Criminal Minds

Titre « Délivre-moi»

Auteur : AbbyGibbs

Disclaimers : ya da, ya da, ya da, rien ne m'appartient, et non je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve que cela devient une habitude que rien ne m'appartient jamais. Enfin bref : Esprits criminels n'est pas à moi quoi.

Genre : Drame, Romance, angoisse.

Couple : Morgan/Garcia

Classification : T (comme toujours pour avoir une planche de salut)

Spoiler : aucun.

Résumé : Morgan est réveillé en pleine nuit par un coup de téléphone qui va bouleverser sa vie entière.

Note de l'auteur : je sais que je suis une bleue comme on dirait pour la série, mais j'avais envie d'essayer d'écrire sur la série. J'adore Morgan et Garcia, ils sont trop mignon, leur petit jeu verbale me fait penser à deux autres personnages, j'adore trop. Les autres personnages sont aussi géniaux mais il n'y a pas photo, je préfère Garcia et Morgan.

La traduction de la chanson « Heroes »

Feedbacks : et ben, je les adore – qui ne les aimerait pas ? Mais s'il vous plaît seulement si vous respectez mon travail parce que cela demande beaucoup de temps et d'énergie pour arriver à écrire une histoire. J'aime écrire et je ne permettrai plus jamais personne de m'en décourager plus jamais. Je n'ai aucun problème avec les lecteurs qui décident de ne pas aimer mais j'en ai avec ceux qui écrivent des mails irrespectueux tout simplement parce que la fin de va pas dans le sens dans lequel ils l'auraient souhaité. Si vous voulez me dire ce que j'aurais pu écrire mieux dans l'histoire, vous être toujours bienvenu pour me le faire savoir. Mais si tout ce qui vous intéresse c'est de vociférer garder le pour vous, d'accord ? Merci.

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Cronin à dit : « L'enfer c'est d'avoir perdu l'espoir. »

La journée avait été longue comme souvent lorsque l'on travail au FBI. Les assassins et les fous ne dorment jamais. Derek avait parfois la sensation qu'au plus les années avançaient au plus les crimes devenaient violents et ou plus il en était commit.

Il avait cependant arrêté il y a bien longtemps de se poser des questions car comme l'avait dit Rossi un jour : Notre but est de trouver le mal et de l'arrêter…

Le mal existe depuis que le monde est monde tout comme le bien c'est ce qui permet qu'il soit équilibré quoi que ces derniers temps on avait l'impression que lorsque l'on travaillait au Bureau fédéral d'investigation il y avait un déséquilibre net dans la balance, le mal gagnait du terrain.

Tout ce qu'il pouvait faire c'était le combattre croire qu'un jour cela diminuerait. Ce jour là, n'était cependant pas encore arrivé. Il soupira, ce n'était encore l'heure pour lui de dormir trop d'adrénaline coulait encore dans ses vaines. Derek Morgan se débarrassa de ses chaussures et de son T-shirt.

Il faisait vraiment chaut ! une vague de chaleur c'était abattue sur Washington, D.C., depuis deux semaines, le thermomètre dépassait facilement le 35°C et d'après ce que prévoyait la météo ce n'était mais de changer dans les prochains jours.

Il prit la décision d'aller se rafraichir sous la douche, une douche bien froide lui ferait le plus grand bien se dit-il.

Morgan défit la ceinture de son jeans noir qui lui moulait les fesses à la perfection. Défaisant son bouton il laissa ensuite le pantalon glisser le long de ses jambes avant de faire un pas en arrière pour en sortir.

Derek se dirigeait vers sa salle de bain et ouvrit les deux robinets d'eau chaude et froide, il faisait peut-être plus de 35°C dehors il valait mieux tout de même d'abord ne pas se mettre immédiatement dans l'eau froide. Laissant l'eau couler, il ressortit de la salle de bain pour aller prendre une bouteille d'eau minérale dans le réfrigérateur tout en jetant un coup d'œil à sa montre. Il était plus de minuit et la température extérieure n'avait pas baisée de beaucoup quand à l'air conditionné quand en ait ou pas ça ne faisait pas vraiment une énorme différence.

Cette chaleur était vraiment étouffante. Derek Morgan bû une gorgée d'eau tout en retournant dans la salle de bain. Ses chaussettes se retrouvèrent bien vite en compagnie de son boxer sur le sol.

Quelques instants plus tard, il se tenait sous le pommeau de douche du quel coulait les goutes que ruisselaient joyeusement sur son dos, sa main gauche était appuya contre la paroi qui lui faisait face, alors que son autre main se balançait doucement, nonchalamment le long de son corps. Morgan ferma les yeux et respira profondément.

« Derek ? c'est Reid, si tu reçois ce message viens immédiatement à Bethesda, on a tiré sur Pénélope. » Derek Morgan avait eu l'impression au moment même où il avait entendu ce message que son monde s'était écrouler. Quelqu'un avait tiré sur sa princesse.

Il était arrivé à l'hôpital vingt minutes plus tard, et la voir dans ce lit attaché à tous ces fils lui avait brisé le cœur. Un sentiment d'impuissance l'avait envahi. Si elle avait accepter de sortir avec lui rien de tout cela ne serait arrivé. Cependant ce n'était pas à Garcia qu'il en voulait mais à lui-même, encore aujourd'hui.

Il n'arrivait à pas à bloquer la penser qu'il était responsable du fait qu'on lui avait tiré dessus. Et sa mémoire refusait catégoriquement d'oublié une stupide conversation téléphonique :

Ils étaient tous les deux en train de se parler via le téléphone, lorsqu'elle lui avait dit :

Je te laisse, bye.

Hé, hé… oh, oh, oh, pas de trait d'humour ou de remarques cinglante ? qu'est-ce qu'y a ?

Je ne suis pas d'humeur.

Pénélope ?

C'est ce gars-là… le mec du coffee-shop, il m'a invité. J'ai suivis ton conseil et j'ai refusé.

Oh, heu… ben je crois que t'as bien fait. J'avais un truc tordu chez ce type.

Wouaw, t'es un sacré profileur, t'arrive à dire qu'il est tordu avec le peu que je t'ais dit sur lui.

Garcia, je ne voulais pas…

Je me demande si c'est le fait qu'il soit séduisant ou si c'est le fait qu'il s'intéresse à moi qui te fait penser que ce mec est tordu.

Non…

Toi, t'as peut-être pas envie de me sauter, mais ça ne veut pas dire qu'un mec un peu plus sensible et un peu moins superficiel que toi aurait pas envie de moi. Tu veux du cinglant ? Va te faire voir !

Elle lui avait raccroché au nez.

Ils n'en avaient plus reparlés mais cela gênait toujours Derek, car ce qu'il avait dit à Garcia, ce jour là, il ne l'avait pas entendu comme ça. C'en était même très loin. Si seulement elle savait. Peut-être qu'un jour…

De longues minutes s'écoulèrent avant qu'il ne se décide à sortir de sa douche et enfila un pantalon de jogging.

Quelques instants plus tard, la voix de David Bowie ampli l'appartement de Morgan, un sourire se dessina aussitôt sur ses lèvres.

David Bowie, hein ? est-ce quelqu'un essaierait de me dire quelque chose ?

Reconnaissant la chanson, son sourire s'élargi encore. « Heroes » cette chanson que Garcia lui avait dit entendre en boucle lorsque l'ambulance l'emmenait à l'hôpital.

Je

Je serais le roi

Et toi

Toi tu seras ma reine

Ben que rien ne les fera partir

Nous les vainqueront

Juste pour un jour

Nous pouvons êtres des héros

Juste pour un jour

Et toi,

Toi tu peux être méchante

Et moi,

Je boirai sans arrêt

Car nous sommes amants

Et ça, c'est un fait

Oui, nous sommes amants

Et c'est une certitude

Garcia adorait David Bowie et rien que d'entendre les paroles de la chanson, il pensa à elle. Pénélope ne ressemblait à aucune femme qu'il avait l'habitude de fréquenter, elle était loin d'être quelqu'un de superficiel, qui n'ose pas rire de peur de craqueler son maquillage.

Une femme à part entière qui n'avait pas peur de s'assumer avec qui il se sentait vraiment à l'aise.

Morgan prit son mobile et enfonça le bouton qui composa automatiquement le numéro de Garcia, elle décrocha presque immédiatement. « Salut beau gosse, qu'est ce que je peux faire pour toi ? »

« Hey, ma belle. Je ne te dérange pas au moins ? »

« Jamais… »

« Tu n'as pas envie qu'on aille se boire un café ? » commença-t-il.

« Ola, toi y a un truc qui va pas… laisse-moi prendre mes clés, j'arrive. »

« On se rejoint au coffee-shop ? »

Pénélope mit quelques instants avant de répondre comme une scène lui traversa l'esprit.

Elle entre dans le coffee-shop tendant sa tasse à Lise-Anne en lui demandant de lui servir son café habituel. Dernière elle, un homme râle sur son ordinateur portable qui vient de bugger…

« Pénélope ? »

« Hein ? »

Réalisant ce qu'il vient de lui proposer, Derek ce confond en excuses. « Excuse-moi, ma puce, je n'ai pas réfléchit… »

« C'est rien, mon amour, j'arrive, dans trente minutes ? »

« Parfais ! »

Morgan et Garcia raccrochent simultanément.

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