Salut tout le monde c'est encore moi. J'ai encore écrit une histoire avec Motochika et Motonari, j'aime trop ce couple...
Note : Je ne possède aucun des personnages de Sengoku Basara, mais Jalimya, est à moi.
La Méssagère : Le début
Quand je vois la mer
Je pense souvent à toi
Et puis mon cœur bat
Motochika était sur la côte avec ses yeux fermés, détendu et à la maison.
"Rien ne peut briser ce silence... Je me demande si Mori se sent de la même façon, maintenant..." Chaque fois qu'il pensait à l'autre homme son esprit était à l'aise, même s'il était certain que le tacticien ne ressentait pas la même chose.
"Aniki-dono, je vous trouve enfin." Il entendit une voix familière et regarda par-dessus son épaule pour voir Jalimya debout au-dessus de lui.
"Ça faisait longtemps Jalimya. Est-ce que je peux t'aider ?" Il lui demanda alors qu'il se redressa.
"J'ai un message de ma Maitresse pour le Dragon d'Oshu et elle a dit de m'arrêtez chez vous aussi pour vous dire bonjour. " Elle lui dit et elle s'assit à côté de lui.
"C'est un long chemin. Je suppose que vous devez vous arrêter à Kai aussi ?"
Elle hocha la tête à cela.
"Oui, Maitresse voudrais savoir ce que Yukimura-kun et les autres sont devenus." Le pirate a hoché la tête dans l'affirmation. "Mais... Vous pensiez à Mori-sama tout à l'heure ? "
Il se tendis un peu.
"Oui..." Il a admis, se sentant coupable, en quelque sorte.
C'était silencieux pendant quelques minutes.
"Vous ne lui avez jamais dis comment vous vous sentez ? Votre vie serait beaucoup plus facile si vous le faites." Cette déclaration brutale l'a incité à regarder avec une incrédulité totale.
"Est tu folle ? Si je lui dit, je risque de le regretter, et il pourrait utiliser ces paroles et mes sentiments à son avantage aussi !"
"Quel genre d'une piètre excuse de merde est-ce ? Vous êtes le Démon des Mers de l'Ouest, oui ou non ? Vous ne devriez pas avoir peur de lui dire quoi que ce soit. Mais soit, faites comme vous voulez Aniki-dono. J'obéis seulement aux ordres de ma maîtresse..."
Il la dévisagea, mais ne parlait pas un mot. Elle le simplement en retour avec un sourire espiègle. Il la regarda bizarrement, comme si elle était folle. "Que ce que tu veux dire ? "
"Je vous dis juste que vous devez bougez votre cul de pirate et allez lui dire comment vous vous sentez !" Elle a crié dans la frustration à son grand regret.
Il soupira et se frotta l'arrière de sa tête. Bien qu'il ne savait pas à quel point Jalimya était plus coriace que lui, elle semblait avoir raison sur un point.
"Aniki-dono, les guerres sont absentes c'est derniers temps, n'est-ce pas ? " Il n'était pas vraiment sûr où elle voulait en venir avec cela, mais il lui répondit.
"Oui, en ce moment le pays est en paix."
Il a remarqué les yeux de la jeune femme s'illuminés immédiatement avec l'excitation.
"Alors vous devriez organiser une fête et je l'inviterais !"
"Une fête ?" Il la regarda, stupéfait. Simplement, elle lui sourit et hocha la tête.
"Oui, pour célébrer cette paix. Au moins, ce sera l'excuse pour voir Mori-sama."
Il a dû admettre que l'idée était bonne et il a trouvé que son enthousiasme était assez contagieuse.
"Bon, je vais le faire ! C'est ma chance de dire à Mori ce que je ressens pour lui !" Il a affirmé alors que le sourire montait jusqu'aux oreilles.
"Très bien, je vais aller dire aux gens pour la fête. J'accomplirais mes missions !"
Avec ces paroles prononcées, la décision finale a été effectuée. Ce soir, ils tout le monde rigolera et partagera des histoires pour demain. Jalimya était déjà partis pour répandre la parole de célébration de Motochika.
(De retour chez les jumelles.)
Makoto : UNE FÊTE ? TU TE FOUT DE MA GUEULE OU QUOI ?
Jalimya : Mais c'est pourtant ce que M. Chosokabe veut...
Makoto : Rien a foutre, je ne viendrais pas un point c'est tout !
Kumiko : Oh allez, Makoto... ça va être génial, il y aura de la Vodka, des chips, des mecs...
Makoto : Et ?
Kumiko : ...
Makoto : Je m'en fous de cette fete de merde, tu n'as qu'a accompagnée Jali, moi je reste ici. J'ai pas envie de voir tous ces connards- !
(Kumiko lui donne une claque)
Makoto (main la main sur la joue qui à été visée) : ...?
Kumiko : Ce n'est pas toi qui voulait prendre de leurs nouvelles ?
Makoto : Pas comme ça... Pas tout de suite. En plus, je n'ai presque rien à me mettre.
Kumiko : On ira quand même. On ira t'acheter un jolie robe, ou te faire coudre une par la 'petite mouette de la mer'. Comment elle s'appelle déjà ? Ah oui, Tsuruhime. (elle se retourna vers la jeune femme) Jalimya, part accomplir ta mission.
Jalimya : (elle hocha la tête et partie)
Makoto : Tu n'est vraiment qu'une garce !
Kumiko : Je sais... (elle rit)
Bon voilà, j'espere que vous avez aimés...