qui devait être le double de Jasper.
( Note : les personnages dufutur seron nommé par leurs noms d'origine suivit d'un 2. )
- Jay ! T'aurais pu éviter qu'on déboule au milieu d'une fête de famille !
Oh. Mon. Dieu. Il n'y avait pas que moi qui devait juré intérieurement, les autres semblaient aussi perdus que moi, et Emmet hésitait entre attaqués nos doubles, ou se cassé en courant. Il n'eut pas le temps de faire un choix.
- Avant toute chose, vous devriez tous vous asseoir, on va devoir vous expliquez deux-trois trucs.
C'était Jasper2 qui avait parlé. En usant de ses pouvoirs de persuasion. Nous nous sommes donc tous assis sagement, sans avoir véritablement le choix.
- Bien. Je ne vais pas passez par quatre chemins, nous venons, Bella et moi, du futur.
Un ricanement. C'était Edward qui ne paraissait pas s'amuser de la blague.
- Nous venons exactement de l'année 2090, et je viens de tester une machine pour remonter le temps.
La Bella du "futur", l'interrompis
- Nous sommes ici parce que vous courrez un grave danger. Parce que normalement, si nous laissons les choses se passer, alors la plupart d'entre vous mourront dans cette maison. Et Jasper et moi, devions empêcher ça. Vous êtes ok ?
Oh. Bella2 devait avoir remarqué notre teint de vampire plus blanc que d'habitude. Je deviens cynique… Je dois vraiment être choqué. Mais les évènements ne permettaient pas au Cullen et moi d'assimiler les informations
- Pour que vous ne répétiez pas nos erreurs, Bella va vous projeté, grâce à ses dons, des scènes qui vont ce produire, certaines viennent directement de mon esprit, et beaucoup du sien. Je sais que c'est dur à croire, mais c'est très difficile pour nous aussi...
Jasper, si sur de lui habituellement parlait très vite en tripotant ses mains. S'en fut trop pour Alice.
- Jasper, mais que nous est-il arrivés ? Pourquoi tu ne portes plus ton alliance ? Pourquoi je ne vous ai pas vu venir ?
- Je vais te répondre dans l'ordre et je doute que les réponses te plaisent... Tu es morte, Alice. Il y a longtemps pour moi, pas encore à cette époque. J'ai enlevé mon alliance pour essayer de continuer à vivre... Mais en fait, je n'ai continué à vivre que pour Bella et son projet. Tu ne nous as pas vu venir parce que tout ça c'est décidé à la dernière minute. J'ai changé n'est-ce pas ?
- Oui, tu as changé. Tu as du beaucoup souffrir pour être si différent de mon mari, répondit Alice en se lovant tristement contre son Jasper.
- Bella et moi avons beaucoup endurés en effet.
- Bella ? Comment a pu t'elle souffrir de nos morts, elle s'est enfuit, elle aurait très bien pu le refaire, dit Edward en me regardant amèrement.
- Tu verras tout ça dans nos souvenirs Ed, mais sache que Bella s'est toujours battu à nos cotés...
On parlait de moi la ? Je ne comprenais pas vraiment tout.
- Je n'ai pas l'air d'avoir beaucoup changer moi, remarquais-je.
- Oh, si nous avons changés Bella, annonça mon double, si je me rappelle bien, tu es ici aujourd'hui parce que tu ne pouvais plus être loin d'Edward, je me trompe ?
Si je pouvais rougir, je ferais de la concurrence à une tomate. J'hochai lamentablement la tête.
- Et bien imagine que tout pour quoi tu n'as pas encore sombré, te soit volé tout d'un coup.
- Tu veux dire qu'Edward est…
- mort ? Oui. Edward, Alice, Emmet, Rosalie, Carlisle, Esmée, en fait, il ne reste que Jay et moi.
Merde. Doublement merde. Je haïssais à cette seconde d'être immortelle, et ne pas avoir la chance de tomber dans les pommes.
Rosalie avait pris son mari dans les bras, et Esmée semblait bouleversée. Edward était hagard, et le Jasper du futur gêné. Il ne devait pas s'attendre à que cela se passe ainsi. Il se passa la main sur le visage, se leva et fit un signe à la plus vieille des Bella.
- Je suis désolé de devoir vous bousculez, mais il est temps de rentrer dans le vif du sujet. Bella dois vous montrez ce qui va ce passer.
- Ca risque de vous choquez. Mais c'est nécessaire. Pour que tout change.
Un à un, les membres de la famille se levèrent, puis tout le monde se prit par la main.
- Vous allez être directement projeté dans les scènes, mais personne ne nous verra. Je vais essayer de prendre des événements importants, mais je n'ai jamais vraiment essayé d'emmener sept personnes avec moi, il se peut que les choses dérapent dans des souvenirs inutiles, on en voit des choses en 85 ans...
- N'oubliez pas, ce que vous allez voir va changé maintenant, rajouta Jasper2.
Puis, ce fut le blanc.
Alors,
Trop direct, trop court, trop long, trop nul, trop bien ?
S'il vous plait, dite moi ce que vous en pensez, je continu ?
