Auteur : Andy56 (MissParker63@hotmail.com)
Genre : Général
Disclaimers : Je ne touche pas d'argent, les personnages des deux séries ne m'appartiennent pas.
Note : Ceci est une sorte de crossover mais étant donné que le personnage de Rachel Burke ne tient qu'une place très restreinte dans cette fanfiction je ne l'indique pas comme catégorie crossover.
Résumé : Parker éprouve un nouveau sentiment qu'elle avait déjà survolé avec une certaine Nia.
Vision d'horreur
18h, Le Centre, Blue Cove :
Broots était assis devant son ordinateur, piochant au passage quelques chips dans un paquet brillant quand la sonnerie du téléphone retentit.
Broots : Allo ? Vous êtes sûr ? Très bien, je. je vais prévenir Mlle Parker immédiatement.
Il se leva et se mit à courir à toute allure, à la recherche de sa patronne. Il l'aperçut enfin au fond d'un couloir, relisant un dossier. Elle semblait tellement absorbée par sa lecture qu'elle ne le vit pas approcher, elle sursauta quand il l'appela.
Broots : Mlle Parker ! Mlle Parker !
Parker :Quoi ? !
Broots : On a une piste sur Jarod.
Parker : Où est-il ?
Broots : Il serait à Atlanta, l' un de nos agents l'aurait aperçu travaillant au contact de la VCTF.
Parker : Qu'est-ce que c'est ?
Broots : Il s'agit d'une unité enquêtant sur les crimes violents.
Parker : Bon, je fais préparer le jet alors aller chercher Sydney et dépêchez-vous. Prévenez aussi Sam.
18h, Atlanta, Géorgie :
Jarod et Rachel étaient dans le couloir, ils s'embrassaient tendrement. La jeune femme attrapa son bras et l'attira dans son appartement. Il la cola au mur et dégrafa son chemisier après qu'elle lui ait retiré son tee-shirt. Tout en continuant de se déshabiller et de s'embrasser ils se dirigèrent vers la chambre où il passèrent un agréable début de soirée.
21h, Dans le jet :
Sydney s'était endormi et Broots tentait de faire de même. Parker essayait de se détendre en buvant un verre. Elle était surexcitée, elle croisait les doigts pour que ce ne soit pas encore une fausse piste ou une nouvelle blague du petit génie. Broots commençait à s'endormir quand Parker lui secoua les épaules.
Parker : Broots ! Broots ! Je veux en savoir plus sur Jarod, dites-moi tout ce que vous savez.
Elle sera si et se servit de nouveau un vers de scotch tandis que le pauvre Broots se frottait les yeux.
Broots : Eh bien.
Il attrapa son ordinateur et rechercha son fichier tout en se massent la nuque.
Parker : Activez Broots.
Broots : L'agent que nous avons infiltré l'a croisé à plusieurs reprises, dont cet après-midi. Il serait venu apporter son aide aux enquêteurs plusieurs fois.
Parker : C'est tout ce que vous avez ?
Broots : Eh bien.euh. c'est le plus important mais.
Parker : Quoi ?
Broots : Il a une rumeur qui court.
Parker : Et qu'est-ce qu'elle raconte cette rumeur Broots ?
Broots : Il paraîtrait que Jarod sort avec le profiler. Rachel Burke.
En face de Broots, Parker semblait particulièrement intéressée. Elle fit le tour du siège de son collègue pour voir l'écran de son ordinateur. Elle observa la photo qui provenait du dossier de l'agent Burke.
Parker : Mais c'est que notre petit monstre ne se refuse rien.
Broots : Il a plutôt bon goût.
Parker tourna la tête vers lui comme s'il venait de prononcer une injure.
Parker : Ce n'est qu'une rumeur Broots, nous n'en sommes pas sûres.
Elle lui affirma cette phrase plus pour se convaincre elle-même plus que pour convaincre Broots. Parker retourna s'asseoir et repensa au jour où elle avait rencontré Nia, la première idylle de Jarod. Un frisson parcouru le long de sa colonne vertébrale : si cette rumeur s'avérait être fondée, ce qu'elle n'espérait pas, elle souhaitait que la situation se passe un peu mieux.
Parker : Où loge Jarod ?
Broots : Dans un hôtel assez huppé, dans les beaux quartiers d'Atlanta.
Parker : Nous y allons directement, s'il n'y ait pas, vous avez l'adresse de cette « Rachel » ?
Broots : Oui, oui, tout est dans le dossier.
L'ambiance dans le jet durant la dernière heure de vol promettait d'être plutôt tendue.
21 h 30, Atlanta, Géorgie :
Jarod et Rachel étaient dans le lit de cette dernière, dans les bras l'un de l'autre.
Rachel : J'adore quand tu me rends des visites surprises, tu devrais le faire plus souvent.
Jarod : Et moi j'adore te voir, prendre de tes nouvelles mais mon travail me prend beaucoup de temps.
Rachel : Tu ne penses jamais à t'installer pour de bon ?
Jarod : Si, bien sûr, mais j'aime beaucoup trop voyager.
Rachel : J'aimerai pouvoir rester dans tes bras pendant des heures, je m'y sens tellement bien.
Jarod resserra l'étreinte que formaient ses bras, lui aussi aimait ces moments. Il se sentait à l'aise avec elle, elle ne lui demandait pas d'explication et cela l'arrangeait. Elle était tellement différente de Parker, elle savait ce qu'elle voulait, elle savait décrire ses sentiments et lui faire totalement confiance elle au moins.
22h00, Hôtel Wexley, Atlanta :
Parker s'avança vers le réceptionniste qu'elle trouvait bien à son goût. Une trentaine d'années, le teint mâte et les yeux clairs. Elle lui offrit son plus beau sourire avant de lui présenter la photo de Jarod.
Homme : Puis-je vous aider Mlle ?
Parker : Je l'espère, nous recherchons un ami.
Elle pointa la photo du doigt alors le jeune homme pencha la tête pour mieux l'observer.
Parker : Il s'appelle Jarod.
Homme : Oui, c'est ça, Jarod Atkins. Il est dans la suite 155 mais il est sorti il y a un moment.
Parker : Je vous remercie pour votre aide.
Après un dernier sourire, elle tourna les talons et alla tout de même voir dans la chambre. Elle s'était déjà faite roulée une ou deux fois alors elle ne tenait pas à se faire avoir une troisième. Comme elle n'y trouva rien, elle retourna à la voiture, Sam connaissait la direction à prendre : l'appartement de Rachel Burke.
22h30, Appartement de Rachel Burke, Atlanta :
Parker déboula dans l'appartement, arme au point, après avoir littéralement défoncé la porte d'entrée. Elle se précipita instinctivement vers la chambre à coucher. La jeune femme se retrouva en face de Jarod et Rachel, à moitié nus qui n'avaient pas eu le temps de sortir du lit.
Jarod : Ravi de te revoir Parker, tu veux boire un verre ?
Il semblait mal-à-l'aise et tentait de garder son sang froid, Rachel avait les yeux grands ouverts et ne disait rien. Tout comme Parker, elle semblait horrifiée de ce qu'elle voyait, elle n'en croyait pas ses yeux. Mais elle se reprit rapidement pour ne pas se retrouver en position de faiblesse.
Parker : Moi de même, aller, rhabille-toi, on rentre à la maison.
Rachel : Mais, qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous voulez ?
Parker : Je vois que Jarod ne vous l'a pas expliqué ?
Parker était e train de bouillir intérieurement, c'état bien pire qu'avec cette Nia. Elle faisait tout pour se maîtriser mais elle était au bord de la crise de nerf. Sam passa les menottes à Jarod qui n'était vêtue que d'un tee-shirt et d'un caleçon. Parker s'approcha de Rachel, comme pour évaluer la « marchandise », celle-ci voulu ouvrir le tiroir de sa table de nuit mais Parker fut plus rapide et le referma avec sa cuisse.
Parker : Restez-là et il n'y aura aucun problème. Sam ! Venez vous occuper d'elle, récupérez son arme dans le tiroir et rejoignez-nous à la voiture ensuite.
Elle poussa Jarod vers la porte d'entrée, lui pointant son arme entre les omoplates.
Parker : Tu vas enfin rentrer à la maison cette fois.
Une fois dans la voiture, elle se mit à l'arrière entourant Jarod avec Broots. Sam les rejoignit une seconde après, il leur apprit qu'il avait bâillonné Rachel puis attachée aux barreaux du lit. Cette information eut pour effet de redonner le sourire à Parker qui se représentait la scène intérieurement. La trajet se déroula sans encombre jusqu'à la moitié du chemin.
Jarod : Dis-moi Parker, je peux savoir pourquoi tu as fait cette tête-la en nous voyant Rachel et moi ?
Parker : Excuse-moi mais ce n'est pas tous les jours que je t'attrape quand tu es au lit avec une femme, j'ai le droit d'être étonnée.
Jarod : Si tu avais eu des revolvers à la place des yeux, je crois que Rachel et moi ne serions plus de ce monde.
Parker : Jamais tu te tais ?
Jarod : Il faut voir les choses en face, tu es jalouse Parker.
Parker : Non mais ça ne va pas ou quoi ? Pourquoi serai-je jalouse, jusqu'à preuve du contraire nous ne sommes pas ensemble.
Jarod : On aurait pu s'il n'y avait pas eu Le Centre, Mr Parker, Raines.
Parker : Tu ferais mieux de te taire, on m'a dit de te ramener vivant mais je peux toujours t'arracher quelque membre.
Jarod -à l'oreille de Parker- : Ose dire que tu ne ressens strictement rien pour moi.
Parker n'avait pas remis son arme dans son holster, elle la pressa son le menton de Jarod. Il ne bougea pas d'un poil et resta imperturbable car il savait qu'elle ne tirerait pas.
Parker : Ferme-la et ne dis plus un mot temps que je serai là.
Jarod : Sinon quoi ?
Parker : Sinon, je ne te garantie pas de pouvoir me contrôler. Avoue que ce serait regrettable de devenir le sosie de main de Lyle.
Jarod ne pu s'empêcher d'esquisser l'un de ses fameux sourires en coin.
A suivre.
Genre : Général
Disclaimers : Je ne touche pas d'argent, les personnages des deux séries ne m'appartiennent pas.
Note : Ceci est une sorte de crossover mais étant donné que le personnage de Rachel Burke ne tient qu'une place très restreinte dans cette fanfiction je ne l'indique pas comme catégorie crossover.
Résumé : Parker éprouve un nouveau sentiment qu'elle avait déjà survolé avec une certaine Nia.
Vision d'horreur
18h, Le Centre, Blue Cove :
Broots était assis devant son ordinateur, piochant au passage quelques chips dans un paquet brillant quand la sonnerie du téléphone retentit.
Broots : Allo ? Vous êtes sûr ? Très bien, je. je vais prévenir Mlle Parker immédiatement.
Il se leva et se mit à courir à toute allure, à la recherche de sa patronne. Il l'aperçut enfin au fond d'un couloir, relisant un dossier. Elle semblait tellement absorbée par sa lecture qu'elle ne le vit pas approcher, elle sursauta quand il l'appela.
Broots : Mlle Parker ! Mlle Parker !
Parker :Quoi ? !
Broots : On a une piste sur Jarod.
Parker : Où est-il ?
Broots : Il serait à Atlanta, l' un de nos agents l'aurait aperçu travaillant au contact de la VCTF.
Parker : Qu'est-ce que c'est ?
Broots : Il s'agit d'une unité enquêtant sur les crimes violents.
Parker : Bon, je fais préparer le jet alors aller chercher Sydney et dépêchez-vous. Prévenez aussi Sam.
18h, Atlanta, Géorgie :
Jarod et Rachel étaient dans le couloir, ils s'embrassaient tendrement. La jeune femme attrapa son bras et l'attira dans son appartement. Il la cola au mur et dégrafa son chemisier après qu'elle lui ait retiré son tee-shirt. Tout en continuant de se déshabiller et de s'embrasser ils se dirigèrent vers la chambre où il passèrent un agréable début de soirée.
21h, Dans le jet :
Sydney s'était endormi et Broots tentait de faire de même. Parker essayait de se détendre en buvant un verre. Elle était surexcitée, elle croisait les doigts pour que ce ne soit pas encore une fausse piste ou une nouvelle blague du petit génie. Broots commençait à s'endormir quand Parker lui secoua les épaules.
Parker : Broots ! Broots ! Je veux en savoir plus sur Jarod, dites-moi tout ce que vous savez.
Elle sera si et se servit de nouveau un vers de scotch tandis que le pauvre Broots se frottait les yeux.
Broots : Eh bien.
Il attrapa son ordinateur et rechercha son fichier tout en se massent la nuque.
Parker : Activez Broots.
Broots : L'agent que nous avons infiltré l'a croisé à plusieurs reprises, dont cet après-midi. Il serait venu apporter son aide aux enquêteurs plusieurs fois.
Parker : C'est tout ce que vous avez ?
Broots : Eh bien.euh. c'est le plus important mais.
Parker : Quoi ?
Broots : Il a une rumeur qui court.
Parker : Et qu'est-ce qu'elle raconte cette rumeur Broots ?
Broots : Il paraîtrait que Jarod sort avec le profiler. Rachel Burke.
En face de Broots, Parker semblait particulièrement intéressée. Elle fit le tour du siège de son collègue pour voir l'écran de son ordinateur. Elle observa la photo qui provenait du dossier de l'agent Burke.
Parker : Mais c'est que notre petit monstre ne se refuse rien.
Broots : Il a plutôt bon goût.
Parker tourna la tête vers lui comme s'il venait de prononcer une injure.
Parker : Ce n'est qu'une rumeur Broots, nous n'en sommes pas sûres.
Elle lui affirma cette phrase plus pour se convaincre elle-même plus que pour convaincre Broots. Parker retourna s'asseoir et repensa au jour où elle avait rencontré Nia, la première idylle de Jarod. Un frisson parcouru le long de sa colonne vertébrale : si cette rumeur s'avérait être fondée, ce qu'elle n'espérait pas, elle souhaitait que la situation se passe un peu mieux.
Parker : Où loge Jarod ?
Broots : Dans un hôtel assez huppé, dans les beaux quartiers d'Atlanta.
Parker : Nous y allons directement, s'il n'y ait pas, vous avez l'adresse de cette « Rachel » ?
Broots : Oui, oui, tout est dans le dossier.
L'ambiance dans le jet durant la dernière heure de vol promettait d'être plutôt tendue.
21 h 30, Atlanta, Géorgie :
Jarod et Rachel étaient dans le lit de cette dernière, dans les bras l'un de l'autre.
Rachel : J'adore quand tu me rends des visites surprises, tu devrais le faire plus souvent.
Jarod : Et moi j'adore te voir, prendre de tes nouvelles mais mon travail me prend beaucoup de temps.
Rachel : Tu ne penses jamais à t'installer pour de bon ?
Jarod : Si, bien sûr, mais j'aime beaucoup trop voyager.
Rachel : J'aimerai pouvoir rester dans tes bras pendant des heures, je m'y sens tellement bien.
Jarod resserra l'étreinte que formaient ses bras, lui aussi aimait ces moments. Il se sentait à l'aise avec elle, elle ne lui demandait pas d'explication et cela l'arrangeait. Elle était tellement différente de Parker, elle savait ce qu'elle voulait, elle savait décrire ses sentiments et lui faire totalement confiance elle au moins.
22h00, Hôtel Wexley, Atlanta :
Parker s'avança vers le réceptionniste qu'elle trouvait bien à son goût. Une trentaine d'années, le teint mâte et les yeux clairs. Elle lui offrit son plus beau sourire avant de lui présenter la photo de Jarod.
Homme : Puis-je vous aider Mlle ?
Parker : Je l'espère, nous recherchons un ami.
Elle pointa la photo du doigt alors le jeune homme pencha la tête pour mieux l'observer.
Parker : Il s'appelle Jarod.
Homme : Oui, c'est ça, Jarod Atkins. Il est dans la suite 155 mais il est sorti il y a un moment.
Parker : Je vous remercie pour votre aide.
Après un dernier sourire, elle tourna les talons et alla tout de même voir dans la chambre. Elle s'était déjà faite roulée une ou deux fois alors elle ne tenait pas à se faire avoir une troisième. Comme elle n'y trouva rien, elle retourna à la voiture, Sam connaissait la direction à prendre : l'appartement de Rachel Burke.
22h30, Appartement de Rachel Burke, Atlanta :
Parker déboula dans l'appartement, arme au point, après avoir littéralement défoncé la porte d'entrée. Elle se précipita instinctivement vers la chambre à coucher. La jeune femme se retrouva en face de Jarod et Rachel, à moitié nus qui n'avaient pas eu le temps de sortir du lit.
Jarod : Ravi de te revoir Parker, tu veux boire un verre ?
Il semblait mal-à-l'aise et tentait de garder son sang froid, Rachel avait les yeux grands ouverts et ne disait rien. Tout comme Parker, elle semblait horrifiée de ce qu'elle voyait, elle n'en croyait pas ses yeux. Mais elle se reprit rapidement pour ne pas se retrouver en position de faiblesse.
Parker : Moi de même, aller, rhabille-toi, on rentre à la maison.
Rachel : Mais, qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous voulez ?
Parker : Je vois que Jarod ne vous l'a pas expliqué ?
Parker était e train de bouillir intérieurement, c'état bien pire qu'avec cette Nia. Elle faisait tout pour se maîtriser mais elle était au bord de la crise de nerf. Sam passa les menottes à Jarod qui n'était vêtue que d'un tee-shirt et d'un caleçon. Parker s'approcha de Rachel, comme pour évaluer la « marchandise », celle-ci voulu ouvrir le tiroir de sa table de nuit mais Parker fut plus rapide et le referma avec sa cuisse.
Parker : Restez-là et il n'y aura aucun problème. Sam ! Venez vous occuper d'elle, récupérez son arme dans le tiroir et rejoignez-nous à la voiture ensuite.
Elle poussa Jarod vers la porte d'entrée, lui pointant son arme entre les omoplates.
Parker : Tu vas enfin rentrer à la maison cette fois.
Une fois dans la voiture, elle se mit à l'arrière entourant Jarod avec Broots. Sam les rejoignit une seconde après, il leur apprit qu'il avait bâillonné Rachel puis attachée aux barreaux du lit. Cette information eut pour effet de redonner le sourire à Parker qui se représentait la scène intérieurement. La trajet se déroula sans encombre jusqu'à la moitié du chemin.
Jarod : Dis-moi Parker, je peux savoir pourquoi tu as fait cette tête-la en nous voyant Rachel et moi ?
Parker : Excuse-moi mais ce n'est pas tous les jours que je t'attrape quand tu es au lit avec une femme, j'ai le droit d'être étonnée.
Jarod : Si tu avais eu des revolvers à la place des yeux, je crois que Rachel et moi ne serions plus de ce monde.
Parker : Jamais tu te tais ?
Jarod : Il faut voir les choses en face, tu es jalouse Parker.
Parker : Non mais ça ne va pas ou quoi ? Pourquoi serai-je jalouse, jusqu'à preuve du contraire nous ne sommes pas ensemble.
Jarod : On aurait pu s'il n'y avait pas eu Le Centre, Mr Parker, Raines.
Parker : Tu ferais mieux de te taire, on m'a dit de te ramener vivant mais je peux toujours t'arracher quelque membre.
Jarod -à l'oreille de Parker- : Ose dire que tu ne ressens strictement rien pour moi.
Parker n'avait pas remis son arme dans son holster, elle la pressa son le menton de Jarod. Il ne bougea pas d'un poil et resta imperturbable car il savait qu'elle ne tirerait pas.
Parker : Ferme-la et ne dis plus un mot temps que je serai là.
Jarod : Sinon quoi ?
Parker : Sinon, je ne te garantie pas de pouvoir me contrôler. Avoue que ce serait regrettable de devenir le sosie de main de Lyle.
Jarod ne pu s'empêcher d'esquisser l'un de ses fameux sourires en coin.
A suivre.
