Harryetta Potter au pays des contes de fée.

Disclaimer : les personnages ne sont pas à moi, malheureusement mais bon, c'est déjà bien de pouvoir les utiliser comme bon me semble.

Rating : Résolument interdit aux moins de 18 ans, car contient des scènes de pure débauche entre humains ( ?) et animaux (non, non, j'adore les animaux, mais c'était tentant de les utiliser de cette façon) Homophobes s'abstenir. Voilà vous êtes prévenus. C'est un gros gros délire sans aucun fondement que j'avais envie d'écrire depuis longtemps.

Chapitre 1 : Perdue dans la forêt.

Il était une fois dans une lointaine forêt innocente et pure, une charmante enfant nommée Boucle d'Or, que tout le monde appelait Harryetta, même si elle ne savait pas pourquoi. Elle errait, voguant ci et là à travers la faune et la flore environnante. Un petit oiseau cuicuitant par- ci, une petite fleur sentant bon la rosée du matin par-là : Boucle vivait heureuse et en parfaite harmonie avec elle-même et avec la nature. Elle se sentait enfin libérée. Le savoir était enfin parvenu jusqu'à elle avec beaucoup de difficultés, mais elle était désormais consciente d'être un sujet conscient et elle allait fêter ça avec ses petits amis des bois. Elle arriva tout-à-coup près de sa clairière favorite et profita de ce moment de solitude pour pousser la chansonnette :

« Pintou lève la quette, Pintou l'a fait pissou ! »

Après ce moment plein de poésie et de finesse, ses petits amis les animaux vinrent la rejoindre. Parmi eux se trouvaient Faonfaon le Pervers, Panpan le Sadique et Shigure-San l'Obsédé (ceci étant une espèce très rare de koala nain japonais vivant uniquement dans les lointaines contrées innocentes et pures). Boucle aimait ces moments-là, d'abord Shigure-San l'Obsédé toujours, puis Panpan le Sadique. Elle aimait sentir ces êtres d'exception prendre possession de son corps, elle aimait être fouettée au sang jusqu'à en perdre connaissance. Mais par-dessus tout, elle aimait se faire prendre par derrière par Faonfaon le Pervers. Ces moments étaient si dégradants, si pervers, qu'elle ne pouvait s'empêcher d'en réclamer toujours plus. Une fois l'orgie terminée, Boucle sortit de sa torpeur et tenta de se lever pour rejoindre le domicile familial, mais la douleur était si grande qu'elle ne put faire un pas avant de longues heures.

Il faisait nuit noire à présent et la pauvre jeune fille innocente et pure qu'était Boucle se sentait perdue et effrayée. Elle était toujours dans la clairière, mais elle semblait beaucoup moins chaleureuse et idyllique qu'auparavant. Elle ressemblait désormais à un immense cimetière calme et froid, mais pourtant si tourmenté. La seule lumière dont disposait l'enfant innocente et pure était celle de la pleine lune et les seuls bruits qu'elle pouvait discerner étaient ceux des chouettes et autres hiboux. Elle avait une grande envie de pleurer, mais elle préférait encore se retrouver ici, seule et abandonnée de tous, plutôt que chez elle. Elle ne pouvait plus supporter l'ambiance familiale. En effet, ses parents ne prêtaient plus aucune attention à son égard et à sa misérable existence. Depuis qu'elle avait atteint ses 15 ans, ils l'avaient ignorée jugeant de bon ton de préférer leur travail et leur passion, qui se trouvait être la même occupation. Lorsque les parents de Boucle avaient décidé de vivre dans l'arrière pays, ils avaient aussi choisi une activité peu commune, mais très réputée : la gestion d'un club privé sado-masochiste nommé « Le Poney Fouettant. » Délaissée, Boucle se réfugia alors dans l'alcool, le sexe et la drogue, préférant ainsi la débauche à ses jeux d'enfants, qu'elle chérissait autrefois.

Ses démons la hantaient en ce soir de solitude et de peur. Elle pensait à son père, Dumble d'Or, autrefois directeur d'une vague et lointaine école de sorcellerie ou quelque chose dans ce genre, mais Boucle n'en savait pas beaucoup plus et ne voulait pas savoir de toute façon. Elle revoyait sa mère, Volda m'Or, alors qu'elle n'était encore qu'une enfant innocente et pure. Elle aimait tant sa mère, mais jamais elle n'avait osé lui demander quoi que ce soit sur son lourd passé, dont jamais elle ne parlait d'ailleurs, car, disait-elle, elle avait trop honte. Elle ne connaissait pas non plus les raisons pour lesquelles ses parents décidèrent un beau jour de printemps, de venir s'installer au beau milieu de la campagne, loin de tout. Elle avait toujours vécu là-bas, mais elle aimait ça, et connaissait ce monde mieux que personne. Pourtant aujourd'hui, en ce soir de pleine lune, au milieu de nul part et pour une fois depuis très longtemps, elle aurait voulu sa mère auprès d'elle. L'espace d'une nuit, elle était redevenue une petite fille innocente et pure, apeurée et réclamant un peu d'amour, bien qu'elle en ait eu toute la journée. Mais ce n'était pas cet amour là qu'elle recherchait. Elle avait besoin de réconfort. Perdue dans ses pensées, elle s'endormit jusqu'au petit matin.

Le soleil venait de se lever et elle aurait bien aimé partager un bon petit déjeuner, mais ce n'était pas vraiment l'endroit idéal. Elle se réveilla fraîche comme une boîte de pâté périmé depuis 10 jours, mais elle prit tout de même la décision de partir bon train à la recherche de sa maison. Mais en fait de foyer accueillant, elle se perdit un peu plus dans la forêt obscure, innocente et pure. Alors que, désespérée, elle pensait qu'il n'y avait plus aucune issue à son problème, elle découvrit auprès d'un ru une petite cabane ô combien pittoresque. Elle n'en croyait pas ses yeux. Cela devait être une ?uvre de son Dieu, qu'elle vénérait à ses heures perdues, pour lui avoir permis si souvent de goûter à la jouissance et à la perversion. Enfin le destin lui ouvrait de nouvelles portes et elle reprit confiance en elle. Elle s'approcha donc de la porte et toqua trois fois. Pas de réponse. Elle réitéra l'expérience deux fois, mais en vain. Elle décida alors de pénétrer dans cette humble demeure. C'était une cabane tout à fait exquise. Une petite table entourée de trois mignonnes petites chaises de torture servait de reposoir à trois petites assiettes et à trois petites tasses encore fumantes. Elle s'approcha et vit avec bonheur que les tasses contenaient une sorte de vin chaud sentant incroyablement bon et les assiettes une poudre blanche bien connue de notre héroïne innocente et pure. C'était un petit déjeuner comme elle en avait tant connu dans sa jeunesse. En manque, elle choisit donc de s'asseoir sur la première chaise pour déguster ce frugal repas. Mais la première assise sa trouva trop peu torturante, elle s'y sentait trop bien installée, mais elle prit tout de même le peine de goûter le vin et la poudre divine. Le premier s'avérait trop léger, la dernière pas assez pure. Elle continua donc sa quête et testa la deuxième chaise, tasse et assiette. La première étant trop douce pour son derrière sensible, la seconde trop sucrée et la troisième trop légère, elle pria son Dieu pour que la troisième chaise et néanmoins plus petite soit la bonne. La chaise était tout ce qu'il y a de plus atroce. La douleur était si horrible et insoutenable qu'elle ne put s'empêcher d'émettre de petits gémissements de satisfaction. Quant au vin chaud, il était parfait : chaud, fort et amer comme elle l'aimait. Mais alors qu'elle finissait la dernière goûte du liquide céleste, elle appréhenda le contenu de l'assiette. Et si cela n'était pas à la hauteur de ses espérances ?? Mais son interrogation fut de courte durée, car son métabolisme réclamait sa dose de plus en plus violemment. Ainsi, elle approcha son doux visage innocent et pur au-dessus de l'assiette et renifla allégrement la poudre blanche. Aussitôt le dernier gramme ingurgité, elle s'écroula sur le sol, atteignant le septième ciel à cause de la dose impressionnante de cocaïne qu'elle avait bien pu avaler en si peu de temps.

Elle était en pleine transe lorsque la porte s'ouvrit lentement sur la pauvre jeune fille innocente et pure allongée sur le sol. Surprise, sa joie de vivre s'évapora tout à coup pour laisser place à la stupeur. En effet, trois ours grognons venaient d'entrer dans la cabane.

« Qui êtes-vous ? demanda-t-elle dans un éclat de rire.

-C'est plutôt à nous de poser cette question ! répondit le plus âgé.

-Oh oui ! Je m'appelle d'Or, Boucle d'Or, mais on m'appelle aussi
Harryetta Potter, fille de Dumble d'Or et de Volda m'Or, lâcha-t-elle
dans son hilarité.

-Notre dope vous convient-elle ? Vous ne vous sentez pas trop gênée ?
Ca va ? demanda le plus vieux, décidément très agacé.

-Calme-toi Hagridouchet, dit le plus efféminé des trois. Je m'appelle
Ronetta et je suis la femme soumise, dans tous les sens du terme, de
Hagrid dont vous avez déjà fait la connaissance. Et voici le fruit de
nos parties de débauches SM et du trop plein d'alcool et de drogue,
Drago.

-Heu. Ben enchantée, non ? Et elle repartit de plus belle, se roulant
sur le sol.

-Bon assez parlé, conclue Hagrid. On baise ? »

Cette proposition ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Sous les yeux interloqués et envieux de Ronetta et de Drago, Hagrid empoigna alors rageusement la jeune et innocente Boucle, la plaqua contre le mur le plus proche et la pénétra sauvagement. Ce fut d'abord un peu douloureux. En effet, la virilité d'un ours, qui plus est nommé Hagrid, n'est pas étudiée pour pénétrer des jeunes filles innocentes et pures telles que Boucle, mais plutôt des gabarits tels que Hulk ou Docteur Jekyll version hargneux. Mais Boucle y trouvait beaucoup de plaisir. De toute façon, il y en avait tellement qui lui était passé dessus que la virilité de Hagrid ne lui faisait pas peur. Ah quel instant de bonheur ! Elle sentait Hagrid bouger en elle et elle ne pouvait plus retenir ces petits cris aigus et étouffés par les allées et venues de l'ours. Elle n'était plus très loin d'atteindre une autre galaxie maintenant, elle sentait déjà son corps s'enflammer. Hagrid la fit sienne vingt fois ce matin là.

Quant à Ronetta et Drago, ils restèrent passifs jusqu'à la fin de la matinée. Hagrid laissa souffler Boucle pour se préoccuper un peu plus de sa chère et tendre épouse. Mais malheureusement, ils nous épargnèrent ce spectacle affligeant en allant s'isoler dans le placard à balais le plus proche. Je ne pourrais donc retranscrire cette scène mythique.

Drago et Boucle étaient donc restés seuls. Drago, gêné, tentait, tant bien que mal, de repousser les avances effrénées de la chaude et palpitante Boucle. Mais rien n'y fit. Contraint de se faire violer ici et maintenant par la pure et innocente Boucle, Drago la prit sauvagement dans ses bras et l'allongea sur la table. Mais il ne savait pas vraiment quoi faire maintenant. Jamais il n'avait été dominant, il avait toute sa jeunesse subit la domination de son père et de sa mère. Il ne savait pas comment s'y prendre, alors voyant son désespoir croître, Boucle s'assit sur la table et embrassa langoureusement Drago. Elle joua quelques instants avec sa langue, puis jugeant le moment venu, elle se mit en devoir de lécher avec délectation chaque partie de son corps, donnant ci et là quelques baisés volés, s'attardant toujours plus sur l'un de ses tétons ou sur une oreille trop sage. Drago n'en pouvait plus et il se réfugia de frustration dans les bras de sa dulcinée. Mais elle le rejeta violemment, continuant sa progression vers l'objet de plaisir de son amant. Elle finit par arriver sur le bout de la virilité de Drago et lui donna plusieurs baisers furtifs l'émoustillant de plus en plus. Et moi, je vais aller prendre un café, parce que j'ai plus d'idées, mais je reviens dans quelques instants.

INTERLUDE

Bien. Boucle fit courir sa langue de long en large sur l'objet de ses désirs donnant à son amant de plus en plus de plaisir. Les allées et venues qu'elle faisait étaient beaucoup plus rapides à présent et ses lèvres pulpeuses firent jouir Drago comme jamais (bon ok c'est un peu sommaire, mais c'est saoulant à force !). Il ne mit pas longtemps à s'affaler d'épuisement dans les bras de Boucle. Mais il réalisa tout à coup, que seul lui avait eu du plaisir. Il releva alors son visage et regarda le regard inexpressif de Boucle. Il tenta de comprendre ce qu'elle ressentait en plongeant son regard dans le sien, mais il ne vit rien, juste la frustration de celle ci. Alors avec un sourire malicieux, il embrassa Boucle et lui murmura des mots doux à son oreille veloutée. Quelques instants plus tard, il la pénétra avec beaucoup de douceur, lui offrant ainsi ce dont elle n'avait pu jouir dans les moments qui précédèrent. Alors qu'il allait de plus en plus profond en elle, elle émit de faibles gémissements entrecoupés de râles d'extases lorsqu'il la fit jouir. Ce jour- là, Drago apprit la satisfaction de la jouissance à deux, celle où tout disparaît autour de vous. Boucle, elle, ne s'arrêtant pas à ça, débaucha Drago six fois cette après-midi-là.

Les présentations terminées, Boucle décida qu'il était grand temps de partir et de retrouver les siens. Hagrid et Ronetta lui dire adieu bien chaleureusement, en gros ils la baisèrent comme des lapins. Drago, lui, ayant trouvé l'amour en la personne de Boucle, ne pouvait se résigner à la laisser s'en aller. Il se jeta sur elle et s'accrocha à ses jambes, la contraignant à le tirer sur plusieurs mètres. Mais elle réussit à le laisser sur le carreau en lui éclatant la gueule à coups de tondeuse. Drago, légèrement abîmé, choisit de rejoindre sa dulcinée plus tard, pour cause de « petit désagrément et contusions sur belle gueule de sadique . »

Les adieux faits, Boucle repartit de bon train dans la forêt profonde, obscure, innocente et pure.

*

Voilà voilà ! Fin du premier chapitre ! J'espère que ça vous a plu et n'oubliez pas que des reviews me ferait extrêmement plaisir !!