Entrée en gare
Entrée en gare
Note comme ça : Deuxième tentative dans FFVII ! Ecris vite et heu…bien fait ? (aïe, pas taper, ça fait mal !XD) sur l'ordi de l'internat qui, dieu merci, possède internet. Désolée si ce drabble ne correspond pas au jeu mais c'était trop tentant ! Enfin normalement il n'y a pas de non sens… sauf si ma mémoire fait aussi défaut sur Final Fantasy mais habituellement je n'oublie que mes cours de maths et de philo.
Reconnaissance de dette : Raté, je n'ai jamais fait de jeux vidéo ! En revanche j'ai fait tout un tas de bêtises avec des personnages qui ne sont pas tout à fait à moi (se prend un coup de Madame Justice) pardon : ne sont pas du tout à moi mais à Square Enix !
Sur ce bonne lectuuuuure !!
Le bruit assourdissant des roues de fer avalant les kilomètres de rails assourdissait ses tympans. A force de voyager de part et d'autre, enchaînant les petits boulots, il avait fini par oublier à quel point les grandes villes pouvaient être aussi bruyante.
"Roger!"
Il manqua de perdre l'équilibre lorsque la voix, pourtant si lointaine, surpassa le volume sonore de son environnement. Ce n'était cependant pas une surprise. Il lui arrivait souvent de l'entendre mais jamais il ne parvenait à définir si elle lui appartenait où s'il s'agissait d'un vieux souvenir oublié. A force de se voiler les yeux, on finit par ne plus faire correctement la différence entre vérité et mensonge.
"Embrasse tes rêves"
Les freins produirent un affreux crissement que dont les deux soldats en charge de la surveillance furent les témoins crispés. Il releva alors les yeux pour voir l'homme qui le précédait, une masse de muscles ébènes, se jeter sur le quai et aussitôt attaquer les représentants de la Shinra. Il sauta souplement du haut de la voiture sur laquelle il avait voyagé puis courut le soutenir, bien que cela ne soit pas fait par simple bonté d'âme. Après tout, les plus mauvais employeurs, c'étaient les employeurs morts avant la paye.
Il replaça donc la voix dans un coin de son esprit jusqu'à ce que cette affaire-ci soit réglée. Il ne se permettrait de suivre le fils d'Ariane de ses souvenirs que lorsqu'il franchirait les portes de Migdar, sa somme d'argent gagnée en poche.
Les lumières émanant des lampadaires disséminés au bord de la route éclairaient la gare, accueillant comme elles le pouvaient les deux nouveaux arrivants. Mais plus loin, tout au bout du parvis, une lumière brillait plus fort que les autres.
Un regard bleu nuancé de vert suivit le chemins des deux combattants, un sourire triomphant collé aux lèvres. Il regardait se mouvoir sa plus grande oeuvre, se plaisant à constater qu'il avait accompli avec succès sa plus grande mission. Oui, il aimait connaître les épilogues de ses actes.
"Tu seras mon héritage vivant"
