Chapitre I : Au Début.
Lisa Plenske est une fille d'une beauté qui n'existe pas. Elle adore sa famille et ses amies. C'est une fille tout à fait banale si nous la croisons dans la rue : une fille pas très belle, mal dans sa peau, qui croit que le monde est contre elle. Donc une attitude d'adolescente. Mais cette fille, par rapport aux adolescents avait elle une vraie raison de penser cela. Elle aime tout mais avec un Bac plus 10, personne ne veut d'elle au boulot. Pourquoi à votre avis ? Elle a découvert que le haut monde du travail n'est pas qu'une question d'intelligence mais qu'il y faut aussi avoir du charisme. C'est vrai qu'elle voit ça partout, dans la politique, même dans les salons de coiffures. C'est un monde qui regarde beaucoup l'esthétique et avec cela elle se demandait pourquoi vivre si ce n'est que pour souffrir. Donc ses tentatives de suicides étaient habituelles, ceux qui obligèrent ses parents adorés, Bernard et Katia, à la faire surveiller par une psychologue à domicile. Quand je parle à domicile, c'est qu'elle vivait à la maison pour comprendre cette femme.
Au cours du temps Lisa et la psychologue qui se prénommait (oui c'est bien de l'imparfait) Laetitia avaient créé une amitié qui empêcha Lisa à penser à la mort. Laetitia était la personne qu'il fallait à leur pupuce, un ange qui leur avait été envoyé du ciel. Ils avaient tellement prié le jour ou leur fille aurait repris le gout de la vie. Pour eux, le pire était passait et rien ne gâcherait ce bonheur. Mais ils se trompaient comme tous les autres.
C'était un jeudi après midi et Lisa avait envie de partager sa passion des animaux avec Laetitia mais avant elles devaient aller acheter quelque chose à manger car elles avaient une faim de loup (surtout Lisa). Donc elles se rendirent chez Julien, surtout que Laetitia avait eu le coup de foudre pour lui et qu'il n'était pas indifférent non plus. Laetitia avait le projet de lui demander de venir avec elle voir le championnat de boxe qu'ils aimaient tant. Elle avait prévu de lui avouer ses sentiments ou de. Mais (oui encore mais) le l'embrasser destin avait autre chose de prévu pour elle. Elle avait laissé Lisa au rayon robe de soirée et elle s'était précipité pour trouver un joli bustier car elle était sur pour son plan de demain. Quand elle trouva un haut elle ouvrit la bouche pour l'appeler mais il ne sortit aucun mot. Son regard avait arrêté son chemin sur un homme barbu qui se tenait devant une très belle voiture noir où se trouvaient un enfant et deux hommes qui étaient à demi conscient. Elle voulut courir mais ses jambes ne répondirent pas. Alors le barbu s'approcha et l'empoigna avec une force époustouflante qui coupa vite l'air de la jeune femme. Il l'emmena à la voiture avec les autres, entra et s'en alla ni vu ni connu. Lisa n'avait rien vu, elle crut donc que Laetitia avait peut être un truc important à faire et que c'était normal qu'elle était partit comme cela. Cependant ce n'était pas son genre de partir sans prévenir et à ce moment elle vit un bustier par terre qui aurait bien plu à Laetitia alors elle l'acheta.
Les jours passèrent la famille Plenske n'avait plus aucune nouvelle de notre chère amie et l'espoir était le seul mot que Lisa prononçait car c'était l'espoir que son amie ne l'avait pas laissé tomber. Un matin, Lisa décida d'aller voir Julien car à la maison, tout la déprimait. Julien était très heureux d'avoir sa visite et le demanda où était passé Laetitia. Elle lui répondit qu'elle ne savait avec une voix remplie de larmes. Il changea de sujet et la proposa de lire des bandes dessinées dans le journal. Quand il lui tendit le journal, il vit les yeux de Lisa écarquillés comme si qu'elle avait vu un fantôme. Il baissa son regard sur le journal et le lâcha aussitôt.
C'était impossible mais bien vrai vu que sur le journal avec la photo du corps d'une femme mutilé il était écrit: LA POLICE A RETROUVE LE CORPS DU DOCTEUR LAETITIA ……… PLENSKE.
